#48030
bzo
Participant

case menuiserie, par terre, pour moi à nouveau,

mon cul qui frotte contre le plancher,

mes couilles, mon pénis, contre les cuisses

 

beaucoup de frotti frotta, quoi

créant un continuum d’excitation délicieux,

de temps à autre, j’y ajoute un mouvement langoureux,

d’une partie ou d’une autre, de mon corps,

une caresse furtive des seins, une contraction, etc

 

piano à quatre mains,

deux pour la petite armoire que je suis en train de monter

et deux pour le dialogue ardent avec mon corps

 

par moments, je me sens vraiment comme un animal,

tout à coup dont les fesses sont entrées en contact

avec quelque chose qui l’a excité

et qui se met, sans vergogne et sans chichi,  à se frotter contre,

sans rien retenir

 

oh le torrent de volupté qui m’envahit,

quel volcan, en rut,

parfois je bande dur comme de la pierre,

pour accompagner tout cela,

c’est bien agréable , aussi,

de sentir son engin, gorgé de sang,

comme frémissant, comme vibrant

 

j’y rajoute toujours, alors, une contraction ou deux,

les ondes prostatiques envahissent mon sexe dressé,

s’y fraient un chemin en force,

conquérant la place instantanément,

s’agitant, remuant dans tous les sens,

comme un banc de poissons, pris dans un filet,

sublime comme sensation