il marchait dans la rue,
quelque chose de félin dans sa démarche, attira mon regard,
mes yeux , instinctivement, descendirent vers le devant de son jeans
qu’il avait très collant,
on devinait la forme de son sexe, sous la bosse de la toile,
il ne devait pas porter de slip,
s’était juste glissé nu, dans son pantalon
“cette bête au repos, me fait terriblement envie”, me suis-je dit
et je le suivis discrètement
après quelque temps,
il se dirigeât vers un de ses urinoirs publics, à ciel ouvert
dont il en existe encore quelques uns dans le centre de Bruxelles,
avec une odeur de vieille urine à s’évanouir, dès qu’on s’en approche de trop près,
il s’y engouffra
je vis qu’il n’y avait personne d’autre à l’intérieur,
ni aux alentours immédiats
aussi, je me suis dit un peu inconsciemment et témérairement,
voici mon occasion
lorsque que j’entrai aussi, il urinait déjà,
un jet fort et puissant, résonnait sur la pierre, en face de lui,
éparpillait des gouttelettes,
je me postai à côté de lui
et sans me gêner, me tournais de son côté
pour regarder par-dessus la petite séparation en métal
il était, ma foi, aussi massif que je l’avais supposé tandis qu’il marchait,
son sexe,
l’urine en sortait, formait un tas écumant , moussant, à ses pieds dans l’avaloir,
avant de s’écouler,
je continuais de le lorgner, sans me gêner,
il semblait se rendre compte de rien,
tout absorbé qu’il était à uriner dans un certain angle
pour ne pas se faire asperger des gouttelettes qui rebondissaient sur la pierre
dès qu’il eut fini, j’allongeais le bras et effleurais son sexe,
complètement surpris,
son cerveau s’arrêta de fonctionner, tétanisé par la situation,
n’osant même pas lever la tête,
j’en profitais pour le caresser plus hardiment,
mes doigts entouraient son pénis comme un fourreau mouvant,
le frottait lentement sur toute sa longueur,
il prenait déjà de la consistance, de l’épaisseur,
il grandissait à toute vitesse, en fait
et débordait, en deux temps, trois mouvements, de ma main,
avant même qu’il ait eu le temps de réagir
il leva enfin la tête vers moi, les yeux me suppliant d’arrêter et de partir
car à ce stade, l’excitation l’avait déjà tellement envahi,
qu’il n’avait plus la force de se rebeller et d’arrêter le processus,
aussi, il comptait sur moi pour sauver son honneur d’homme à femmes,
lui épargner la honte d’éjaculer dans la main d’un autre homme
je n’en fis rien, bien sûr
et voyant qu’il était tout à moi,
je serrai maintenant son gourdin sans aucune retenue
celui-ci prit sa taille définitive, se dressa magnifiquement,
je commençais à la secouer un peu, très fort,
pour lui ôter toute velléités de s’en aller
mais il resta sur place, les yeux fermés,
gémissant un peu, à chacun des allers et retours,
de ma main sur son braquemart
voyant que je n’avais plus à craindre que ma proie s’échappe
et jetant un rapide coup d’oeil aux alentours
pour voir s’il y avait quelqu’un qui se rapprochait,
je ralentis le tempo,
commençais à prendre mon temps pour cajoler la bête dans les règles de l’art,
jouais avec son gland, le titillant du bout des doigts, pressant, frottant
je fus tenté de me mettre tout à côté de lui et de lui faire une fellation éclair
mais c’était trop dangereux, du monde pouvait arriver à tout moment
et l’endroit, en plus, était dégoutant, l’odeur, infernale,
et je devais absolument rester debout pour faire le guet
et jeter tout le temps, des coups d’oeil à la ronde
dommage, dommage,
j’aurai adoré avoir dans ma bouche, son engin,
comme je l’aurai pompé, vidé, jusqu’à la dernière goutte
je lui caressais le sexe lentement
mais je vis un groupe de touristes qui se rapprochaient,
certains visiblement avec l’intention,
de venir visiter un lieu si typique et pittoresque de la ville, pour se soulager,
aussi j’accélérais, je le secouais maintenant à toute vitesse
et il se mordait les lèvres pour ne pas gémir trop fort
le coup parti, il lâchât un jet puissant
dont je recueillis une partie sur les doigts,
en les mettant devant son sexe saisi de soubresauts
les touristes allemands étaient presque arrivés,
je me frottais la bouche avec un peu de son sperme dégoulinant
et aussi la sienne, à sa grande consternation
il est devenu tout cramoisi tandis que deux teutons,
s’engouffraient dans la pissotière
mais eut la présence d’esprit de cacher son engin dressé
dont dégoulinaient encore quelques gouttes de sperme,
déjà je m’éloignais à toute vitesse,
essuyant le reste de son sperme avec un mouchoir en papier