je frotte une cuisse et tout ce qu’il y a entre,
contre l’autre,
sous l’eau ruisselante de la douche
mes hanches dansent,
lentement, lentement,
comme c’est bon, de se laisser aller, ainsi,
sans retenue, sans tabou,
sentir les limites de son genre s’évanouir,
dans ses gestes, ses mouvements, ses postures ,
une façon de se lâcher, une façon de s’offrir au plaisir,
une façon d’aimer son corps, une envie de s’unir à lui
je m’écarte un peu de sous l’eau,
je sens que je dois uriner, de plus en plus fort,
je presse maintenant bien fort les génitaux,
je place mon pénis de façon,
à ce que le liquide inonde bien mon bas-ventre, mes cuisses,
le plus possible,
coule bien dans les interstices, sur les poils, partout
ça y est, comme c’est chaud, comme c’est doux, comme cela devient gluant,
l’urine est le lubrifiant le plus extraordinaire qui soit au monde,
son effet, malheureusement, ne dure que quelques secondes
mais quelles secondes,
quel contact soyeux, comme cela glisse irrésistiblement maintenant,
c’est juste divin, comme sensation
je frotte bien lentement mon paquet,
je le tords dans tous les sens, avec les cuisses,
pour bien profiter de cette effet de glisse tellement unique
je gémis de plus en plus fort,
je commence à me caresser les seins,
m’attarde sur les tétons,
immédiatement, leur effet booster se fait sentir,
ma hampe, en bas se durcit un peu,
tout en dérapant comme une anguille, encore, entre mes cuisses
le gland est tellement élastique et sensible,
j’ai envie de hurler tellement c’est bon,
mon sexe semble une antenne émettrice de radio,
envoyant dans toutes les directions, des ondes
et toujours cet effet patinoire, chaud et soyeux,
de mon sexe, durci
et de mes couilles aux poils collants, gluant de la pisse chaude,
je frotte, je frotte et je gémis,
m’en faut pas plus pour mon bonheur,
pour l’instant
les choses sérieuse, ce sera pour plus tard, au lit