#49701
bzo
Participant

chose promise à mon anus et à ma prostate hier,

chose due

 

bon, c’était un peu tard dans la nuit,

j’ai entamé ma séance avec masseur vers 01h du matin

et elle a duré une bonne heure

mais quels moments absolument splendides,

les voisins s’en souviendront très certainement aussi

tellement j’ai gémi fort, hurlé même,

à partir d’une certaine intensité de volupté qui s’était installée,

déjà après une dizaine de minutes

 

j’ai usé de toutes les techniques de caresses

et de contractions des muscles du périnée,

acquises au fil des années,

ai commencé d’abord en 100% prostatique, façon plutôt classique,

en maintenant longuement des pressions sans discontinuité sur ma prostate,

elle a été vite comme chauffée à blanc, dégorgeant d’ondes orgasmiques

 

j’accentuais, relâchais un peu mais maintenant, maintenant,

grâce à la puissance des muscles acquise au fil d’années de pratique,

les orgasmes venaient automatiquement

ou plutôt un seul orgasme mais qui semblait ne plus n’arrêter

 

continué en mode yin, me caressant fiévreusement

et puis surtout le masseur qui me servait alors de pal raide me pénétrant,

allant et venant diaboliquement en moi,

à chaque fois qu’elle entrait en contact avec la paroi derrière laquelle se trouve la prostate,

cela provoquait une sorte de mini-orgasme,

une explosion dans ma poitrine qui montait jusque dans ma tête

 

puis j’ai enchaîné en mixant les ondes prostatiques avec les génitales,

juste resserrer les cuisses pour cela

mais bougeais peu le bassin,

maintenais en exprès une certaine immobilité,

pour garder sous contrôle les ondes génitales,

qu’elles ne deviennent pas majoritaires

qu’elles s’amalgament bien ainsi aux prostatiques,

donc les seuls mouvements en bas,

étaient ceux provoquées par les lentes contractions

 

quel flux d’ondes à chaque contraction , mes amis,

oh comme c’était incroyablement délicieux,

rarement pris autant mon pied,

j’étais extatique de chez extatique, mon corps tout entier semblait en fusion ,

un océan de nectar soyeux dans lequel nageaient mes cellules

 

finalement, je me suis même arrêté complètement de me caresser,

juste laissé faire mon bassin,

il semblait être devenu une pompe à ondes

fonctionnant avec une puissance séismique

les flots montaient à chaque contraction,

m’emplissant divinement,

me charriant toujours plus loin,

m’expulsant de moi-même, toujours loin

 

mes gémissements,

en mode longue et interminable plainte,

reflétaient une anti-agonie de la plus belle eau,

un maelstrom de jouissance dans lequel j’étais pris,

je hurlais, je gémissais, j’en pouvais plus,

ma chair grésillait, fourmillait d’ondes soyeuses, orgasmiques, déchainées