#49432
bzo
Participant

bon, ben, je l’ai quand même fait, finalement,

la tentation du masseur en silicone, est revenue

et je m’y suis mis

 

quelle horrible snob je suis,

quel piètre sectaire de l’aneroless,

je m’en veux vraiment beaucoup

de m’être privé tant d’années de mon bon vieux masseur

 

mon gigantesque bon vieux Nexus G-Rider en silicone

qui semble avoir été confectionné pour moi,

tellement il semble adapté au millimètre près à ma morphologie intérieure

 

je l’ai ressorti de sa boîte,

je l’ai bien enduit de beurre de karité,

en ai mis aussi bien profond avec deux doigts

et hop, l’engin est rentré sans problème,

malgré sa taille imposante

 

oh comme c’était bon,

madre mia,

j’ai retrouvé tout de suite les vieux reflexes,

me suis à me caresser,

il semblait rentrer comme dans du beurre, dans ma prostate

qui rayonnait splendidement,

j’étais rapidement empli d’ondes prostatiques des pieds à la tête

et je gémissais à plein volume,

quel pied, mes amis, quel pied

 

et comme c’est différent du mode yin,

ces deux là vont devenir parfaitement complémentaires,

sans masseur, ce sera du mode yin

et avec le masseur, du 100% prostatique,

j’ai enfin trouvé ma formule magique

 

étonnantes similitudes avec mon mode yin,

j’ai pu constater,

ma prostate semblait un sexe féminin

dans lequel le masseur semblait venir s’enfoncer

mais extérieur à moi, pas comme dans le mode yin

où il est part intégral de moi, où je vibre totalement au féminin

je sentais que mon plaisir restait, ici, au masculin,

la prostate me donnait accès à toute la puissance féminine en moi

mais sans me faire passer au-delà des limites de mon genre

 

une porte, un sas vers le féminin,

vers la puissance des ondes féminines en nous,

tout en restant une pratique en mode yang

 

j’ai hâte de remettre cela,

quel pied immense, j’ai pris,

rien qu’avec la prostate rayonnant dans mon bassin,

ma queue se durcissait un peu par moments

mais c’est normal, il y a quelques mouvements qui le font bouger,

quelques frottements parfois,

il suffit de ne pas y faire attention

 

me relevant un peu, m’appuyant sur les coudes

et enfonçant le masseur à fond,

le maintenant ainsi,

j’ai jouis longuement, comme j’ai jouis

 

alterner les deux types de plaisir,

je sens que je vais bien m’amuser,

heureusement mon masseur préféré,

j’en ai une bonne douzaine dans mes boîtes, en réserve,

suis tranquille de ce côté-là,

j’ai de quoi m’exploser prostatiquement jusqu’à la fin des temps,

enfin, du moins, jusqu’à la fin de mon temps à moi

 

toujours aussi diabolique, ce G-Rider,

sa tête a de ces mouvements de bascule,

tout contre la paroi derrière laquelle se trouve ma prostate,

ça me rend toujours aussi fou de plaisir,

il pivote, il frotte, il est juste irrésisitible

 

il est énorme mais en même temps tellement maniable,

tellement riche en sensations délivrées