#45406
Kas
Participant

Merci pour ta réponse Bzo.

Personnellement, dans l’état d’esprit dans lequel je suis aujourd’hui, je ne conçois pas la vie en tant que célibataire. Ça fait ressortir en moi une profonde tristesse.

Pour ce qui est du plaisir prostatique, je me demande si on ne pourrait pas faire un parallèle entre la progression de celui-ci et notre progression dans notre épanouissement personnel.

Par exemple, je sais que j’ai encore beaucoup de travail à faire sur moi même, car j’ai depuis très longtemps, un vide émotionnel à combler. Et je me demande si ma progression sur moi même n’irait pas de pair avec l’augmentation du plaisir. Comme si ma quête de ce plaisir était en réalité un profond désir d’être heureux et de se sentir bien en toute circonstance.

Comme si cet état de plaisir ultime dépendait directement de notre santé mentale et notre épanouissement personnel.

De ce que je comprend, tu prend plutôt le problème dans le sens inverse, et tu pense que ce plaisir peu venir combler le reste, et aider à être épanouis et à atteindre un bien être au quotidien ?