#42988
bzo
Participant

mon corps devient un pays enchanté dès que je me mets en action,
oh, comme les sensations m’emportent,
oh, comme c’est un déferlement de soie en moi

les caresses se suivent, ne se ressemblent pas,
parcourent toute la surface de ma peau, des pieds à la tête,
même si souvent, elles se cantonnent aux alentours des seins,
mes mains s’accordent désormais,
tellement parfaitement avec les ondes produites dans le bassin,
elles font partie du même orchestre,
elles jouent de concert, elles jouent ensemble,
le dialogue , la complicité, sont totales, entre elles

par contre, j’ai écarté, pour l’instant, les ondes anales,
autant les prostatiques vont avec tout, s’accordent avec tout,
se fondant, s’amalgamant parfaitement, avec tout autre type d’ondes,
autant je me suis rendu compte que les anales
provoquaient des heurts, des à-coups, constamment,
le flux était constamment bousculé,
le décollage se produisait bien, bénéficiait d’un effet booster, grâce à elles
mais était moins fluide après, une progression en dents de scie
et donc, décollage moins réussi finalement

donc, voilà, plus de doigts dans le cul, pour l’instant
qui farfouillent derrière, qui musardent comme des souris curieuses,
enfin, précisons,
elles auront désormais leurs petites séances, à part,
je vais expérimenter, explorer, ce qu’en mode yin,
il y a moyen d’atteindre avec elles, en leur donnant la vedette,
en en faisant les principaux acteurs dans le bassin, durant une séance

aussi,
plus d’aparté avec la prostate durant mes séances, aneroless, en mode yin,
plutôt, un massage prostatique, avec masseur, plus classique
mais donc, uniquement avec ondes prostatiques,
pas d’ondes génitales qui viendront s’y mêler,
enfin, comme je l’ai déjà souligné, la méthode est encore à mettre au point,
j’y travaille de temps à autre

en fait, donc, mon mode yin,
est à l’heure des ondes génitales, plus que jamais,
avec les prostatiques en support, bien sûr
et puis tout le reste du corps, avec le mode liane lascive et les caresses
qui génèrent aussi, plein d’ondes

donc, plus de moments, avec ondes anales
et plus de moments, avec ondes prostatiques seules,
c’est disruptif, cela brise le rythme, c’est contre-productif, en fin de compte,
je sens que c’est beaucoup mieux ainsi,
il y a une sorte d’homogénéité qui se dégage, un élan sans soubresauts,
une puissance qui parle, que je sens très prometteuse,
une veine très riche que j’atteins, ainsi