pile ou face,
face visible
et face cachée de la lune
la douceur soyeuse sans limites de mon sexe,
ce rayonnement sans limites, de douceur, de soie chaude
dont il est capable en mode yin,
vague après vague
quand il est frotté, pressé, massé,
par mes cuisses,
rythmé par la houle langoureuse dans mes hanches
son autre aspect, si radicalement différent, étant,
quand se gorgeant de sang,
il commence à se lever et à durcir,
devenant cette petite tour de chair,
comme vibrante au moindre contact, au moindre effleurement,
prête à cracher sa petite giclée de jus laiteux
molle ou raide,
si capable, si capable,
de tempêtes radicalement différentes
dans ma chair
une sorte de caméléon, en fait,
prêt à toutes les couleurs
de l’arc en ciel du désir,
si on le sollicité comme il faut