#42922
bzo
Participant

première éjaculation de l’année, alléluia

entre le moment où elle s’est effectivement passée
et puis le moment où j’ai commencé à la sentir monter entre mes reins,
des heures peuvent s’être écoulées,
durant lesquelles, j’aurai joui et encore joui, interminablement

en mode yin, on peut tellement exploiter ce processus,
des génitaux, d’une part,
des flots d’ondes génitales se dispersant dans tout le corps,
rendant fou de plaisir
et puis d’autre part, sentir lentement son sexe qui s’arme,
qui va tirer son coup
mais je peux étirer, tout cela, très très longtemps,
tirer dessus comme sur un élastique,
rendant en moi la volupté, toujours plus ineffable,
toujours plus dense, toujours plus affolante,

et puis quand l’explosion finale arrive,
je suis dans un tel état d’excitation, tellement en roue libre,
que je suis pulvérisé, émietté, dispersé, comme jamais,
l’orgasme de l’éjaculation, en mode yin,
se passe tellement dans tout le corps,
atomise tellement tout

plus besoin de faire de gymnastique, j’en sors épuisé, en sueur, haletant,
avec une telle sensation de dépense, dans les muscles
que si j’avais couru le marathon de New-York,
grimper l’Everest et traversé la Manche à la nage