#36300
bzo
Participant

je suis toujours en train de digérer et de découvrir les implications
de mon changement de position vis à vis de l’éjaculation,
cela m’a emmené à tout remettre en question
et à questionner certaines certitudes dans la théorie de ma pratique

Ta pratique fait de toi un exemple de ce qu’un homme devient quand il est parvenu à se libérer du besoin d’éjaculer.

si il y a quelques jours, cela m’avait sembler une hypothèse plausible,
j’y crois nettement moins après d’attentives observations de ce qui se passe en moi durant la séance

une autre éjaculation depuis et n’ai senti aucune atténuation du niveau de mes énergies,
tout du contraire,
je ne cherche pas à me masturber, je ne cherche pas à éjaculer durant les séances,
cela ne m’intéresse pas outre-mesure,
cependant je crois fermement désormais que même si grâce au stade où j’en suis arrivé dans mon cheminement
et aux particularités de celui-ci,
je ne sens plus aucunement le besoin d’éjaculer,
mon corps a besoin régulièrement de le faire,
c’est malsain et néfaste de rester ainsi de longs mois, voire de longues années sans le faire
sauf sans doute pour certains cas bien particuliers
mais je n’en fais pas partie, cela j’en suis certain

je vais laisser mon corps réguler cela tout seul
en continuer de pratiquer de la même manière,
si de par mes nombreux frottements et pressions de ma cuisse,
une excitation pénienne s’installe aussi, avec la conclusion de l’éjaculation,
je ne tenterai rien pour contrôler la chose, bien que j’en sois parfaitement capable
sans ressentir de frustration

mais comme je le sous-entendais plus haut,
je me sens nettement mieux ainsi,
je sens mon corps d’homme plus apaisé ainsi, ayant lâché de la semence deux fois en trois jours,
même on ne recherche pas de plaisir avec cette action,
c’est néanmoins une soupape pour le corps qu’il est nécessaire de laisser s’activer régulièrement ,
j’en suis convaincu désormais

et je ne crains aucune baisse de mes réserves d’énergie sexuelle
car après d’attentives observations, ces trois derniers jours,
j’ai acquis la conviction qu’avec ma façon de pratiquer,
avec ce que j’appelle un autre moi aux commandes, ce moi androgyne
au-delà des frontières de mon identité sexuelle,
ce sont de toutes autres énergies sexuelles qui montent pour m’assurer des moments de délice

ce n’est pas mon sexe mais la chair de mon sexe,
mon sexe est lié à mon identité sexuelle
et consomme de fortes quantités d’énergies mâles pour fournir l’éjaculation
accompagnée de son orgasme quelques secondes
mais je sens que cela fonctionne avec tout à fait d’autres énergies chez moi
et que comme je l’ai déjà écrit maintes fois,
j’ai un sexe masculin entre les jambes
mais la chair de mon sexe lui n’a pas de genre,
peut avoir les deux
et c’est ainsi que j’ai accès à tout d’autres énergies

ceci étant dit, comme je n’éjaculais pas,
les frottements et pressions sur mes parties par les cuisses,
éveillaient aussi plus facilement des sensations péniennes,
des énergies mâles directement liées à mon sexe,
d’où ces éjaculations, la première accidentelle,
probablement due aux frottements du drap sur mes génitaux tandis que je pratiquais sur le dos
et la seconde, parce que j’ai décidé de laisser faire désormais,
si cela doit venir, que cela vienne,
le corps en a besoin

ce que je ressens à présent, après ces deux éjaculations en trois jours,
c’est que quand je frotte avec mes cuisses,
le frotti frotta que j’aime tellement
et que j’alterne, que je mixe avec les contractions , dans le bassin
et aussi le ou les doigts, derrière dans mon anus-pussy,
c’est qu’il y a nettement moins d’ondes péniennes qui s’éveillent, pratiquement plus en fait,
c’est encore plus doux, plus velouteux, si c’est possible,
cela a changé légèrement de nature,
je ne m’en rendais pas compte car j’y étais habitué
mais il y avait toujours une dosse d’ondes péniennes qui venaient se mêler à mes ébats
du fait que je n’éjaculais jamais

à pré&sent que ce n’est plus le cas,
cela a beaucoup diminué, c’est étonnant
et donc dorénavant je laisserai mon corps gérer tout seul les éjaculations
quand le besoin se fera sentir,
cela montera, mon pénis lâchera de la semence,
cela me procurera un moment un peu particulier qu’il n’y a pas à bouder,
ces éjaculations durant ces pratiques basées sur la prostate essentiellement,
sont toujours particulièrement fortes et productrices d’une grande quantité de semence