ah mes couilles, mon pénis,
comme je les adore,
je n’ai peut-être plus fait l’amour depuis des années,
ni même les ai touché de la main, non plus
mais ils me servent tous les jours, oh combien
ils sont vraiment le pilier, de toute ma pratique,
certes ma prostate darde tout le temps aussi ses ondes
mais ce sont vraiment le jeu de mes cuisses avec mes génitaux,
pressions diverses, frottements qui sont ma principale source ,
combinés avec ce qui est généré par les contacts des mains
et puis les mouvements divers du corps,
ils offrent une richesse et variété de nuances de sensations, juste infinies
au moindre contact de mes cuisses,
cette vague de volupté qui envahit instantanément mon bassin ,
en quelques secondes qui se répand à tout le corps,
c’est tellement ineffable
mon sexe, mou la plupart du temps, rayonne, rayonne
mais dur de chez dur, cela me va aussi
mais là, il finit par cracher après quelques heures de ce traitement
et puis mes deux grosses boules hirsutes, pendouillantes,
ne sont pas en restent ,
deux gros réservoirs à velours contagieux
bien sûr, ma prostate , aussi, est irremplaçable,
la puissance de ces ondes, m’aide tellement à décoller,
à monter toujours plus haut,
sans elles, mon moteur manquerait irréparablement de chevaux,
je ne pourrais faire que du rase-motte,
jamais vraiment monter dans les altitudes stratosphériques
et puis le reste du corps, il apporte une extraordinaire diversité,
quelque endroit que je touche, doigt de pied,
joue, torse,
tous génèrent des ondes tellement différentes,
mêlées à celles provenant du bassin
et puis celles générées par mon corps,
grâce aux mouvements divers et variés, aux ondulations,
les postures lascives dans lesquelles je m’engage
tout cela forme comme un delta ,
approvisionné de toutes parts,
un delta vibrant, comme de lumière chaude,
comme de frissonnements, comme de soie inondante
mais il y a aussi des moments plus animal,
plus cru, plus coït primal,
oh le volcan alors qui crache sa lave brûlante, à travers moi
j’allais oublié dans ce petit éloge, mon anus,
mon cher petit trou trou, à l’arrière,
je confesse , j’adore le masturber bien lentement,
avec un doigt ou deux, en solo
ou alors en le faisant participer, avec tout le reste
mais deux doigts, là-derrière, dans le canal mignon bien lubrifié
qui font de lents, de très lents aller-retour,
en bougeant un peu, vers gauche, vers la droite, vers le haut, vers le bas,
pour dévier les trajectoires, fouiner, fouiner,
oh quelle jouissance, quelle volupté