me regarde une petite série,
en plaisir, bien sûr,
rien que du prostatique, en brèves injections,
brèves mais puissantes,
pour pouvoir continuer de suivre ce qui se passe à l’écran
assis, donc, dans mon fauteuil,
rien d’autre ne bouge, quasiment
que les muscles du périnée, quelques instants,
pour faire monter la contraction
quasiment, j’ai écris,
car je ne peux m’empêcher
d’y ajouter un peu de mouvements des fesses et des hanches,
j’aime tellement cela
je commence par les hanches et les fesses
comme si je les positionnais pour recevoir, pour accueillir, au mieux, la contraction,
m’offrir le plus possible, à celle-ci
et puis, j’enchaîne avec la contraction,
elle monte quelques instants,
directement, il y a comme un faisceau puissant d’ondes
qui s’échappent vers le haut,
m’emplissent de plus en plus,
jusqu’à venir exploser brièvement dans le cerveau
déjà, je rouvre les yeux
et continue à regarder ce qui se passe à l’écran,
le tout n’aura durer que quelques secondes
mais je répète assez souvent,
c’est addictif, ces petites injections de volupté de forte intensité,
produites rien que par la prostate