#45819
bzo
Participant

est-ce que ça te parle, ces différents “paliers” ?

pas trop, j’ai lu le Traité, en diagonale,

pas pour moi, même si je le respecte totalement

et le recommande , en priorité, pour débuter,

comme il a déjà permis à beaucoup de gens d’accéder au plaisir prostatique,

cependant, il faut avoir conscience qu’il y a d’autres moyens d’y arriver

et que la méthode du Traité , ne convient pas à tout le monde

 

Effectivement je sens que je suis encore dans une phase de découverte et je me promène là-dedans avec étonnement et curiosité. Je me concentre sur une zone ou une sensation, je reste dessus et sur le connu pendant une période qui peut être assez longue, et puis un jour, sans que rien ne me le laisse présager, quelque chose me pousse à aller un peu plus loin.

et tu as cent fois raison d’y aller à ton rythme et d’explorer selon ton désir, selon ta curiosité

 

Et bref, pour la stimulation pénienne que j’associe décidément à l’orgasme clitoridien chez la femme

il y a de cela, en effet, je comprends tout à fait ce que tu veux dire,

dans le contexte d’une pratique où l’on amalgame allègrement les ondes, prostatiques, péniennes, anales

et de tout le reste du corps,

comme je le fais, aussi

 

les différents types d’ondes,  ce sont, pour moi, dans ma façon de pratiquer, des ingrédients que je mélange,

pour obtenir une palette infinie de sensations, en nuances comme en intensité,

je me fais l’amour, je peux ressentir, ce que j’ai envie de ressentir,

tantôt, j’accentue la sensation de pénétration avec des contractions qui sollicite la prostate,

tantôt j’accentue la sensation de volupté, un peu partout,

en frottant mes cuisses contre mes génitaux, en ondulant,

et les vagues de volupté m’emportent comme si j’étais caressé, manipulé, léché, irrésisitiblement

 

 

je varie les colorations, les nuances,  sans cesse,

j’improvise, mon corps m’inspire,

j’associe des ondes montant des cuisses à d’autres venant d’ici ou de là,

bref, les combinaisons sont sans limites,

je joue avec moi-même, je n’ai aucun tabou,

le désir règne à tous les niveaux, sans restrictions,

me sens , en même temps, homme et femme,

mon corps, dans ces moments, est sexe tout entier, du bout des cheveux, du bout des ongles,

jusqu’au fond de l’âme,

le moindre geste, le moindre mouvement, la moindre position, tout génère des ondes,

tout le corps participe, tout le corps dialogue,

 

cela prend, ainsi, je trouve, encore une toute autre dimension,

une sensation extraordinaire d’être un orchestre, que la musique du désir monte de toutes parts,

l’incroyablement puissante sensation de complicité, avec son corps,

la communion, dans le plaisir,  avec lui