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bzo
Participant

Je ne pense pas que je vais cocher des cases sur un calendrier pour savoir quand j’aurai envie de me faire plaisir. Après ça sera au feeling !

en cela, je suis totalement de ton avis,

jamais bien compris, ce conseil d’espacer de plusieurs jours, les séances

 

j’ai lu le traité d’aneros mais je lis aussi vos témoignages et j’ai vu pas mal de tes messages. J’ai vu la finesse et l’étendue avec laquelle tu nous parles de tes plaisirs. Ça laisse suggérer qu’une plus grande liberté présage aussi d’un plus grand plaisir.

attention que je pratique d’une manière totalement différente du Traité,

oui, j’ai cherché la plus grande liberté possible, de laisser le désir s’exprimer le plus librement possible

mais ce n’est plus du plaisir prostatique, depuis pas mal d’années chez moi,

même si ma prostate est constamment sollicitée,

je mélange , je mixe, ondes prostatiques, génitales, anales, de tout le reste du corps,

 

j’ai eu mes deux premières années en massage prostatique, avec masseur, exclusivement,

là, aussi, je pratiquai différemment, juste faisais des aller retour, avec le masseur, au feeling,

plus ou moins, couché sur le dos, au lit,

avec de plus gros masseurs, comme le Progasm, le Vice

et mon préféré, à l’époque, c’était un de la gamme de Nexus, le G-Rider, mais sans le moteur

 

disons, que le Traité d’Aneros, propose une façon de faire

qui est plus une sorte de méditation, assez passive, du moins en apparence qui emmène vers un plaisir prostatique

mais il y a d’autres façons plus actives

que personnellement je préfère

car on a cette sensation de se faire l’amour,

j’aime me caresser, bouger les hanches,

aneroless, c’est la liberté totale de mouvements, de positions,

je pratique quasi jamais au lit,

un peu partout, debout, assis, couché,

en cuisinant, en pendant mon linge, assis à mon bureau,

je recherche plus vraiment les orgasmes

mais juste la volupté,  la richesse des sensations,

la sensation de se faire l’amour,

la complicité avec mon corps