#48894
Arousal
Participant

Après, on dirait, plus d’un an de relatif endormissement, on dirait que ma prostate est repartie.

Vendredi soir en 15, j’ai pu être seul à la maison 2 bonnes heures : l’occasion de se faire une séance sympa, d’autant plus que ma libido était au top, pas d’éjaculation depuis une dizaine de jours.

Et effectivement je n’ai pas été déçu de ma séance (avec mon fidèle Eupho) : ma prostate a démarré au quart de tour, et j’ai renoué avec des sommets de plaisir que je n’avais plus atteints depuis longtemps.

Quelques jours plus tard je me suis accordé une nouvelle séance nocturne… d’anthologie. Qui s’est terminée sur un feu d’artifice prostatique en mode orgasme pulsatile interminable me coupant littéralement le souffle, presque insoutenable, qui m’amenait à raidir tout mon corps. Je faisais alors « l’effort » de me relâcher le plus complètement possible, pour accueillir tout ce plaisir, qui immanquablement montait encore d’un cran.

Il a bien fallu au bout d’un moment que j’éjacule toute cette libido, il y a presqu’une semaine.

Mais j’ai senti que contrairement à d’habitude, cet orgasme n’avait pas fait complètement taire ma prostate. Oh juste quelques chatouillis au début… mais progressivement sont apparues des P-waves spontanées.

Ce matin, je me suis réveillé 20 minutes avant mon réveil, avec une érection persistante. Et sans raison particulière, le plaisir a envahi ma prostate, et j’ai orgasmé doucement.

Depuis, les montées de plaisir n’arrêtent pas. Le plus souvent assez discrètes si je ne suis pas relaxé et que mon attention est fixée ailleurs, mais je sens un permanence ma prostate comme une boule dure qui pulse, qui picote. Et quand je suis seul et détendu, ça monte, ça monte, notamment au volant !

Bref, après des années d’éclipse, les orgasmes A-less sont de retour !