Perso, ce soir, me caresser le gland et m’arrêter juste avant l’écoulement si érotisé risque d’être plus difficile.
un petit conseil,
pas avec la main,
avec, l’excitation monte toujours trop rapidement,
surtout si on a déjà quelques jours d’abstinence , derrière soi
et en plus, il est vraiment difficile de ne pas aller jusqu’au bout,
cela demande un effort surhumain de la volonté,
un vrai crève-cœur, une frustration, de fond en comble
mais avec les cuisses
qui pressent dessus, qui frottent les génitaux, les effleurent, les titillent,
tu obtiens des effets beaucoup plus riches, plus variés
et on peut faire durer quasi indéfiniment,
en balançant avec des contractions qui génèrent des ondes prostatiques,
qui ont un effet contre-feu, un effet extinction du plaisir pénien
pour déguster juste un mix d’ondes génitales et d’ondes prostatiques,
sans même que la queue se raidisse, au bout d’un certain temps,
quand on a de la pratique
mais il faut bien laisser aller ses hanches ,
laisser le désir s’emparer d’elles,
bien laisser un rythme langoureux nous imprégner,
nous emporter