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Adam M.
Maître des clés

Bonsoir @OursPaisible, l’orgasme prostatique et l’orgasme éjaculatoire (pénien) sont deux orgasmes différents, que l’on peut évidemment avoir en même temps, mais qui sont totalement dissociables. Pour répondre à votre remarque, le pénis est une structure (principalement veineuse) qui en effet à sa base juste sous la prostate, néanmoins, je n’ai jamais entendu parler de stimulation de la prostate par le pénis (car il n’y a pas du tout le bon alignement même si cela pouvait fonctionner). On peut stimuler la prostate de l’extérieur en appuyant entre les bourses et l’anus de manière assez ferme, mais cette stimulation reste très légère.

Il y a très peu de chance que ce que l’on vous a raconté soit un orgasme prostatique, mais plutôt un orgasme éjaculatoire plus puissant dû au slow sex que vous décrivez.

Une fois que l’on maitrise très bien l’orgasme prostatique et ses muscles, il est possible de stimuler sa prostate rien que par des contractions musculaires. Mais, cela demande vraiment du temps et de bien connaitre son corps et l’orgasme prostatique.

Quand je lis ce que vous écrivez, le grésillement doux, c’est réellement très bon signe, persévérez avec un Aneros. Les godemichets ne stimulent (en général) pas la prostate, car ils passent à côté vu l’anatomie du rectum. C’est pour cela que les homosexuels n’ont que peu de connaissance du plaisir prostatique contrairement à ce que l’on pourrait croire. La sodomie, bien préparée et avec de l’habitude, ne fait pas mal par contre. Mais il faut un peu d’habitude et pas forcément commencer avec trop gros. Cela peut apporter un autre type d’orgasme : l’orgasme anal (qui est encore différent des deux autres dont je parlais).

Enfin, avec de l’habitude, il est tout à fait possible de synchroniser l’orgasme prostatique et l’orgasme éjaculatoire (en portant par exemple un aneros alors que l’on fait l’amour en levrette). La c’est le 14 Juillet, le feu d’artifice !!! ahahha (oui c’est aussi le 14 juillet aujourd’hui ahahah).