#43914
bzo
Participant

je crois que désormais, je ne ferai plus d’abstinence d’éjaculation,

en effet, hier après, près de 40 jours sans, j’en ai eu une

puis encore une autre, dans la soirée,

aujourd’hui, bien qu’en télétravail, j’ai pu bien observer les différences

et elles ne parlent pas en faveur de l’abstinence

 

certes, le corps est plus réactif, les sensations plus acérées, quelque part,

néanmoins, ce ne sont pas les seuls critères en considérer,

la sursaturation en énergie de la chair,

provoque une sorte d’exacerbation des sens, des sensations,

mais en même temps,

dans le cadre d’une pratique comme la mienne,

où je mixe constamment les ondes génitales et prostatiques,

on n’ose plus se donner à fond

car cela signifierait s’approcher trop dangereusement de l’éjaculation

 

les contacts entre les cuisses et les génitaux,

provoquent plus rapidement et plus puissamment du plaisir pénien,

au lieu d’avoir juste des flots d’ondes génitales,

avec le sexe qui reste parfaitement au repos,

comme si on trayait le pis d’une vache

 

 

c’est de moins en moins possible, avec les jours qui passent,

dès lors il y a un déséquilibre entre les deux principaux types d’ondes, dans le bassin,

il n’y a plus ce dialogue, ce questionnement, cette émulation, entre les deux,

alors, certes, les sensations sont plus exacerbées

mais il y a un appauvrissement, aussi,

du fait qu’on n’ose plus y aller avec les ondes génitales

 

c’est quelque chose qui m’a frappé aujourd’hui,

à quel point, finalement, cela a été un soulagement et une libération,

d’avoir éjaculé deux fois, hier

et de pouvoir me laisser laisser comme je veux

 

tout ces observations ne sont pas valables, bien sûr,

pour une pratique 100% prostatique,

où là, cela reste pertinent, o combien,

de maintenir ce type d’abstinence,

la montée en puissance pourra être appréciée, sans réserve

 

c’est une constatation que je base sur mes deux premières années de pratique non -pénienne,

je suis resté plus d’un an sans éjaculer,

cette période correspond à l’envolée des résultats obtenus,

les super O de plusieurs minutes, étaient quasi quotidiens,

une fois j’en ai eu un, à l’insertion du masseur,

il a à peine eu le temps de toucher ma prostate

que c’était déjà parti pour un orgasme au long cours

 

je ne parle même pas des lentes et calmes extases interminables

qui sont ce que j’ai, peut-être, le plus aimé de cette période,

certaines furent accompagnées d’hallucinations grandioses, splendides,

cela me manque quelque part, ces moments si particuliers,

plus que la violence et l’exubérance extraordinaire des super O,

où je tombais même parfois du lit

et continuais à rebondir comme un kangourou, sur le sol,

me cognant aux meubles

 

donc, voilà, c’est meilleur, bien meilleur aujourd’hui

que hier,

même si l’abstinence avaient des aspects intéressants,

ce que j’appelle plus haut, l’exacerbation de la réactivité de mon corps,

des sensations, etc

 

mais bon, il y a aussi, trop d’effets négatifs,

ils l’emportent finalement largement sur les positifs