sa fleur écarlate, entre ses jambes, écartées en grand,
était toute humide, toute gluante, toute chiffonnée,
son petit bouton était sous ma langue,
je la fais tourner dessus, avec insistance,
la fait déraper, à gauche, à droite,
la plonge aussi, dans le petit puit, au milieu de sa chair,
collant tout mon visage contre elle,
appuyant fort pour essayer d’aller le plus loin possible,
dans son adorable crevasse tout trempée,
faisant tourner ma langue dans toutes les directions
mes doigts viennent s’y mêler régulièrement,
écartant un bout de peau, fouillant, frottant, s’enfonçant, effleurant,
je la sens se cabrer de plus en plus, être prise de soubresauts,
sous l’effet combiné de ma main et de ma langue,
elle semble en selle, elle rue de plus en plus,
je suis sa monture obéissante qui l’emmène au galop,
je fais corps avec elle qui décolle de plus en plus
et j’ai l’odeur de sa chair, tellement capiteuse, plein les narines,
je la lèche, me sers de mon nez, aussi , de temps à autre,
pour farfouiller dans sa chair ouverte, trempée, vibrante
mais nous sommes trois dans le lit,
je le sens maintenant qu’il vient placer son sexe sur le côté de mon visage,
il essaie de le glisser vers elle, jusqu’à dans elle
son braquemart durci frotte mes lèvres maintenant,
il est presque là, son gland a déjà sa humidité sur lui,
son dard, désormais, se mêle à nos deux orifices collés l’un contre l’autre,
s’y ai fait un peu de place
c’est sa hampe qui est désormais tout contre ma bouche
il est parvenu à enfouir, un peu de son sexe en elle,
j’écarte un peu la tête,
de façon à ce qu’il puisse bouger en elle,
elle le sent, son gros gland,
comme un bathyscaphe qui s’apprête à partir en plongée
elle est prise de frissons, de plus belle,
je me positionne de manière,
à pouvoir leur donner des coups de langue, à tous les deux,
quasi en même temps
comme j’aime sentir leurs sexes entremêlées,
avoir la tête pratiquement collée dessus,
je n’en perds pas une miette, je suis aux premières loges,
c’est le royaume de la sueur, du foutre féminin, du mucus,
des muscles qui se contractent,
des ahanements et des gémissements,
cela pète même de temps à autre, un peu,
des poils aussi, ils ont tous les deux des poils, pour mon plus grand bonheur,
rien de glabre par ici,
royaume animal qui s’assume
il commence à faire des léger va et vient avec le gland, un peu en elle,
j’essaie de placer ma bouche,
de façon à ce qu’à chaque aller retour,
sa hampe circule entre mes lèvres
et que je puisse la frotter avec la langue
comme il est très grand et très mince, avec des bras très longs,
il parvient à glisser deux doigts dans mon cul,
il commence à jouer avec dedans,
on se contorsionne, on fond nos chairs tant bien que mal, ensemble,
j’ai un sein à elle, dans une main,
avec l’autre, je caresse son torse velu, à lui,
j’ai deux coeurs, pratiquement, sous les doigts,
l’un comme l’autre, battant la chamade
il arrête les mouvements avec sa bite,
j’en profite pour approcher ma bouche de la chatte entrouverte,
avec le gland comme au nid, dedans, à peu près,
d’un même coup de langue, je parviens à lui lécher un peu la vulve et son gland à lui,
je passe de l’un à l’autre, sans arrêt,
ils gémissent de concert,
lui a ses doigts toujours enfoncés en moi,
il les bouge de temps à autre
mais les retire pour se saisir de mon pénis,
commence tantôt à le caresser doucement,
tantôt à le serrer bien fort
il enfonce, à nouveau, un peu plus son gland en elle,
en réponse, elle frémit de la tête aux pieds,
ma langue n’a plus accès au bout de son sexe
mais je me rattrape sur la hampe durcie,
je la lèche, centimètre par centimètre,
elle est toute humide de ma salive et du foutre féminin,
je l’entrevois qui brille,
comme la peau de son sexe turgescent, est douce,
on dirait du feutre chaud
quelle fournaise, comme c’est gluant, par ici,
comme c’est compressant, aussi, j’ai du mal à respirer,
tellement ma tête est coincée entre ses cuisses écartées, son sexe grand ouvert
et puis son bassin et son dard, à lui
et puis toujours ces incroyables odeurs d’excrétions fauves, animales
qui me prennent à la gorge, qui m’étourdissent,
l’ai l’impression d’être dans l’antre d’un animal sauvage
cela bouge de plus en plus,
je retire ma tête, cela commence à trop cogner et à trop serrer, là-dedans,
je le vois éjaculer,
son sperme ressort d’elle,
il s’est un peu éloigné, je me rapproche à nouveau,
je lape son vagin, le liquide laiteux, chaud qui en sort
les poils sont tout entremêlés dessus, tout gluant, collés ensemble
je gobe son sexe à lui, maintenant,
je le nettoie très consciencieusement, avec la langue,
tandis qu’elle se retourne complètement soudainement
et en un instant,
j’ai la bouche en face, désormais, de son cul
avec l’ouverture toute ridée concentriquement de son anus, tellement adorable
il est passé , il y a pas longtemps, avec son braquemart, longuement, là-dedans,
il en est encore tout élargi,
je crois deviner la forme de sa pine à lui,
avec ses nombreux allers et retours qui a imprimé sa forme , momentanément
comme j’aurai voulu me glisser là-dedans,
en même temps que le dard qui s’y enfonce,
le tenant comme si j’avais saisi la nageoire d’un dauphin
et plonger, être entraîné, entre ces deux fesses magnifiques,
balloté , en même temps, par ses coups de rein, à lui
et par ses ruades, ses soubresauts, ses contractions, à elle