en l’honneur de la reine d’Angleterre et de sa disparition,
j’ai rebaptisé un de mes masseurs, “Reine Elisabeth”,
lubrifié, il glissait splendidement bien dans mon séant
avec sa grosse tête comme chapeautée
qui allait au contact toujours là où il faut
et qui me faisait incroyablement bien jouir,
du temps où j’utilisais encore des masseurs
comme cela m’excite tout cela, rien que de l’évoquer,
mes cuisses se sont resserrées autour de mes bijoux de famille
(les bijoux de la couronne)
et se sont mises à les presser, à les frotter, un peu,
tandis que déjà des contractions montent déjà
et que mes mains sont parties en balade sur mon torse
émouvante évocation de Reine Elisabeth, ma petite diablesse noire en silicone
qui glissait comme une déesse, entre mes fesses,
elle gît depuis quelques années dans une boîte à chaussure, sous mon lit
mais un jour, on ne sait jamais, je la ressusciterai,
la remettrais, en activité anale et prostatique,
elle était en son temps, la reine de mon séant