ah, j’ai encore fait une autre petite séance, avec le masseur,
tout aussi délicieuse, tout aussi irrésistible
j’ai pu constater maintenant,
qu’avec les années en aneroless,
les muscles du périné, chez moi,
se sont considérablement fortifiés
ils étaient déjà bien puissants, je me rappelle, à l’époque
mais là, je manipule ce énorme masseur comme si c’était un fétu de paille,
je fais vraiment ce que je veux avec,
le maintiens contracté à fond, si j’ai envie, autant de temps que je veux
je ne peux m’empêcher de comparer les sensations
du mode yin et ceux, ainsi, avec masseur, en 100% prostatique,
il y a un monde de différence, bien sûr
autant en mode yin,
le plaisir immédiatement est généré de tous les côtés,
tout le corps participe,
et puis on a cette sensation constamment de se faire l’amour,
d’une complicité splendide avec son corps,
un flux, des vagues, de volupté,
une infinie variété de nuances
qui s’intensifient de plus en plus,
jusqu’à ce que plus ou moins rapidement ,
on ait la sensation de jouir en continu
en 100% prostatique, avec masseur, par contre,
il n’y a rien de tout cela,
c’est la puissance pure, sans rivale, de la prostate
dont les ondes me font chaque fois comme un petit coup de canon délicieux ,
au fond du bassin, à chaque contact du masseur
puis un faisceau dense d’ondes s’élancent, montent en se dispersant,
provoquant un plaisir intense, orgasmique, sur son passage,
jusqu’au cerveau
bref, c’est différent et c’est bien ainsi,
ce sera splendidement complémentaire,
les orgasmes prostatiques me manquaient,
ces moments soudainement où on ne contrôle plus rien
et que le corps n’en fait plus qu’à sa tête
et que la tête appartient entièrement au corps
et à ses folies et à ses dérèglements