Mots-clés : aneroless
- Ce sujet contient 1,143 réponses, 15 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
RomPat33, le il y a 1 mois et 3 semaines.
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- 12 septembre 2021 à 10 h 31 min #42106
bzo
Participantune présence constamment en moi,
quelque chose, comme un moteur allumé, prêt à démarrer,
une formidable machinerie, prête à tout instant dans ma chair,
à ouvrir les vannes d’une sorcellerie joyeuse,
à me dérégler, à me mettre sens dessus, sens dessousla plus sublime des transgressions s’est bâtie dans ma chair,
je la sens en action, redevenue neutre, prête à aller dans toutes les directions
je me sens, 100% femme, 100% homme, 100% animal,
je me sens un pont, un terrain de jeurien que d’y penser,
j’en ai mon sexe qui devient tout dur et j’en ai des frissons,
de me sentir tellement prêt à la jouissance, à la voluptéle chant est partout en moi,
monte instantanément, tellement de partout,
je me touche à peine
et j’ai l’impression de devenir une fontaine,
cela me traverse verticalement, de part en part
et jaillit par le sommet de mon crâne,
s’évade vers le firmament13 septembre 2021 à 23 h 33 min #42119bzo
Participantc’est soirée tétons chez le bruxellois,
plus exactement tétons et contractions,
ah ben tant qu’à faire, autant être complet, n’oublier personne,
plutôt, soirée tétons, contractions et liane lascive à gogocomme j’ai aimé cela, il y a encore quelques instants, en préparant mon thé,
appuyé contre le plan de travail de la cuisine,
tout mon corps ondulant lentement, des contractions montant rythmiquement
et puis les bouts de doigt d’une main,
chipotant rêveusement un téton durci,
oh comme j’étais rempli de vibrations des pieds à la tête,
c’était juste délicieux, tant de lascivité, tant de volupté, dans ma chairje me laissais glisser vers le bas peu à peu, les genoux se fléchissant de plus en plus,
le plaisir me rendait de plus en plus lourd,
j’avais du mal à tenir sur mes jambes,
j’avais de moins en moins de force pour tenir debout, tout était pompé,
toute mon énergie semblait se consumer, de plus en plus, dans l’invisible
j’avais de moins en moins de muscles, tout fondait graduellementbah, si je dois tomber, je tomberai,
pas question que je m’interrompe un seul instant
ou que je change quoique ce soit au cours des choses,
j’étais sur les rails, bien sur les rails,
la locomotive du désir fonçait de tous ses chevaux,
tout tremblait, tout frémissait, tout tanguait, en moi,
oh que cela ne s’arrête jamais!14 septembre 2021 à 1 h 38 min #42120bzo
Participantcomme le plaisir peut devenir un flux lent de lave en vous,
cela démarre dans le bassin, bouillonne là-dedans un peu sur place
puis commence à s’élever, monter lentement entre les reins,
venir jusqu’au cerveau, faisant fondre toutes vos cellules grises, au passageappuyé contre mon bureau,
comme j’aime le contact du bois massif,
tellement sensuel, le frottement contre la peau,
appuyé dessus donc avec les fesses,
un peu penché en arrière,
je fais monter lentement, très lentement des contractions
et puis toujours quelques bouts de doigt,
rêveusement chipotant un téton,
toujours le même, le droit,
il a droit à un traitement de faveur ce soiret puis voilà, la lave,
résultat de la fonte de mes chairs, en bas,
qui monte vers le haut,
c’est comme un évier qui se remplit,
je sens que cela monte, à chaque contraction, toujours plusj’aime tellement cet instant
quand cela débouche dans mon cerveau,
j’ai le regard qui se voile, les yeux qui se révulsent, je tourne de l’oeil vers l’intérieur,
j’ai les pupilles qui baignent dans la lave,
cela me fait comme un coucher de soleil dans le regard, plongé vers le dedans,
je flotte dans le mordoré, quelque part sur un horizon intérieurtandis que mon bassin est pris dans les va et vient sublime
d’un amant et de sa maîtresse,
ils sont tellement chauds, tellement ardents, je les aime tellement,
aucun de leur coup de rein qui m’échappe,
je sens ses lèvres humides entrouvertes,
enveloppant son sexe bien dur, le plus fort possible, casse-noisettes,
le happant, le malaxant, se frottant dessustout se frotte contre tout, par ici, pour l’instant,
au royaume des frottements et des frémissements
où le plaisir coule à travers les cellules comme du miel chaud, dense
et puis toujours ce téton titillé, du bout des doigts,
je tourne autour, je danse autour, dessus,
je le pince un peu, je l’agace,
il rayonne, il irradieil communique avec mes contractions, c’est impressionnant,
leurs ondes mutuelles s’aimantent, s’attirent,
c’est si bon de les sentir courir les eux vers les autres,
se fondre en un flot commun qui semble décupléquel trafic en moi, jamais d’embouteillage, fluidité parfaite des ondes,
sensations racées comme des formule 1,
fonçant un instant, avec leur aérodynamisme parfait,
tout en courbes, arabesques et ondulations,
le vent les épouse, elles tutoient le soleil, elles tutoient le ciel14 septembre 2021 à 2 h 04 min #42121bzo
Participantcomme le plaisir peut devenir un flux lent de lave en vous,
de bas en haut,
cela démarre dans le bassin,
bouillonne tranquillement un peu sur place, se prépare,
puis commence à s’élever, à monter lentement entre les reins,
jusqu’à venir jusqu’au cerveau,
faisant fondre toutes vos cellules grises, au passageappuyé contre mon bureau,
dont j’aime tellement le contact du bois massif,
tellement sensuel frottement contre ma peau,
appuyé dessus donc avec les fesses,
penché bien en arrière, pour me libérer du poids du corps,
je fais monter lentement, très lentement, des contractions
et puis toujours quelques bouts de doigt,
rêveusement chipotant un téton,
toujours le même, le droit,
il a droit à un traitement de faveur, ce soiret puis la lave, la bonne vieille lave dans l’invisible,
résultat de la fonte de mes chairs, en bas,
qui monte, qui monte, qui monte,
c’est comme un évier qui se remplit,
je sens que cela monte, à chaque contraction, toujours plusj’aime tellement cet instant
quand cela débouche dans mon cerveau massivement,
j’ai le regard qui se voile d’abord, puis les yeux qui se révulsent,
je tourne de l’oeil vers l’intérieur, en quelque sorte,
j’ai les pupilles qui baignent désormais dans la lave,
cela me fait comme un coucher de soleil dans le regard, plongé vers le dedans,
je flotte dans le mordoré, dans la dorure céleste,
quelque part sur un horizon intérieurtandis que mon bassin
est pris dans les va et vient sublime d’un amant et de sa maîtresse,
ils sont tellement chauds, tellement ardents, je les aime tellement,
aucun de leur coup de rein qui m’échappe,
je sens ses lèvres humides, à elle, entrouvertes sur son sexe bien dur,
l’enveloppant le plus fort possible, casse-noisettes,
le happant, le malaxant, se frottant dessustout se frotte contre tout, par ici, pour l’instant,
on est au royaume des frottements et des frémissements
où le plaisir coule de partout à travers les cellules, comme du miel chaud, dense
et puis toujours ce téton titillé, du bout des doigts,
je tourne autour, je danse autour, dessus,
je le pince un peu, le frotte, je l’agace,
il rayonne, il irradieil semble communiquer avec mes contractions, c’est impressionnant,
leurs ondes mutuelles s’aimantant, s’attirant, toujours plus,
c’est si bon de les sentir courir les unes vers les autres,
se fondre en un flot commun qui semble se décupler
quand elles s’amalgamentquel trafic en moi, jamais d’embouteillage, fluidité parfaite,
sensations racées comme des formule 1, tournant au ralenti,
fonçant avec une lenteur de fauve tranquille,
aérodynamisme parfait, tout en courbes, arabesques et ondulations,
le vent les épousant, le soleil et le ciel les tutoyant15 septembre 2021 à 2 h 51 min #42128bzo
Participantappelez-moi, monsieur frotti-frotta,
je me frotte, en passant, contre tous les meubles en bois massif,
je frotte les cuisses contre mes bijoux de famille,
mes mains sans relâche, vont et viennent, frottent par monts et par vaux,
j’adore frotter aussi, une jambe contre l’autre,
les poils et la peau s’emmêlant, hum, comme c’est délicieux,
enfin bref, cela frotte un peu de tous les côtés,
chez moi, à peu près tout le tempset quand cela ne frotte pas, cela contracte,
oui mon bon monsieur, cela contracte,
la contraction, chez moi, c’est sacré,
chacune est comme un ange descendu ici-bas, un instant,
en mission commando dans mon bassin,
déployant ses ailes dans ma chair
la voilà à l’oeuvre, avec son divin rouleau-compresseur
en train de se mettre en route,
j’appelle cela, mon petit instant, ascenseur hydraulique célestecela soulève tout, tout en douceur,
cela part d’entre mes cuisses, depuis la zone de l’anus
puis le plateau s’élargit rapidement,
toutes mes tripes semblent s’élever,
quel mouvement coulé, à l’enchaînement parfait,
cela monte et cela fond, en même temps,
cela presse, en fait, vers le haut, sur toute la largeur,
comme poussé par un pistonpetit moment d’engorgement pour déboucher dans la tête,
le canal d’accès s’est comme resserré
mais une fois dans la place,
vers le haut, il ne semble plus y avoir de plafond,
cela semble s’étendre sans limitesil semble y avoir un firmament où se perdre, là-dedans,
j’y presse mes entrailles incandescentes, fondantes, fumantes, frémissantes,
plutôt, je les y propulse d’un solide coup de rein,
allez, volez un instant, mes chéris, éparpillez-vous, dispersez-vous,
pas de chair à canon, chez moi mais de la chair à feu d’artifice,
mon sang charrie pour le moment, toutes les couleurs de l’arc en ciel,
tout s’en imprègnej’aime, oh comme j’aime,
j’aime quoi? rien, tout,
juste, j’aime aimer,
aimer de toutes mes forces,
ma chair, la chair des autres,
enfin toutes les chairs, quoihomme, femme, moi-même, d’autres,
peu importe,
de toutes mes forces, aimer15 septembre 2021 à 10 h 38 min #42132bzo
Participantmon corps et moi,
sommes présents à l’instant,
présents l’un pour l’autre,
plus que jamaisil y a des moments dédiés de plaisir, bien sûr
où je ne vais faire que cela,
un peu n’importe où, assis, debout, couché
ou alors plus longuement au litmais ce que j’aime surtout,
c’est quand il y a comme deux fils qui courent parallèlement dans mon quotidien,
d’une part, le fil de mes tâches diverses et bien banales
dont je m’acquitte, plus ou moins machinalement
quand je suis seul à la maison, en jour de congé, détendu, relaxet puis le fil de ma complicité, de mon intimité, avec mon corps,
le feu que je laisse s’allumer,
parfois juste le temps d’une caresse, d’un déhanchement ou d’une contraction,
à peine pour une dizaine de secondes,
le temps d’une vague de sensations à goûter, à déguster, en passantc’est devenu vraiment comme un morceau de piano à quatre mains, une danse à deux,
je fais un geste dans le cadre d’une tâche du quotidien,
portant ceci, déplaçant cela,
nettoyant le plan de travail de la cuisine, faisant du café, du thé, etc., etc.
et puis soudainement je sens une ouverture, une possibilité
pour quelque chose en plus, une douceur, une gâterie,
un court moment de communion, d’effusion, avec ma chairl’enchainement de gestes, de mouvements que j’effectuais
dans le cadre de la tâche, on ne peut plus, banale,
va changer, varier, dévier, plus ou moins,
pendant quelques instants, cela va se mettre en suspens
ou encore être effectuée comme au ralenti
s’altérer, devenir soudainement de plus en plus langoureux, lascifmon bassin va se met, éventuellement, à danser plus ou moins,
si une main est libre,
les doigts vont commencer à caresser un sein, un flanc,
quelques contractions vont monter
et puis surtout, mes cuisses vont venir frotter mes génitaux,
j’aime tellement cela, cette volupté instantanée et si riche
dont mes bijoux de famille sont capables, au moindre contactles deux fils d’action courent en parallèle, une bonne partie du temps,
quand je n’ai pas besoin d’une trop grande concentration
pour faire ce que j’ai à faire,
se croisant et se décroisant très régulièrement,
c’est comme une danse sauvage mais harmonieuse, ensemble,
une façon extraordinaire de colorer les moments,
les rendre magiques
tout en effectuant tout de même ce que j’ai à faireles instants qui passent, me disent
que je peux arriver à l’incandescence,
en tout lieu, en tout heure, n’importe comment
parce que je sais parler à mon corps,
parce que je sais me rapprocher de lui,
vivre le moment, en totale complicité avec lui
et c’est juste magnifiquec’est une forme de libération enchanteresse de la chair,
cela m’épanouit tellement quelque part,
c’est tellement satisfaisant, réjouissant
malgré l’extrême brièvetéce sont des moments d’harmonie débridée, dans l’instant,
riches et intenses,
à nuls autres pareils15 septembre 2021 à 11 h 04 min #42133bzo
Participantj’accepte de passer beaucoup plus de temps par ici qu’il ne faudrait
pour écrire mes textes
car ils satisfont un besoin profond de partager, chez moi,
d’aider éventuellement d’autres qui se seraient engagés
dans un parcours un peu similaire d’expérimentation sur soi,
de cheminement intime avec son corps,
de remise en question de son identité sexuelle, de ses frontièresmais surtout et avant tout,
ils satisfont un besoin d’écrire, un besoin de composer des phrases,
j’ai cela dans le sang, je crois,
même si je ne suis qu’un écrivaillon du dimanche
qui agite un peu les mots dans son coin,
qui joue avec comme quand il jouait, toute la journée, avec des lego par terre,
durant son enfance15 septembre 2021 à 12 h 01 min #42136bzo
Participantl’art de se procurer du plaisir
car se procurer du plaisir,
peut devenir une forme d’art,
pour soi-même, par soi-mêmetout comme procurer du plaisir aux autres,
peut le devenir aussi, bien sûr,
bah, fondamentalement,
c’est plus ou moins la même chose,
se donner du plaisir à soi-même ou à d’autres,
on parle à une chair, on murmure à une chair,
on essaie de se faire son complice quelques instantsque ce soit la sienne ou celle d’un ou d’une autre,
devenir intime avec une chair,
essayer de parler à tout ce qu’elle contient,
à travers sa viande, son sang, ses nerfsmais art, il peut y avoir, donc
oui, vraiment, art, il peut y avoir éventuellement,
une possibilité infinie d’enrichissement personnel,
une possibilité infinie d’épanouissement,
une possibilité infinie de volupté et de jouissancequand il y a un élan, corps et âme,
un geste qui engage tout son être,
pour exprimer quelque chose
qu’on a en soile support peut être n’importe quoi,
le support peut être très fugace,
le support peut être très volatile,
l’oeuvre peut s’effacer, déjà,
au fur et à mesure qu’elle apparaitmais si l’émotion, la sensation, sont là,
authentiques, riches
qui dévoilent de soi,
sans retenue et sans restrictions,
mettant à nu, quelques instantsoui, vous êtes un artiste,
oui, vous êtes une oeuvre d’art,
oui, vous vous êtes immortalisé, un moment
et l’instant d’après,
vous n’êtes plus rien,
vous êtes redevenu insignifiant
et c’est bien ainsi,
c’est bien à quel point, on est en même temps,
rien du tout et tellementil faut savoir l’accepter profondément,
au moins un instant, pour jouir de soi,
à quel point on est rien et on peut être beaucoup,
savoir accepter qu’on est qu’un petit animal qui s’agite dans son coin,
qui se fait son cinéma
avoir pleinement conscience de cela,
de sa fragilité infinie, de notre force infinie, aussi,
l’humilité, l’ardeur et l’instinct de l’animal,
les retrouver en soiartiste en incandescence intime,
sculpteur en moments pleins, en moments accomplis, dans la chair,
en moments aboutis d’union, avec soi-même ou avec d’autres16 septembre 2021 à 23 h 45 min #42146bzo
Participantappuyé sur le bord du bureau,
mes doigts courent un peu partout,
mon bassin danse lentement,
mes cuisses sont écartées,
j’ai envie plutôt d’ondes prostatiques
dans le bassin, pour l’instantje sens mon sexe qui commence à se dresser un peu
mais les ondes qui le parcourent,
viennent définitivement de la prostate,
comme c’est délicieux,
un flux constant, dense, d’ondes prostatiques, dans mon sexe
qui s’est un peu durci pour leur permettre de mieux circulermon braquemart semble un pont pour ma prostate,
avec une foule inhabituelle dessus,
qui coure, qui danse, dans toutes les directions,
comme c’est intensej’ai bien senti comment j’ai fait,
tout bien diriger de ma prostate vers mon sexe, l’y injecter massivement
pour qu’il soit turgescent d’ondes prostatiques,
comme vibrant intérieurement de partout,
comme si on avait mis un vibro-masseur allumé, dedans17 septembre 2021 à 8 h 45 min #42147bzo
Participantma pratique mixe les ondes,
constamment en action, durant les séances,
je les mélange, je les touille, je les dose, en proportions variables, ensemble
pour obtenir la plus grande richesse et variété possible,
de sensationsdes estimations de moyenne générale, à la louche:
40% d’ondes génitales, 30 d’ondes prostatiques,
10% d’ondes anales et 20% pour le reste du corpsles proportions varient selon les moments, parfois cela pourra être 100% d’un seul type,
parfois ce seront deux types qui seront mélangés, parfois les quatre, etc, etcles prostatiques, ce sont les contractions, essentiellement,
les génitales, les cuisses qui viennent contre, frotter, presser, effleurer,
les anales, c’est un ou deux doigts, derrière, dans ma petite crevasse chériecelles du corps, ce sont les caresses, les seins beaucoup, bien sûr
mais aussi ailleurs, partout en fait,
les ondulations du corps, j’aime tellement onduler ,
liane lascive, je suis,
les frottements d’une jambe contre l’autre,
sentir les poils et les peaux s’emmêler là tout en bas,
etc, etcmon imagination est reine dansant librement
pour créer de la volupté , de la jouissance, partout, partout17 septembre 2021 à 17 h 13 min #42149bzo
Participantj’ai découvert hier, cette manière, à volonté,
de rendre mon petit tuyau, turgescent avec des ondes prostatiques
et je n’arrête plus pour l’instant de m’amuser ainsi,
quelle mise en tension, absolument divine, là en basje le sens se dresser progressivement, devenir un peu dur
avec comme un arc d’ondes s’établissant,
entre ma prostate et mon pénisce n’est pas de la raideur pénienne, dans toute sa splendeur,
ruée sans restriction de sang, congestion maximale de la chair,
veines protrudant tout autour de la colonnenon, une raideur un peu plus léthargique,
flottante, vacillante, moins guerrière, plus placide,
juste assez pour que les ondes prostatiques
ait une densité favorable pour circuler,
suffisamment souple encore
pour ne pas gêner la fabrique des contractionscela hoquète un peu, cela vrombit,
comme un petit aéroplane
qui fait un gros effort pour monter,
la tête monte, la tête redescend,
devient plus violacée, sous l’effort,
repique un peu du nez, comme trop lourde,
se stabilise à l’horizontale
plutôt que vraiment dressémais l’important,
c’est que tout mon bas-ventre, à présent,
vibre comme un gros bourdon, faisant du sur place
tandis que mon sexe se balance tranquillement
comme dans un rocking chair,
au rythme des contractions qui montent18 septembre 2021 à 10 h 48 min #42152bzo
Participantô mon corps chanteur, ô mon corps enchanteur,
ta proximité est tellement enivrante,
tu me fais l’effet d’une bouteille de vin millésime
débouchée quelque part, constamment, en moi
dont j’aurai le parfum sous les narines
et dont en deux temps, trois mouvements,
j’aurai le nectar en boucheune dégustation attentive révèle à quel point,
tu es velouteux, moelleux quand tu roules dans ma bouche,
ton bouquet incomparable, aux parfums d’un terroir sans âge
dégage à chaque fois des arômes nouvelles, inattenduesgorgée après gorgée,
je baigne goulument ma langue, mon palais,
dans le cours voluptueux et dense,
de ta robe sombre, de ta robe rouge sang,
aux reflets de lumière lointaine19 septembre 2021 à 9 h 55 min #42153bzo
Participantpar moments, je suis tellement sauvagement, irrésistiblement,
habité par l’idée que “the bigger, the better”,
que si je le pouvais,
je m’enfoncerais tout le poing dans le cul
mais d’habitude, je fais plus dans la finesse
et un doigt ou deux savamment bougés, savamment manipulés,
me suffisentlà aussi, comme pour la prostate,
il ne me viendrait plus à l’idée, en tout cas actuellement,
d’utiliser un joujou quelconque,
je veux me débrouiller uniquement avec ma propre chair,
sentir partout ma propre chaleur,
m’envoyer en l’air uniquement les ressources de mon propre corpscertes, on peut pas tout un tas de choses
qu’avec un objet indépendant, on pourrait
mais par contre, on n’arrivera jamais, je dis bien jamais,
à obtenir cette sensation de proximité miraculeuse, de proximité totale,
cette impression de ne plus faire qu’un avec sa monturemiraculeuse communion intime, avec sa propre chair
comme on communierait avec quelqu’un d’autre,
chant général de tout son être,
chacune de nos cellules chantant leur ravissement,
d’être marié un instant comme cela, à soi-même ou à d’autres,
ça n’a pas de prix,
mon plaisir à moi, doit toujours commencer par cela,
le reste, doit venir s’ajouter, jouissance, orgasme, nuances, coloris, de sensationsj’y suis tellement habitué que si elle n’est pas là,
une sensation de vide est perçue à la place
rien ne semble pouvoir se passer, je me sens arraché à moi-même,
il me manque cette sensation de fusion dans la chair,
comme si elle fondait sans cesse, s’amalgamant à elle-même19 septembre 2021 à 12 h 25 min #42154bzo
Participantle féminin est vraiment comme un homme à tout faire, en nous
dans le plaisir prostatique, il sera exploité plutôt passivement,
injecté dans notre plaisir d’homme,
amplifiant celui-ci, le décuplant, l’enrichissantà l’autre bout du spectre,
nettement plus radical et transgressif,
on peut proposer notre corps, au féminin en nous,
qu’il s’en empare, qu’il prenne les commandes
pour nous faire vivre notre plaisir totalement différemment,
ce que j’appelle le plaisir en mode yinentre ces deux façons d’exploiter le féminin en nous,
toute les gradations, toutes les nuances, sont possibles, bien sûr,
selon le tempérament, l’audace, les affinités, les limites et les tabous, de chacunparfois dans le feu de l’action,
dans un massage prostatique plus “traditionnel”, on peut avoir cette sensation d’être pénétré
et d’y prendre un plaisir extrême,
le yin s’est emparé de nous quelques instants,
on l’a laissé faire car on était surexcité, emporté par le désir,
entraîné au-delà des frontières de notre identité sexuelleon peut aimer les franchir systématiquement, ces frontières,
c’est mon cas, j’aime quand ces limites s’effacent complètement,
cela balance constamment du masculin au féminin et vice et versa,
deux pôles libérés complètement
qui cherchent à se connecter, qui cherche à fusionnerles sensations se pavanent, se présentent à nous, en costumes de fête,
tantôt dans leurs plus beaux atours masculins, tantôt leurs plus beaux costumes féminins,
basculement constant, trouble infini,
la neutralité de la chair retrouvée, s’exprimant à plein puissance19 septembre 2021 à 21 h 14 min #42155bzo
Participantlouée soit ma vessie aussi,
ma vessie bien remplie avant la douchej’arrive à bien me retenir des heures durant, avec cette idée en tête,
avant la douche, dans la baignoire,
quelques moments avec des sensations spéciales, tout à fait délicieuses
grâce à ma vessie et son contenuma technique commence à être bien au point,
ce n’est jamais très long, maximum 1 à 2 mn
mais j’arrive à obtenir des coloris, des nuances, de sensations, étonnantes
grâce à la pisse,
ce liquide chaud et assez onctueux, un peu visqueux aussi, on s’en rend compte,
quand on s’en arrose copieusementd’abord, je m’échauffe quelques longues secondes
pour avoir le bassin bien empli de volupté, avoir toute la zone bien échauffée,
mes cuisses viennent presser, frotter, des contractions, bien sûr, montent,
une fois que tout cela est bien en route,
je commence à laisser faire les muscles qui vont déclencher la petite fontaine
tout en continuant mon petit manège mais un peu au ralenticela fait de l’effet de toute une série de manières,
faire monter l’urine, nécessite une contraction,
qui ma foi, combine très bien avec le reste,
provoquant toutes sortes d’effetsil y a aussi le liquide doré sur la peau,
oh comme c’est une caresse ineffable, par moments,
une nappe onctueuse, chaude comme une main liquide infiniment douce
qui enveloppe une petite partie de ma peauil faudrait pouvoir arroser, de préférence le bas-ventre et les cuisses,
pouvoir garder l’écoulement sur cette zone constamment
mais ce n’est pas évident, il y a beaucoup de déchet, de gaspillage,
j’aimerai avoir une centaine de litres à ma disposition
mais ce n’est pas le cas,
je dois donc encore apprendre à être plus efficace, plus précis,
cela viendramais le secret et c’est là que j’ai fait de gros progrès,
c’est de bien coordonner tout cela,
l’urine devient un acteur à part entière, un petit moment,
totalement intégrée à ma technique
et donc j’essaie d’établir un dialogue, une synchronisation
entre le flot de l”urine qui coule sur moi
et puis tout le reste
et ma foi, j’y réussis de mieux en mieux,
j’apprend à m’en servir,
comme j’ai appris à me servir de tout le reste,
contractions, caresses, ondulations du corps, etcaujourd’hui , ai obtenu des nuances tout à fait originales,
les lentes pressions de mes cuisses sur mes génitaux,
combinées à un titillement de la main gauche de la pointe de mon sein droit,
un lent déhanchement qui m’a emmené dans une posture un peu désaxée
que je maintenais pour bien sentir le yin vibrer en moi
et enfin la nappe de pisse qui coulait lentement sur ma peau,
cette combinaison a créé en moi quelques moments, des sensations superbescela a vraiment valu la peine de faire l’équilibriste dans la baignoire
et de se retenir deux heures d’aller aux toilettes20 septembre 2021 à 19 h 23 min #42159bzo
Participantje me suis habillé un peu ce matin pour travailler devant mon écran,
j’ai déjà expliqué que mettre, au moins, un short et un t-shirt,
recouvrant donc certaines parties sensibles de mon corps, extrêmement réactives au contact,
comme génitaux, seins, fesses,
me fait un peu l’effet d’une ceinture de chasteté
car avoir mes bijoux de famille à portée de cuisses,
mes seins à portée de doigts,
ce n’est plus très raisonnable quand je dois travailler,
il me faut si si peu désormais, pour partir en roue libre totalement,
rien que de toucher ma peau parfois n’importe où,
me fait déjà l’effet d’appuyer sur un détonateur
qui enclenche toute une chaîne de réactions en moije ne me plains pas,
je l’ai voulu ainsi, j’ai oeuvré pour cela,
pour que ca devienne complètement fou et déraisonnable
et j’en veux toujours plus,
avec cette forme d’abstinence, ne plus éjaculer,
à laquelle je m’astreins depuis maintenant pas mal de semaines,
les énergies se sont tellement accumulées en moi,
c’était le facteur qui manquait,
cela décuple inlassablement mon potentiel, jour après jour
sans relâche et sans discontinuitéaussi donc pour travailler, je me vêts un peu
sinon j’arrive plus du tout à me concentrer,
tellement mon corps me fait constamment des invites
pour aller passer un bon moment avec lui,
s’offrir quelques gâteries, vite faitmais sinon, mon corps et moi, sommes de gros cochons,
de très gros cochons qui aimons les gâteries
vivement la retraite dans 3 ans
où je pourrais m’adonner 24h sur 24, à mes activités lubriques,
si l’envie m’en vientoh oui, je ne rêve que de cela,
pouvoir consacrer mes journées, à lire, à me promener dans la forêt,
à aller à des expositions, au théatre, regarder des films, visiter quelques amis
et puis les moments d’intimité avec mon corps, explorer tout ce continent en moi,
volupté, jouissance et extase de toutes sortes, à gogo, au programmeje vais alors aussi me lancer plus sérieusement
dans des pratiques tantriques et puis toutes sortes d’autres débouchés
que peuvent offrir les énergies en nous,
je les sens en moi tellement omniprésentes, tellement accessibles
qui ne demandent qu’à s’enflammer de toutes sortes de manièresdans la forêt aussi, j’ai déjà écrit ma proximité avec les arbres,
les extraordinaires sensations que j’arrivais à vivre parmi eux,
mes énergies sollicitées, de tout autre manière qu’à la maison20 septembre 2021 à 22 h 42 min #42160bzo
Participantmon sexe, comme tout sexe qui se respecte,
a des zones plus sensibles,
mes génitaux, par exemple, ma prostate, mes seins, mon anus,
voilà des zones tout particulièrement sensibles de mon sexe,
des zones tout particulièrement irriguéesmais le reste, n’est pas en reste,
tout y est connecté, de toutes façons,
touchez n’importe quel endroit
et l’ensemble réagira,
l’ensemble se mettra à frémir20 septembre 2021 à 23 h 23 min #42161bzo
Participantje viens de découvrir une petite zone à l’intérieur de la cuisse,
toute particulièrement sensible,
située à une bonne dizaine de centimètres des génitaux,
de dix à quinze pour être plus précis,
j’y laisse trainer le bout d’un doigt ou deux, y fait des petits cercles avec,
un ou deux doigts de l’autre main, se livrant plus ou moins, au même manège
mais sur un téton
et puis je maintiens une contraction
dont j’augmente et relâche, progressivement, tour à tour, la pression
ah mes amis, quel délice, quel festin de volupté!mais surtout,
la découverte de ce point G à l’intérieur de ma cuisse,
aura été la principale attraction de la journée,
cela semble aussi sensible, au pouvoir aussi irradiant, que le téton,
ce n’est pas peu dire21 septembre 2021 à 1 h 23 min #42163bzo
Participantil semble que c’est toute cette zone autour des génitaux,
en restant à 10, 15, cm, peut-être un peu moins même,
(je n’ai pas pris une règle pour mesurer)
qui soit particulièrement intéressante,
pas seulement donc, un point particulier à l’intérieur de la cuissej’ai laissé mes doigts s’attarder sur le pubis,
en passé un quelques fois dans le pli entre le pubis et la cuisse, aussi
et les effets étaient tout aussi délicieux, étonnantsdebout, ce fut absolument superbe,
cuisses un peu écartées, des contractions montant,
une main caressant un sein,
l’autre juste posée sur le pubis, bougeant à peine,
un tout petit peu tout de même mais très légèrementainsi, je suis resté de longues, longues secondes,
vivant une douce extase jouissive,
je sentais bien de puissantes ondes se dégageant de mon pubis,
montant à travers mes doigts,
plutôt il semblait y avoir échange d’ondesmon interprétation, sans toucher les génitaux,
restant bien à quelques centimètres,
sans avoir donc les effets péniens de ce type d’action,
érection et assez inévitablement éjaculation à plus ou moins court terme,
les doigts sur le pubis ou l’intérieur de la cuisse,
enfin toute cette zone que j’évoque,
font entrer les doigts en contact direct avec des ondes génitalescelles-ci semblent passer dans les doigts,
semblent se comporter tout à fait différemment
de celles issues de mon manège entre les cuisses et mes génitaux,
une puissance étonnanteaussi j’ai remarqué que les doigts semblent être des super-conducteurs,
une sorte de voie express des ondes vers le cerveau21 septembre 2021 à 17 h 19 min #42166bzo
Participanthum, les deux textes au-dessus, c’est peut-être n’importe quoi,
aujourd’hui, j’ai réessayé
mais je n’ai pas du tout réussi à obtenir les mêmes effets, pour le moment
les points particulièrement sensibles, comme irradiant d’ondes,
à l’intérieur de la cuisse, sur le pubisen même temps, peut-être, que je voulais trop,
j’avais trop cela comme objectif en tête, vieux piège,
longtemps que je n’étais pas tombé dedans,
peut-être, peut-être,
on va voir, la suite me le dira,
pas vraiment un problème,
les chiens aboient,
la caravane de la volupté interminablement passe chez moi - AuteurArticles
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