Est-ce que tu as renoncé aux stimulations excluant la zone du bas-ventre ?
Ces jours-ci, je m’essaye aux sessions axées essentiellement sur la volupté. Mes caresses sont plus douces et je laisse monter progressivement les sensations, la zone du bassin restant en sourdine quoique pas complètement absente : je peux tout de même laisser mes mains divaguer sur les fesses, le périnée ou le sexe en jouant avec la limite. Si j’en parle, c’est qu’aujourd’hui j’ai réussi réprimer une forme d’impatience en maintenant cette zone centrale au même niveau d’intensité que les autres parties du corps que je sollicitais donc davantage par des caresses et des mots d’amour murmurés. Et l’orgasme surpassant tous les autres a fini par arriver, intense, dans les bras, dans les jambes, dans le visage et le cou, dans la bouche, traversant le cerveau avec une volupté incroyable. Partout, sauf dans le bassin qui lui était au repos, mon corps et mon esprit étaient en transe.
Il est difficile de s’interdire de stimuler la partie la plus sensible de son corps, mais j’ai envie de pousser l’expérience un peu plus loin.