#45691
bzo
Participant

il marchait dans la rue,

quelque chose de félin dans sa démarche, attira mon regard,

mes yeux , instinctivement, descendirent vers le devant de son jeans

qu’il avait très collant,

on devinait la forme de son sexe, sous la bosse de la toile,

il ne devait pas porter de slip,

s’était juste glissé nu, dans son pantalon

“cette bête au repos, me fait terriblement envie”, me suis-je dit

et je le suivis discrètement

 

après quelque temps,

il se dirigeât vers un de ses urinoirs publics, à ciel ouvert

dont il en existe encore quelques uns dans le centre de Bruxelles,

avec une odeur de vieille urine à s’évanouir, dès qu’on s’en approche de trop près,

il s’y engouffra

 

je vis qu’il n’y avait personne d’autre à l’intérieur,

ni aux alentours immédiats

aussi, je me suis dit un peu inconsciemment et témérairement,

voici mon occasion

 

lorsque que j’entrai aussi, il urinait déjà,

un jet fort et puissant, résonnait sur la pierre, en face de lui,

éparpillait des gouttelettes,

je me postai à côté de lui

et sans me gêner, me tournais de son côté

pour regarder par-dessus la petite séparation en métal

 

il était, ma foi, aussi massif que je l’avais supposé tandis qu’il marchait,

son sexe,

l’urine en sortait, formait un  tas écumant , moussant, à ses pieds dans l’avaloir,

avant de s’écouler,

je continuais de le lorgner, sans me gêner,

il semblait se rendre compte de rien,

tout absorbé qu’il était à uriner dans un certain angle

pour ne pas se faire asperger des gouttelettes qui rebondissaient sur la pierre

 

dès qu’il eut fini, j’allongeais le bras et effleurais son sexe,

complètement surpris,

son cerveau s’arrêta de fonctionner, tétanisé par la situation,

n’osant même pas lever la tête,

j’en profitais pour le caresser plus hardiment,

mes doigts entouraient son pénis comme un fourreau mouvant,

le frottait  lentement sur toute sa longueur,

il prenait déjà de la consistance, de l’épaisseur,

il grandissait à toute vitesse, en fait

et débordait, en deux temps, trois mouvements, de ma main,

avant même qu’il ait eu le temps de réagir

 

il leva enfin la tête vers moi, les yeux me suppliant d’arrêter et de partir

car à ce stade, l’excitation l’avait déjà tellement envahi,

qu’il n’avait plus la force de se rebeller et d’arrêter le processus,

aussi, il comptait sur moi pour sauver son honneur d’homme à femmes,

lui épargner la honte d’éjaculer dans la main d’un autre homme

 

je n’en fis rien, bien sûr

et voyant qu’il était tout à moi,

je serrai maintenant son gourdin sans aucune retenue

celui-ci prit sa taille définitive, se dressa magnifiquement,

je commençais à la secouer un peu, très fort,

pour lui ôter toute velléités de s’en aller

mais il resta sur place, les yeux fermés,

gémissant un peu, à chacun des allers et retours,

de ma main sur son braquemart

 

voyant que je n’avais plus à craindre que ma proie s’échappe

et jetant un rapide coup d’oeil aux alentours

pour voir s’il y avait quelqu’un qui se rapprochait,

je ralentis le tempo,

commençais à prendre mon temps pour cajoler la bête dans les règles de l’art,

jouais avec son gland,  le titillant du bout des doigts, pressant, frottant

 

je fus tenté de me mettre tout à côté de lui et de lui faire une fellation éclair

mais c’était trop dangereux, du monde pouvait arriver à tout moment

et l’endroit, en plus, était dégoutant, l’odeur, infernale,

et je devais absolument rester debout pour faire le guet

et jeter tout le temps, des coups d’oeil à la ronde

 

dommage, dommage,

j’aurai adoré avoir dans ma bouche, son engin,

comme je l’aurai  pompé, vidé, jusqu’à la dernière goutte

 

je lui caressais le sexe lentement

mais je vis un groupe de touristes qui se rapprochaient,

certains visiblement avec l’intention,

de venir visiter un lieu si typique et pittoresque de la ville, pour se soulager,

aussi j’accélérais, je le secouais maintenant à toute vitesse

et il se mordait les lèvres pour ne pas gémir trop fort

 

le coup parti, il lâchât un  jet puissant

dont je recueillis une partie sur les doigts,

en les mettant devant son sexe saisi de soubresauts

 

les touristes allemands étaient presque arrivés,

je me frottais la bouche avec un peu de son sperme dégoulinant

et aussi la sienne, à sa grande consternation

 

il est devenu tout cramoisi tandis que deux teutons,

s’engouffraient dans la pissotière

mais eut la présence d’esprit de cacher son engin dressé

dont dégoulinaient encore quelques gouttes de sperme,

déjà je m’éloignais à toute vitesse,

essuyant le reste de son sperme avec un mouchoir en papier