#45045
bzo
Participant

ah mais je préfère quand même nettement quand je suis au moins partiellement déshabillé,

en l’occurrence, le bas enlevé,

ainsi mes cuisses ont accès à mes génitaux et ils peuvent faire frotti frotta, ensemble

et moi, il ne me reste plus qu’à jouir et encore à jouir,

envahi de volupté, de la tête aux pieds

 

j’ai commencé des petits travaux dans mon appartement,

isolation des fenêtres,

en mouvement, constamment,

j’ai vite eu trop chaud, du coup, je me suis débarrassé du bas,

immédiatement, j’ai senti ma peau, sa chaleur soyeuse,

oh comme c’était bon, ce contact,

tout de suite, comme un petit nuage de volupté, s’est répandu, aux alentours,

mes cuisses ont commencé à presser doucement mes couilles, mon pénis,

ceux-ci se sont mis à ronronner de plus belle

et ne voilà-t-il pas déjà, que je suis emporté, vague par vague

 

la première contraction, embrayant là-dessus, sollicitant la puissance de ma prostate

et je m’arrachais à moi-même,  à la verticale,

comme sentant un pal de chaleur incroyablement dense, me monter par les entrailles,

se frayant un chemin, en faisant tout fondre au passage,

déboulant dans mon cerveau,

mes cellules grises se sont mises à pétarader,

le haut de mon crâne a sauté comme un bouchon de champagne

et tout a jailli, s’est éparpillé aux quatre coins de la pièce,

comme une éjaculation géante de sperme de cervelle,

éclaboussant tout à la ronde, dans l’invisible