tiens, mon voisin italien, est dans le couloir de l’immeuble,
je m’approche de lui,
un exemplaire typique du mâle italien,
bel homme, viril, félin,
il me fait beaucoup fantasmer, à chaque fois que je le vois,
j’ai toujours rêvé de le sucer,
de sentir son sperme , couler sur mon visage
j’arrive et sans mot dire,
je m’agenouille devant lui, commence à lui ouvrir la braguette,
il est surpris, choqué, paralysé pour l’instant, se demande quoi faire
mais déjà, mes doigts ont sorti de son antre où il était tout recroquevillé,
un pénis bien épais
dont j’effleure le gland de la langue,
il se met à grossir et à se raidir à toute vitesse,
en quelques instants, il est au garde à vous
magnifique spécimen,
avec de grosses veines qui courent sur la hampe
comme je les aime,
celle-ci est arquée un peu, redressée magnifiquement,
tendue comme un arc qui veut décocher sa flèche
l’arme à faire jouir, parfaite
je jette un coup d’oeil vers le haut, à son visage,
il est devenu tout rouge mais il n’a plus vraiment envie de réagir,
juste de me laisser faire, je vois cela,
bien que son esprit lutte encore de toutes forces, contre cela, quelque part,
en bon catholique romain, marié, avec des enfants
mais c’est plus fort que lui,
la volonté de son corps, pour l’instant, a le dessus,
je le tiens, cloué comme un papillon,
par le braquemart, dressé dans ma main,
le désir bat des ailes en lui, trop fortement,
il ne peut plus rien faire contre
je le gobe bien lentement, son gros gland violacé,
tout son pénis n’est pas immense, immense mais fort épais,
aussi mes lèvres sont distendues, dessus
j’ai du mal mais je me force,
le voilà tout entier dans ma gorge, avec ma langue qui bouge contre,
qui la frotte, qui la titille,
il gémit, il a des soubresauts,
ses mains viennent se poser à l’arrière de ma tête
pour la forcer toujours plus contre lui,
j’obtempère mais c’est dur,
tellement il est épais, massif, maintenant,
son pénis en érection
il commence à faire des mouvements de va et vient, brutaux,
le bougre, il a envie de plus en plus d’éjaculer entre mes lèvres,
d’emplir ma gorge de son sperme,
je le laisse faire, je le laisse violenter ma bouche, toujours plus,
comme j’aime cela,
je mets mes bras autour de ses reins pour accompagner ses mouvements,
sentir la puissance dans son bassin,
il pète, le bougre, tellement , il est déchaîné, à présent,
et encore une fois
soudainement, il presse très fort,
cherche à aller aussi loin que possible dans ma gorge,
je sens son pénis avoir des soubresauts, de plus en plus,
il commence à éjaculer,
fluide épais, chaud, en continu
c’est interminable, il devait avoir des réserves, le bougre,
plusieurs jours, sûrement qu’il n’a plus baisé