Mots-clés : aneroless
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21 avril 2024 à 10 h 37 min #49435bzoParticipant
hé hé mes amis (la poussière, le vent et le temps qui passe)
hier soir ou plutôt, hier dans la nuit,
ca a été mémorable,
j’ai déterré mon masseur
et j’ai pris mon pied monstrueusement,
comme les deux textes précédant celui-ci, le décrivent en détails
j’en ai des frissons, rien que d’y penser,
suis assez occupé aujourd’hui en journée
mais dès que je reviendrais,
je me beurre l’anus et le masseur
et hop et hop et hop,
en avant, avanti, pour les ondes prostatiques
je ne peux m’empêcher de délirer , de m’enthousiasmer,
j’en ai rêvé de ce moment
où les deux types de pratique, prostatique et en mode yin,
cohabiteront en moi,
que les deux seront à ma disposition, à volonté
voilà, c’est là, c’est à moi,
mon cul en est tout émoustillé rien que d’y penser,
cela me démange au fond de l’anus,
il y a un masseur fantôme pour l’instant
qui va et qui vient
j’ai l’impression de sentir encore celui de hier,
ma fée Carabosse en silicone noir
qui récure diaboliquement mon petit canal comme aucun autre,
la sorcière adorée (allusion télévisuelle aux plus vieux d’entre vous) bien lubrifiée
qui m’emporte sur son balai magique,
faisant miroiter de mille feux ma prostate
comme une de ces boules à facettes qu’il y a dans les boîtes de nuit
tandis que ma chair danse follement tout autour
22 avril 2024 à 9 h 42 min #49447augnatParticipantUne question, comme ça : pourquoi vouloir à tout prix utiliser un masseur pour la stimulation prostatique ? Tu te sens obligé de cloisonner les pratiques yin et prostatique, ou c’est autre chose ?
22 avril 2024 à 17 h 46 min #49448bzoParticipantsalut
d’abord, je n’ai pas cherché absolument à utiliser un masseur prostatique,
c’est tout le contraire,
après des années de pratique du massage prostatique avec masseur,
très prolifiques et très réussies,
je suis passé à l’anerolesset pendant des années je ne m’en suis plus jamais servi
et je le regrette bien de ne pas avoir gardé les deux,
car je n’obtiens pas du tout le même type de résultat,
avec ou sans
j’ai pu le constater sans ambiguïté , ces derniers joursle fait est qu’aneroless,
mon massage prostatique ne m’a jamais vraiment permis
d’atteindre les mêmes hauteurs qu’avec un masseur,
je me dois, pour être totalement honnête, de l’avouerla raison n’est pas du tout,
un manque de qualité, de richesse, inhérent à la pratique aneroless
par rapport à celle avec masseur,
non, définitivement non,
c’est tout le contraire,
la pratique aneroless est plus riche, plus variée
et offre bien plus de libertémais c’est plus que probablement lié
à ma pratique en mode yin qui est aussi aneroless
et qui finalement, laisse que peu de place, voire pas du tout
pour une autre pratique aneroless à côté d’elleil m’est beaucoup trop mais alors beaucoup trop facile
de basculer en mode yin instantanément
quand je suis en mode prostatique, sans masseur entre les jambes,
c’est juste trop irrésisitible de le faire, au bout d’un certain temps,
tellement le plaisir y est plus simple, plus naturel, sans effort,
ressenti dans tout le corps, variant sans cesse, etc, etcje mélange des moments 100% prostatiques dans la pratique en mode yin,
ils sont tout à fait délicieux , riches et puissants
mais ce n’est pas du massage prostatiquela définition du massage prostatique,
pour moi, est, on ne peut plus simple,
c’est du massage ou du chipotage comme vous voulez,
quand vous voulez, tout seul ou avec qui vous voulez
qui conduit à des orgasmes prostatiques.
Point.En faisant le poirier sur une main et écoutant du Bach
ou en vous grattant les aisselles avec une petite cuillère
si cela fonctionne chez vous,
et que vous obtenez des orgasmes prostatiques ainsi,
alors c’est du massage prostatiquenon, le fait d’utiliser un masseur,
justement compartimente plus efficacement,
me permet, pour l’instant, de garder chaque type de pratique, dans son pré,
et me permet, ainsi, d’avoir à nouveau une pratique 100% prostatique
qui conduit aux résultats escomptéspour plusieurs raisons, cela fonctionne, en tout cas, pour l’instant,
d’abord avec un masseur planté dans le cul,
les mouvements sont plus limités, je bouge nettement moins,
or le mode yin, c’est le mouvement,
le bassin danse, les hanches ondulent,
le corps se meut, se meutil y a nettement moins de liberté, à tous les points de vue
dans une pratique avec masseur,
or mon mode yin, s’accommode mal d’une quelconque restriction, au stade où j’en suis
les contractions, sont comme une danse des muscles du périné,
sont comme des ailes d’oiseau qui battent librement,
mais avec le masseur,
c’est plutot être comme avec des chaînes aux pieds, de ce point de vue,
les mouvements sont plus limités, on ne doit pas trop bouger
sinon le masseur devient inactif, perd de son efficacitéles contractions avec masseur,
sont beaucoup moins riches, moins libres, moins variés, aussi,
cependant cette relative pauvreté de la pratique avec masseur par rapport à l’aneroless,
est compensée en grande partie par une surpuissance obtenue grâce à l’objet physique, masseur,
une fois qu’on sait bien le manipulersurpuissance qui utilisée à bon escient,
délivre une qualité de plaisir totalement différente,
matérialisée par de nombreux types d’orgasmesces limitations et la répétition, jour après jour,
sont les raisons même
pour lesquelles j’ai abandonné, il y a quelques années le masseur complètement,
j’en avais fait le tour,
j’avais obtenu des super O qui duraient plusieurs minutes,
des séances où j’enchaînais des dizaines et des dizaines d’orgasmes à la queue leu leu,
vécu aussi des orgasmes de style “mer calme”
durant certaines, j’ai même eu de splendides hallucinations
qui ont été des moments vraiment très très spéciauxquand pendant un temps indéterminé,
on devient de tout son être, une aile d’oiseau en mouvement,
qu’on sent partout en soi, dans chacune de ses cellules,
cet effort formidablement synchronisé et gigantesque pour battre l’air
ou que j’entrevois en moi, un long pont suspendu qui se perd la lumière,
ce sont des choses qu’on n’oublie pas,
qui restent imprégnées en soi, pour toujours
et que je veux absolument revivremais comme je l’ai écrit, il y a pas longtemps,
il n’y a aucun plaisir, aussi intense qu’il soit,
dont on ne peut se lasser
si on ne progresse plus,
je voulais vivre autre chose, j’avais besoin d’autre chose,
j’avais besoin de changer d’aire de plaisirlà, en alternant les deux types de pratique
qui sont splendidement complémentaires, je le répète
car ce qui est moins présent dans l’une,
sont les atouts principaux de l’autre
et vice et versaavec l’une,
j’ai l’infinie variété, l’infini carrousel, des nuances d’une volupté
comme un nectar ineffable dans la chair ,
une sensation de jouissance en continu, en fait,
j’ai aussi cette sensation de complicité, de communion, avec mon corps,
sensation d’un épanouissement superbe, à chaque instantavec l’autre j’ai la puissance pure, violente, sans restriction,
de la prostate titillée par un masseur
j’ai les orgasmes divers et variés que cela peut provoquer,
j’ai les détraquements totaux du corps pendant de longues minutes
qui peuvent me catapulter dans des zones de moi-même totalement inconnues et mystérieuses,
avec des résultats parfois carrément mystiqueset puis je compte aussi développer dès que je suis à la retraite,
encore une pratique anale,
rien qu’avec les doigts ou avec des joujou, je verrai23 avril 2024 à 22 h 23 min #49450bzoParticipantau fond, le mode yin, le plaisir au féminin,
c’est apprendre à aimer son corps
quand celui-ci sent cela,
il réagit
et comme il réagit,
vous n’imaginez même pas
je veux dire,
vraiment aimer son corps,
pas juste comme cela, une notion abstraite,
l’aimer dans sa tête,
se dire comme je t’aime, comme je t’aime ,
mon corps chéri
non, l’aimer dans l’instant,
l’aimer concrètement , avec ses mains
avec toute sa fougue, toute son ardeur, toute sa délicatesse,
tout son raffinement, toute sa sauvagerie,
se donner entièrement, être entièrement, dans chaque caresse
l’aimer avec ses gestes, l’aimer avec ses mouvements,
effectuer ceux-ci comme si on voulait le caresser à chaque instant, avec,
l’aimer avec ses contractions,
effectuer chacune de celles-ci,
comme si on voulait aussi le caresser de l’intérieur avec
aimer son corps,
avec toutes nos actions,
une façon de se pencher sur son corps
comme si c’était le corps de notre amante ou de notre amant
ou les deux
à qui on voudrait procurer le plus de plaisir possible
25 avril 2024 à 20 h 53 min #49453bzoParticipantj’ai dix doigts
mais quand ils courent sur ma peau,
j’ai parfois l’impression qu’ils sont cent,
les chenapans
mon bassin me veut du bien
mais il faut que je le laisse faire, totalement,
il me susurre
expertise de mes cuisses ,
transformer mon sexe et mes couilles,
en un torrent de soie,
à coups de frottements, d’effleurements,
de pressions plus ou moins légères
26 avril 2024 à 22 h 04 min #49454bzoParticipantj’évoque le sujet, une ou deux fois par an,
à quel point le plaisir yeux fermés,
est différent de celui, yeux ouverts
quand on se laisse aller à garder longuement les paupières closes,
j’enfonce là une porte ouverte,
on vit les sensations dans l’intimité feutrée,
d’un corps à corps, d’un tête à tête, avec sa chair,
d’un corps à tête, disons,
une effusion, derrière des volets fermés
alors qu’en se forçant à garder les yeux ouverts, ben,
c’est comme si l’intérieure sortait, peu à peu,
que l’extérieur se joignait à lui,
l’air semble acquérir une puissance, les objets aussi
qui viennent se joindre aux ébats, d’une certaine manière
il y a juste plus de relief, dans la moindre sensation,
un épanouissement plus grand vécu à chaque instant
le fait, aussi, de voir son corps empli de désir,
tellement capiteux,
de voir ses mains sur la peau, s’y déplacer,
sentir celle-ci réagir sous les doigts,
de voir ses hanches danser tellement langoureusement
voir sa queue bouger,
sous l’effet des pressions, des frottements des cuisses,
cela c’est très bizarre
car j’ai l’impression, à chaque fois,
d’un corps étranger qui a atterrit là dans mon giron,
un objet distilleur d’ondes qui me semble totalement externe,
un oiseau bizarre qui s’est posé là, qui se laisse faire,
qui déverse des tonnes de vibrations délicieuses aux alentours
et puis mes gestes, mes mouvements,
les voir se dérouler de façon, si langoureuse, si capiteuse,
si naturellement,
le mouvement semble une caresse de la peau jusque dans les profondeurs,
la chair est échauffé de l’intérieur, à chaque geste,
la soie se réveille partout,
une mer de douceur voluptueuse se met à danser
dans tout mon être
27 avril 2024 à 10 h 20 min #49455bzoParticipantcette nuit, la séance au lit, 100% prostatique,
a, à la fois, très bien et très mal tourné,
enfin j’ai cru dans un premier temps,
elle a, juste, très bien tourné, en fait
je décrivais plus haut,
à quel point j’étais content d’avoir à nouveau une pratique 100% prostatique
et que j’y parvenais en établissant une sorte de barrière, de séparation
entre le mode yin qui est aneroless et hors du lit
et puis le massage prostatique avec masseur
que je pratique à l’horizontale, sur le matelas
l’utilisation d’un engin en silicone et tout ce que cela sous-entend,
une pratique uniquement au lit, donc,
tout un petit rituel pour se préparer avant,
tout un autre, après, pour nettoyer l’engin,
la moindre mobilité durant l’action ,
la différence très nette entre le type des sensations
m’a aidé à garder séparés les deux mondes, quelques jours
eh bien , c’est fini,
le mode yin a gagné, a envahi le lit aussi
et ma pratique avec masseur
avant-hier, en parvenant à me lâcher complètement
durant une séance au lit en prostatique avec masseur,
je me suis rendu compte que j’avais basculé en mode yin
sans même m’en rendre compte
au lieu des contractions aneroless habituelles
pour recréer en moi la sensation de pénétration,
les va et vient, la sensation de se faire l’amour,
le masseur prenait tout cela en charge,
réveillant en moi, ainsi, aussi, complètement le féminin
mais ce n’est pas grave, ce n’est pas un problème,
en fin de compte, je me suis rendu compte
car l’important , c’est que les sensations soient totalement différentes,
cela reste, ainsi, comme deux pratiques complètement différentes, complémentaires,
même s’il y a des similitudes certaines et des points communs
il semble qu’en solitaire, le mode yin est ma voie exclusive,
qu’elle trouve le moyen de s’exprimer, de m’envahir,
de quelque manière que je m’y essaie,
le lâcher prise XXL, la voie royale d’accès total à mes énergies
qu’elle me propose,
sont trop fortes et s’imposent à moi après quelques jours
quoique je tente
cependant, encore une fois, je me suis rendu compte
que ce n’est pas un problème, finalement,
tellement c’est une autre facette, un autre versant du mode yin
qui s’offre à moi, ainsi, au lit
je qualifie cela de mode yin car je sens
que je bascule au-delà des frontières de mon genre
et que je prends mon plaisir au féminin
mais je pourrais tout aussi bien qualifier cela
de variante du plaisir prostatique
puisque seule ma prostate est sollicitée dans le bassin
et que les sensations sont constamment orgasmiques,
splendidement orgasmiques
et me conduisent aussi aux superbes explosions des orgasmes
ce qu’il n’y a jamais en mode yin aneroless
où c’est plutôt le royaume de la volupté,
d’un carrousel de sensations sans cesse changeantes
et d’une espèce de sensation de jouissance dans tout le corps
mais sans explosions orgasmiques
quand l’intensité de la volupté augmente au-delà d’un certain stade
30 avril 2024 à 16 h 22 min #49466bzoParticipanton se contente parfois de si peu,
assis, je couve entre les cuisses, mes génitaux,
mine de rien, cela me fait une chaleur toute capiteuse,
partout, dans le bassin
comme c’est soyeux, comme c’est doux,
à la moindre occasion, dans mes diverses activités, à la maison, anodines,
à la cuisine, dans la pièce de séjour, dans la salle de bain, aux toilettes,
je profite du moindre instant pour m’adonner à cette légère et innocente activité
je joue aussi sur ma position dans l’espace,
cambre les reins, contracte les fesses,
imprime une légère houle, un instant, à mes hanches
ça n’a l’air de pas grand chose
mais tout cela combiné,
cela m’installe directement une volupté,
tellement délicieuse, partout
juste, quelques gestes, quelques mouvements,
comme je me sens résonner du nectar des ondes,
pas besoin de plus, ces derniers jours,
quelques notes légères,
improvisées sur mon instrument de musique,
en toute liberté,
en toute complicité avec mon corps
1 mai 2024 à 11 h 07 min #49472bzoParticipantce qui est mystérieux, assez miraculeux, même, osons le mot,
dans ma pratique en mode yin,
c’est que le corps semble réagir,
comme un tout, comm un ensemble,
à la moindre sollicitation
je me caresse à un endroit
et c’est un peu comme si je m’étais caressé un peu partout,
tellement la sensation semble venir de tous les côtés
pour reprendre une analogie que j’ai déjà employée par le passé,
c’est un peu comme si en mode yin,
tout mon être réagissait comme la surface d’un plan d’eau,
je lance un caillou quelque part dedans
et des ondes concentriques immédiatement se forment,
s’éloignent du point de chute
pour aller dans toutes les directions
j’en lance un deuxième,
en me caressant une fesse, par exemple
et en même temps un troisième, en me frottant les tétons
et des cercles concentriques d’ondes s’en vont des deux points de contact,
envahissent toute la surface, se croisent, se décroisent,
unissent en certains endroits leurs vagues,
en d’autres, les font se ruer les unes contre les autres
et si dans la foulée,
je contracte un peu les muscles du périnée,
cela fait comme un autre caillou, bien gros celui-là (puissance de la prostate)
qui entre en contact avec la surface
une fois bien en action,
c’est un fil continu de cailloux qui atterrissent, qui plongent dans les eaux,
parfois, trois, quatre, cinq , six, en même temps,
parfois qu’un seul,
parfois des toutes minuscules, parfois des énormes,
parfois qui s’enchaînent à un rythme soutenu, à toute vitesse,
parfois plus lentement, plus sporadiquement
la combinaison de tous ces jets,
arrivant avec plus ou moins de force de lancée, de poids initial,
selon un certain angle, quasi à la verticale
ou au contraire, plus ou moins en rase motte de la surface,
fait que rapidement,
tout le plan d’eau, on pourrait dire, qu’est mon être en mode yin,
n’est plus qu’une danse d’ondes exubérantes,
une grande salle de bal avec des milliers de danseurs qui papillonnent
3 mai 2024 à 0 h 31 min #49484bzoParticipantj’arrive à des orgasmes d’une puissance et d’une singularité splendides, ce soir,
en combinant , en libérant, toute la puissance de la prostate
et en même temps des génitaux,
en un flux qui me traverse irrésistiblement
j’ai l’impression d’être dans la bouche d’un canon,
la poudre prend feu graduellement tout autour de moi,
moi, le boulet , je deviens tout léger
et je me sens de plus en plus expulsé,
prendre de la vitesse,
me libérer des lois de la pesanteur
me voilà en l’air,
tournoyant de plus en plus sur moi-même,
filant à toute vitesse,
la griserie aveugle mon cerveau,
fait s’évanouir mon corps,
je ne suis plus que jouissance s’autosuffisant à elle-même,
la lumière, seule, existe encore autour de moi,
elle m’enveloppe, elle me caresse, elle me soutient
4 mai 2024 à 11 h 58 min #49489bzoParticipantquel plaisir de vibrer au féminin,
dans une chair d’homme,
avec ce pénis qui pendouille entre mes jambes,
cette poitrine plate, même un peu poilue,
ce manque d’une ouverture comme une bouche à canon, de volupté,
tournée vers l’intérieur, en bas , par devant
il faut l’avoir vécu, au moins une fois, à pleine puissance,
pour comprendre à quel point, c’est glorieux, capiteux, sensuel,
jouissif, voluptueux,
transgressif, aussi, bien sûr
ce qui est, pour ainsi-dire, miraculeux,
c’est à quel point, il y a moyen de le faire,
à quel point, totalement, il y a moyen de le vivre,
sans avoir le corps et l’esprit d’une femme, aucunement
à quel point, ce corps,
qui semble ancré, coulé, dans le masculin,
qui semble claquemuré dans son genre,
peut s’en évader totalement, pour de longs moments
et vivre une toute autre nature,
frémir, vibrer, jouir, selon des règles différentes
à quel point,
tout cela est profondément enfoui, en chacun de nous
car je suis quelconque,
un mec tellement comme les autres,
pas une femme qui a atterri par erreur dans le corps d’un homme,
pas un homme qui a rêvé depuis toujours de vibrer au féminin
non,
juste quelqu’un qui a sauté sur une opportunité qu’il pressentait au fond de lui,
à forcer de s’explorer
armé d’une curiosité, de plus en plus, sans tabous
et qui a persisté,
qui a beaucoup, beaucoup, persisté
car, ne le cachons pas,
le cheminement a été long, très long
pour parvenir à ce résultat, tellement sans limites,
tellement cour des miracles
cour des miracles, oui,
c’est bien cela,
de parvenir à s’enchanter pour quelques instants,
d’une manière tellement radicale,
tellement fondamentalement différente
des plaisirs au masculin
quel secret, aussi,
quel doux, quel délicieux, secret à porter,
terrible, pervers, détraqué,
sans doute, aux yeux de certains
je n’en ai cure,
le féminin est là en moi,
je l’ai cultivé,
la petite graine que j’ai trouvé un jour,
je l’ai fait pousser patiemment,
la plante est resplendissante désormais,
immense, immense, tellement immense,
elle semble monter et se perdre instantanément dans le ciel,
parmi les nuages
quand je la laisse se déployer
oh, comme je l’aime
sentir m’envahir,
m’entraîner,
je semble plongé
dans une mer de volupté,
un océan de soie,
à la fois disloqué dedans
et réuni à moi-même,
tellement complice de ma chair
ma technique est à la fois
tellement improvisée
et tellement travaillée,
tellement au point
5 mai 2024 à 12 h 53 min #49609bzoParticipantla liberté de jouir au masculin,
la liberté de jouir au féminin,
la liberté de jouir de toutes les manières
que ce corps et cet esprit peuvent nous offrir,
pour se vivre pleinement,
pour se vivre à fond
5 mai 2024 à 23 h 25 min #49620bzoParticipantdélicieuse séance avec masseur, ce soir,
cela faisait quelques jours que je n’en avais plus fait
et c’est bien ainsi, ne pas me forcer,
uniquement quand l’envie est là
le masseur semblait entrer comme dans du beurre dans ma prostate
à chaque fois qu’elle entrait en contact avec elle
et à chaque fois c’était aussi comme si cela déclenchait
un jet d’ondes vers le haut
qui venait exploser dans mon cerveau
par moments, je me caressais passionnément,
à d’autres, mes bras reposaient sur les côtés
et je dégustais rien que des ondes du bassin,
sentir tellement de feu, tellement de volupté, entre mes reins,
comme je gémissais
à partir d’un moment,
j’ai eu envie de mélanger les ondes prostatiques à celles des génitaux,
je resserrais juste les cuisses
et continuais mon manège avec le masseur,
rien que le fait de presser un peu mes couilles, mon pénis,
provoquait un tel afflux d’ondes parfaitement amalgamées,
juste irrésistible, juste délicieux
oh comme c’était bon,
à partir d’un moment, j’ai commencé à me tortiller, à me débattre, avec une telle vigueur
que j’avais l’impression d’être un bilboquet bondissant en l’air
dont la tige était le masseur
la jouissance fut délicieusement violente avec un lent crescendo
mais trop courte, malgré tout,
j’aurai voulu que cela dure des heures et des heures
7 mai 2024 à 13 h 43 min #49629PetitsPlaisirs76Participantbzo écrit
tout cela est profondément enfoui, en chacun de nous
car je suis quelconque,
un mec tellement comme les autres,
pas une femme qui a atterri par erreur dans le corps d’un homme,
pas un homme qui a rêvé depuis toujours de vibrer au féminin
non,
juste quelqu’un qui a sauté sur une opportunité qu’il pressentait au fond de lui,
Idem pour moi, pas de regret de n’être pas assez d’un genre, ni d’animosité d’être trop de l’autre,
je fais plaisir à mon yin en féminisant un peu ma garde-robe pour des petits moments chiffons à la maison uniquement.
Sexuellement le yang et le yin ont chacun leur part avec un penchant de plus en plus pour le yin, plus fin, plus profond.8 mai 2024 à 10 h 21 min #49632bzoParticipantcette nuit,
comme toutes les autres nuits, en fait,
je me suis réveillé plusieurs fois
et à chaque fois,
c’était un déluge de caresses
et de mouvements langoureux
le yin me remontait du bassin,
comme une explosion délicieuse, irrésisitible,
semblait se déployer en moi comme un papillon
depuis mes rêves-même
une main de soie, entrouverte, géante
me recueillait, m’emportait
comme sur un radeau dévalant un torrent de volupté
mais déjà je me rendormais
8 mai 2024 à 12 h 10 min #49633bzoParticipantcela me surprendra toujours
mais chaque jour, c’est toujours un peu meilleur
cela progresse toujours, cheminement sans fin
la volupté devient toujours plus fine, plus riche, plus variée,
la complicité avec mon corps, la sensation de communion avec lui, plus forte,
la sensation de se faire l’amour, plus divine,
la jouissance, à la fois plus animale, plus crue, plus explosive
et plus extatique, plus éthérée, quasi mystique par moments
9 mai 2024 à 9 h 55 min #49644bzoParticipantoh, comme mon corps répond où que mes doigts se posent,
où que je contracte un muscle,
quelque mouvement, quelque geste que je fasse
les notes de la volupté s’élèvent de toutes les coins que je sollicite,
venant rejoindre d’autres qui résonnaient déjà,
modifiant l’accord que je ressentais,
le faisant évoluer, changer ses coloris, changer ses nuances
le yin bat tranquillement des ailes en moi,
me faisant s’élever irrésistiblement,
quelle légèreté, quelle ivresse,
quelque chose s’est désenclavé, quelque chose s’est libéré
harmonie des ailes battantes
composées de toutes les fibres de mon être,
souple, féline, capiteuse, sensualité
se dispersant en nappes dans ma chair
je bois à une source quelque part en moi,
je suis agenouillé devant elle
et mon visage est toute proche
de la surface sombre, brillante, traversée d’éclairs,
mes lèvres sont en contact,
ma gorge inondée d’ondes,
vibrant, voluptueux, essentiel, ressourcement
9 mai 2024 à 12 h 51 min #49657bzoParticipantêtre né homme du genre masculin,
c’est un peu comme être né sur une île,
certes immense
avec plein de territoires à l’intérieur à explorer
mais une île quand même
on peut apprendre à nager, à plonger,
ainsi, goûter un peu aux vagues, à l’écume, à l’eau du large, aux profondeurs marines,
en s’éloignant plus ou moins de la terre ferme
cependant on n’a pas ce vaisseau dans la chair dès la naissance
qu’il faut apprendre, certes, à manœuvrer, à diriger
mais après, on peut filer en toute liberté,
explorer la haute mer, les horizons lointains ,
de la volupté et de l’extase
il est possible cependant, pour nous, dans l’instant ardent de l’action,
de se construire des esquifs temporaires,
des fiers navires faits de bric et de broc
qui nous permettent ponctuellement aussi
de goûter à l’horizon et à ses eaux tellement proches des cieux
9 mai 2024 à 20 h 07 min #49672bzoParticipantparmi les plaisir en solitaire à la disposition de l’homme,
se secouer la tige jusqu’à ce qu’éjaculation s’en suive,
devant du porn ou pas,
c’est vraiment le degré zéro
du plaisir qu’il y a moyen d’obtenir en solo
le plaisir prostatique, anal ou le mode yin,
apportent une richesse, une variété et une puissance des sensations,
une intensité de la jouissance,
qu’on n’obtiendra jamais avec une masturbation classique
alors quoi, pourquoi tant de misère sexuelle,
alors que pourtant même en solitaire,
il y a moyen de s’envoyer en l’air splendidement?
qu’il existe des méthodes pour satisfaire son désir
de manière tellement plus intéressante,
riche, intense et beaucoup beaucoup plus prolongée
que les quelques secondes de l’orgasme éjaculatoire
de trouver même de l’épanouissement sexuel
et par conséquent personnel,
sans interaction aucune avec le corps d’autre
la réponse, malheureusement, est tellement banale, tellement commune,
manque d’informations dès le plus jeune âge,
manque d’une éducation sexuelle réellement poussée, complète et sans tabous
et puis justement, tant de tabous, tant de limitations, tant de barrières
parmi la très grande majorité des hommes,
d’ordre religieux, moral, personnel,
la vision qu’on a de soi-même, de son genre, de ce qui est masculin et de ce qui ne l’est pas
un homme ne prend pas de plaisir par son anus ou alors c’est qu’il est homosexuel,
un homme ne se caresse pas passionnément, sur tout le corps,
un homme ne se fourre pas toutes sortes d’engins dans le derrière,
etc, etc
10 mai 2024 à 8 h 42 min #49673bzoParticipantce soir, séance masseur au lit, j’en suis déjà tout émoustillé,
je viens d’y penser,
l’impression de sentir déjà dans mon arrière-train
son gros corps en silicone velouteux,
installé, occupant toute la cavité, bougeant lentement,
venant frotter avec sa grosse tête casquée ,
genre tête d’alien, tout contre ma prostate
cela me chatouille, cela me démange, déjà,
quelque part au fond de l’anus
et j’ai le sexe qui se raidit et s’épaissit un peu,
oh comme j’aspire à ses frottements,
à ses mouvements de bascule, en fin de course,
tout contre la paroi derrière laquelle se trouve ma prostate,
à ses petits coups de bélier gentil,
emplissant divinement mon trou de balle,
frottant diaboliquement de tous les côtés
10 mai 2024 à 21 h 34 min #49700bzoParticipantun plaisir de qualité nous surprendra toujours
car il semblera, à chaque fois, incroyablement neuf,
comme ressenti pour la première fois
bien que nous ayons sans doute déjà vécu
une volupté, une jouissance, assez similaires,
des dizaines, peut-être, des centaines, de fois
11 mai 2024 à 10 h 47 min #49701bzoParticipantchose promise à mon anus et à ma prostate hier,
chose due
bon, c’était un peu tard dans la nuit,
j’ai entamé ma séance avec masseur vers 01h du matin
et elle a duré une bonne heure
mais quels moments absolument splendides,
les voisins s’en souviendront très certainement aussi
tellement j’ai gémi fort, hurlé même,
à partir d’une certaine intensité de volupté qui s’était installée,
déjà après une dizaine de minutes
j’ai usé de toutes les techniques de caresses
et de contractions des muscles du périnée,
acquises au fil des années,
ai commencé d’abord en 100% prostatique, façon plutôt classique,
en maintenant longuement des pressions sans discontinuité sur ma prostate,
elle a été vite comme chauffée à blanc, dégorgeant d’ondes orgasmiques
j’accentuais, relâchais un peu mais maintenant, maintenant,
grâce à la puissance des muscles acquise au fil d’années de pratique,
les orgasmes venaient automatiquement
ou plutôt un seul orgasme mais qui semblait ne plus n’arrêter
continué en mode yin, me caressant fiévreusement
et puis surtout le masseur qui me servait alors de pal raide me pénétrant,
allant et venant diaboliquement en moi,
à chaque fois qu’elle entrait en contact avec la paroi derrière laquelle se trouve la prostate,
cela provoquait une sorte de mini-orgasme,
une explosion dans ma poitrine qui montait jusque dans ma tête
puis j’ai enchaîné en mixant les ondes prostatiques avec les génitales,
juste resserrer les cuisses pour cela
mais bougeais peu le bassin,
maintenais en exprès une certaine immobilité,
pour garder sous contrôle les ondes génitales,
qu’elles ne deviennent pas majoritaires
qu’elles s’amalgament bien ainsi aux prostatiques,
donc les seuls mouvements en bas,
étaient ceux provoquées par les lentes contractions
quel flux d’ondes à chaque contraction , mes amis,
oh comme c’était incroyablement délicieux,
rarement pris autant mon pied,
j’étais extatique de chez extatique, mon corps tout entier semblait en fusion ,
un océan de nectar soyeux dans lequel nageaient mes cellules
finalement, je me suis même arrêté complètement de me caresser,
juste laissé faire mon bassin,
il semblait être devenu une pompe à ondes
fonctionnant avec une puissance séismique
les flots montaient à chaque contraction,
m’emplissant divinement,
me charriant toujours plus loin,
m’expulsant de moi-même, toujours loin
mes gémissements,
en mode longue et interminable plainte,
reflétaient une anti-agonie de la plus belle eau,
un maelstrom de jouissance dans lequel j’étais pris,
je hurlais, je gémissais, j’en pouvais plus,
ma chair grésillait, fourmillait d’ondes soyeuses, orgasmiques, déchainées
12 mai 2024 à 10 h 11 min #49726bzoParticipantce qui rend la sensation de se faire l’amour,
tellement unique, tellement extraordinaire,
ce sont deux choses:
d’une part,
c’est qu’on a réussi à éveiller et à rendre active
cette part cachée immense en nous,
cette part féminine
c’est quelque chose habituellement,
pour la grand majorité d’entre nous
qui n’arrive pas,
on n’y a pas accès
ou du moins, pas avec une telle amplitude,
les vannes, en général, ne s’ouvrent pas si généreusement,
répandent leur nectar plus discrètement,
plus secrètement même
là, tout d’un coup, elle s’est révélée pleinement à nous,
elle vit en nous, elle vibre en nous,
elle a pris possession de notre corps,
elle a déployé dans notre chair,
toute son intensité, sa richesse, sa puissance magnifique
mais aussi et sans cela, ce ne serait pas possible,
c’est qu’on a réussi une manœuvre délicate en soi,
celle de tourner vers l’intérieur notre radar renifleur
et à détecter cette présence féminine en nous
non seulement à la détecter
mais à donner libre cours à tout ce qu’il y a de mâle en nous
en présence de ce féminin qui s’offre tellement
ils interagissent,
ils se cherchent passionnément, ardemment,
ils se trouvent et se retrouvent,
complètement, l’un dans l’autre
et nous, on se retrouve, tout d’un coup,
vibrant d’une union, d’une communion voluptueuse,
en étant des deux côtés, en étant des deux genres
et l’on se sent tellement plus complet, pour un moment,
tellement vibrant de fond en comble,
tellement libre
soudainement tellement libre de jouir à fond,
sans restrictions aucune,
toute la puissance qu’il y a en nous, s’est divulguée pour un moment,
l’on se sent en action amoureuse, en action incroyablement coquine,
de toutes les fibres de notre être
12 mai 2024 à 12 h 00 min #49735bzoParticipantce que je décris juste au-dessus,
peut arriver fortuitement, ponctuellement,
à des gens engagés dans le plaisir prostatique ou le plaisir anal
cela peut se produire régulièrement pour des pratiquants sufisamment avancés
qui arrivent sérieusement à libérer les énergies en eux,
c’est facilité par le fait qu’aussi bien le plaisir prostatique que le plaisir anal,
vont souterrainement puiser grandement dans la part féminine qu’il y a en nous,
c’est ce qui fait leur richesse, leur variété et leurs singularités
cependant dans ces deux pratiques,
ces énergies féminines sont encore consommées
la plupart du temps, dans les limites élastiques de notre genre,
les étirant, leur conférant de nouvelles dimensions,
de nouvelles nuances de sensation,
momentanément
néanmoins, de temps à autre,
dans le feu de l’action, entraîné par l’excitation,
on peut passer outre certaines frontières en nous,
l’élastique s’est cassé,
on est propulsé dans une autre dimension de nous-mêmes
et alors cela arrive, comme cela arrive,
toujours mémorables et grandioses, ces moments,
on a de multiples témoignages en ce sens sur le forum
cependant ce que j’appelle le plaisir en mode yin,
lui, ne vise vraiment qu’à cela et rien qu’à cela,
à y arriver sciemment, du début de l’action à la fin,
déclencher ce phénomène exprès, sur la durée en nous,
l’explorer en long et en large, y goûter à fond
13 mai 2024 à 17 h 46 min #49739bzoParticipanten plein travail intense à l’ordi,
d’analyse de code et de programmation,
j’ai eu besoin d’un petit break,
je me levais dare dare et fonçais vers le litet me voici déjà couché,
ondulant, me caressant, déjà en train de gémir,
empli d’une volupté soyeuse partout en moiquelle bénédiction que de pouvoir, ainsi,
même pour quelques secondes,
obtenir un plaisir si délicieux, si capiteux,
dans tout le corpsle lâcher prise au féminin,
se rendre corps et âme,
abandonner tout volonté
autre que de s’ouvrir au plaisirun immense mouvement de tout l’être,
se laissant envahir, s’ouvrant en grand,
sentir partout ce nectar opérant, de plus en plus,
s’y abandonner, s’y abandonnerdeux, trois minutes
et me voilà déjà de retour devant l’écran,
un bien-être divin flottant encore en moi,
le bassin comme encore grésillant d’ondes soyeuses19 mai 2024 à 1 h 13 min #49779bzoParticipanton ne jouit jamais tout seul,
quelque chose s’ouvre en mode majeur en nous
et nous rejoignons le monde entier, un instant
19 mai 2024 à 1 h 14 min #49780bzoParticipantle chant majeur en vous,
invitera toutes vos cellules,
aucune ne restera en rade
le chant majeur fera de vous
un buvard, de fond en comble,
le désir vous tiendra dans sa paume,
faisant de vous une offrande
à vous-même et au monde
20 mai 2024 à 10 h 18 min #49785bzoParticipantqu’est-ce qui fait la qualité, l’intensité, d’un plaisir?
(enfin selon moi, soyons bien d’accord,
je ne prétends aucunement détenir la vérité universelle)
ce n’est très certainement pas sa puissance, sa force, dans l’absolu,
cela, pour moi, c’est une première échelle, graduée de 1 à 10
qui sert de référence, sans doute, dans un premier temps
mais au fur et à mesure qu’on progresse,
elle devient de plus en plus désuète,
voire elle disparait complètement
pour être remplacée par une autre
qu’on pourrait qualifier de l’échelle de la sensation d’épanouissement
vécue à chaque instant
l’échelle de la puissance du plaisir, donc
et l’échelle de la sensation d’épanouissement
un plaisir , pourra être , sur la première, d’à peine 1
mais 10 sur la seconde,
apportant un total épanouissement à notre être
mais d’une puissance , dans l’absolu, finalement assez minime
mais qu’est-ce qui fait qu’un plaisir est épanouissant ou pas?
toute un série de critères, de paramètres, sont à considérer, sont à vivre,
pour qu’on puisse évoquer cette notion d’épanouissement
ce qui fait, pour moi, qu’une sensation est épanouissante,
c’est pêle mêle, je cite sans aucune hiérarchisation,
par exemple, la sensation que ce plaisir est vécu , en même temps, très localement,
l’endroit où vos doigts ou ceux d’un ou d’une autre, se posent sur vous
mais en même temps aussi, comme si ce plaisir était vécu
par votre être tout entier,
comme s’il était ressenti un peu partout
c’est ce que j’ai déjà régulièrement décrit par des images du genre,
un caillou lancé sur une surface d’eau,
il y a le point d’impact et puis les ondes qui se répandant concentriquement
ou encore que tout notre être est comme la peau tendue d’un tambour,
vous l’effleurez quelque part
et les vibrations sont ressenties partout
ou encore que nous sommes comme un immense hangar
où le moindre bruit, même le plus léger,
est comme un écho, qui se répand à l’ensemble
mais aussi la finesse et la variété des sensations,
dans un plaisir épanouissant,
les nuances de la volupté , des sensations que vous percevez, changent quasi tout le temps,
c’est un vrai carrousel, un vrai kaleidoscope, en vous
et puis cela peut être passer d’un instant à l’autre,
d’une volupté comme ciselée avec une finesse incroyable,
avec une infinité de détails,
une mosaïque vivante, sophistiquée, avec des coloris splendides
à quelque chose de totalement brut, de totalement animal,
des moments de rut absolument déchaîné
mais encore,
la sensation d’épanouissement
contient bien d’autres caractéristiques puissantes et riches
comme la sensation de complicité, de communion, avec son corps,
tellement important cela,
on se sent un, on se sent entier,
on se sent une galaxie ivre, une galaxie en ébullition,
une galaxie fonctionnant suivant d’autres règles,
on se sent tout près de ses organes, on est ses organes,
on est sa peau, on est son sexe, on est son anus, on est ses muscles,
on est ses cheveux, on est son odeur, on est ses mouvements
aussi, la sensation de se faire l’amour,
de sentir le féminin en soi, totalement éveillé,
interagissant comme avec du masculin en nous,
dans ces moments, on accepte , on assume, totalement,
l’envie d’être pénétré, comme l’envie de pénétrer,
les deux règnent en maître, sont emmêlés,
nous emportent sans restrictions
20 mai 2024 à 10 h 24 min #49786bzoParticipantpas eu le temps de corriger le dernier paragraphe,
je le mets dans le message suivant
20 mai 2024 à 10 h 26 min #49787bzoParticipantqu’est-ce qui fait la qualité, l’intensité, d’un plaisir?
(enfin selon moi, soyons bien d’accord,
je ne prétends aucunement détenir la vérité universelle)
ce n’est très certainement pas sa puissance, sa force, dans l’absolu,
cela, pour moi, c’est une première échelle, graduée de 1 à 10
qui sert de référence, sans doute, dans un premier temps
mais au fur et à mesure qu’on progresse,
elle devient de plus en plus désuète,
voire elle disparait complètement
pour être remplacée par une autre
qu’on pourrait qualifier de l’échelle de la sensation d’épanouissement
vécue à chaque instant
l’échelle de la puissance du plaisir, donc
et l’échelle de la sensation d’épanouissement
un plaisir , pourra être , sur la première, d’à peine 1
mais 10 sur la seconde,
apportant un total épanouissement à notre être
mais d’une puissance , dans l’absolu, finalement assez minime
mais qu’est-ce qui fait qu’un plaisir est épanouissant ou pas?
toute un série de critères, de paramètres, sont à considérer, sont à vivre,
pour qu’on puisse évoquer cette notion d’épanouissement
ce qui fait, pour moi, qu’une sensation est épanouissante,
c’est pêle mêle, je cite sans aucune hiérarchisation,
par exemple, la sensation que ce plaisir est vécu , en même temps, très localement,
l’endroit où vos doigts ou ceux d’un ou d’une autre, se posent sur vous
mais en même temps aussi, comme si ce plaisir était vécu
par votre être tout entier,
comme s’il était ressenti un peu partout
c’est ce que j’ai déjà régulièrement décrit par des images du genre,
un caillou lancé sur une surface d’eau,
il y a le point d’impact et puis les ondes qui se répandant concentriquement
ou encore que tout notre être est comme la peau tendue d’un tambour,
vous l’effleurez quelque part
et les vibrations sont ressenties partout
ou encore que nous sommes comme un immense hangar
où le moindre bruit, même le plus léger,
est comme un écho, qui se répand à l’ensemble
mais aussi la finesse et la variété des sensations,
dans un plaisir épanouissant,
les nuances de la volupté , des sensations que vous percevez, changent quasi tout le temps,
c’est un vrai carrousel, un vrai kaleidoscope, en vous
et puis cela peut être passer d’un instant à l’autre,
d’une volupté comme ciselée avec une finesse incroyable,
avec une infinité de détails,
une mosaïque vivante, sophistiquée, avec des coloris splendides
à quelque chose de totalement brut, de totalement animal,
des moments de rut absolument déchaîné
mais encore,
la sensation d’épanouissement
contient bien d’autres caractéristiques puissantes et riches
comme la sensation de complicité, de communion, avec son corps,
tellement important cela,
on se sent un, on se sent entier,
on se sent une galaxie ivre, une galaxie en ébullition,
une galaxie fonctionnant suivant d’autres règles,
on se sent tout près de ses organes, on est ses organes,
on est sa peau, on est son sexe, on est son anus, on est ses muscles,
on est ses cheveux, on est son odeur, on est ses mouvements
aussi, la sensation de se faire l’amour,
quand on a cette sensation qui nous envahit des pieds à la tête,
c’est absolument divin
et c’est en fait que le féminin et le masculin en nous,
sont totalement éveillés et interagissent,
dans ces moments, on accepte , on assume, totalement,
l’envie d’être pénétré, comme l’envie de pénétrer,
les deux règnent en maître, sont emmêlés,
nous ont envahi complètement,
nous emportent sans restrictions
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