#49165
PetitsPlaisirs76
Participant

bzo écrit

mon cul, ô mon très cher cul,

comme tu louvoies langoureusement,

la sensation de pénétration te donne des ailes,

mes fesses se tendent, se détendent,

ma fente s’élargit, se rétrécit,

je me cabre, je me cambre, je me penche, je me redresse,

je me dandine

 

Lorsque je me suis bien chauffé, il arrive que mon cul soit dans le même état et je n’ai qu’une envie, une bite ou de quelque chose de ressemblant,

je ne cède pas toujours, ce serait trop facile la chair est si faible…