Mots-clés : aneroless
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23 mars 2024 à 13 h 35 min #49339bzoParticipant
je sculpte mon plaisir,
c’est totalement spontané
mais en même temps,
dirigé à l’extrême par le ressenti
je sculpte un vagin, je sculpte des seins, je sculpte des hanches,
je sculpte une peau avide de frottements, de pressions, d’effleurements,
je sculpte une bite dressée, enfouie,
je sculpte son va et vient,
je sculpte ses ralentissements, ses accélérations, ses changements de direction,
destinés à enflammer toujours plus,
je sculpte des fesses qui s’écartent, qui se resserrent, comme une bouche qui gémit
je sculpte des reins qui se cambrent, qui dansent, qui s’offrent,
je sculpte des mains avides d’agripper, de frotter, de presser, de titiller, de toucher,
je sculpte des caresses, oh comme je les sculpte,
avec quel soin, quelle animalité, quelle passion, quelle sophistication,
quelle rudesse, aussi, de temps à autre
le corps réuni à l’esprit,
c’est le désir libéré,
le désir qui court,
le désir qui enflamme
25 mars 2024 à 19 h 09 min #49340bzoParticipantau fond, tout cela tient avant tout,
enfin, dans ma façon de pratiquer,
à apprendre à ressentir, à percevoir,
ce qui se passe dans son corpstellement de choses y arrivent constamment
sans que nous n’y fassions vraiment attention,
tellement, tellementapprendre à ressentir, à percevoir
ce qui se passe dans son corps,
c’est apprendre à l’écouter
et à apprendre à l’écouter,
c’est à apprendre à se connecter à celui-ciquand je me mets en action,
je me connecte juste à mon corps,
et puis je libère le désir comme un animal sorti de sa cage,
je me laisse envahir par celui-ci,
je deviens son pantin, sans restriction aucune,
je me laisse entraîner par son flot,
dans tous les gestes, tous les mouvements,
toutes les actions diverses et variées, possibledevenir capable de percevoir
la moindre activité dans son être physique,
depuis l’intérieur,
c’est être au bord, déjà, d’une constante et changeante volupté,
d’une douce extase d’être dans de la chair chaude, vivante,
avec son réseau dense de nerfs prêts à entrer en action à tout moment,
de vibrer au fil des instants d’être en viecomme un doux ronronnement de chat en nous,
d’être là dans l’espace et le temps,
à nous consumer comme une chandelle vacillantetous nos gestes, tous nos mouvements,
touts nos positionnements dans l’espace,
leur évolution sans que nous y fassions attention,
tous les effleurements, le moindre contact,
le moindre petit déplacement de la moindre partie de notre corps,
la moindre petite contraction de muscle, n’importe où, dans notre être,
même le vent, les rayons du soleil, les odeurs, tout autourl’espace en trois dimensions dans lequel nous sommes plongé,
occupé comme une scène de théatre par les êtres et les objets
qui semblent débiter dans l’invisible, entre eux,
comme les dialogues d’un scénario mystérieux,
non-écrit, non-traduit, non-compréhensible
mais exprimé malgré tout, quelque parttout cela est sexuel fondamentalement
ou du moins, soyons plus précis,
a la capacité de nous émouvoir,
de nous troubler, de nous faire frémir, de fond en comble,
si on y fait attention comme il faut
si on y accorde toute l’attention que cela mérite,
si on se met dans les bonnes dispositions,
avec la bonne attitude mentale et physiquese laisser déstabiliser radicalement, désenclavé, déraciné,
ne plus avoir aucun appui, aucune frontière,
ne plus rien retenir, se laisser totalement entraîner
ne plus faire attention à aucune limite,
être prêt à s’offrir tout entièrement,
être prêt à se prendre tout entièrementnous ne sommes que circulation d’énergie,
c’est cela être en vie
et qui dit circulation d’énergie,
dit potentiel de maelstrom de sensations, d’émotions, d’extases,
à vivre à tout momentune caresse, cela peut grandir, grandir,
devenir quelque chose de géant
et moi, je peux,
ne plus être qu’une toute petite chose,
entraînée par elle, au hasard,
faisant irruption dans la cour des miraclesune hanche d’homme,
c’est fait pour abriter tout autant de volupté
que la hanche d’une femme
et son sein, tout autant de chaleur
et leur sexe est double, à l’un comme à l’autre,
à la fois fendu, profond, accueillant, élastique et souple
et aussi, capable de se redresser, gorgé de sang27 mars 2024 à 0 h 29 min #49341bzoParticipantje mets en pause la série que je regarde,
mes mains se portent sur ma poitrine,
mes hanches commencent à bouger,
je me caresse lentement
oh cette volupté,
qui m’envahit, instantanément, tellement totalement,
comme c’est bon, comme c’est libérateur,
comme c’est doux, chaud, soyeux
mon sexe, entre mes cuisses, est comme un oiseau au nid,
je sens sa chaleur dans mes cuisses
et la chaleur de mes cuisses, dans mon sexe,
un peu de pression, un peu de frottement,
une contraction, maintenant
comme c’est bon de gémir,
je me cambre, je me cabre,
ma tête se rejette en arrière,
j’enfonce un doigt derrière dans mon cul,
je le bouge tout doucement dedans,
mon petit volcan chéri aime quand je touille dedans,
il y a une éruption tout de suite vers mes entrailles,
de lave chaude, chaude, dense, dense
allons bon, je retourne vers la série,
ces interludes voluptueux,
sont comme une respiration magique de tout mon être
27 mars 2024 à 11 h 37 min #49343bzoParticipantavec les années de pratique en solo,
une des choses les plus remarquables de ce qui s’est passée en moi,
de ce qui s’est développé splendidement,
c’est la réactivité de mon corps
à quel point, il réagit au quart de tour au moindre contact,
ne fusse qu’avec les objets les plus banals,
le contact des matériaux, le métal, le bois, le verre,
pas seulement leur grain, leur consistance,
leur température, aussi
m’asseoir le cul nu sur de la pierre froide,
d’abord pendant une fraction de seconde,
il y a le désagrément de la différence de température
mais après, oh après…
je suis empli de frissons des pieds à la tête
et une envie irrésisitible de me caresser,
s’empare de moi
frotter mon cul, mon dos, mes flancs, contre du bois poncé,
me fait un de ces effets,
oh là encore,
en quelques secondes, je suis tellement émoustillé,
tellement envahi de frissons délicieux
j’ai la prostate qui bat comme un coeur, par moments,
comme un coeur en bas, tout vibrant, battant le rythme,
tam tam sauvage dans mon bassin
et tout autour qui danse, qui danse
pas seulement les contacts divers et variés,
juste mes mouvements,
par moments, rien que le fait de bouger,
provoque des vagues de plaisir en moi,
je me mets alors à chalouper du cul,
à faire monter des contractions,
mes cuisses viennent se frotter contre mes génitaux
et je suis déjà dans une autre galaxie,
frotté de tous les côtés, par des étoiles chaudes et fondantes
l’envie d’être pénétré, ah l’envie d’être pénétré
j’ai cultivé cela,
je me suis tellement laissé aller à cela,
d’abord eu peur, suis en train de devenir homosexuel?
cela me travaillait quelque part malgré mes expériences bisexuelles du passé,
là cette envie d’être pénétré , me faisait tellement basculer dans un autre monde
pas sûr que j’ai envie de recevoir une vraie bite dans la cul, cependant
maintenant je m’en rends bien compte
et cela ne me fait plus peur , un seul instant,
je me laisse aller totalement, sans rien retenir,
tout seul, je parviens tellement à vivre la pénétration par les deux bouts,
tellement à me sentir femme et en même temps, homme
mes fesses qui se resserrent qui s’écartent,
avec au milieu la petite fente, le petit tunnel sombre,
comme ils s’enflamment, quelle éruption de volupté
je marche dans mon appartement
et en même temps je me caresse
ou juste je bouge un peu le cul,
le plaisir semble là, à côté de moi,
à tout instant, prêt à m’envahir, au moindre signal
inventivité, imagination,
maîtres mots,
faire travailler son imagination,
les possibilités sont infinies,
en interactions, avec le monde qui m’entoure ou pas
apprendre à se lâcher complètement pour un oui, pour un non,
juste même pour quelques secondes,
baigner constamment dans les énergies prêtes à s’enflammer
29 mars 2024 à 1 h 17 min #49344bzoParticipantil y a des jours
où juste plonger le bout des doigts de pied dans la mer,
m’éclabousser un peu les jambes,
me suffit
d’autres jours,
j’ai besoin de m’immerger complètement,
de plonger encore et encore, de m’attarder sous la surface,
ne plus du tout sentir le rivage, non,
d’être enveloppé entièrement dans la majesté soyeuse des vagues
aujourd’hui, donc,
c’était jour de timide trempette
et encore, de temps à autre,
présence constante, pourtant , du désir
complice plus que jamais
mais en veilleuse
de temps à autre,
de petits moments de volupté, tout de même, donc,
à chaque fois, c’est tellement irréel,
ainsi, de part la raréfaction,
ces brèves irruptions dans la chair
j’en oublierai de respirer,
la beauté de la volupté est stupéfiante,
par moments, je constate,
une oeuvre d’art suprême, majeure, à consommation personnelle
qui s’est érigée d’elle-même,
un instant, qui s’installe, prend ses aises,
met sans gêne les pieds sur le canapé,
laisse tomber les cendres de son cigare, partout sur la moquette
et déjà, s’est évanoui en fumée,
avant même que j’ai pu commencer
à distinguer plus distinctement les traits du visiteur
l’illusion était parfaite, vécue de fond en comble,
les règles, comme toujours, totalement bouleversées,
le ressenti, devenu comme une norme sacrée, un instant,
un véhicule de transcendance et de pure animalité,
une respiration, de part en part, de tout mon être
29 mars 2024 à 13 h 28 min #49347PetitsPlaisirs76ParticipantLe 27 mars bzo écrit
l’envie d’être pénétré, ah l’envie d’être pénétré
j’ai cultivé cela,
je me suis tellement laissé aller à cela,
d’abord eu peur, suis en train de devenir homosexuel?
../..
pas sûr que j’ai envie de recevoir une vraie bite dans la cul, cependant
maintenant je m’en rends bien compte
et cela ne me fait plus peur , un seul instant,
Il y a peu, je me suis inséré un plug de 32 mm,
les 30 premières minutes ont été savoureuses dans le sens ou tous les nerfs étaient sollicités sans exagération,
c’était plaisant au point que je me suis mis à imaginer qu’il y avait un homme dans mon dos, en moi.
J’avais pour la première fois envie d’une sodomie,
par un homme peu membré, juste pour me remplir doucement l’anus.
Est-ce que je serais devenu homosexuel, oui dans les faits, mais réellement non puisque une expérience ne fait pas un statut définitif,et c’est toujours vers les femmes que mon regard se tourne.
29 mars 2024 à 19 h 47 min #49349bzoParticipantJ’avais pour la première fois envie d’une sodomie,
par un homme peu membré, juste pour me remplir doucement l’anus.
Est-ce que je serais devenu homosexuel, oui dans les faitsde toutes façons, j’ai appris depuis
que ce n’est pas parce qu’on a envie ou qu’on aime, des bites,
dans le cul ou ailleurs,
qu’on est forcément homosexuel
et vice et versa, certains homosexuels n’aiment pas la sodomie
je ne suis pas vraiment un expert sur le sujet
mais si j’ai bien compris,
aimer les pénis et aimer les hommes,
ce n’est pas forcément synonyme,
être homosexuel, ce n’est pas juste sexuel,
cela peut être, même, pas sexuel du tout,
enfin quelque chose comme cela
30 mars 2024 à 10 h 24 min #49350bzoParticipanthier soir, j’ai joui longuement, longuement, par terre, sur mon tapis de yoga,
mes gémissements étaient d’une telle douceur, mais telle
que j’en avais l’impression que des fleurs s’envolaient depuis mon cerveau
pourtant à la fois, c’était d’une telle violence,
tellement tellurique
mais mes gémissements semblaient n’en refléter que l’autre aspect,
l’aspect délivrance, l’aspect envol tout en douceur,
comme si un ascenseur hydraulique m’emportait vers les cieux
dans mes entrailles, en tout cas, cela s’arrachait, cela se déchirait,
l’animal en moi éructait, se cabrait, faisait des bonds
mais par ma bouche, une longue et interminable plainte tellement douce,
oh quelle mélodie emplissait mes oreilles,
on aurait dit les gémissements d’une sirène
voulant couvrir le monde entier de fleurs colorées
un sacré bon moment,
cette douceur dans ma voix,
était tellement totalement irréelle,
semblait parvenir d’un autre monde,
à des années-lumière de moi-même
1 avril 2024 à 10 h 32 min #49357bzoParticipanten massage 100% prostatique, aneroless,
j’ai adopté, pour l’instant, une simplicité, un dépouillement, absolus
couché sur le dos, les jambes écartées, en losange,
avec les plantes de pied, l’une contre l’autre,
les bras le long du corps sans le toucher,
plus de titillement des tétons, plus de mouvement du bassin
juste les contractions et moi
le dialogue avec le corps,
rien que par l’intermédiaire de la prostate,
des moments de silence dans la chair,
entre chaque contraction
qui semblent leur appartenir encore
comme des silex qui s’entrechoquent,
à la recherche des précieuses étincelles
des vibrations
la chair a de plus en plus soif
que le feu prenne , que le feu se répande,
que toute la maison soit en flammes,
que cela brûle à tous les étages,
patience, patience
2 avril 2024 à 12 h 11 min #49365bzoParticipantl’amour intense, la volupté, produits,
sont comme une présence en chair et en os,
vivante, vibrante,
c’est moi et en même temps, c’est indépendant de moi
quelqu’un est tout contre moi,
je suis tout contre quelqu’un
je me caresse,
je suis caressé, je caresse,
dédoublement,
je me sens caressé par quelqu’un,
je sens que je caresse quelqu’un
6 avril 2024 à 2 h 04 min #49370bzoParticipantsuperbe séance au lit,
j’en frissonne encore en tapant ce texte,
j’ai alterné pendant près d’une heure,
des moments en mode yin
et puis des moments en mode prostatique
les soudains changements de type de plaisir, de type de sensations,
c’est quelque chose,
la tuyauterie en exploserait, tellement c’est jouissif,
de passer d’une seconde à l’autre,
à des flux massifs d’ondes 100% prostatiques,
à des flux massifs d’ondes en mode yin
ce sont tellement des mondes différents
et je suis parvenu ce soir, à les alterner avec une telle aisance,
les basculements étaient tellement fluides, sans aucun accroc
oh comme c’était bon,
j’ai cru que j’allais m’évanouir par moments,
tellement j’étais envahi d’un bien-être, d’une volupté, splendides,
d’une luxuriance changeante, sans égale
équilibre,
équilibre est le maître mot,
équilibre et technique,
quand ces deux-là sont au rendez-vous,
le désir peut s’exprimer à pleine puissance,
les instincts, les pulsions, peuvent se libérer, sans retenue
l’équilibre des énergies, entre les différentes parties du corps,
est peut-être la chose la plus difficile à atteindre
et c’est ce que je suis parvenu à faire ce soir
cet équilibre, c’est surtout entre le bassin
et puis tout le reste,
plus exactement, entre ce qui peut se générer dans le bassin,
c’est-à-dire des ondes génitales, prostatiques et anales, en mode yin
et puis tout le reste,
en mode 100% prostatiques, c’est plus simple,
c’est un équilibre à atteindre entre uniquement les ondes prostatiques
et puis un corps , finalement qui bouge peu
et puis les mains
ah les mains,
tellement importantes les mains,
on devrait toujours les utiliser, en toutes circonstances,
même si un peu plus haut,
j’écrivais que je ne les utilisais plus du tout en mode prostatiques, pour l’instant
mais c’est fini, j’avais tord, une expérimentation de plus,
il faut tester , absolument toutes les voies, toutes les variantes,
éliminer, éliminer
quoiqu’il en soit, elles sont de retour dans le jeu,
elles mènent même la danse quelque part,
aussi bien en mode prostatique qu’en mode yin,
les mains
le secret, c’est la façon de les utiliser,
j’ai trouvé ce soir, très exactement,
ce qui me convient,
aussi bien dans l’un des modes que dans l’autre
et le résultat, c’est cet équilibre parfait des énergies
qui pourtant se déchaînaient de tous les côtés
6 avril 2024 à 18 h 19 min #49371bzoParticipantpremier jour de l’année, avec des 24,25°, ici à Bruxelles,
premier jour de l’année que je peux me promener nu comme un ver, chez moi,
comme c’est bon, comme c’est agréable,
quand il n’y a plus rien sur la peau, nulle part,
cela devient tout de suite spécial
ou plutot c’est quand il y a un peu de tissu quelque part,
que quelque chose perd de son intégrité
le tout du corps, le tout de l’être,
libéré de tout vêtement,
réagit différemment dans l’instant, en l’endroit où il se trouve,
l’air m’enveloppe de partout,
la lumière peut m’atteindre de partout,
le monde est tout contre moi,
je suis tout contre le monde,
plus facile d’entrer en contact avec tout, avec rien,
avec soi-même aussi,
des flux entre les êtres, entre les choses,
peuvent circuler plus librement
et puis mes mains , aussi,
peuvent aller se poser n’importe où, partout,
oh que de frissons , directement
comme j’aime me caresser lentement, lentement,
quelle ivresse, cette chair vivante
la réceptivité du corps,
semble décuplée, nu comme un ver,
les énergies peuvent circuler de tous côtés, sans aucun obstacle,
la chambre à échos de l’être, fonctionne à pleine puissance,
les ondes voltigent, sillonnent, comme des balles de ping pong,
lancées à toute allure, de tous les côtés,
quelle danse divine,
festoiement de vibration soyeuses
7 avril 2024 à 0 h 04 min #49372bzoParticipantquand à un moment donné,
vous sentez que la jouissance démarre
et puis que cela s’arrête seulement 45 mn après, environ
et que cela s’est déroulé en continu,
vous pouvez vous dire que votre séance a été une réussite
oh la la, je suis épuisé
mais alors épuisé de chez épuisé,
j’ai ahané à partir d’un moment, très très fort, comme un soufflet de forge,
suis resté immobile de longues minutes sur le lit, après,
n’arrivant plus à bouger,
mon corps semblait peser des tonnes,
semblait coulé dans du ciment
j’étais encore sous l’emprise de cette jouissance sans fin,
mes entrailles n’en semblaient pas encore revenues,
ma poitrine continuait de se lever et de s’abaisser à un rythme soutenu,
comme après un gros effort sportif
à partir d’un moment, je n’étais plus qu’un pantin disloqué,
ma tête allait de gauche à droite, à un rythme effréné,
mon bassin ruait, se cabrait, était pris de soubresauts violents,
comme un étalon sauvage, incontrôlable,
mes membres allaient dans tous les sens, au hasard,
comme des étendards virevoltants dans un vent capricieux,
mes yeux s’étaient retournés, ne voyaient plus grand chose ,
semblaient voguer dans une autre dimension,
sur une mer de nectar
7 avril 2024 à 10 h 34 min #49373bzoParticipantle traité des caresses en solitaire,
ça mériterait d’être écrit,
tellement le sujet est vaste, subtil et riche
je veux dire par là
qu’il y a toute une technique à développer
car le désir s’exprime énormément par les doigts, les paumes
et qui de mon expérience de nombreuses années de plaisir en solitaire,
est au moins aussi riche qu’avec des partenaires
selon le type de plaisir, prostatique, anal, pénien,
ou ce que j’appelle le plaisir en mode yin,
vous ne devriez pas vous caresser de la même manière,
il y a un subtil équilibre à établir
entre ce qui monte comme ondes de votre bassin
et puis le travail des mains sur la peau
une chose est sûre,
quelque soit le type de plaisir dans lequel vous êtes engagé,
vous devriez octroyer une part belle aux caresses,
enflammer, enchanter, la peau,
faire réagir de plus en plus, tout le corps,
est une splendide source pour ensauvager, varier, intensifier,
les sensations
c’est une manière sure et inégalable d’enrichir votre pratique,
votre corps va devenir de plus en plus réactif sous vos caresses,
de partout, absolument de partout,
il y a un feu de paille à la surface à vivre sous les doigts
mais aussi une lave dans les profondeurs,
à canaliser, à libérer
tout va vouloir participer à la fête,
les mains agissent comme des aimants, des sourciers,
des chamans aux pouvoirs de réveiller toutes les zones endormies,
rendre tout le corps vibrant,
en combinaison avec les divers mouvements possible,
les contractions de muscles,
pas seulement ceux du périné mais de tous les muscles,
des doigts de pied jusqu’au sommet du crâne,
partout où il y a de la chair, du sang et des nerfs
et sur lequel il y a moyen d’agir dessus
les mains sont un facteur essentiel de progression,
pour que tout votre corps peu à peu,
réagisse comme un sexe,
n’importe où, où vos doigts se poseront,
vous aurez l’impression de les poser sur un sexe assoiffé d’exprimer le désir,
une puissance magistrale, splendide s’exprimera
vibrant kaleidoscope de l’instrument de musique du plaisir
dont la moindre cellule de notre être,
est une composante, une brique vivante, essentielle,
prête à apporter sa part à la construction du palais illuminé
où la fête résonne à tous les étages, dans toutes les pièces
8 avril 2024 à 17 h 10 min #49379bzoParticipantl’opulence incroyable dans cette chair, sous mes doigts,
je sens comme le cours d’un fleuve à la puissance illimitée,
charriant les sédiments du plaisir,
je sens ce flux irrésisitible sous ma peau,
le nectar de leur multitude passer et encore passer
dans mes cellulesoh, baigner dans cette caresse constante
de tout mon êtreje presse, je frotte, mes seins,
lentement, très lentement
tandis que mes hanches ondulent un peu,
sous l’action des cuisses
qui font frotti frotta avec les génitauxmes yeux sont fermés,
ma tête, rejetée en arrière,
quelle douce et constante sensation d’extase,
d’épanouissement splendide
mais en même temps, si animale, si animaleune contraction,
la faire monter bien au ralenti,
sentir chaque millimètre
de sa progression vers le haut,
ce lent bélier, comme il épouse ma chair
en même temps qu’il semble la fendremes gémissements,
semblent des marches vers le paradis,
je bande un peu,
ma queue est comme gonflée d’ondes,
en surpopulation massiveune turgescence de vibrations,
ma petite mini tour Eiffel émettrice,
avec sa grosse tête violacéeje la frotte, je la roule,
entre mes cuisses,
elle fuit de toutes parts comme une passoire,
semble pisser des jets de vibrations
dans toutes les directions,
sublime sensation10 avril 2024 à 9 h 30 min #49386bzoParticipantce matin, sous le drap, me suis éveillé,
comme il faisait chaud, comme il faisait doux,
sensation de cocon
tout naturellement,
mes mains se sont mises à gambader,
oh comme mon corps s’est immédiatement éveillé à la volupté,
comme je fus envahi de plaisir,
en deux temps, trois mouvement,
je n’étais plus qu’extase des pieds à la tête,
jusqu’au plus profond de mon être,
je crois bien que j’ai vécu la séance la plus parfaite, la plus totale
que j’ai jamais eu jusqu’ici
comment mettre en mots écrits, comment exprimer,
ce bonheur si complet, si riche, au fil des instants?
je n’existais plus mais alors plus du tout,
n’existait plus au fil des instants
qu’un sensation constamment changeante,
elle avait pris ma place,
il n’y avait plus qu’elle qui existait
et elle changeait, comme elle changeait
que la pression de mes doigts s’accroissent un peu,
que ma paume presse un peu plus, un peu moins,
que ma main change de direction,
qu’une autre partie de mon corps se mette à bouger,
tout générait des ondes, tout était à l’écoute
d’en bas, mes cuisses collés contre mes génitaux, là, aussi,
n’étaient pas en reste,
le moindre changement de pression, de surface en contact,
ajoutaient des coloris , des nuances différentes,
quand mes cuisses s’écartaient
et qu’il n’y avait plus qua la contraction qui allait solliciter la prostate,
la sensation de pénétration augmentait tellement,
mes gémissements se transformaient alors en un râle en continu
et je n’étais plus qu’un vagin empli d’une bite bien dure,
allant et venant divinement en elle
la communion voluptueuse était juste parfaite,
le masculin et le féminin en moi,
prenaient toute la place comme jamais jusqu’ici,
la sensation était en auto-pilotage complet,
en n’étant plus rien d’autre que la sensation,
elle semblait se diriger toute seule
le désir m’avait complètement absorbé,
il n’y avait plus que lui dans cette chair
et tout était à son service,
moments incroyables de bonheur,
d’extase en continu
mais est-ce le mot qui convient?
ce n’est pas de la jouissance,
une sorte de communion voluptueuse totale
de tout mon être
et puis je me suis rendu compte après m’être levé,
que ce ne fut pas juste un extraordinaire moment sous les draps au réveil
mais une étape décisive dans mon parcours
car je me suis rendu par après aux toilettes
et tout en déféquant, enfin faisant une petite pause,
en fermant les yeux, serrant un peu les fesses
et plaçant mes mains sur mes genoux
je me retrouvais instantanément dans le même état d’abandon total,
dans le même état de communion, de sensation de volupté et d’extase ,
j’étais là et en même temps, plus là du tout,
je formais une cellule d’union du masculin et du féminin,
de tout mon être,
je semblais voler dans les airs,
soutenu par des filaments de plaisir qui avait envahi tout l’espace
après, avec le papier cul dans une main, frottant mon anus,
rebelote,
je fermais les yeux,
je me laissais envahir
et un tapis volant m’emportait déjà,
oh, comme la journée commence bien,
sacré vin dieu de biquette,
je suis devenu une extase portative permanente,
sollicitable n’importe comment, n’importe où,
oh comme c’est bon, comme c’est bon,
comme je vais m’amuser ainsi
je crois bien que ce qui arrive désormais,
c’est que je parviens à me lâcher totalement
et en toutes circonstances,
à me connecter à mon corps,
sans plus rien entre nous
mais alors plus rien,
le lien, le lien,
le lien qui chante
13 avril 2024 à 10 h 22 min #49396bzoParticipanthum, non, malheureusement,
ce qu’il y a , il semble,
c’est que le matin, au réveil,
je sois dans un état particulier d’absolue réceptivité
mais, hélas, cela ne dure pas, ainsi, après,
tout le long de la journée
le plaisir reste, bien sûr, immense, majestueux, splendide,
solide de chez solide, consistant de chez consistant,
mais il n’y a plus, tout à fait,
ce que je qualifierai de “cet état de réceptivité totale, absolue”,
que j’ai au réveil
bon, c’est comme cela,
je ne me plains pas,
la nuit relâche sa douce, sa magique, étreinte sur moi
et pendant un temps, je bénéficie encore de sa absolue liberté,
de son pouvoir sans limites, sur mon être,
dans ma chair, dans mes sens,
dans ma pratique
après, cela reste divin
mais il n’y a plus cette dimension particulière,
qu’il y a durant les moments immédiatement après le réveil,
enfin, c’est aussi sans limites, c’est aussi magique, après
mais il n’y a plus la puissance de la nuit, dans mes veines, dans ma chair
qui s’exprime
aux premières secondes après mon réveil,
quand ma main se pose sur la peau,
les énergies du rêve sont encore là,
elles sont encore là qui se gambadent librement partout,
elles étaient en train de se retirer,
comme une divine marée haute dans l’invisible,
dont les eaux étaient en train de repartir, de retourner
mais que soudainement le contact de ma paume, de mes doigts, sur la peau,
mais que le mouvement langoureux, dans mes hanches,
que les contractions, que les frottements des cuisses sur les génitaux,
a attiré l’attention irrésistiblement,
a incité, un moment, encore, à se mêler à l’action
et ne voilà-t-il pas que les flammes d’un subtil booster,
dansaient partout dans mes veines,
la volupté semble enchantée, ainsi, au réveil,
des doigts de fée, parallèlement aux miens,
viennent jouer sur ma peau,
viennent taquiner ma prostate, mon anus, mes hanches
dans 5 mois, je serai à la retraite,
je pourrais pratiquer autant de temps que je veux,
au réveil,
rester au lit toute la journée, même, si cela me chante,
à jouir, à jouir, à jouir
et toute la nuit, aussi, dans la foulée
si ma chair en redemande
13 avril 2024 à 12 h 40 min #49398bzoParticipantla plupart des hommes, durant un acte sexuel,
tout seul, à deux ou à plusieurs,
ne sont pas à l’écoute d’eux-mêmes,
ils ne commencent à ressentir du plaisir
que quand celui-ci vient massivement à eux
être à l’écoute de soi-même,
c’est avoir constamment, un radar
qui balaie automatiquement vers l’intérieur
et qui perçoit le moindre changement,
le moindre micro-signal, agréable
et des détails ,
il y en a qui se lèvent en continu de tous les côtés,
il y a une mer qui danse en nous
et dont on peut, si on ne fait pas attention comme il faut,
ne percevoir que les plus hautes crêtes
14 avril 2024 à 1 h 50 min #49399bzoParticipantla séance que je viens de terminer,
à non seulement été tout à fait délicieuse
mais en plus, riche d’enseignements
évoluer, évoluer,
progresser, progresser,
faire du surplace,
c’est reculer lentement
mais sûrement
mais pas non plus,
en faire une obsession, une fixation,
tranquillement,
avec une curiosité sans bornes
et puis une audace, une envie,
de se découvrir,
sans être effrayé par aucun tabou
donc, il y a quelques minutes,
j’ai découvert une façon tout à fait intéressante
de mêler mon mode yin
et un massage prostatique, aneroless, bien sûr
cela se fusionne très bien,
superbement, même,
je me caresse,
je continue de bouger, de vibrer, au féminin
mais en bas, dans mon bassin,
ne me préoccupant pas si mes cuisses enveloppent, frottent, mes génitaux,
je me concentre exclusivement sur les contractions,
je les fais monter l’une après l’autre,
au rythme et avec la force,
dictés par mes tripes
je suis parvenu en deux, temps, trois mouvements,
à un splendide orgasme prostatique qui s’est bien étiré
mais différent, bien différent,
j’ai eu l’impression irrésisitible,
d’un orgasme en mode yin mais basée uniquement sur la prostate
mon sexe était mou, il participait aussi avec quelques ondes
mais la puissance de feu arrivait essentiellement de ma prostate,
enfin, le reste du corps participait aussi,
tout mon cul , mes cuisses, ma poitrine,
tout générait des ondes,
quelle salve de toutes parts
mais enfin, encore une fois,
l’essentielle des ondes étaient fournies par la prostate
qui éructait, canonnait à pleine puissance
et toute ma chair en était enflammée,
j’en hurlais, j’en miaulais, j’en roucoulais
15 avril 2024 à 17 h 58 min #49401bzoParticipantle plaisir vient, le plaisir arrive,
offert, je me suis offert à lui,par une ouverture dans ma chair,
il s’est rué à l’intérieur, il a tout envahi,
il s’est installé partouttout semble infiniment grand,
tout semble infiniment petit, pour l’instant,
tout semble céleste, tout semble animal,
tout semble incroyablement sauvage, chaotique, désordonné,
tout semble incroyablement harmonieux, calme, empli de paixla main, posée sur la poitrine,
semble attirer une meute d’énergie
qui est venu camper sous la peau,
dessous mes doigts, dessous ma paumevoluptueux rendez-vous, tête à tête délicieux,
debout au milieu de la pièce, je ne bouge pas,
juste, en bas, je contracte un peu les muscles du périné
et je laisse mes doigts un peu dériver à gauche, à droitecela vibre doucement,
cela vibre solairement, dans ma poitrine
je ferme les yeux,
goûter à cet essaim soyeux et chaud sous ma peauéternité, te voilà à moi, un instant,
je me suis dit16 avril 2024 à 23 h 42 min #49402bzoParticipantune volupté baignant constamment
dans une sensation de se faire l’amour,
et de complicité, de communion,
avec son corps
le plaisir en mode yin, semble ainsi,
comme un moment d’épanouissement
et de ressourcement,
en même temps qu’un nectar,
coulant dans la chair
17 avril 2024 à 10 h 51 min #49403bzoParticipantpourquoi j’écris encore par ici,
alors qu’il ne semble pas y avoir un chat pour me lire, pour dialoguer?
dialoguer, sur nos pratiques avec d’autres quand cela arrive,
cela me fait très plaisir, cela peut aussi me faire progresser
mais bah,
je me suis rendu compte que j’écrivais, en fait, avant tout pour moi-même,
juste pour le plaisir d’écrire,
mon talent d’écrivain est très modeste
mais j’ai un plaisir réel à jouer avec les mots, à les assembler,
comme quand j’étais enfant, à Amsterdam et que toute la journée,
je jouais par terre avec des légos
et puis mes textes sont des sortes d’instantanés sur ma pratique,
des photos sans trop de recadrage, de retouches,
parfois très justes, très vraies, qui révèlent beaucoup
parfois très trompeuses, ratée, reniables déjà le lendemain
17 avril 2024 à 11 h 04 min #49404bzoParticipantchaque jour,
le premier mouvement de hanche,
le premier contact des doigts sur la peau,
sont un moment spécial,
très très spécial, même
tout était effacé, tout était oublié, plus rien n’existait,
la page était blanche, sans trace apparente d’écriture,
la technique, aussi, était un savoir instinctif,
l’instant d’avant, encore complètement aux oubliettes
mais comme un sphinx, tout à coup,
quelque chose d’énorme, quelque chose d’inouï,
en moi, a réapparu
tout un monde de sensations voluptueuses,
de possibilité de jouissance,
toute une galaxie d’exploration, d’intimité ardente,
avec moi-même,
sont renés
la possibilité, à tout moment, tout seul,
de vivre des moments sexuels très particuliers,
d’une puissance et d’une richesse, illimitées,
a réapparu
la réalité de cette perspective,
la réalité de ces possibilités, sans limites,
d’intensité voluptueuse, orgasmique,
réattérissent dans mon cerveau,
réattérissent partout dans ma chair
alors oui,
ce premier instant de plaisir, à chaque fois,
est très très spécial,
à chaque fois, je ressens sous la forme d’un éclair lumineux,
comme si quelque chose d’incroyablement inespéré,
atterrissait en moi
comme si l’on venait de m’apprendre,
muettement, dans l’invisible,
que j’ai gagné le gros lot à une loterie, quelque part
et que le prix se déversait directement,
partout, dans ma chair et dans mon esprit,
à être consommé, à volonté,
tout le long de la journée, tout le long de la nuit,
par mes cellules
18 avril 2024 à 20 h 45 min #49418bzoParticipantquel délice,
de s’abandonner à ces torrents de soie
qui naissent dans mon bassin,
dans ma poitrine
couché sur mon tapis de yoga,
entre deux exercices pour la ceinture abdominale et les fessiers,
je me caresse, comme je me caresse
mes mains, mes avant-bras,
sont à l’oeuvre comme des pieuvres câlines,
s’en donnent à coeur joie
tandis qu’en bas,
mes cuisses frottent, pressent, ardemment, mon pénis, mes couilles
et puis les muscles du périné, ne sont pas en reste,
comme le batteur d’un groupe de rock
donnent le rythme,
font trembler toute la scène avec leurs roulements
comme ces tempêtes qui passent dans ma chair,
sont irrésistibles,
leurs roulements soyeux, incessants,
remontent vague après vague,
oh comme je jouis de tant de volupté
19 avril 2024 à 8 h 35 min #49422bzoParticipantpile ou face,
face visible
et face cachée de la lune
la douceur soyeuse sans limites de mon sexe,
ce rayonnement sans limites, de douceur, de soie chaude
dont il est capable en mode yin,
vague après vague
quand il est frotté, pressé, massé,
par mes cuisses,
rythmé par la houle langoureuse dans mes hanches
son autre aspect, si radicalement différent, étant,
quand se gorgeant de sang,
il commence à se lever et à durcir,
devenant cette petite tour de chair,
comme vibrante au moindre contact, au moindre effleurement,
prête à cracher sa petite giclée de jus laiteux
molle ou raide,
si capable, si capable,
de tempêtes radicalement différentes
dans ma chair
une sorte de caméléon, en fait,
prêt à toutes les couleurs
de l’arc en ciel du désir,
si on le sollicité comme il faut
20 avril 2024 à 9 h 14 min #49423bzoParticipantc’est le matin, je me réveille, sous les draps
aux premières perceptions de mouvement, de respiration,
je me rends compte que je ne suis qu’une machine à jouir,
prête à entrer en action, pour l’instant
mon corps est enveloppé de toutes parts
du cotton chaud et doux des toiles,
je me mets à onduler comme un serpent,
oh, cela frotte, comme cela frotte sur ma peau
mes fesses tout particulièrement,
que je contracte, que je décontracte comme si je respirais avec,
que je laisse emporter de plus en plus par une houle soyeuse
mes hanches bougent, bougent, bougent toutes seules
elles contiennent une telle musique,
chacune de leurs notes, est tellement, tellement, capiteuse,
ma chair en pleure des grosses larmes de bonheur par le sexe,
toute la zone en est complètement humide
et puis par mes gémissements, aussi
qui sont aussi des larmes de bonheur,
des grosses larmes de bonheur sonores qui sortent par ma bouche,
roulant directement depuis mes entrailles
je suis en pleine action maintenant,
mes bras, telles des tentacules,
entourent mon torse, entourent mes seins,
enveloppent et frottent, amoureusement
mes tétons durs comme de la pierre,
semblent des manettes à titiller et encore à titiller
qui mettent en action deux mitraillettes lourdes,
tirant en rafales denses des ondes
aveuglément dans toutes les directions
oh, il y a de la bite et du vagin là-dessous,
comme je les sens tous les deux en action en moi,
je ne connais pas de sensation plus divine
que de se sentir en même temps pénétrant et pénétré, jusqu’au fond de l’âme
ma chair,
fendue comme les flots par la proue d’un bateau,
se donne, comme elle se donne
et puis, en même temps,
je suis l’éperon dur comme du roc qui se fraie un chemin
parmi la houle d’une chair qui s’offre complètement
puissance de la raideur frotteuse et frottée de toutes parts,
enveloppée amoureusement par des cellules surexcitées,
on dirait un champs de blé où passent des rafales de vent,
la volupté est reine par ici,
elle balaie tout, fait plier tout, fait se redresser tout,
frotte partout, enveloppe tout,
passe de l’un à l’autre, repasse de l’un à l’autre,
zigzague de l’un à l’autre, entraînant une danse de l’un à l’autre
dans un enchaînement parfait,
des passages de relai dans la chair, de la volupté, de toutes parts
20 avril 2024 à 18 h 42 min #49430bzoParticipantje crois que ce soir,
je vais ressortir de sa boîte à chaussures,
un de mes masseurs prostatiques,
une soudaine envie,
cela fait bien bien longtemps
mais là,
j’ai cette envie irrésisitible d’en sentir un dans mon cul,
de l’y sentir bouger,
de le sentir venir titiller ma prostate
on va voir,
peut-être j’aurai déjà oublié dans quelques minutes,
cette soudaine lubie
20 avril 2024 à 23 h 33 min #49431bzoParticipantnon, tout de même pas,
devenu trop paresseux,
sortir le masseur, l’enduire de beurre de karité,
enfin toutes ces manipulations m’ennuient
et après, ressortir l’engin, aller le laver
je me sens pas prêt, suis pas assez motivé,
je continue plutôt aneroless
21 avril 2024 à 1 h 13 min #49432bzoParticipantbon, ben, je l’ai quand même fait, finalement,
la tentation du masseur en silicone, est revenue
et je m’y suis mis
quelle horrible snob je suis,
quel piètre sectaire de l’aneroless,
je m’en veux vraiment beaucoup
de m’être privé tant d’années de mon bon vieux masseur
mon gigantesque bon vieux Nexus G-Rider en silicone
qui semble avoir été confectionné pour moi,
tellement il semble adapté au millimètre près à ma morphologie intérieure
je l’ai ressorti de sa boîte,
je l’ai bien enduit de beurre de karité,
en ai mis aussi bien profond avec deux doigts
et hop, l’engin est rentré sans problème,
malgré sa taille imposante
oh comme c’était bon,
madre mia,
j’ai retrouvé tout de suite les vieux reflexes,
me suis à me caresser,
il semblait rentrer comme dans du beurre, dans ma prostate
qui rayonnait splendidement,
j’étais rapidement empli d’ondes prostatiques des pieds à la tête
et je gémissais à plein volume,
quel pied, mes amis, quel pied
et comme c’est différent du mode yin,
ces deux là vont devenir parfaitement complémentaires,
sans masseur, ce sera du mode yin
et avec le masseur, du 100% prostatique,
j’ai enfin trouvé ma formule magique
étonnantes similitudes avec mon mode yin,
j’ai pu constater,
ma prostate semblait un sexe féminin
dans lequel le masseur semblait venir s’enfoncer
mais extérieur à moi, pas comme dans le mode yin
où il est part intégral de moi, où je vibre totalement au féminin
je sentais que mon plaisir restait, ici, au masculin,
la prostate me donnait accès à toute la puissance féminine en moi
mais sans me faire passer au-delà des limites de mon genre
une porte, un sas vers le féminin,
vers la puissance des ondes féminines en nous,
tout en restant une pratique en mode yang
j’ai hâte de remettre cela,
quel pied immense, j’ai pris,
rien qu’avec la prostate rayonnant dans mon bassin,
ma queue se durcissait un peu par moments
mais c’est normal, il y a quelques mouvements qui le font bouger,
quelques frottements parfois,
il suffit de ne pas y faire attention
me relevant un peu, m’appuyant sur les coudes
et enfonçant le masseur à fond,
le maintenant ainsi,
j’ai jouis longuement, comme j’ai jouis
alterner les deux types de plaisir,
je sens que je vais bien m’amuser,
heureusement mon masseur préféré,
j’en ai une bonne douzaine dans mes boîtes, en réserve,
suis tranquille de ce côté-là,
j’ai de quoi m’exploser prostatiquement jusqu’à la fin des temps,
enfin, du moins, jusqu’à la fin de mon temps à moi
toujours aussi diabolique, ce G-Rider,
sa tête a de ces mouvements de bascule,
tout contre la paroi derrière laquelle se trouve ma prostate,
ça me rend toujours aussi fou de plaisir,
il pivote, il frotte, il est juste irrésisitible
il est énorme mais en même temps tellement maniable,
tellement riche en sensations délivrées
21 avril 2024 à 2 h 29 min #49434bzoParticipantah, j’ai encore fait une autre petite séance, avec le masseur,
tout aussi délicieuse, tout aussi irrésistible
j’ai pu constater maintenant,
qu’avec les années en aneroless,
les muscles du périné, chez moi,
se sont considérablement fortifiés
ils étaient déjà bien puissants, je me rappelle, à l’époque
mais là, je manipule ce énorme masseur comme si c’était un fétu de paille,
je fais vraiment ce que je veux avec,
le maintiens contracté à fond, si j’ai envie, autant de temps que je veux
je ne peux m’empêcher de comparer les sensations
du mode yin et ceux, ainsi, avec masseur, en 100% prostatique,
il y a un monde de différence, bien sûr
autant en mode yin,
le plaisir immédiatement est généré de tous les côtés,
tout le corps participe,
et puis on a cette sensation constamment de se faire l’amour,
d’une complicité splendide avec son corps,
un flux, des vagues, de volupté,
une infinie variété de nuances
qui s’intensifient de plus en plus,
jusqu’à ce que plus ou moins rapidement ,
on ait la sensation de jouir en continu
en 100% prostatique, avec masseur, par contre,
il n’y a rien de tout cela,
c’est la puissance pure, sans rivale, de la prostate
dont les ondes me font chaque fois comme un petit coup de canon délicieux ,
au fond du bassin, à chaque contact du masseur
puis un faisceau dense d’ondes s’élancent, montent en se dispersant,
provoquant un plaisir intense, orgasmique, sur son passage,
jusqu’au cerveau
bref, c’est différent et c’est bien ainsi,
ce sera splendidement complémentaire,
les orgasmes prostatiques me manquaient,
ces moments soudainement où on ne contrôle plus rien
et que le corps n’en fait plus qu’à sa tête
et que la tête appartient entièrement au corps
et à ses folies et à ses dérèglements
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