je vois bien comment tu pratiques,
la puissance des ondes péniennes, c’est tentant de les exploiter,
j’ai essayé, aussi mais j’ai fini par abandonner
car j’arrivais pas à les garder intégrées, amalgamées , au reste,
elles avaient trop tendance à monopoliser le devant de la scène,
au fur et à mesure
alors qu’avec les ondes prostatiques, anales et même, génitales
mais générées par le contact des cuisses ou de mouvements divers,
je n’ai pas ce problème,
les ondes se mélangent, se questionnent, se répondent, jouent ensemble,
ne font pas bande à part et cherchent à dominer constamment
je fais bien la différence entre ondes génitales et ondes péniennes,
les premières provoquées essentiellement par les cuisses ou des mouvements des hanches,
les secondes par le contact des mains,
la différence fondamentale, c’est que les premières sont des ondes
que le mode yin peut intégrer , peut utiliser, pour faire vivre des sensations
alors que pour les secondes, ce sont des ondes de plaisir au masculin
qui sont beaucoup plus réfractaires
il faudrait pouvoir en injecter que des petites quantités, ponctuellement,
un peu comme un ingrédient au goût trop puissant, trop exclusif
qu’on verserait dans la soupe qu’en toute petite quantité
pour que celle-ci prenne son goût
mais continue de refléter aussi
les différents autres ingrédients qu’on verse dedans
et qui mijotent, mélangés dedans
mais moi, en tout cas, je n’y suis pas parvenu,
les ondes péniennes sont très possessives, pas partageuses pour un sou,
tendent à dominer tout le reste
et cela finit , la plupart du temps , par l’éjaculation
mais même, essayer de n’en injecter que de temps à autre,
un peu comme un booster, un turbo qu’on allume de temps à autre,
pour provoque des accélérations,
je n’y suis pas parvenu
enfin je peux y parvenir
mais dans ce cas, je perds ma spontanéité,
je suis sans cesse obliger de faire fonctionner ma volonté à moi,
“ok, là, j’injecte un peu d’ondes péniennes”, “ok, là, j’arrête”, “ok, là je dois me retenir,
laisser les ondes prostatiques et autres, jouer un peu”, etc, etc
alors qu’avec les ondes prostatiques, anales et générées par tout le reste du corps,
je n’ai pas ce genre de problèmes,
ils s’intègrent parfaitement, jouent ensemble
et le corps peut prendre son élan,
je peux déconnecter mon moi totalement
et juste laisser faire, laisser aller,
cela roule tout seul
ce n’est même pas une question que les ondes péniennes soient tellement plus puissantes
que les autres types,
ce n’est vraiment pas le cas,
c’est juste qu’elles semblent plus difficiles à faire cohabiter avec les autres types d’ondes,
peut-être parce qu’elles ont en ligne de mire, l’éjaculation,
et que cette ligne droite, une fois qu’une est dessus,
tend à devenir une piste de sprint, à la course de plus en plus effrénée, dessus
et qu’on a tendance à devenir obnubilé par elle
j’espère pas si mon récit est assez clair ,
qu’il témoigne suffisamment de la problématique
que j’ai voulu décrire
mais en tout cas, chez toi, cela a l’air d’aller très bien,
cela a l’air dez bien fonctionner