#47693
bzo
Participant

en télétravail,

comme presque tous les jours de la semaine,

je m’octroie de multiples petits moments d’intimité voluptueuse,

des petits moments bien cochons, en solo, devant mon écran,

bien débridés, soudainement je me lâche complètement

cela soulage bien de la tension du travail à l’ordinateur,

tellement c’est un autre type d’activité, dans un tout autre univers

 

cela se déclenche, la plupart du temps,

toujours, plus ou moins, de la même manière,

je soulève  les mains du clavier,

elles vont se poser,

à travers le coton du t-shirt, sur les seins

ou alors, je prends la peine de les glisser dessous,

pour avoir un contact direct avec la peau

et puis je commence à les palper, à les frotter, bien lentement

tandis mes hanches se mettent à bouger,

de plus en plus lascivement

et que mes génitaux, pressés par mes cuisses,

commencent à émettre à tout va, des ondes

qui emplissent instantanément mon bassin

puis se répandent un peu partout, vers le haut, vers le bas

 

et enfin, clou du mini-spectacle, son et lumière, en interne,

je fais monter une contraction,

place à la souveraine, place à la reine, prostate

et à son obus d’ondes délicieuses

qui va se former et monter, monter, parmi mes entrailles

jusqu’à venir exploser dans mon cerveau,

y faire apparaitre, quelques instants, comme des millions d’étoiles,

autant de titillements voluptueux

qui vont fondre comme neige au soleil,

pour le plus grand ravissement de mes cellules grises

grises et grisées, aussi, pour l’instant

 

à d’autres moments,

je me détends en 100% prostatique,

dans mon siège, confortablement calé,

je rejette la tête en arrière, ferme les yeux,

écarte bien les cuisses pour qu’il n’y ait aucun contact avec les génitaux,

ceux-ci étant tellement ultra-sensible au moindre effleurement,

je commence à me titiller les tétons

et à faire monter des contractions,

tantôt tout en finesse et en touches légères,

tantôt en mode bucheron,

sentant alors à chaque contraction des muscles du périné,

de puissantes giclées d’ondes prostatiques, s’élevant dans ma chair,

déclenchées comme par un pompage vigoureux

 

en mode 100% prostatique, désormais,

avec toute l’accumulation des énergies grâce à la non-éjaculation,

chaque contraction provoque comme un mini-orgasme

qui fait trembler tout mon être

 

en mode yin,

c’est une sensation de jouissance constante

qui s’installe très rapidement,

enfin de volupté tellement intense, tellement riche et tellement variée,

que je me sens constamment au septième ciel

 

je reste, ainsi, de quelques secondes à quelques minutes,

selon mon envie du moment

puis back to work, avec du nectar qui a coulé en moi