#45192
bzo
Participant

va suivre, un scénario de fantasme homosexuel

que j’ai imaginé, il y a quelques minutes, sur mon lit,

j’étais couché, la queue dure comme de la pierre, à la verticale,

tandis que dans ma tête, des choses très crues se passaient

 

se jouer un scénario pornographique, dans sa tête,

c’est vraiment, pour un homme,  une excitation purement pénienne, je le sentais

aussi, je restai presque complètement passif sur le lit,

juste, j’ondulais un peu du bassin,

entamais comme des mouvements langoureux avec,

cela suffisait pour bien accompagner,

je ne frottais pas ma queue avec les cuisses

ou faisais monter des contractions,

ne me caressais même pas,

car je sentais que dans l’état d’excitation pénienne dans lequel j’étais

en faisant une de ces actions, en plus,

j’aurai atteint très rapidement un point de non retour

et me serai retrouver à éjaculer

ce que je ne voulais absolument pas

car je veux rester ainsi, en sursaturation d’énergie, dans ma chair

pour mon plaisir en mode yin et mon plaisir prostatique

 

j’allais déguster à l’intérieur, dans ma tête, essentiellement,

quelques mouvements, juste, du bassin,

c’était vraiment suffisant pour bercer

ce qui était en train de se passer dans mon imagination

 

ce matin, au réveil,

j’ai eu envie envie dans ma tête, de faire des très grosses cochonneries avec des hommes,

de sentir leur queue dressée,

énorme, toutes, bien sûr,

violemment, sans ménagement, me rentrer par tous les orifices,

qu’ils me manipulent comme si j’étais leur objet sexuel,

leur pantin à traiter, à jouer avec, sans aucun égard

 

nous sommes en été, je déambulais dans la rue

quand tout à coup, je passe à côté d’un chantier,

j’entends des bruits d’outils en action et des voix d’hommes qui rient et qui parlent, très fort entre eux,

je m’arrête et regarde par l’interstice entre deux planches,

je vois des ouvriers torse nus, ils sont tous musculeux, la poitrine, le dos, luisant de sueur,

certains ont des outils à la main et travaillent avec, d’autres portent des sacs de ciment,

ils parlent une langue que je ne comprends pas du tout du roumain, peut-être,

ils s’expriment, fort, rient très haut, font des grands gestes,

semblent tellement puissants, conquérants, d’une vigueur toute animale

 

cela a commencé à me démanger partout, en les voyant, ainsi,

surtout dans mon anus, j’ai eu envie de voir leur sexe se dresser devant moi,

je les imaginais splendides, avec des veines saillantes, un aspect guerrier, arqués,

je me dirigeais vers l’entrée et allais sans hésiter vers le premier,

il me voit arriver, un peu étonné,

je m’agenouille tout près de lui et je commence à ouvrir sa braguette,

il commence à sourire, d’un sourire carnassier et me laisse faire,

 

dès que sa braguette est complètement ouverte,

un gourdin gigantesque, déjà bandant à pleine puissance,

d’un aspect exactement comme je me l’imaginais, en sort tout seul,

vient me cogner le visage,

comment je vais le prendre dans ma bouche, je vais étouffer,

j’engloutis d’abord son gland, le léchouille, le presse entre mes lèvres,

il a un fort goût d’urine et de sueur

mais après quelques instants,

il saisit ma tête et l’enfonce de toute sa force,

je me mets à étouffer, il rit

il fait faire des va et vient à ma tête sur son braquemart,

je saisis la base de la hampe des deux mains et ne la lâche plus

pour qu’elles bloquent l’amplitude possible  de la descente sur son sexe

 

d’autres ouvriers nous ont vu, commencent à venir,

ils ouvrent tous leur braguette en chemin,

en émettant des rires bien gras et en me montrant du doigt,

ils nous entourent, l’un d’eux frotte déjà son sexe contre mon visage,

un autre cherche à me faire mettre à quatre pattes,

obligeant celui qui a son dard dans ma bouche, à plier de plus en plus ses genoux

pour suivre le mouvement

 

je lève une jambe, il tire le pantalon puis sur l’autre,

il m’arrache maintenant mon caleçon,

je me retrouve, avec le sexe et le cul à l’air,

mon pénis est dur, ridiculement court à côté des leurs,

l’un d’eux, le saisit, le presse très fort,

cela me fait débander instantanément, ils rigolent tous

mais je rebande déjà entre ses doigts et émet un peu de sperme,

il l’essuie sur mes cheveux

 

il commence à m’écarter les fesses,

il a aussi sorti une  verge surdimensionnée, de son pantalon,

elle est encore plus énorme que celle des autres,

déjà à l’air, tout autour de moi,

je le sens qui cogne à l’entrée de mon anus,

il cherche à forcer son chemin, sans égard pour mon petit cul,

il va me déchirer,

heureusement j’ai l’anus bien lubrifié,

il est toujours bien lubrifié pour les rencontres surprises

j’écarte les cuisses , autant que possible,

pour aider à la dilatation du tunnel

où il commence à faire entrer son engin

 

il appuie sur moi, sa queue, de toutes ses forces,

force comme un bucheron,

son gland est enfin enfoui entre mes fesses

et gagne du terrain centimètre par centimètre,

ils rient tous très fort,

il donne  quelques coups de rein

et déjà éjacule en moi

 

celui dont j’avais le braquemart dans la gorge, a éjaculé, aussi ,

j’ai  son foutre qui sort d’entre mes lèvres,

j’en ai dans les cheveux, sur le visage,

un autre l’a remplacé,

il a éjaculé très rapidement, aussi,

un autre, encore, est arrivé,

il a une queue un peu plus petite, plus raisonnable de taille,

il fait des mouvements de va et vient très rapidement, avec

il essaie d’enfoncer sa queue, aussi loin que possible, dans ma gorge,

j’étouffe car il se maintient ainsi,

comme s’il voulait ressortir par l’autre côté,

me transpercer le crane de part en part,

ils rient toujours plus fort, autour de nous

 

un autre s’est assis sur un siège

et m’a fait asseoir sur ses genoux, m’a pris ainsi,

il était un peu plus attentionné que les autres,

il me caressait un peu, tandis que je rebondissais sur lui, comme une poupée de chair

à un moment donné, il m’a fait se lever puis accroupir devant lui,

il voulait m’envoyer son foutre dans la bouche,

je le suçais, il se laissait faire plus tranquillement que les autres,

aussi, je pu déployer toute une science du léchage de queue

pour le faire jouir avec un peu plus de raffinement

que les autres qui me prenaient comme un animal

 

ma langue allait sur son gland, tournait dessus, dans tous les sens,

de temps autre, je descendais la bouche sur sa hampe,

la pressait contre mes dents, donnait des baisers bien humides,

elle devenait de plus en plus luisante,

sa queue s’est mise à  trembler,

lui-même a été pris de soubresauts,

du sperme très épais est sorti, des flots, j’avais l’impression,

j’en avalais toute une partie,

je laissais l’autre m’en recouvrir le visage

 

ils m’ont foutu à la porte, en continuant de rire très fort,

j’ai à peine eu le temps de me reculotter,

de m’essuyer du sperme qui dégoulinait et collait, un peu partout,

j’étais dehors, le cul et la queue, encore à l’air,

un couple est passé à côté de moi, ils me regardaient d’un air très choqué,

cela m’a fait bander, ils se sont enfuis en pressant le pas,

je me reculottais avec hâte

et continuais mon chemin,

le goût de leur sperme, encore dans ma bouche

 

et avec tout cela, je ne suis même pas homosexuel,

bon, un peu bisexuel, sur les bords des orifices, tout de même,

juste j’aime jouer dans ma tête, sans rien retenir,

est-ce que cela doit en rester là,

une question pour un autre jour