elle était couchée sur la pelouse, par cette belle après-midi d’été,
il faisait chaud, très chaud,
initialement, j’avais voulu aller me promener dans la forêt
mais un peu fatigué, je me suis rabattu vers ce grand parc du centre de Bruxelles,
aux vastes pelouses où des gens, un peu de tous les côtés,
se prélassaient, se détendaient, somnolaient, au soleil
elle était habillée d’une jupe légère d’été,
elle lisait, couchée sur le dos,
un grand sac, la soutenant par derrière,
lui permettant d’avoir une position suffisamment soulevée et confortable,
pour la lecture
je m’installais quelques mètres plus loin d’elle,
c’était une partie plus tranquille du parc où les gens étaient moins les uns sur les autres,
je restais de longues minutes, les yeux fermés,
juste à goûter les rayons du soleil sur la peau
et le chant des oiseaux, dans les oreilles
à un moment donné, j’ouvrais les yeux,
j’avais dans mon axe de vision sa silhouette charmante,
elle n’était pas belle, belle
mais elle était jeune, fraîche, pleine de vie, un beau corps,
mon regard s’égarât à gauche, à droite, sur les arbres, sur les gens plus loin,
il y avait le bruit des voitures, aussi, tout autour du parc
qui arrivait jusqu’à nous
puis je revins vers elle,
elle avait décroisé les jambes,
comme tout mâle qui se respecte, quelque soit son âge,
ses jambes nues, dévoilées bien plus, accrochèrent mon regard ,
du mollet, je remontais lentement vers la cuisse,
à présent bien visible sur toute sa longueur,
je figeais mon regard bien à l’intérieur de celle-ci et remontait encore,
me glissant sous la jupe qui était bien remontée,
sans qu’elle s’en rende compte
mon regard montait, montait, centimètre par centimètre,
parcourant sa peau blanche, jeune
et eut la surprise, là où il aurait du être arrêté par la toile d’un sous-vêtement,
de rencontrer une toison , ma foi, bien développée,
comme je les aime
je restai, fasciné , le regard plongé vers son entrejambe qui se dévoilait,
je me mis définitivement à bander quand elle bougeât un peu les fesses
et que j’entrevis sa raie, le rose-rouge de sa chair intime,
cela ne dura qu’un court instant
mais ma respiration est devenue intense, s’accélérant
je relevais mon regard vers son visage
et je vis qu’elle me dévisageait,
je m’apprêtais à voir son regard se courroucer, s’emplir de colère,
la voir changer de position, voire se lever et partir
mais non, elle me sourit
et elle écarta les jambes un peu plus,
j’avais désormais dans mon champ de vision,
au milieu de sa toison , son sexe entrouvert, baillant magnifiquement
comme je bandais ferme , désormais
et il y avait plein d’excitation dans mes yeux,
je voyais que cela lui faisait de l’effet,
ah, une libertine qui ne dédaigne pas un peu d’exhibitionnisme,
je me suis dit, je vais peut-être passer un bon moment,
tant pis pour les chants d’oiseau et le soleil
elle approcha la main de son sexe, se mis à se masturber lentement,
à se titiller le clitoris, à s’écarter les lèvres d’en bas, en tirant sur les poils,
pour que je puisse y plonger le regard
et après avoir jeté un coup d’oeil aux alentours, y allât plus franchement,
je ne perdais pas une miette du spectacle, plus bandant que jamais
elle se caressa les seins aussi, par moments, à travers la toile de sa robe,
tendant celle-ci tout autour,
me faisait bien voir leur forme splendide, bien développée, avec les tétons pointant
à ma droite, un peu plus loin, seul, un couple en train de se bécoter,
je mis mon sac, debout, à côté de moi, faisant écran, par rapport à eux
je m’assieds, ouvris ma braguette et sorti mon sexe gorgé de sang, dressé,
je me mis à le caresser tout en la regardant se masturber à quelques mètres plus loin,
elle plongeât son regard longuement sur mon braquemart, à l’air
et comme inspiré par lui,
continua son manège de plus belle,
se léchant les doigts de de temps à autre
puis les replongeant immédiatement vers son clitoris, ses lèvres humides, ouvertes
je la voyais haleter de plus en plus, maintenant,
moi-même, j’étais déjà, aussi, à un stade bien avancé d’excitation,
je secouais mon pénis de plus en plus,
toujours personne aux alentours, du moins, on ne voyait personne directement,
peut-être qu’il y avait des voyeurs, dans les buissons, plus loin,
cette idée m’excita encore plus
pendant un instant,
j’imaginais, des hommes et des femmes, sortant soudainement des bosquets,
se déshabillant en se ruant sur nous
et une partouze générale, dans ce coin bien tranquille du parc,
des vagins et des bites, partout , tout autour de moi et d’elle,
nous submergeant tous les deux,
nous enfouissant sous une marée d’hommes et de femmes, en chaleur
elle se mit à gémir très fort et à trembler comme une feuille,
cela me fit éjaculer instantanément,
quelques instants, après, elle se leva en me souriant et s’éloignât,
je me levais aussi et partis dans l’autre direction