#43151
bzo
Participant

comme je suis excité ce matin,
je me caresse à tout bout de champ, à la cuisine, en marchant, assis, partout,
je sens la houle dans mon bassin, bien chargée, prête à exploser, encore et encore,

je sens en bas, un braquemart bien dur, à la tête chercheuse, gorgée de sang,
qui n’a qu’une hâte,
celle d’aller s’enfouir dans une petite cavité humide où fouiner et encore fouiner,
je sens des lèvres mouillées qui s’entrouvrent, tout palpite, tout frémit, entre elles,
une envie folle de sentir que cela racle, que cela laboure,
que les chairs se pressent, se frottent, se contractent

le moindre mouvement ajoute à mon ivresse, si je bouge le cul, cela me fait râler,
oh comme j’aime écarter les fesses pour l’instant,
j’ai l’impression d’accomplir l’acte le plus indécent de la planète
et qu’une armée de bites et de chattes va s’engouffrer dedans,
commencer à galoper dans toutes les directions

mes tétons sont durs, je frotte les pointes,
comme je gémis,
comme c’est doux et enivrant à entendre,
cela semble un circuit où mes propres gémissements contribuent à renforcer mon plaisir,
au plus je gémis, au plus j’ai du plaisir,
au plus j’ai du plaisir, au plus je gémis

ça y est, mon bassin est parti,
un mouvement de va et vient lancinant, debout,
comme cela pénètre en bas, comme je jouis sans discontinuité