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30 sujets de 1,051 à 1,080 (sur un total de 1,630)
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  • #45275
    bzo
    Participant

    bon, c’est un peu exagéré, quand même, ce que j’écris au-dessus,

    mais en même temps, non,

    c’est vrai que de plus en plus souvent, pendant des heures,

    une petite caresse, à gauche, à droite, un mouvement des hanches, une contraction,

    me suffisent,

    apportent déjà une sorte de rassasiement dans ma chair,

    de contentement profond

     

    mais à d’autres moments, ponctuellement,

    j’adore déclencher de courtes tempêtes, en série,

    les enchaîner,

    le plus souvent , le soir, quand je fais ma gym,

    je ponctue ces moments de physicalité, de courts breaks ardents, intimes,

    ils les relient, leur forment comme des enchaînements,

    cela se s’emmêle délicieusement, gym, plaisir dans la chair,

    cela se fond ensemble,

    j’adore

     

    avant et après l’effort,

    dégustation de sensations,

    ouvrir en grand, un moment,

    le robinet à volupté,

    que cela éclabousse,

    que cela imbibe,

    partout

     

    la complicité avec mon corps,

    est devenue quelque chose de tellement fondamental,

    d’irremplaçable, de nécessaire,

    de moments essentiels à vivre,

    forme de respiration intime,

    le désir respire en moi, vit sa vie,

    est libre d’aller et venir où il veut,

    quand il veut

     

    le désir permet de nous réunir,

    à d’autres, à nous-même,

    à tout, à rien,

    au soleil, au vent, aux arbres, aux rivières,

    à la vie, à la mort

     

    le désir quand il retrouve,

    un moment, toute sa pureté,

    toute son potentiel d’unification,

    moments de cristal, en nous

    #45276
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour

    bzo a écrit

    <h3>mais déjà, mes doigts ont sorti de son antre où il était tout recroquevillé,</h3>
    <h3>un pénis bien épais</h3>
    <h3>dont j’effleure le gland de la langue,</h3>
    <h3>il se met à grossir et à se raidir à toute vitesse,</h3>
    <h3>en quelques instants, il est au garde à vous</h3>

    En parodiant Michel Audiard : Les fantasmes ça osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnait.

    Merci pour les textes.

    ps: j’ai un peu de mal avec les citations.

    #45279
    bzo
    Participant

    sa fleur écarlate, entre ses jambes, écartées en grand,

    était toute humide, toute gluante, toute chiffonnée,

    son petit bouton était  sous ma langue,

    je la fais tourner dessus, avec  insistance,

    la fait déraper, à gauche, à droite,

    la plonge aussi,  dans le petit puit, au milieu de sa chair,

    collant tout mon visage contre elle,

    appuyant fort pour essayer d’aller le plus loin possible,

    dans son adorable crevasse tout trempée,

    faisant tourner ma langue dans toutes les directions

     

    mes doigts viennent s’y mêler régulièrement,

    écartant un bout de peau, fouillant, frottant, s’enfonçant, effleurant,

    je la sens se cabrer de plus en plus, être prise de soubresauts,

    sous l’effet combiné de ma main et de ma langue,

    elle semble en selle, elle rue de plus en plus,

    je suis sa monture obéissante qui l’emmène au galop,

    je fais corps avec elle qui décolle de plus en plus

    et  j’ai l’odeur de sa chair, tellement capiteuse,  plein les narines,

    je la lèche, me sers de mon nez, aussi , de temps à autre,

    pour farfouiller dans sa chair ouverte, trempée, vibrante

     

    mais nous sommes trois dans le lit,

    je le sens maintenant qu’il vient placer son sexe sur le côté de mon visage,

    il essaie de le glisser vers elle, jusqu’à dans elle

    son braquemart durci frotte mes lèvres maintenant,

    il est presque là, son gland a déjà sa humidité sur lui,

    son dard, désormais, se mêle  à nos deux orifices collés l’un contre l’autre,

    s’y ai fait un peu de place

     

    c’est sa hampe qui est désormais tout contre ma bouche

    il est parvenu à enfouir, un peu de son sexe en elle,

    j’écarte un peu la tête,

    de façon à ce qu’il puisse bouger en elle,

    elle le sent, son gros gland,

    comme un bathyscaphe qui s’apprête à partir en plongée

    elle est prise de frissons, de plus belle,

    je me positionne de manière,

    à pouvoir leur donner des coups de langue, à tous les deux,

    quasi en même temps

     

    comme j’aime sentir leurs sexes entremêlées,

    avoir la tête pratiquement collée dessus,

    je n’en perds pas une miette, je suis aux premières loges,

    c’est le royaume de la sueur, du foutre féminin, du mucus,

    des muscles qui se contractent,

    des ahanements et des gémissements,

    cela pète même de temps à autre, un peu,

    des poils aussi, ils ont tous les deux des poils, pour mon plus grand bonheur,

    rien de glabre par ici,

    royaume animal qui s’assume

     

    il commence à faire des léger va et vient avec le gland, un peu en elle,

    j’essaie de placer ma bouche,

    de façon à ce qu’à chaque aller retour,

    sa hampe circule entre mes lèvres

    et que je puisse la frotter avec la langue

     

    comme il est très grand et très mince, avec des bras très longs,

    il parvient à glisser deux doigts dans mon cul,

    il commence à jouer avec dedans,

    on se contorsionne, on fond nos chairs tant bien que mal, ensemble,

    j’ai un sein à elle, dans une main,

    avec l’autre, je caresse son torse velu, à lui,

    j’ai deux coeurs, pratiquement,  sous les doigts,

    l’un comme l’autre, battant la chamade

     

    il arrête les mouvements avec sa bite,

    j’en profite pour approcher ma bouche de la chatte entrouverte,

    avec le gland comme au nid, dedans, à peu près,

    d’un même coup de langue, je parviens à lui lécher un peu la vulve et son gland à lui,

    je passe de l’un à l’autre, sans arrêt,

    ils gémissent de concert,

    lui a ses doigts toujours enfoncés en moi,

    il les bouge de temps à autre

    mais les retire pour se saisir de mon pénis,

    commence tantôt à le caresser doucement,

    tantôt à le serrer bien fort

     

    il enfonce, à nouveau, un peu plus son gland en elle,

    en réponse, elle frémit de la tête aux pieds,

    ma langue n’a plus accès au bout de son sexe

    mais je me rattrape sur la hampe durcie,

    je la lèche, centimètre par centimètre,

    elle est toute humide de ma salive et du foutre féminin,

    je l’entrevois qui brille,

    comme la peau de son sexe turgescent, est douce,

    on dirait du feutre chaud

     

    quelle fournaise, comme c’est gluant, par ici,

    comme c’est compressant, aussi, j’ai du mal à respirer,

    tellement ma tête est coincée entre ses cuisses écartées, son sexe grand ouvert

    et puis son bassin et son dard, à lui

     

    et  puis toujours ces incroyables odeurs d’excrétions fauves, animales

    qui me  prennent à la gorge, qui m’étourdissent,

    l’ai l’impression d’être dans l’antre d’un animal sauvage

     

    cela bouge de plus en plus,

    je retire  ma tête, cela commence à trop cogner et à trop serrer, là-dedans,

    je le vois éjaculer,

    son sperme ressort d’elle,

    il s’est un peu éloigné, je me rapproche à nouveau,

    je lape son vagin, le liquide laiteux, chaud qui en sort

    les poils sont tout entremêlés dessus, tout  gluant, collés ensemble

     

    je gobe son sexe à lui, maintenant,

    je le nettoie très consciencieusement, avec la langue,

    tandis qu’elle se retourne complètement soudainement

    et en un instant,

    j’ai la bouche en face, désormais, de son cul

    avec l’ouverture toute ridée concentriquement de son anus, tellement adorable

     

    il est passé , il y a pas longtemps, avec son braquemart, longuement, là-dedans,

    il en est encore tout élargi,

    je crois deviner la forme de sa pine à lui,

    avec ses nombreux  allers et retours qui a imprimé sa forme , momentanément

    comme j’aurai voulu me glisser là-dedans,

    en même temps que le dard qui s’y enfonce,

    le tenant comme si j’avais saisi la nageoire d’un dauphin

    et plonger, être entraîné, entre ces deux fesses magnifiques,

    balloté , en même temps, par ses coups de rein, à lui

    et par ses ruades, ses soubresauts, ses contractions, à elle

    #45280
    bzo
    Participant

    je suis assis à mon bureau, les pieds sur la table,

    couvert de mon immense peignoir, acheté récemment,

    il fait encore frisquet, j’éteins toujours les chauffages, complètement quand je dors

    et il a fait bien froid sur Bruxelles,

    des températures négatives,  dehors, tout le long de la nuit,

    et encore maintenant

    mais les radiateurs sont rallumés, à puissance maximale,

    cela devrait se réchauffer peu à peu

     

    un endroit, très certainement

    où la température est déjà bonne, actuellement, je le sens,

    c’est entre mes cuisses,

    mes génitaux sont comme au nid, bien enveloppés,

    je les sens comme des chatons heureux, ronronnant,

    mon sexe a légèrement durci,

    sous l’effet des mouvements des jambes que je provoque,

    en frottant les pieds, l’un contre l’autre

     

    et puis je lance de régulières contractions que je maintiens un peu,

    qui font réagir immédiatement ma prostate

    la tension dans les muscles du périnée,

    se propagent vers les couilles, la bite,

    provoquant un léger  déplacement de tout le paquet,

    compressé entre mes cuisses

    des ondes génitales, ainsi, générés,

    viennent se mêler, s’amalgamer, aux ondes prostatiques,

    nées, une fraction de seconde, avant

     

    sensation tellement délicieuse,

    l’impression d’avoir une éponge imbibée de soie, bien chaude, entre les cuisses

    qui au moindre mouvement, à la moindre pression,

    se met à dégouliner, à répandre sa chaleur soyeuse, ondulante, frémissante,

    aux alentours

     

    tout doucement, je suis de plus en plus excité,

    bien que je sois, en même temps, en train de faire ma consultation matinale d’internet,

    ça va, le monde est encore là,

    il n’a pas disparu pendant mon sommeil,

    toujours à feu et à sang, quelques massacres à gauche, à droite,

    des femmes en pleurs, des enfants affamés,

    des guerriers toujours convaincus de leur mission de tuer tout ce qui bouge,

    tout est bien là, ce cher monde,

    à la fois, tellement détestable et magnifique

     

    de temps à autre, je ferme les yeux,

    juste dégustant les ondes qui nagent en moi,

    je les sens qui sortent, par moments, de mon bassin,

    venant se répandre plus haut,

    imbibant d’ineffable, les cellules, au passage

     

    oh comme c’est jouissif,

    quel bien-être, quelle sensation épanouissante, instantanément,

    c’est le paradis, pour l’instant, en moi,

    la mort viendra un jour,

    c’est le plaisir qui me déposera entre ses bras, j’espère,

    qui sait, pendant un instant,

    je sentirai, peut-être, tout l’univers autour de moi,

    du fond des mers jusqu’au fin fond des galaxies

    et tout ce qu’il y a entre,

    comme se stabiliser ineffablement, se pacifier intégralement,

    flotter sur un océan majestueux de nectar,

    avant de m’éteindre complètement

     

    je ne vais pas encore me caresser,

    mes mains sont trop froides pour cela,

    je ne me sens pas encore vraiment en train,

    suis encore à moitié endormi,

    alors je reste ainsi,

    juste bougeant des hanches, des cuisses, des pieds,

    avec les doigts sur la souris et les yeux rivés à l’écran

    les jambes sur la table

    et le bassin baignant dans  de la volupté matinale

    #45281
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour

    mais nous sommes trois dans le lit,

    Bigre une partie à trois !! ça en fait des doigts et des orifices.
    Pendant que tu farfouillais la chatte poilue et odorante de la Dame, il pouvait facilement dilater ta rondelle, tu as eu de la chance !! ou pas.
    Ce soir je vais me refaire le film avec un god lubrifié sur la table de nuit, on ne sait jamais…..

    Bonsoir

    #45283
    bzo
    Participant

    c’était un texte de fantasme, j’aurai peut-être du le préciser

    #45284
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    c’était un texte de fantasme, j’aurai peut-être du le préciser

    C’est bien comme ça que je l’ai pris, c’est tellement plus érotique que la réalité.

    A+

    #45285
    bzo
    Participant

    et hop , encore un texte

     

    il était en train de dormir,

    il faisait très chaud, c’était l’été,

    je le remarquais par la porte de la chambre à coucher, grande ouverte,

    couché sur le dos, une légère toile le couvrait,

    je le devinais nu, tout entièrement

     

    mon regard le parcourut lentement,

    il était jeune, grand , musclé, d’aspect sportif,

    il avait un  air décidé mais serein, perdu dans ses rêves,

    mon attention fut attirée par la bosse de la toile,

    à hauteur de ses reins,

    petit monticule, on devine le contour du sexe au repos,

    cela  a tout de suite commencé à m’attirer  irrésistiblement,

    il faut que j’aille évaluer tout cela, de plus près,

    malgré les risques,

    s’il se réveille,

    je pourrais toujours dire que je voulais jeter un coup d’oeil par la fenêtre,

    sans vouloir le déranger dans son sommeil

     

    le désir s’est allumé tout de suite en moi,

    à la vue de ce beau corps assoupi,

    je m’approche tout doucement,

    il a l’air très très profondément endormi,

    cela m’encourage dans mon périple, à me rapprocher toujours plus,

    le plancher craque fort jusqu’au lit

    mais ne provoque aucune réaction de sa part

     

    je suis près du bel affalé,  à présent,

    j’effleure son visage de la main, je passe un doigt entre ses lèvres,

    les entrouvre un peu, il ne bouge pas,

    je me penche au-dessus de lui,

    sors mon sexe du maillot de bain

    et le pose contre sa bouche,

    glisse un peu le gland, à l’intérieur,  tout doucement ,

    je sens sa langue râpeuse, à présent, contre ma peau,

    je bande de plus en plus fort,

    cela fait entrer de plus en plus mon sexe dans sa bouche

    même pas besoin de le bouger,

    il entre tout seul, il connait le chemin

     

    je suis surexcité de le voir ainsi, avec ma trique, enfouie entre ses lèvres,

    à tel point que j’éjacule quasi tout de suite,

    je ressors très lentement mon sexe,

    pas de geste, de mouvement, brusque,

    pas troubler son sommeil, il a l’air de faire de beaux rêves

     

    je descends plus bas,

    mon visage est désormais, à hauteur de ses reins,

    à hauteur, pour être plus exact de la protubérance que j’avais repérée depuis la porte,

    qui m’avait fait entrer, risquer l’aventure,

    avec des envies de pine au bois dormant

     

    je la frotte avec le bout des doigts, à travers le tissu léger ,

    je fais des petits mouvements concentriques dessus,

    je rebande de plus belle,

    la toile est si légère, si moulante,

    de près, on devine bien toute la masse de son pénis, au repos,

    sa forme se dessine si bien,

    j’approche ma bouche, je le lèche à travers le mince coton,

    le titille avec la langue,

    cela semble commencer à lui faire de l’effet,

    je vois les proportions de son pénis changer,

    s’agrandir , petit à petit,

    belle trique, j’avais deviner juste

     

    j’en suis le contour, avec la langue,

    maintenant qu’elle est bien raidie, sous la toile,

    celle-ci devient de plus en plus humide avec ma salive

    et lui colle au braquemart, de plus en plus,

    le tissu en devient, aussi, de plus en plus transparent

    et son sexe se devine toujours plus,

    comme j’ai envie de le happer, de l’engloutir,

    de le lécher, de le manipuler, sans me retenir

     

    mais pas le réveiller, je ne le connais pas,

    je ne sais pas quelle serait sa réaction,

    je soulève tout doucement, très lentement, la toile,

    pour dévoiler la bête,

    la voir, à la lumière de ce glorieux jour d’été, dans toute sa splendeur

    et lui donner quelques coups de langue,

    goûter à sa peau, bien lui nettoyer le sexe

    c’est risqué mais je ne peux y résister,

    advienne ce qui adviendra,

    si je vois qu’il ne réagit pas,

    je goberais même son gland, bien profond,

    le bercerais de ma chaleur et de ma salive, dans la bouche

     

    je jette un coup d’oeil à son visage,

    il a un vague sourire  béat qui se dessine sur ses traits

    mais il n’a pas l’air réveillé, pour un sou,

    toujours perdu dans ses rêves

     

    ça y est, j’ai réussi à enlever la toile de ses hanches,

    son sexe presque complètement raidi, remonte bien droit vers son nombril,

    j’approche mon visage,

    remonte lentement la langue sur la hampe, centimètre par centimètre,

    la parcourant sur toute sa longueur,

    goûtant à sa sueur, vague goût d’urine, aussi,

    atteint le gland, tourne un peu dessus,

    commence à lécher son méat,

    il est complètement raide, cette fois,

    belle pine, au garde à vous,

    comme j’aurai envie de ne plus retenir mes gestes

    mais prudence,

    n’éveillons pas la belle au bois dormant

    mais à la pine bien raidie

    goutons à sa gaule, avec mille précautions

     

    il ne bronche pas, sommeil de plomb,

    cela fait mon affaire,

    j’ai son gland à présent , bien au chaud, dans ma bouche

    et je joue avec la langue dessus, lentement,

    je n’ose pas le caresser, en plus, ce serait trop, je le sens,

    cela risquerait de le réveiller

     

    je me demande si ce que je suis en train de lui faire,

    influence ses rêves,

    clairement physiquement , cela lui fait de l’effet,

    mais est-ce que j’ai aussi une petite place dans ses rêves,

    sans qu’il s’en rende compte,

    peut-être a-t-il un rêve érotique?

    peut-être qu’il rêve que quelqu’un est en train de lui faire une fellation?

    peut-être qu’il rêve qu’il vole sur un tapis volant,

    que l’océan l’emporte

     

    sa queue a des soubresauts de plus en plus,

    il finit par éjaculer, trois longs jets que j’avale goulument,

    je repose tout doucement son sexe,

    encore complètement raide, sur son ventre,

    le soutenant des lèvres,

    puis m’éloigne un peu pour jeter un long coup d’oeil, dessus,

    encore deux jets de sperme en sortent à retardement,

    vont s’étaler sur son ventre,

    presque jusqu’à son nombril,

    je n’y résiste pas , je vais les laper consciencieusement,

    ne laisser aucune trace du cambriolage sexuel,

    ni vu, ni connu,

    Arsène Lupine

     

    je remets sur lui, la fine toile de coton,

    le recouvrant complètement, à nouveau

    et je m’éloigne,

    dans l’encadrement de la porte, je me retourne,

    plonge encore le regard sur lui,

    il bande ferme toujours, je le vois à travers le tissu,

    je me retiens d’y retourner pour recommencer mon manège

     

     

    #45286
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour,

    bzo a écrit:

    je suis surexcité de le voir ainsi, avec ma trique, enfouie entre ses lèvres,
    à tel point que j’éjacule quasi tout de suite,

    ../..

    sa queue a des soubresauts de plus en plus,
    il finit par éjaculer, trois longs jets que j’avale goulument,

    Hummm!! Le sperme coule chaudement….
    L’ abstinence peut-être ???
    Perso, ce soir, me caresser le gland et m’arrêter juste avant l’écoulement si érotisé risque d’être plus difficile.
    Je ne te dis pas merci.

    A+

    #45287
    bzo
    Participant

    le sperme coule très chaudement avec l’abstinence,

    magnifiquement chaudement,

    je dirai même

     

    de fait, il n’arrête pas de couler,

    dans ma tête, dans mes veines, dans mes muscles, dans mon cul,

    dans mon sexe, même

     

    je le retiens, sans trop de problème, de sortir au grand jour

    puisque je ne regarde jamais de porno

    et que je me procure beaucoup de plaisir non pénien,

    mais pas d’exploser intérieurement

    d’exploser délicieusement, intérieurement, partout en moi

     

    j’en suis éclaboussé de partout, dans ma chair, dans ma tête,

    des jets invisibles de sperme qui font fontaine, de tous côtés, en moi,

    ça explose à répétions, ça explose en rafale, ça explose par vagues,

    dans les années 70, il y avait la révolution permanente,

    chez moi, en 2023, il y a l’éjaculation intérieure, permanente, instaurée

     

    il y a une colonne de chair raidie, constamment, quelque part en moi,

    le désir arrange cela pour moi, en moi,

    comme une lance d’incendie qui cherche à éteindre un feu

    et pour cela qui n’arrête pas d’éjaculer,

    une vraie fontaine

     

    faut dire, qu’elle croit être enfouie,

    dans la plus belle des chattes entrouvertes, humides,

    aux lèvres de soie chaude, frémissantes, enveloppantes,

    qui n’arrêtent de bouger, d’onduler, autour de sa hampe incandescente,

    de s’entrouvrir et de se refermer, avec des petits mouvements,

    ondulant lascivement sans fin,

    invitant  à la goûter, de plonger toujours plus profondément en elle,

    de goûter à ses sinuosités velouteuses qui dansent tellement langoureusement,

    pressant , caressant, frottant, imbibant, ses cellules turgescentes

     

    casse-noisette galactique, intersidéral, intersidérant,

    sur toute la longueur de sa hampe

    qui n’est plus qu’un tuyau de chair empli de lave circulant ineffablement,

    et qui  lâche bordée sur bordée,

    encore et encore, encore et encore, encore et encore,

    la vie dans la galaxie de la volupté,

    du nectar emplissant la chair, de ses vagues,

    roulant ses étoiles de soie, dans le sang

     

    couple intérieur, en action, le yin et le yang,

    énergies accumulées,

    il y en a dans toutes les armoires,

    tous les tiroirs en débordent, de plus en plus, jour après jour,

    ça dégouline de partout, ça déborde de partout,

    pas moyen de bouger le petit doigt un  peu lascivement,

    sans en mettre un océan en branle,

    qui se met à frotter les alentours, inlassablement

    #45288
    bzo
    Participant

    chez moi, tout seul,

    un instant, je me fais sodomisé divinement,

    par une belle trique qui bouge en moi,

    l’instant d’après,

    je suis en train de lécher une chatte, collée à ma bouche,

    tenant un braquemart dressé, dans chaque main,

    je copule quand je veux, comme je veux, avec qui je veux,

    me sentant à la fois homme et à la fois femme,

    tantôt plus l’un, tantôt plus l’autre

     

    mais surtout l’autre,

    la puissance sexuelle, étant tellement plus du côté du féminin

    et notre chair a tout cela en elle,

    a tout le répertoire des sensations en elle,

    peut tout faire monter sur les planches,

    toutes les jouissances possibles et imaginables

     

    à ce rythme, bientôt, j’arriverai même à copuler avec un arbre,

    avec un nuage, avec une fleur

    mais en attendant, chez moi, j’ai institué en moi, la partouze permanente,

    tantôt céleste, raffinée, délicate, sophistiquée à l’extrême,

    tantôt, bien crue, avec de la muqueuse, du sperme, des odeurs d’urine qui traînent,

    sur les lèvres, sur les hampes,

    des mouvements de bucheron qui cognent de toutes leurs forces, dans tous les orifices,

    des allers retours frénétiques, des ahanements plaintifs, des grognements d’animaux en rut

     

    je ne l’imagine pas, tout cela, jamais un seul instant,

    je le vis, je le sens, avec la complicité de ma chair,

    avec le féminin qui s’éveille en moi

    avec le masculin qui vient à sa rencontre,

    c’est la folie absolue là-dedans, quel délice,

    tout est permis, tout peut se passer,

    le prestidigitateur est invisible

    mais son haut de forme, il y a toutes sortes de choses qui en sortent,

    qui courent dans toutes les directions, ineffablement

     

    #45289
    bzo
    Participant

    deux textes, l’un après l’autre, dans la matinée

    trois si je compte celui-ci que je suis en train d’écrire

    au plus le désir est chaud en moi,

    la seule chose que je parvienne, de plus en plus,

    à part me donner du plaisir,

    à me laisser emporté par la volupté et la jouissance,

    c’est d’écrire après, pendant, avant

     

    les deux activités semblent s’emmêler, chez moi, intimement,

    les mots depuis le clavier, vers l’écran

    et puis mon corps en folie, ma chair en flammes,

    mes doigts qui ne peuvent se retenir d’aller et venir sur la peau,

    mes hanches de bouger lascivement,

    des contractions de monter

     

    j’aime tellement m’entendre gémir , encore et encore,

    de les sentir aussi, monter depuis mes tripes,

    passer à travers ma gorge, sortir de ma bouche

     

    j’adore saisir mes seins,

    les caresser, les pétrir, les frotter,

    titiller les pointes,

    danser des hanches, sentir mon sexe, durcir, se ramollir,

    des gouttes en sortir, comme un petit robinet qui fuit,

    constamment avec l’excitation permanente

     

    les mots, aussi, n’arrêtent pas de sortir de moi,

    comme une éjaculation permanente,

    accompagnant le plaisir chez moi, irrésisitiblement

     

    mais avec tout ceci, je n’ai rien foutu de ma matinée,

    alors que je voulais avancer dans mes bricolages,

    c’est assez catastrophique de ce point de vue

    et l’après-midi, je suis parti en visite chez des gens

     

    hier idem, déjà, rien foutu,

    ah la la, mais c’est trop fort, trop bon, tout cela,

    j’ai le cul tellement qui me démange,

    la prostate qui vibre en permanence,

    la peau qui pétille comme du champagne, dès qu’on la touche

    et puis des mots dans ma tête qui viennent pour célébrer tout cela

     

    comment résister?

    pourquoi résister?

    mais j’ai des devoirs aussi,

    hum, pas trop heureusement,

    vive le plaisir, vive le sexe, vive le féminin,

    vive les érections, vive les fellations, vive les cunnilingus,

    vive les 69, les anus emplis de sperme

    #45290
    bzo
    Participant

    je me relis même plus ou à peine,

    tellement cela sort par jets en continu

     

    bon j’arrête, cette fois,

    je n’ai même pas encore pris mon petit déjeuner

    #45291
    bzo
    Participant

    techniquement, on pourrait diagnostiquer

    que ma chair et mon cerveau,

    sont envahis d’une sorte d’hystérie sexuelle,

    qui affecte mes sens, ma perception, mes émotions,  mon ressenti

    mais ineffablement,

    donc je ne me plains absolument pas, pas une seconde

    cela jouit beaucoup là-dedans

    et il y a des tonnes de volupté qui passe dans les tuyaux

     

    idem pour les mots,

    cela gicle sans arrêt, je ne peux pas me retenir pour l’instant,

    je ne me relis même plus quasiment,

    je couche cela sur l’écran comme cela vient

    mais cela semble venir de ma prostate, de mes tripes, de mon sexe, de mon bassin,

    de ma peau, de mon sang

    et cela caresse ineffablement au passage, en sortant,

    donc, là aussi, que du bonheur,

    aucune raison de se retenir

     

    tant pis les bricolages attendront,

    l’après-midi, visite à ma vieille mère

    et puis quelques amis,

    pas exagérer tout de même,

    après ce ne sera que plus délicieux, quand je serai rentré,

    j’imagine déjà la première caresse, le premier mouvement de bassin,

    la première contraction,

    après plusieurs heures , sans rien qui s’est passé dans ma chair,

    oh j’en jouis déjà

    #45292
    bzo
    Participant

    oh comme je suis en pleine forme,

    je chantonne dans la cuisine, j’effectue des pas de danse, je me déhanche,

    décidément, le plaisir à gogo,

    la volupté et la jouissance, par flots dans la chair,

    cela vous décrasse les tuyaux, on se sent un nouvel homme,

    on se sent souple, on se sent jeune,

    on se sent prêt à croquer à pleines dents, la vie et les instants qui passent

    #45293
    bzo
    Participant

    Perso, ce soir, me caresser le gland et m’arrêter juste avant l’écoulement si érotisé risque d’être plus difficile.

    un petit conseil,

    pas avec la main,

    avec, l’excitation monte toujours trop rapidement,

    surtout si on a déjà quelques jours d’abstinence , derrière soi

    et en plus, il est vraiment difficile de ne pas aller jusqu’au bout,

    cela demande un effort surhumain de la volonté,

    un vrai crève-cœur, une frustration, de fond en comble

     

    mais avec les cuisses

    qui pressent dessus, qui frottent les génitaux, les effleurent, les titillent,

    tu obtiens des effets beaucoup plus riches, plus variés

    et on peut faire durer quasi indéfiniment,

    en balançant avec des contractions qui génèrent des ondes prostatiques,

    qui ont un effet contre-feu, un effet extinction du plaisir pénien

    pour déguster juste un mix d’ondes génitales et d’ondes prostatiques,

    sans même que la queue se raidisse, au bout d’un certain temps,

    quand on a de la pratique

     

    mais il faut bien laisser aller ses hanches ,

    laisser le désir s’emparer d’elles,

    bien laisser un rythme langoureux nous imprégner,

    nous emporter

    #45294
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Merci pour le conseil, je vais essayer. De toute façon depuis que je m’intéresse au plaisir prostatique et que je te lis, j’ai pris conscience que la non-éjaculation pénienne maintenait la “chaudière” sous pression
    et que le plaisir pouvait repartir rapidement au point de devenir un peu addictif.

    bzo a écrit:

    faut dire, qu’elle croit être enfouie,

    dans la plus belle des chattes entrouvertes, humides,

    aux lèvres de soie chaude, frémissantes, enveloppantes,

    qui n’arrêtent de bouger, d’onduler, autour de sa hampe incandescente,

    de s’entrouvrir et de se refermer, avec des petits mouvements,

    ondulant lascivement sans fin,

    invitant à la goûter, de plonger toujours plus profondément en elle,

    de goûter à ses sinuosités velouteuses qui dansent tellement langoureusement,

    pressant , caressant, frottant, imbibant, ses cellules turgescentes

     

    Très joli passage au point que j’imaginais y être moi aussi, dans cette chatte.

    Érotique soirée.

     

     

    #45295
    bzo
    Participant

    ce plaisir en mode yin,
    le couple intérieur en action,
    a quelque chose de tellement délicieusement,
    de tellement radicalement,
    troublant,
    quand on le laisse prendre les commandes

    à quel point,
    les frontières de notre identité sexuelle,
    s’effacent complètement,
    à quel point,
    on peut se sentir femme, par moments,
    tout en se sachant, tout en se sentant, homme,
    aussi, constamment

    tout en ayant, aussi, en tout cas, c’est mon cas,
    aucun problème, par ailleurs,
    avec mon identité sexuelle au quotidien,
    juste un désir de la questionner, de la faire progresser,
    d’en troubler un peu les frontières,
    afin de la rendre plus souple, plus ample, plus confortable,
    à porter au fil des jours

    un désir,
    de liberté dans le désir et de désir dans la liberté,
    de désir, dans toute sa splendeur,
    de désir, dans ses derniers retranchements, ponctuellement

    un désir, de complicité avec son corps
    et de complicité avec le corps des autres,
    de désir sous tous ses angles,
    toujours plus

    à quel point, par moments, dans notre intimité,
    certains, on peut avoir des envies de va et vient, entre les reins,
    de chair turgescente et chaude, s’introduisant en nous
    fouillant en nous, labourant en nous,
    ne pas avoir honte, assumer, accepter de s’embraser, ainsi
    et de continuer à désirer la femme, plus que jamais

    complètement omnivore,
    capable avec des hommes, capable avec des femmes,
    en assumant les deux genres,
    aussi bien avec les uns qu’avec les autres,

    aimez qui vous voulez, qui veut de vous,
    aimez comme vous avez envie d’elle ou de lui,
    comme il ou elle, a envie de vous,
    élargissons au maximum, notre capacité à nous unir,
    notre capacité, de chair à chair, à communier  dans l’instant,
    vibrer, ressentir, sur tout le spectre,
    l’incandescence,
    de toutes les manières, possibles et imaginables

    #45297
    modeyin
    Participant

    On a bien la même vision du mode yin @bzo

     

    #45298
    bzo
    Participant

    ce soir, je suis exclusivement en mode dégustation,

    cela veut dire que je ne touche ma peau,

    que par des effleurements,

    essentiellement avec les bouts de doigt

    mais éventuellement avec toute la paume ou encore la tranche de la main,

    enfin n’importe quelle part

    mais uniquement avec de fins contacts

     

    c’est spécial, ainsi,

    il y a une telle variété, une telle richesse,

    c’est confondant de finesse et de précision, aussi,

    les sensations , ainsi obtenues

     

    la tension sexuelle ne monte pas beaucoup, non plus,

    il y a vraiment moyen de bien la contrôler,

    les doigts semblent comme les cochers d’un attelage

    qui ralentissent ou accélèrent, à volonté, l’allure de l’ensemble,

    au doigt et à l’oeil

     

    mais, il y a aussi le fait,

    que ce sont relativement plus, les ondes prostatiques qui sont favorisées, ainsi,

    plutôt que les génitales ou les anales,

    pas sûr à quoi cela tient, exactement,

    l’impression que c’est une question de longueur de vibration,

    que leur relative brièveté, du fait d’un contact moins massif, moins long, aussi,  sur la peau,

    favorise la variété, la finesse, la précision

    mais aussi l’amalgame, avant tout, avec des ondes prostatiques,

    plutôt que les anales ou les génitales

     

    le fait est que si je veux favoriser , durant un moment

    ou durant toute une séance, les ondes génitales

    et une tension sexuelle s’accroissant fortement, rapidement,

    je vais plutôt me caresser avec toute la main, plein contact, sans rien retenir

    alors que si je veux favoriser les ondes prostatiques, lors de l’action,

    je vais y aller uniquement avec de légers effleurements,

    les doigts qui semblent filer comme des ballerines sur la peau

     

    d’ailleurs quand je suis en prostatique, seul, à 100%,

    j’y vais uniquement avec des effleurements,

    je sens tellement que cela s’accorde mieux , ainsi,

    que les ondes prostatiques peuvent voyager mieux en moi,

    bien plus facilement

     

    les ondes générées par les doigts sur la peau,

    semblent les mettre en valeur, semble les favoriser

    et je sens une splendide qualité de sensations en moi, constamment,

    c’est comme si toutes les ondes jaillissaient comme des vibrations de cristal,

    c’est confondant de finesse et de légèreté

    l’impression d’avoir de la lumière frémissante qui voyage partout en moi

     

    #45299
    bzo
    Participant

    ah salut @modeyin,

    cela fait plaisir

     

    eh oui, nos parcours sont très proches, à bien des égards,

    aussi étonnant que cela puisse paraître,

    avec des pratiques, aussi rares, aussi spécifiques

    #45304
    bzo
    Participant

    je suis un grand fan des savons sur-gras,

    je ne suis pas vraiment un spécialiste

    mais celui de la marque française Pure Aloe, au aloe vera,

    je le trouve, juste, parfait

     

    sous la douche, après m’être bien humidifié,

    je me mets un peu sur le côté

    et je m’en enduis méticuleusement et amplement, les génitaux,

    après si l’on prend soin de rester un peu à l’écart de l’eau,

    pendant de nombreuses minutes où je laisse mes cuisses jouer avec les génitaux,

    ceux-ci se dérobent, glissent, patinent, virevoltent, jaillissent,

    effets délicieux garantis

     

    d’abord, rien que ce jeu et après quelques minutes,

    je vais y joindre le bout de mes doigts,

    je les laisse gambader sur ma peau,

    m’attardant plus spécialement sur le bout des seins,

    les titillant, les tripotant,

    j’enclenche mon bassin, aussi,

    je passe en mode liane lascive,

    je me balance, j’ondule, de plus en plus lascivement

     

    oh que de ravissants moments

    puis je retourne sous la douche,

    la caresse des millions de gouttes d’eau chaude, sur ma peau,

    relever la tête, se cambrer,

    sentir les filets d’eau dégouliner sur son corps,

    se caresser, enfoncer un doigt ou deux, dans son anus,

    le fouiller un peu

     

    mon cher corps, comme la vie est belle,

    comme la volupté, est un cadeau des dieux

     

    et puis après, avec ce savon divin,

    on a la peau toute douce et légèrement odorante,

    on a encore plus envie de se caresser,

    de jouir et encore de jouir

    #45305
    bzo
    Participant

    on peut donc accueillir,

    faire vivre, ponctuellement,  les deux sexes, en soi,

    dans sa chair,

    même si on est juste un hétéro de base,

    j’en suis la preuve vivante

     

    well, plus ou moins, hétéro de base,

    avec quelques tendances divergentes, tout de même,

    depuis toujours,

    je vous entends, ok, d’accord,

    beaucoup de tendances divergentes, désormais ,

    que j’ai laissé se développer, pousser librement, depuis quelques années

     

    me suis sacrément libéré, ouvert, d’esprit et de corps,

    fait fi de tous les tabous, peu à peu,

    en empruntant le chemin

    des pratiques non péniennes, dans mon coin,

    les développant bien au-delà

    de ce que jamais j’avais envisagé,

    de ce que j’avais imaginé, possible

     

    il n’empêche, je me comprends,

    j’ai développé cela, à partir de rien,

    c’est artificiel, quelque part, tout de même,

    cela ne correspond à aucun autre besoin, chez moi

    que de juste vivre une expérience extraordinaire,

    des sensations hors normes,

    des moments somptueux

     

    je gigote mon cul lascivement et me caresse les seins à pleine main,

    non pas pour m’accorder à ma personnalité profonde

    mais parce que je suis un gars qui a su sauter sur une opportunité

    d’éveiller des choses étonnantes, en soi

     

    mais comme je suis bien, ainsi,

    quand la volupté m’emporte,

    que les frontières de mon identité sexuelle s’effacent,

    incandescence si particulière, si addictive,

    moments si jouissifs,

    il me faudra une compagne qui accepte cela,

    avec laquelle je pourrai jouer, à toutes sortes de jeux

    où notre genre à chacun, n’en définit pas les limites

     

    il faudra bien un jour,

    que je fasse l’effort de retourner vers les femmes,

    après des années passées, seul, dans mon coin,

    en suis-je encore capable?

    là est la question,

    la question délicate

     

    à aucun moment, je n’envisage de vivre avec un homme, en tout cas,

    plutôt rester alors, tout seul,

    autant je me vois sucer des bites, me faire sodomiser, ponctuellement,

    laisser le désir m’emporter dans cette direction, si cela le chante,

    adorer le pal dressé, l’embrasser, le lécher, l’engloutir goulument,

    recueillir sa semence, religieusement, dans ma bouche,

    mais c’est juste du désir,

    c’est au niveau  de la chair que cela se passe uniquement, dans ces moments

    mon coeur, contrairement à ma bite,

    ne s’est jamais mis à frémir qu’à la vue d’une femme,

    mon envie de saisir la main tendrement de quelqu’un,

    de serrer cette personne contre moi, de poser ma tête contre la sienne,

    de lui souffler des mots doux à l’oreille,

    ne s’est jamais exprimée qu’avec une femme

     

    tendresse infinie, envers elles,

    en même temps que, désormais,

    des envies de jeux coquins, sans limite, aucune,

    alors qu’avec un homme,

    ce sont juste des envies d’orifices en chaleur et de protubérances durcies à faire mousser,

    des envies de sperme à faire couler à flots,

    comme des bouchons de champagne, à faire sauter

     

     

    #45306
    bzo
    Participant

    mon sexe coule tout le temps,

    il y a  en moi, depuis que je suis réveillé aujourd’hui,

    une sorte d’excitation permanente

    qui fait que le moindre contact sur ma propre peau,

    le moindre mouvement lascif des hanches,

    la moindre contraction des muscles dans le bassin,

    me fait gémir et m’envoie au septième ciel

     

    deux, trois, mois que je suis sans éjaculer,

    le résultat devient de plus en plus magique,

    je me sens incroyablement puissant,

    je me sens des ailes dans le dos,

    je me sens comme assis sur un tapis volant,

    prêt, au moindre signal de ma part, à s’envoler dans les airs

    #45307
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Salut

    bzo a écrit
    que les frontières de mon identité sexuelle s’effacent,

    incandescence si particulière, si addictive,

    moments si jouissifs,

    il me faudra une compagne qui accepte cela,

    avec laquelle je pourrai jouer, à toutes sortes de jeux

    où notre genre à chacun, n’en définit pas les limites

    Marié depuis 50 ans, il y a 10 ans et pendant 10 ans, médication oblige, j’ai bandé mou, rarement dur et jamais quand il le fallait.
    Notre sexualité a continué et s’est adaptée, de fait elle s’est plus “féminisée”, pas pour me déplaire, tes tenues plus fines, plus douces,

    pas pour déplaire à Madame, des mains plus caressantes,
    plus curieuses, des doigts plus pénétrants,

    pas pour nous déplaire des sextoys pour les 2 genres.
    Résultats, autant d’orgasmes pour Madame, pour moi un plaisir plus “yin” en provoquant et voir le plaisir de l’autre.
    Des fellations plus longues sur un membre mou tout en se faisant mettre un doigt.

    Des parties à trois (gode) en n’étant que deux.
    Dans un vieux couple où il y a complicité respect et amour c’est peut-être plus facile.

    bzo a écrit
    autant je me vois sucer des bites, me faire sodomiser, ponctuellement,

    laisser le désir m’emporter dans cette direction, si cela le chante,

    adorer le pal dressé, l’embrasser, le lécher, l’engloutir goulument,

    recueillir sa semence, religieusement, dans ma bouche,

    mais c’est juste du désir,

    c’est au niveau de la chair que cela se passe uniquement, dans ces moments

    mon coeur, contrairement à ma bite,

    ne s’est jamais mis à frémir qu’à la vue d’une femme,

    Pareil, l’idéal pour moi, une verge dressée jusqu’au nombril sur un corps de femme.

    A+

    #45309
    bzo
    Participant

    ah comme je viens de jouir,

    c’est encore dans ma chair,

    en reflux, je sens que cela se retire,

    comme c’était bon, comme c’était endiablé

     

    on peut s’improviser un sexe à chevaucher,

    vraiment avec n’importe quoi, quasiment,

    en l’occurrence, ici, c’était le coin de mon bureau, en bois massif,

    le coin légèrement arrondi,

    que j’ai chevauché comme une vraie amazone

     

    le bois me rentrait dans le cul,

    je me frottais à lui, de plus en plus,

    je le faisais entrer aussi loin que possible

    et puis je me frottais, je me frottais, dessus,

    sans rien retenir, sans aucune pudeur, ni tabou,

    me  pressait tout contre, de toutes mes forces,

    essayant de le tordre, dansant, tournicotant, dessus,

    toutes sortes de mouvements des muscles du coin,

    pris dans des mouvements de bas en haut et de haut en bas,

    en diagonale, en spirale, en zigzag, en tournevis,

    en virage serré, en virage pas serré, en tournoyant, en toupie,

    en grenade qui se dégoupille

     

    rythme de plus en plus effréné,

    à un moment, mes yeux se sont révulsés,

    je voyais quelque part, ailleurs,

    comme entre l’espace qui relie tous les objets,

    je sentais bien mon anus incandescent

    qui se frottait de plus en plus énergiquement contre le bois,

    mes hanches semblaient comme montées sur ressorts,

    je rebondissais comme un kangourou en rut sur le coin de la table

    is je regardais ailleurs pour l’instant,

    mon regard était pris dans la gueule du volcan,

    pris dans la lave qui circulait en moi

     

    mes mains entouraient les seins,

    les compressaient, les tordaient un peu, les frottaient

    les rudoyaient presque,

    comme c’est bon de les saisir, de les chiffonner sans ménagement

    et puis de laisser mes hanches, de plus en plus danser,

    comme s’ils étaient pris dans des courants marins irrésistibles

    et des vagues écumantes

     

    #45317
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Salut

    bzo a écrit

    le bois me rentrait dans le cul,

    je me frottais à lui, de plus en plus,

    je le faisais entrer aussi loin que possible

    et puis je me frottais, je me frottais, dessus,

    sans rien retenir, sans aucune pudeur, ni tabou,

    ../..

    je sentais bien mon anus incandescent

    qui se frottait de plus en plus énergiquement contre le bois,

    ../..
    mon regard était pris dans la gueule du volcan,

    Chérir le yin avec autant de ferveur, n’est-ce pas un peu aller vers une radicalité antiyang par le rejet de son membre, de sa virilité.
    L’absence de plaisirs par devant, exacerbe les plaisirs par derrière, du derrière, au point de se frotter sur un saillant en quête d’une pénétration réelle et mentale.
    Plaisant et intense, j’en conviens.

    Avant ou après un “orgasme” anal non éjaculatoire, il m’arrive pour prolonger ou commencer une session de “rouler” le prépuce sur le gland, le plus longtemps possible sans éjaculer.

    Privilège de mon âge avancé, en y allant doucement le palier pré-éjaculatoire est assez loin.
    Ce plaisir est complémentaire de l’autre, ils s’additionnent.
    Peut-on dire que j’utilise le yin et le yang, vu que je n’éjacule pas.

    A+

    #45319
    bzo
    Participant

    je ne vois pas en quoi un bout de table en bois massif,

    un bout de table bien sympa, pas bégueule pour un sou,

    est plus problématique qu’un gode en silicone

     

    personnellement, je préfère improviser dans l’instant,

    avec le désir qui s’enflamme de plus en plus,

    qui fait feu de tout bois ( du hêtre massif, en l’occurrence, ici)

    et qui s’empare de toutes sortes d’objets,

    les détourne de leur fonction première

     

    c’est mon côté animal que je laisse s’exprimer,

    comme un chien ou un chat en rut,

    je me frotte contre toutes sortes de choses

     

    mais oui, un coin de table,

    c’est avant tout une question de chevaucher comme une amazone,

    en bien se lâchant, faisant fi de toute retenue,

    mais c’était moins de sentir le coin du bois, vaguement enfoncé en moi

    que le pressage, le massage qui était fourni au périnée,

    qui compte

     

    le plaisir pénien, tout seul, ne m’intéresse pas,

    même s’il y a des techniques qui permettent de le rendre bien plus intense,

    je préfère mon mode yin en solitaire,

    c’est nettement plus riche et plus varié

    et l’intensité ne diminue jamais,

    ne fait qu’augmenter avec chaque jour d’abstinence

     

    sans même parler du plaisir prostatique

    qui lui aussi en bénéficie,

    je sens constamment ma prostate,

    elle vibre comme un chaton à la moindre sollicitation

    et je sens ses ondes voyager partout en moi,

    dès la première contraction,

    comme si j’avais donné un coup du doigt, sur un verre en cristal

    #45320
    bzo
    Participant

    j’aime tellement que mon plaisir,

    soit constamment accompagné,

    d’une sensation de puissante complicité,

    avec mon corps

     

    je crois même que c’est ce que je préfère,

    sentir comme un lien avec lui,

    une complicité sans faille,

    une complicité, au plus intime de soi, avec sa chair,

    une complicité dont la richesse et la variété du plaisir,

    est la résultante

     

    je cherche avant tout, à sentir ce lien, toujours plus

    car il est la clef de la magie,

    il ouvre toutes les portes,

    il transforme le désir, constamment,

    en quelque chose d’imprévisible, de miraculeux,

    à vivre dans l’instant

     

    cela peut devenir tellement sans limites, tellement fou

    car notre corps a accès, aussi, à toutes les ressources de notre imagination,

    il peut la manipuler à notre insu, comme il veut,

    il peut, ainsi,  tellement totalement, jouer avec la réalité,

    dans l’instant qu’on est en train de vivre, de percevoir, de ressentir

     

    vivre le moment, totalement, avec son corps,

    vibrer dans l’instant,

    des pieds à la tête et jusqu’au fond de l’âme,

    avec lui

     

    poser sa bouche dans la source,

    dans le fluide évanescent qui scintille à la lumière,

    être transporté, un instant

     

    #45321
    bzo
    Participant

    je ne le mérite pas encore assez,

    je me rends compte,

    il y a des obstacles qui se dressent,

    encore ponctuellement, dans ma tête,

    qui reviennent à la charge,

    qui s’accrochent,

    qui renaissent de leurs cendres

     

    toutes sortes de débris charriés

    qui alourdissent, qui obstruent,

    de temps à autre,

    or, il faudrait qu’il puisse se ruer,

    sans rien qui entrave son passage,

    son cours torrentueux,

    à la fois, si irrésistiblement puissant

    et si fragile

     

    alors le ciel naîtrait et renaitrait,

    dans mes cellules,

    dans toute sa splendeur,

    déploierait ses chapiteaux,

    sans retenue

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