hé hé mes amis (la poussière, le vent et le temps qui passe)
hier soir ou plutôt, hier dans la nuit,
ca a été mémorable,
j’ai déterré mon masseur
et j’ai pris mon pied monstrueusement,
comme les deux textes précédant celui-ci, le décrivent en détails
j’en ai des frissons, rien que d’y penser,
suis assez occupé aujourd’hui en journée
mais dès que je reviendrais,
je me beurre l’anus et le masseur
et hop et hop et hop,
en avant, avanti, pour les ondes prostatiques
je ne peux m’empêcher de délirer , de m’enthousiasmer,
j’en ai rêvé de ce moment
où les deux types de pratique, prostatique et en mode yin,
cohabiteront en moi,
que les deux seront à ma disposition, à volonté
voilà, c’est là, c’est à moi,
mon cul en est tout émoustillé rien que d’y penser,
cela me démange au fond de l’anus,
il y a un masseur fantôme pour l’instant
qui va et qui vient
j’ai l’impression de sentir encore celui de hier,
ma fée Carabosse en silicone noir
qui récure diaboliquement mon petit canal comme aucun autre,
la sorcière adorée (allusion télévisuelle aux plus vieux d’entre vous) bien lubrifiée
qui m’emporte sur son balai magique,
faisant miroiter de mille feux ma prostate
comme une de ces boules à facettes qu’il y a dans les boîtes de nuit
tandis que ma chair danse follement tout autour