bon, ben, je l’ai quand même fait, finalement,
la tentation du masseur en silicone, est revenue
et je m’y suis mis
quelle horrible snob je suis,
quel piètre sectaire de l’aneroless,
je m’en veux vraiment beaucoup
de m’être privé tant d’années de mon bon vieux masseur
mon gigantesque bon vieux Nexus G-Rider en silicone
qui semble avoir été confectionné pour moi,
tellement il semble adapté au millimètre près à ma morphologie intérieure
je l’ai ressorti de sa boîte,
je l’ai bien enduit de beurre de karité,
en ai mis aussi bien profond avec deux doigts
et hop, l’engin est rentré sans problème,
malgré sa taille imposante
oh comme c’était bon,
madre mia,
j’ai retrouvé tout de suite les vieux reflexes,
me suis à me caresser,
il semblait rentrer comme dans du beurre, dans ma prostate
qui rayonnait splendidement,
j’étais rapidement empli d’ondes prostatiques des pieds à la tête
et je gémissais à plein volume,
quel pied, mes amis, quel pied
et comme c’est différent du mode yin,
ces deux là vont devenir parfaitement complémentaires,
sans masseur, ce sera du mode yin
et avec le masseur, du 100% prostatique,
j’ai enfin trouvé ma formule magique
étonnantes similitudes avec mon mode yin,
j’ai pu constater,
ma prostate semblait un sexe féminin
dans lequel le masseur semblait venir s’enfoncer
mais extérieur à moi, pas comme dans le mode yin
où il est part intégral de moi, où je vibre totalement au féminin
je sentais que mon plaisir restait, ici, au masculin,
la prostate me donnait accès à toute la puissance féminine en moi
mais sans me faire passer au-delà des limites de mon genre
une porte, un sas vers le féminin,
vers la puissance des ondes féminines en nous,
tout en restant une pratique en mode yang
j’ai hâte de remettre cela,
quel pied immense, j’ai pris,
rien qu’avec la prostate rayonnant dans mon bassin,
ma queue se durcissait un peu par moments
mais c’est normal, il y a quelques mouvements qui le font bouger,
quelques frottements parfois,
il suffit de ne pas y faire attention
me relevant un peu, m’appuyant sur les coudes
et enfonçant le masseur à fond,
le maintenant ainsi,
j’ai jouis longuement, comme j’ai jouis
alterner les deux types de plaisir,
je sens que je vais bien m’amuser,
heureusement mon masseur préféré,
j’en ai une bonne douzaine dans mes boîtes, en réserve,
suis tranquille de ce côté-là,
j’ai de quoi m’exploser prostatiquement jusqu’à la fin des temps,
enfin, du moins, jusqu’à la fin de mon temps à moi
toujours aussi diabolique, ce G-Rider,
sa tête a de ces mouvements de bascule,
tout contre la paroi derrière laquelle se trouve ma prostate,
ça me rend toujours aussi fou de plaisir,
il pivote, il frotte, il est juste irrésisitible
il est énorme mais en même temps tellement maniable,
tellement riche en sensations délivrées