Mots-clés : aneroless
- This topic has 1,629 réponses, 17 participants, and was last updated il y a 1 months et 1 weeks by bzo.
-
AuteurArticles
-
19 janvier 2023 à 23 h 40 min #45275bzoParticipant
bon, c’est un peu exagéré, quand même, ce que j’écris au-dessus,
mais en même temps, non,
c’est vrai que de plus en plus souvent, pendant des heures,
une petite caresse, à gauche, à droite, un mouvement des hanches, une contraction,
me suffisent,
apportent déjà une sorte de rassasiement dans ma chair,
de contentement profond
mais à d’autres moments, ponctuellement,
j’adore déclencher de courtes tempêtes, en série,
les enchaîner,
le plus souvent , le soir, quand je fais ma gym,
je ponctue ces moments de physicalité, de courts breaks ardents, intimes,
ils les relient, leur forment comme des enchaînements,
cela se s’emmêle délicieusement, gym, plaisir dans la chair,
cela se fond ensemble,
j’adore
avant et après l’effort,
dégustation de sensations,
ouvrir en grand, un moment,
le robinet à volupté,
que cela éclabousse,
que cela imbibe,
partout
la complicité avec mon corps,
est devenue quelque chose de tellement fondamental,
d’irremplaçable, de nécessaire,
de moments essentiels à vivre,
forme de respiration intime,
le désir respire en moi, vit sa vie,
est libre d’aller et venir où il veut,
quand il veut
le désir permet de nous réunir,
à d’autres, à nous-même,
à tout, à rien,
au soleil, au vent, aux arbres, aux rivières,
à la vie, à la mort
le désir quand il retrouve,
un moment, toute sa pureté,
toute son potentiel d’unification,
moments de cristal, en nous
20 janvier 2023 à 14 h 14 min #45276PetitsPlaisirs76ParticipantBonjour
bzo a écrit
<h3>mais déjà, mes doigts ont sorti de son antre où il était tout recroquevillé,</h3>
<h3>un pénis bien épais</h3>
<h3>dont j’effleure le gland de la langue,</h3>
<h3>il se met à grossir et à se raidir à toute vitesse,</h3>
<h3>en quelques instants, il est au garde à vous</h3>En parodiant Michel Audiard : Les fantasmes ça osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnait.
Merci pour les textes.
ps: j’ai un peu de mal avec les citations.
20 janvier 2023 à 22 h 55 min #45279bzoParticipantsa fleur écarlate, entre ses jambes, écartées en grand,
était toute humide, toute gluante, toute chiffonnée,
son petit bouton était sous ma langue,
je la fais tourner dessus, avec insistance,
la fait déraper, à gauche, à droite,
la plonge aussi, dans le petit puit, au milieu de sa chair,
collant tout mon visage contre elle,
appuyant fort pour essayer d’aller le plus loin possible,
dans son adorable crevasse tout trempée,
faisant tourner ma langue dans toutes les directions
mes doigts viennent s’y mêler régulièrement,
écartant un bout de peau, fouillant, frottant, s’enfonçant, effleurant,
je la sens se cabrer de plus en plus, être prise de soubresauts,
sous l’effet combiné de ma main et de ma langue,
elle semble en selle, elle rue de plus en plus,
je suis sa monture obéissante qui l’emmène au galop,
je fais corps avec elle qui décolle de plus en plus
et j’ai l’odeur de sa chair, tellement capiteuse, plein les narines,
je la lèche, me sers de mon nez, aussi , de temps à autre,
pour farfouiller dans sa chair ouverte, trempée, vibrante
mais nous sommes trois dans le lit,
je le sens maintenant qu’il vient placer son sexe sur le côté de mon visage,
il essaie de le glisser vers elle, jusqu’à dans elle
son braquemart durci frotte mes lèvres maintenant,
il est presque là, son gland a déjà sa humidité sur lui,
son dard, désormais, se mêle à nos deux orifices collés l’un contre l’autre,
s’y ai fait un peu de place
c’est sa hampe qui est désormais tout contre ma bouche
il est parvenu à enfouir, un peu de son sexe en elle,
j’écarte un peu la tête,
de façon à ce qu’il puisse bouger en elle,
elle le sent, son gros gland,
comme un bathyscaphe qui s’apprête à partir en plongée
elle est prise de frissons, de plus belle,
je me positionne de manière,
à pouvoir leur donner des coups de langue, à tous les deux,
quasi en même temps
comme j’aime sentir leurs sexes entremêlées,
avoir la tête pratiquement collée dessus,
je n’en perds pas une miette, je suis aux premières loges,
c’est le royaume de la sueur, du foutre féminin, du mucus,
des muscles qui se contractent,
des ahanements et des gémissements,
cela pète même de temps à autre, un peu,
des poils aussi, ils ont tous les deux des poils, pour mon plus grand bonheur,
rien de glabre par ici,
royaume animal qui s’assume
il commence à faire des léger va et vient avec le gland, un peu en elle,
j’essaie de placer ma bouche,
de façon à ce qu’à chaque aller retour,
sa hampe circule entre mes lèvres
et que je puisse la frotter avec la langue
comme il est très grand et très mince, avec des bras très longs,
il parvient à glisser deux doigts dans mon cul,
il commence à jouer avec dedans,
on se contorsionne, on fond nos chairs tant bien que mal, ensemble,
j’ai un sein à elle, dans une main,
avec l’autre, je caresse son torse velu, à lui,
j’ai deux coeurs, pratiquement, sous les doigts,
l’un comme l’autre, battant la chamade
il arrête les mouvements avec sa bite,
j’en profite pour approcher ma bouche de la chatte entrouverte,
avec le gland comme au nid, dedans, à peu près,
d’un même coup de langue, je parviens à lui lécher un peu la vulve et son gland à lui,
je passe de l’un à l’autre, sans arrêt,
ils gémissent de concert,
lui a ses doigts toujours enfoncés en moi,
il les bouge de temps à autre
mais les retire pour se saisir de mon pénis,
commence tantôt à le caresser doucement,
tantôt à le serrer bien fort
il enfonce, à nouveau, un peu plus son gland en elle,
en réponse, elle frémit de la tête aux pieds,
ma langue n’a plus accès au bout de son sexe
mais je me rattrape sur la hampe durcie,
je la lèche, centimètre par centimètre,
elle est toute humide de ma salive et du foutre féminin,
je l’entrevois qui brille,
comme la peau de son sexe turgescent, est douce,
on dirait du feutre chaud
quelle fournaise, comme c’est gluant, par ici,
comme c’est compressant, aussi, j’ai du mal à respirer,
tellement ma tête est coincée entre ses cuisses écartées, son sexe grand ouvert
et puis son bassin et son dard, à lui
et puis toujours ces incroyables odeurs d’excrétions fauves, animales
qui me prennent à la gorge, qui m’étourdissent,
l’ai l’impression d’être dans l’antre d’un animal sauvage
cela bouge de plus en plus,
je retire ma tête, cela commence à trop cogner et à trop serrer, là-dedans,
je le vois éjaculer,
son sperme ressort d’elle,
il s’est un peu éloigné, je me rapproche à nouveau,
je lape son vagin, le liquide laiteux, chaud qui en sort
les poils sont tout entremêlés dessus, tout gluant, collés ensemble
je gobe son sexe à lui, maintenant,
je le nettoie très consciencieusement, avec la langue,
tandis qu’elle se retourne complètement soudainement
et en un instant,
j’ai la bouche en face, désormais, de son cul
avec l’ouverture toute ridée concentriquement de son anus, tellement adorable
il est passé , il y a pas longtemps, avec son braquemart, longuement, là-dedans,
il en est encore tout élargi,
je crois deviner la forme de sa pine à lui,
avec ses nombreux allers et retours qui a imprimé sa forme , momentanément
comme j’aurai voulu me glisser là-dedans,
en même temps que le dard qui s’y enfonce,
le tenant comme si j’avais saisi la nageoire d’un dauphin
et plonger, être entraîné, entre ces deux fesses magnifiques,
balloté , en même temps, par ses coups de rein, à lui
et par ses ruades, ses soubresauts, ses contractions, à elle
21 janvier 2023 à 10 h 14 min #45280bzoParticipantje suis assis à mon bureau, les pieds sur la table,
couvert de mon immense peignoir, acheté récemment,
il fait encore frisquet, j’éteins toujours les chauffages, complètement quand je dors
et il a fait bien froid sur Bruxelles,
des températures négatives, dehors, tout le long de la nuit,
et encore maintenant
mais les radiateurs sont rallumés, à puissance maximale,
cela devrait se réchauffer peu à peu
un endroit, très certainement
où la température est déjà bonne, actuellement, je le sens,
c’est entre mes cuisses,
mes génitaux sont comme au nid, bien enveloppés,
je les sens comme des chatons heureux, ronronnant,
mon sexe a légèrement durci,
sous l’effet des mouvements des jambes que je provoque,
en frottant les pieds, l’un contre l’autre
et puis je lance de régulières contractions que je maintiens un peu,
qui font réagir immédiatement ma prostate
la tension dans les muscles du périnée,
se propagent vers les couilles, la bite,
provoquant un léger déplacement de tout le paquet,
compressé entre mes cuisses
des ondes génitales, ainsi, générés,
viennent se mêler, s’amalgamer, aux ondes prostatiques,
nées, une fraction de seconde, avant
sensation tellement délicieuse,
l’impression d’avoir une éponge imbibée de soie, bien chaude, entre les cuisses
qui au moindre mouvement, à la moindre pression,
se met à dégouliner, à répandre sa chaleur soyeuse, ondulante, frémissante,
aux alentours
tout doucement, je suis de plus en plus excité,
bien que je sois, en même temps, en train de faire ma consultation matinale d’internet,
ça va, le monde est encore là,
il n’a pas disparu pendant mon sommeil,
toujours à feu et à sang, quelques massacres à gauche, à droite,
des femmes en pleurs, des enfants affamés,
des guerriers toujours convaincus de leur mission de tuer tout ce qui bouge,
tout est bien là, ce cher monde,
à la fois, tellement détestable et magnifique
de temps à autre, je ferme les yeux,
juste dégustant les ondes qui nagent en moi,
je les sens qui sortent, par moments, de mon bassin,
venant se répandre plus haut,
imbibant d’ineffable, les cellules, au passage
oh comme c’est jouissif,
quel bien-être, quelle sensation épanouissante, instantanément,
c’est le paradis, pour l’instant, en moi,
la mort viendra un jour,
c’est le plaisir qui me déposera entre ses bras, j’espère,
qui sait, pendant un instant,
je sentirai, peut-être, tout l’univers autour de moi,
du fond des mers jusqu’au fin fond des galaxies
et tout ce qu’il y a entre,
comme se stabiliser ineffablement, se pacifier intégralement,
flotter sur un océan majestueux de nectar,
avant de m’éteindre complètement
je ne vais pas encore me caresser,
mes mains sont trop froides pour cela,
je ne me sens pas encore vraiment en train,
suis encore à moitié endormi,
alors je reste ainsi,
juste bougeant des hanches, des cuisses, des pieds,
avec les doigts sur la souris et les yeux rivés à l’écran
les jambes sur la table
et le bassin baignant dans de la volupté matinale
21 janvier 2023 à 16 h 50 min #45281PetitsPlaisirs76ParticipantBonjour
mais nous sommes trois dans le lit,
Bigre une partie à trois !! ça en fait des doigts et des orifices.
Pendant que tu farfouillais la chatte poilue et odorante de la Dame, il pouvait facilement dilater ta rondelle, tu as eu de la chance !! ou pas.
Ce soir je vais me refaire le film avec un god lubrifié sur la table de nuit, on ne sait jamais…..Bonsoir
21 janvier 2023 à 18 h 58 min #45283bzoParticipantc’était un texte de fantasme, j’aurai peut-être du le préciser
21 janvier 2023 à 22 h 06 min #45284PetitsPlaisirs76Participantc’était un texte de fantasme, j’aurai peut-être du le préciser
C’est bien comme ça que je l’ai pris, c’est tellement plus érotique que la réalité.
A+
22 janvier 2023 à 2 h 20 min #45285bzoParticipantet hop , encore un texte
il était en train de dormir,
il faisait très chaud, c’était l’été,
je le remarquais par la porte de la chambre à coucher, grande ouverte,
couché sur le dos, une légère toile le couvrait,
je le devinais nu, tout entièrement
mon regard le parcourut lentement,
il était jeune, grand , musclé, d’aspect sportif,
il avait un air décidé mais serein, perdu dans ses rêves,
mon attention fut attirée par la bosse de la toile,
à hauteur de ses reins,
petit monticule, on devine le contour du sexe au repos,
cela a tout de suite commencé à m’attirer irrésistiblement,
il faut que j’aille évaluer tout cela, de plus près,
malgré les risques,
s’il se réveille,
je pourrais toujours dire que je voulais jeter un coup d’oeil par la fenêtre,
sans vouloir le déranger dans son sommeil
le désir s’est allumé tout de suite en moi,
à la vue de ce beau corps assoupi,
je m’approche tout doucement,
il a l’air très très profondément endormi,
cela m’encourage dans mon périple, à me rapprocher toujours plus,
le plancher craque fort jusqu’au lit
mais ne provoque aucune réaction de sa part
je suis près du bel affalé, à présent,
j’effleure son visage de la main, je passe un doigt entre ses lèvres,
les entrouvre un peu, il ne bouge pas,
je me penche au-dessus de lui,
sors mon sexe du maillot de bain
et le pose contre sa bouche,
glisse un peu le gland, à l’intérieur, tout doucement ,
je sens sa langue râpeuse, à présent, contre ma peau,
je bande de plus en plus fort,
cela fait entrer de plus en plus mon sexe dans sa bouche
même pas besoin de le bouger,
il entre tout seul, il connait le chemin
je suis surexcité de le voir ainsi, avec ma trique, enfouie entre ses lèvres,
à tel point que j’éjacule quasi tout de suite,
je ressors très lentement mon sexe,
pas de geste, de mouvement, brusque,
pas troubler son sommeil, il a l’air de faire de beaux rêves
je descends plus bas,
mon visage est désormais, à hauteur de ses reins,
à hauteur, pour être plus exact de la protubérance que j’avais repérée depuis la porte,
qui m’avait fait entrer, risquer l’aventure,
avec des envies de pine au bois dormant
je la frotte avec le bout des doigts, à travers le tissu léger ,
je fais des petits mouvements concentriques dessus,
je rebande de plus belle,
la toile est si légère, si moulante,
de près, on devine bien toute la masse de son pénis, au repos,
sa forme se dessine si bien,
j’approche ma bouche, je le lèche à travers le mince coton,
le titille avec la langue,
cela semble commencer à lui faire de l’effet,
je vois les proportions de son pénis changer,
s’agrandir , petit à petit,
belle trique, j’avais deviner juste
j’en suis le contour, avec la langue,
maintenant qu’elle est bien raidie, sous la toile,
celle-ci devient de plus en plus humide avec ma salive
et lui colle au braquemart, de plus en plus,
le tissu en devient, aussi, de plus en plus transparent
et son sexe se devine toujours plus,
comme j’ai envie de le happer, de l’engloutir,
de le lécher, de le manipuler, sans me retenir
mais pas le réveiller, je ne le connais pas,
je ne sais pas quelle serait sa réaction,
je soulève tout doucement, très lentement, la toile,
pour dévoiler la bête,
la voir, à la lumière de ce glorieux jour d’été, dans toute sa splendeur
et lui donner quelques coups de langue,
goûter à sa peau, bien lui nettoyer le sexe
c’est risqué mais je ne peux y résister,
advienne ce qui adviendra,
si je vois qu’il ne réagit pas,
je goberais même son gland, bien profond,
le bercerais de ma chaleur et de ma salive, dans la bouche
je jette un coup d’oeil à son visage,
il a un vague sourire béat qui se dessine sur ses traits
mais il n’a pas l’air réveillé, pour un sou,
toujours perdu dans ses rêves
ça y est, j’ai réussi à enlever la toile de ses hanches,
son sexe presque complètement raidi, remonte bien droit vers son nombril,
j’approche mon visage,
remonte lentement la langue sur la hampe, centimètre par centimètre,
la parcourant sur toute sa longueur,
goûtant à sa sueur, vague goût d’urine, aussi,
atteint le gland, tourne un peu dessus,
commence à lécher son méat,
il est complètement raide, cette fois,
belle pine, au garde à vous,
comme j’aurai envie de ne plus retenir mes gestes
mais prudence,
n’éveillons pas la belle au bois dormant
mais à la pine bien raidie
goutons à sa gaule, avec mille précautions
il ne bronche pas, sommeil de plomb,
cela fait mon affaire,
j’ai son gland à présent , bien au chaud, dans ma bouche
et je joue avec la langue dessus, lentement,
je n’ose pas le caresser, en plus, ce serait trop, je le sens,
cela risquerait de le réveiller
je me demande si ce que je suis en train de lui faire,
influence ses rêves,
clairement physiquement , cela lui fait de l’effet,
mais est-ce que j’ai aussi une petite place dans ses rêves,
sans qu’il s’en rende compte,
peut-être a-t-il un rêve érotique?
peut-être qu’il rêve que quelqu’un est en train de lui faire une fellation?
peut-être qu’il rêve qu’il vole sur un tapis volant,
que l’océan l’emporte
sa queue a des soubresauts de plus en plus,
il finit par éjaculer, trois longs jets que j’avale goulument,
je repose tout doucement son sexe,
encore complètement raide, sur son ventre,
le soutenant des lèvres,
puis m’éloigne un peu pour jeter un long coup d’oeil, dessus,
encore deux jets de sperme en sortent à retardement,
vont s’étaler sur son ventre,
presque jusqu’à son nombril,
je n’y résiste pas , je vais les laper consciencieusement,
ne laisser aucune trace du cambriolage sexuel,
ni vu, ni connu,
Arsène Lupine
je remets sur lui, la fine toile de coton,
le recouvrant complètement, à nouveau
et je m’éloigne,
dans l’encadrement de la porte, je me retourne,
plonge encore le regard sur lui,
il bande ferme toujours, je le vois à travers le tissu,
je me retiens d’y retourner pour recommencer mon manège
22 janvier 2023 à 9 h 55 min #45286PetitsPlaisirs76ParticipantBonjour,
bzo a écrit:
je suis surexcité de le voir ainsi, avec ma trique, enfouie entre ses lèvres,
à tel point que j’éjacule quasi tout de suite,../..
sa queue a des soubresauts de plus en plus,
il finit par éjaculer, trois longs jets que j’avale goulument,Hummm!! Le sperme coule chaudement….
L’ abstinence peut-être ???
Perso, ce soir, me caresser le gland et m’arrêter juste avant l’écoulement si érotisé risque d’être plus difficile.
Je ne te dis pas merci.A+
22 janvier 2023 à 10 h 46 min #45287bzoParticipantle sperme coule très chaudement avec l’abstinence,
magnifiquement chaudement,
je dirai même
de fait, il n’arrête pas de couler,
dans ma tête, dans mes veines, dans mes muscles, dans mon cul,
dans mon sexe, même
je le retiens, sans trop de problème, de sortir au grand jour
puisque je ne regarde jamais de porno
et que je me procure beaucoup de plaisir non pénien,
mais pas d’exploser intérieurement
d’exploser délicieusement, intérieurement, partout en moi
j’en suis éclaboussé de partout, dans ma chair, dans ma tête,
des jets invisibles de sperme qui font fontaine, de tous côtés, en moi,
ça explose à répétions, ça explose en rafale, ça explose par vagues,
dans les années 70, il y avait la révolution permanente,
chez moi, en 2023, il y a l’éjaculation intérieure, permanente, instaurée
il y a une colonne de chair raidie, constamment, quelque part en moi,
le désir arrange cela pour moi, en moi,
comme une lance d’incendie qui cherche à éteindre un feu
et pour cela qui n’arrête pas d’éjaculer,
une vraie fontaine
faut dire, qu’elle croit être enfouie,
dans la plus belle des chattes entrouvertes, humides,
aux lèvres de soie chaude, frémissantes, enveloppantes,
qui n’arrêtent de bouger, d’onduler, autour de sa hampe incandescente,
de s’entrouvrir et de se refermer, avec des petits mouvements,
ondulant lascivement sans fin,
invitant à la goûter, de plonger toujours plus profondément en elle,
de goûter à ses sinuosités velouteuses qui dansent tellement langoureusement,
pressant , caressant, frottant, imbibant, ses cellules turgescentes
casse-noisette galactique, intersidéral, intersidérant,
sur toute la longueur de sa hampe
qui n’est plus qu’un tuyau de chair empli de lave circulant ineffablement,
et qui lâche bordée sur bordée,
encore et encore, encore et encore, encore et encore,
la vie dans la galaxie de la volupté,
du nectar emplissant la chair, de ses vagues,
roulant ses étoiles de soie, dans le sang
couple intérieur, en action, le yin et le yang,
énergies accumulées,
il y en a dans toutes les armoires,
tous les tiroirs en débordent, de plus en plus, jour après jour,
ça dégouline de partout, ça déborde de partout,
pas moyen de bouger le petit doigt un peu lascivement,
sans en mettre un océan en branle,
qui se met à frotter les alentours, inlassablement
22 janvier 2023 à 11 h 19 min #45288bzoParticipantchez moi, tout seul,
un instant, je me fais sodomisé divinement,
par une belle trique qui bouge en moi,
l’instant d’après,
je suis en train de lécher une chatte, collée à ma bouche,
tenant un braquemart dressé, dans chaque main,
je copule quand je veux, comme je veux, avec qui je veux,
me sentant à la fois homme et à la fois femme,
tantôt plus l’un, tantôt plus l’autre
mais surtout l’autre,
la puissance sexuelle, étant tellement plus du côté du féminin
et notre chair a tout cela en elle,
a tout le répertoire des sensations en elle,
peut tout faire monter sur les planches,
toutes les jouissances possibles et imaginables
à ce rythme, bientôt, j’arriverai même à copuler avec un arbre,
avec un nuage, avec une fleur
mais en attendant, chez moi, j’ai institué en moi, la partouze permanente,
tantôt céleste, raffinée, délicate, sophistiquée à l’extrême,
tantôt, bien crue, avec de la muqueuse, du sperme, des odeurs d’urine qui traînent,
sur les lèvres, sur les hampes,
des mouvements de bucheron qui cognent de toutes leurs forces, dans tous les orifices,
des allers retours frénétiques, des ahanements plaintifs, des grognements d’animaux en rut
je ne l’imagine pas, tout cela, jamais un seul instant,
je le vis, je le sens, avec la complicité de ma chair,
avec le féminin qui s’éveille en moi
avec le masculin qui vient à sa rencontre,
c’est la folie absolue là-dedans, quel délice,
tout est permis, tout peut se passer,
le prestidigitateur est invisible
mais son haut de forme, il y a toutes sortes de choses qui en sortent,
qui courent dans toutes les directions, ineffablement
22 janvier 2023 à 11 h 29 min #45289bzoParticipantdeux textes, l’un après l’autre, dans la matinée
trois si je compte celui-ci que je suis en train d’écrire
au plus le désir est chaud en moi,
la seule chose que je parvienne, de plus en plus,
à part me donner du plaisir,
à me laisser emporté par la volupté et la jouissance,
c’est d’écrire après, pendant, avant
les deux activités semblent s’emmêler, chez moi, intimement,
les mots depuis le clavier, vers l’écran
et puis mon corps en folie, ma chair en flammes,
mes doigts qui ne peuvent se retenir d’aller et venir sur la peau,
mes hanches de bouger lascivement,
des contractions de monter
j’aime tellement m’entendre gémir , encore et encore,
de les sentir aussi, monter depuis mes tripes,
passer à travers ma gorge, sortir de ma bouche
j’adore saisir mes seins,
les caresser, les pétrir, les frotter,
titiller les pointes,
danser des hanches, sentir mon sexe, durcir, se ramollir,
des gouttes en sortir, comme un petit robinet qui fuit,
constamment avec l’excitation permanente
les mots, aussi, n’arrêtent pas de sortir de moi,
comme une éjaculation permanente,
accompagnant le plaisir chez moi, irrésisitiblement
mais avec tout ceci, je n’ai rien foutu de ma matinée,
alors que je voulais avancer dans mes bricolages,
c’est assez catastrophique de ce point de vue
et l’après-midi, je suis parti en visite chez des gens
hier idem, déjà, rien foutu,
ah la la, mais c’est trop fort, trop bon, tout cela,
j’ai le cul tellement qui me démange,
la prostate qui vibre en permanence,
la peau qui pétille comme du champagne, dès qu’on la touche
et puis des mots dans ma tête qui viennent pour célébrer tout cela
comment résister?
pourquoi résister?
mais j’ai des devoirs aussi,
hum, pas trop heureusement,
vive le plaisir, vive le sexe, vive le féminin,
vive les érections, vive les fellations, vive les cunnilingus,
vive les 69, les anus emplis de sperme
22 janvier 2023 à 11 h 42 min #45290bzoParticipantje me relis même plus ou à peine,
tellement cela sort par jets en continu
bon j’arrête, cette fois,
je n’ai même pas encore pris mon petit déjeuner
22 janvier 2023 à 12 h 01 min #45291bzoParticipanttechniquement, on pourrait diagnostiquer
que ma chair et mon cerveau,
sont envahis d’une sorte d’hystérie sexuelle,
qui affecte mes sens, ma perception, mes émotions, mon ressenti
mais ineffablement,
donc je ne me plains absolument pas, pas une seconde
cela jouit beaucoup là-dedans
et il y a des tonnes de volupté qui passe dans les tuyaux
idem pour les mots,
cela gicle sans arrêt, je ne peux pas me retenir pour l’instant,
je ne me relis même plus quasiment,
je couche cela sur l’écran comme cela vient
mais cela semble venir de ma prostate, de mes tripes, de mon sexe, de mon bassin,
de ma peau, de mon sang
et cela caresse ineffablement au passage, en sortant,
donc, là aussi, que du bonheur,
aucune raison de se retenir
tant pis les bricolages attendront,
l’après-midi, visite à ma vieille mère
et puis quelques amis,
pas exagérer tout de même,
après ce ne sera que plus délicieux, quand je serai rentré,
j’imagine déjà la première caresse, le premier mouvement de bassin,
la première contraction,
après plusieurs heures , sans rien qui s’est passé dans ma chair,
oh j’en jouis déjà
22 janvier 2023 à 12 h 10 min #45292bzoParticipantoh comme je suis en pleine forme,
je chantonne dans la cuisine, j’effectue des pas de danse, je me déhanche,
décidément, le plaisir à gogo,
la volupté et la jouissance, par flots dans la chair,
cela vous décrasse les tuyaux, on se sent un nouvel homme,
on se sent souple, on se sent jeune,
on se sent prêt à croquer à pleines dents, la vie et les instants qui passent
22 janvier 2023 à 12 h 28 min #45293bzoParticipantPerso, ce soir, me caresser le gland et m’arrêter juste avant l’écoulement si érotisé risque d’être plus difficile.
un petit conseil,
pas avec la main,
avec, l’excitation monte toujours trop rapidement,
surtout si on a déjà quelques jours d’abstinence , derrière soi
et en plus, il est vraiment difficile de ne pas aller jusqu’au bout,
cela demande un effort surhumain de la volonté,
un vrai crève-cœur, une frustration, de fond en comble
mais avec les cuisses
qui pressent dessus, qui frottent les génitaux, les effleurent, les titillent,
tu obtiens des effets beaucoup plus riches, plus variés
et on peut faire durer quasi indéfiniment,
en balançant avec des contractions qui génèrent des ondes prostatiques,
qui ont un effet contre-feu, un effet extinction du plaisir pénien
pour déguster juste un mix d’ondes génitales et d’ondes prostatiques,
sans même que la queue se raidisse, au bout d’un certain temps,
quand on a de la pratique
mais il faut bien laisser aller ses hanches ,
laisser le désir s’emparer d’elles,
bien laisser un rythme langoureux nous imprégner,
nous emporter
22 janvier 2023 à 16 h 26 min #45294PetitsPlaisirs76ParticipantMerci pour le conseil, je vais essayer. De toute façon depuis que je m’intéresse au plaisir prostatique et que je te lis, j’ai pris conscience que la non-éjaculation pénienne maintenait la “chaudière” sous pression
et que le plaisir pouvait repartir rapidement au point de devenir un peu addictif.bzo a écrit:
faut dire, qu’elle croit être enfouie,
dans la plus belle des chattes entrouvertes, humides,
aux lèvres de soie chaude, frémissantes, enveloppantes,
qui n’arrêtent de bouger, d’onduler, autour de sa hampe incandescente,
de s’entrouvrir et de se refermer, avec des petits mouvements,
ondulant lascivement sans fin,
invitant à la goûter, de plonger toujours plus profondément en elle,
de goûter à ses sinuosités velouteuses qui dansent tellement langoureusement,
pressant , caressant, frottant, imbibant, ses cellules turgescentes
Très joli passage au point que j’imaginais y être moi aussi, dans cette chatte.
Érotique soirée.
23 janvier 2023 à 17 h 35 min #45295bzoParticipantce plaisir en mode yin,
le couple intérieur en action,
a quelque chose de tellement délicieusement,
de tellement radicalement,
troublant,
quand on le laisse prendre les commandesà quel point,
les frontières de notre identité sexuelle,
s’effacent complètement,
à quel point,
on peut se sentir femme, par moments,
tout en se sachant, tout en se sentant, homme,
aussi, constammenttout en ayant, aussi, en tout cas, c’est mon cas,
aucun problème, par ailleurs,
avec mon identité sexuelle au quotidien,
juste un désir de la questionner, de la faire progresser,
d’en troubler un peu les frontières,
afin de la rendre plus souple, plus ample, plus confortable,
à porter au fil des joursun désir,
de liberté dans le désir et de désir dans la liberté,
de désir, dans toute sa splendeur,
de désir, dans ses derniers retranchements, ponctuellementun désir, de complicité avec son corps
et de complicité avec le corps des autres,
de désir sous tous ses angles,
toujours plusà quel point, par moments, dans notre intimité,
certains, on peut avoir des envies de va et vient, entre les reins,
de chair turgescente et chaude, s’introduisant en nous
fouillant en nous, labourant en nous,
ne pas avoir honte, assumer, accepter de s’embraser, ainsi
et de continuer à désirer la femme, plus que jamaiscomplètement omnivore,
capable avec des hommes, capable avec des femmes,
en assumant les deux genres,
aussi bien avec les uns qu’avec les autres,aimez qui vous voulez, qui veut de vous,
aimez comme vous avez envie d’elle ou de lui,
comme il ou elle, a envie de vous,
élargissons au maximum, notre capacité à nous unir,
notre capacité, de chair à chair, à communier dans l’instant,
vibrer, ressentir, sur tout le spectre,
l’incandescence,
de toutes les manières, possibles et imaginables23 janvier 2023 à 23 h 35 min #4529723 janvier 2023 à 23 h 42 min #45298bzoParticipantce soir, je suis exclusivement en mode dégustation,
cela veut dire que je ne touche ma peau,
que par des effleurements,
essentiellement avec les bouts de doigt
mais éventuellement avec toute la paume ou encore la tranche de la main,
enfin n’importe quelle part
mais uniquement avec de fins contacts
c’est spécial, ainsi,
il y a une telle variété, une telle richesse,
c’est confondant de finesse et de précision, aussi,
les sensations , ainsi obtenues
la tension sexuelle ne monte pas beaucoup, non plus,
il y a vraiment moyen de bien la contrôler,
les doigts semblent comme les cochers d’un attelage
qui ralentissent ou accélèrent, à volonté, l’allure de l’ensemble,
au doigt et à l’oeil
mais, il y a aussi le fait,
que ce sont relativement plus, les ondes prostatiques qui sont favorisées, ainsi,
plutôt que les génitales ou les anales,
pas sûr à quoi cela tient, exactement,
l’impression que c’est une question de longueur de vibration,
que leur relative brièveté, du fait d’un contact moins massif, moins long, aussi, sur la peau,
favorise la variété, la finesse, la précision
mais aussi l’amalgame, avant tout, avec des ondes prostatiques,
plutôt que les anales ou les génitales
le fait est que si je veux favoriser , durant un moment
ou durant toute une séance, les ondes génitales
et une tension sexuelle s’accroissant fortement, rapidement,
je vais plutôt me caresser avec toute la main, plein contact, sans rien retenir
alors que si je veux favoriser les ondes prostatiques, lors de l’action,
je vais y aller uniquement avec de légers effleurements,
les doigts qui semblent filer comme des ballerines sur la peau
d’ailleurs quand je suis en prostatique, seul, à 100%,
j’y vais uniquement avec des effleurements,
je sens tellement que cela s’accorde mieux , ainsi,
que les ondes prostatiques peuvent voyager mieux en moi,
bien plus facilement
les ondes générées par les doigts sur la peau,
semblent les mettre en valeur, semble les favoriser
et je sens une splendide qualité de sensations en moi, constamment,
c’est comme si toutes les ondes jaillissaient comme des vibrations de cristal,
c’est confondant de finesse et de légèreté
l’impression d’avoir de la lumière frémissante qui voyage partout en moi
23 janvier 2023 à 23 h 45 min #45299bzoParticipantah salut @modeyin,
cela fait plaisir
eh oui, nos parcours sont très proches, à bien des égards,
aussi étonnant que cela puisse paraître,
avec des pratiques, aussi rares, aussi spécifiques
24 janvier 2023 à 20 h 27 min #45304bzoParticipantje suis un grand fan des savons sur-gras,
je ne suis pas vraiment un spécialiste
mais celui de la marque française Pure Aloe, au aloe vera,
je le trouve, juste, parfait
sous la douche, après m’être bien humidifié,
je me mets un peu sur le côté
et je m’en enduis méticuleusement et amplement, les génitaux,
après si l’on prend soin de rester un peu à l’écart de l’eau,
pendant de nombreuses minutes où je laisse mes cuisses jouer avec les génitaux,
ceux-ci se dérobent, glissent, patinent, virevoltent, jaillissent,
effets délicieux garantis
d’abord, rien que ce jeu et après quelques minutes,
je vais y joindre le bout de mes doigts,
je les laisse gambader sur ma peau,
m’attardant plus spécialement sur le bout des seins,
les titillant, les tripotant,
j’enclenche mon bassin, aussi,
je passe en mode liane lascive,
je me balance, j’ondule, de plus en plus lascivement
oh que de ravissants moments
puis je retourne sous la douche,
la caresse des millions de gouttes d’eau chaude, sur ma peau,
relever la tête, se cambrer,
sentir les filets d’eau dégouliner sur son corps,
se caresser, enfoncer un doigt ou deux, dans son anus,
le fouiller un peu
mon cher corps, comme la vie est belle,
comme la volupté, est un cadeau des dieux
et puis après, avec ce savon divin,
on a la peau toute douce et légèrement odorante,
on a encore plus envie de se caresser,
de jouir et encore de jouir
25 janvier 2023 à 9 h 01 min #45305bzoParticipanton peut donc accueillir,
faire vivre, ponctuellement, les deux sexes, en soi,
dans sa chair,
même si on est juste un hétéro de base,
j’en suis la preuve vivante
well, plus ou moins, hétéro de base,
avec quelques tendances divergentes, tout de même,
depuis toujours,
je vous entends, ok, d’accord,
beaucoup de tendances divergentes, désormais ,
que j’ai laissé se développer, pousser librement, depuis quelques années
me suis sacrément libéré, ouvert, d’esprit et de corps,
fait fi de tous les tabous, peu à peu,
en empruntant le chemin
des pratiques non péniennes, dans mon coin,
les développant bien au-delà
de ce que jamais j’avais envisagé,
de ce que j’avais imaginé, possible
il n’empêche, je me comprends,
j’ai développé cela, à partir de rien,
c’est artificiel, quelque part, tout de même,
cela ne correspond à aucun autre besoin, chez moi
que de juste vivre une expérience extraordinaire,
des sensations hors normes,
des moments somptueux
je gigote mon cul lascivement et me caresse les seins à pleine main,
non pas pour m’accorder à ma personnalité profonde
mais parce que je suis un gars qui a su sauter sur une opportunité
d’éveiller des choses étonnantes, en soi
mais comme je suis bien, ainsi,
quand la volupté m’emporte,
que les frontières de mon identité sexuelle s’effacent,
incandescence si particulière, si addictive,
moments si jouissifs,
il me faudra une compagne qui accepte cela,
avec laquelle je pourrai jouer, à toutes sortes de jeux
où notre genre à chacun, n’en définit pas les limites
il faudra bien un jour,
que je fasse l’effort de retourner vers les femmes,
après des années passées, seul, dans mon coin,
en suis-je encore capable?
là est la question,
la question délicate
à aucun moment, je n’envisage de vivre avec un homme, en tout cas,
plutôt rester alors, tout seul,
autant je me vois sucer des bites, me faire sodomiser, ponctuellement,
laisser le désir m’emporter dans cette direction, si cela le chante,
adorer le pal dressé, l’embrasser, le lécher, l’engloutir goulument,
recueillir sa semence, religieusement, dans ma bouche,
mais c’est juste du désir,
c’est au niveau de la chair que cela se passe uniquement, dans ces moments
mon coeur, contrairement à ma bite,
ne s’est jamais mis à frémir qu’à la vue d’une femme,
mon envie de saisir la main tendrement de quelqu’un,
de serrer cette personne contre moi, de poser ma tête contre la sienne,
de lui souffler des mots doux à l’oreille,
ne s’est jamais exprimée qu’avec une femme
tendresse infinie, envers elles,
en même temps que, désormais,
des envies de jeux coquins, sans limite, aucune,
alors qu’avec un homme,
ce sont juste des envies d’orifices en chaleur et de protubérances durcies à faire mousser,
des envies de sperme à faire couler à flots,
comme des bouchons de champagne, à faire sauter
25 janvier 2023 à 9 h 21 min #45306bzoParticipantmon sexe coule tout le temps,
il y a en moi, depuis que je suis réveillé aujourd’hui,
une sorte d’excitation permanente
qui fait que le moindre contact sur ma propre peau,
le moindre mouvement lascif des hanches,
la moindre contraction des muscles dans le bassin,
me fait gémir et m’envoie au septième ciel
deux, trois, mois que je suis sans éjaculer,
le résultat devient de plus en plus magique,
je me sens incroyablement puissant,
je me sens des ailes dans le dos,
je me sens comme assis sur un tapis volant,
prêt, au moindre signal de ma part, à s’envoler dans les airs
25 janvier 2023 à 13 h 31 min #45307PetitsPlaisirs76ParticipantSalut
bzo a écrit
que les frontières de mon identité sexuelle s’effacent,incandescence si particulière, si addictive,
moments si jouissifs,
il me faudra une compagne qui accepte cela,
avec laquelle je pourrai jouer, à toutes sortes de jeux
où notre genre à chacun, n’en définit pas les limites
Marié depuis 50 ans, il y a 10 ans et pendant 10 ans, médication oblige, j’ai bandé mou, rarement dur et jamais quand il le fallait.
Notre sexualité a continué et s’est adaptée, de fait elle s’est plus “féminisée”, pas pour me déplaire, tes tenues plus fines, plus douces,pas pour déplaire à Madame, des mains plus caressantes,
plus curieuses, des doigts plus pénétrants,pas pour nous déplaire des sextoys pour les 2 genres.
Résultats, autant d’orgasmes pour Madame, pour moi un plaisir plus “yin” en provoquant et voir le plaisir de l’autre.
Des fellations plus longues sur un membre mou tout en se faisant mettre un doigt.Des parties à trois (gode) en n’étant que deux.
Dans un vieux couple où il y a complicité respect et amour c’est peut-être plus facile.bzo a écrit
autant je me vois sucer des bites, me faire sodomiser, ponctuellement,laisser le désir m’emporter dans cette direction, si cela le chante,
adorer le pal dressé, l’embrasser, le lécher, l’engloutir goulument,
recueillir sa semence, religieusement, dans ma bouche,
mais c’est juste du désir,
c’est au niveau de la chair que cela se passe uniquement, dans ces moments
mon coeur, contrairement à ma bite,
ne s’est jamais mis à frémir qu’à la vue d’une femme,
Pareil, l’idéal pour moi, une verge dressée jusqu’au nombril sur un corps de femme.
A+
26 janvier 2023 à 0 h 56 min #45309bzoParticipantah comme je viens de jouir,
c’est encore dans ma chair,
en reflux, je sens que cela se retire,
comme c’était bon, comme c’était endiablé
on peut s’improviser un sexe à chevaucher,
vraiment avec n’importe quoi, quasiment,
en l’occurrence, ici, c’était le coin de mon bureau, en bois massif,
le coin légèrement arrondi,
que j’ai chevauché comme une vraie amazone
le bois me rentrait dans le cul,
je me frottais à lui, de plus en plus,
je le faisais entrer aussi loin que possible
et puis je me frottais, je me frottais, dessus,
sans rien retenir, sans aucune pudeur, ni tabou,
me pressait tout contre, de toutes mes forces,
essayant de le tordre, dansant, tournicotant, dessus,
toutes sortes de mouvements des muscles du coin,
pris dans des mouvements de bas en haut et de haut en bas,
en diagonale, en spirale, en zigzag, en tournevis,
en virage serré, en virage pas serré, en tournoyant, en toupie,
en grenade qui se dégoupille
rythme de plus en plus effréné,
à un moment, mes yeux se sont révulsés,
je voyais quelque part, ailleurs,
comme entre l’espace qui relie tous les objets,
je sentais bien mon anus incandescent
qui se frottait de plus en plus énergiquement contre le bois,
mes hanches semblaient comme montées sur ressorts,
je rebondissais comme un kangourou en rut sur le coin de la table
is je regardais ailleurs pour l’instant,
mon regard était pris dans la gueule du volcan,
pris dans la lave qui circulait en moi
mes mains entouraient les seins,
les compressaient, les tordaient un peu, les frottaient
les rudoyaient presque,
comme c’est bon de les saisir, de les chiffonner sans ménagement
et puis de laisser mes hanches, de plus en plus danser,
comme s’ils étaient pris dans des courants marins irrésistibles
et des vagues écumantes
27 janvier 2023 à 13 h 00 min #45317PetitsPlaisirs76ParticipantSalut
bzo a écrit
le bois me rentrait dans le cul,
je me frottais à lui, de plus en plus,
je le faisais entrer aussi loin que possible
et puis je me frottais, je me frottais, dessus,
sans rien retenir, sans aucune pudeur, ni tabou,
../..
je sentais bien mon anus incandescent
qui se frottait de plus en plus énergiquement contre le bois,
../..
mon regard était pris dans la gueule du volcan,Chérir le yin avec autant de ferveur, n’est-ce pas un peu aller vers une radicalité antiyang par le rejet de son membre, de sa virilité.
L’absence de plaisirs par devant, exacerbe les plaisirs par derrière, du derrière, au point de se frotter sur un saillant en quête d’une pénétration réelle et mentale.
Plaisant et intense, j’en conviens.Avant ou après un “orgasme” anal non éjaculatoire, il m’arrive pour prolonger ou commencer une session de “rouler” le prépuce sur le gland, le plus longtemps possible sans éjaculer.
Privilège de mon âge avancé, en y allant doucement le palier pré-éjaculatoire est assez loin.
Ce plaisir est complémentaire de l’autre, ils s’additionnent.
Peut-on dire que j’utilise le yin et le yang, vu que je n’éjacule pas.A+
27 janvier 2023 à 19 h 05 min #45319bzoParticipantje ne vois pas en quoi un bout de table en bois massif,
un bout de table bien sympa, pas bégueule pour un sou,
est plus problématique qu’un gode en silicone
personnellement, je préfère improviser dans l’instant,
avec le désir qui s’enflamme de plus en plus,
qui fait feu de tout bois ( du hêtre massif, en l’occurrence, ici)
et qui s’empare de toutes sortes d’objets,
les détourne de leur fonction première
c’est mon côté animal que je laisse s’exprimer,
comme un chien ou un chat en rut,
je me frotte contre toutes sortes de choses
mais oui, un coin de table,
c’est avant tout une question de chevaucher comme une amazone,
en bien se lâchant, faisant fi de toute retenue,
mais c’était moins de sentir le coin du bois, vaguement enfoncé en moi
que le pressage, le massage qui était fourni au périnée,
qui compte
le plaisir pénien, tout seul, ne m’intéresse pas,
même s’il y a des techniques qui permettent de le rendre bien plus intense,
je préfère mon mode yin en solitaire,
c’est nettement plus riche et plus varié
et l’intensité ne diminue jamais,
ne fait qu’augmenter avec chaque jour d’abstinence
sans même parler du plaisir prostatique
qui lui aussi en bénéficie,
je sens constamment ma prostate,
elle vibre comme un chaton à la moindre sollicitation
et je sens ses ondes voyager partout en moi,
dès la première contraction,
comme si j’avais donné un coup du doigt, sur un verre en cristal
28 janvier 2023 à 10 h 23 min #45320bzoParticipantj’aime tellement que mon plaisir,
soit constamment accompagné,
d’une sensation de puissante complicité,
avec mon corps
je crois même que c’est ce que je préfère,
sentir comme un lien avec lui,
une complicité sans faille,
une complicité, au plus intime de soi, avec sa chair,
une complicité dont la richesse et la variété du plaisir,
est la résultante
je cherche avant tout, à sentir ce lien, toujours plus
car il est la clef de la magie,
il ouvre toutes les portes,
il transforme le désir, constamment,
en quelque chose d’imprévisible, de miraculeux,
à vivre dans l’instant
cela peut devenir tellement sans limites, tellement fou
car notre corps a accès, aussi, à toutes les ressources de notre imagination,
il peut la manipuler à notre insu, comme il veut,
il peut, ainsi, tellement totalement, jouer avec la réalité,
dans l’instant qu’on est en train de vivre, de percevoir, de ressentir
vivre le moment, totalement, avec son corps,
vibrer dans l’instant,
des pieds à la tête et jusqu’au fond de l’âme,
avec lui
poser sa bouche dans la source,
dans le fluide évanescent qui scintille à la lumière,
être transporté, un instant
28 janvier 2023 à 10 h 35 min #45321bzoParticipantje ne le mérite pas encore assez,
je me rends compte,
il y a des obstacles qui se dressent,
encore ponctuellement, dans ma tête,
qui reviennent à la charge,
qui s’accrochent,
qui renaissent de leurs cendres
toutes sortes de débris charriés
qui alourdissent, qui obstruent,
de temps à autre,
or, il faudrait qu’il puisse se ruer,
sans rien qui entrave son passage,
son cours torrentueux,
à la fois, si irrésistiblement puissant
et si fragile
alors le ciel naîtrait et renaitrait,
dans mes cellules,
dans toute sa splendeur,
déploierait ses chapiteaux,
sans retenue
-
AuteurArticles
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.