
chose promise à mon anus et à ma prostate hier,
chose due
bon, c’était un peu tard dans la nuit,
j’ai entamé ma séance avec masseur vers 01h du matin
et elle a duré une bonne heure
mais quels moments absolument splendides,
les voisins s’en souviendront très certainement aussi
tellement j’ai gémi fort, hurlé même,
à partir d’une certaine intensité de volupté qui s’était installée,
déjà après une dizaine de minutes
j’ai usé de toutes les techniques de caresses
et de contractions des muscles du périnée,
acquises au fil des années,
ai commencé d’abord en 100% prostatique, façon plutôt classique,
en maintenant longuement des pressions sans discontinuité sur ma prostate,
elle a été vite comme chauffée à blanc, dégorgeant d’ondes orgasmiques
j’accentuais, relâchais un peu mais maintenant, maintenant,
grâce à la puissance des muscles acquise au fil d’années de pratique,
les orgasmes venaient automatiquement
ou plutôt un seul orgasme mais qui semblait ne plus n’arrêter
continué en mode yin, me caressant fiévreusement
et puis surtout le masseur qui me servait alors de pal raide me pénétrant,
allant et venant diaboliquement en moi,
à chaque fois qu’elle entrait en contact avec la paroi derrière laquelle se trouve la prostate,
cela provoquait une sorte de mini-orgasme,
une explosion dans ma poitrine qui montait jusque dans ma tête
puis j’ai enchaîné en mixant les ondes prostatiques avec les génitales,
juste resserrer les cuisses pour cela
mais bougeais peu le bassin,
maintenais en exprès une certaine immobilité,
pour garder sous contrôle les ondes génitales,
qu’elles ne deviennent pas majoritaires
qu’elles s’amalgament bien ainsi aux prostatiques,
donc les seuls mouvements en bas,
étaient ceux provoquées par les lentes contractions
quel flux d’ondes à chaque contraction , mes amis,
oh comme c’était incroyablement délicieux,
rarement pris autant mon pied,
j’étais extatique de chez extatique, mon corps tout entier semblait en fusion ,
un océan de nectar soyeux dans lequel nageaient mes cellules
finalement, je me suis même arrêté complètement de me caresser,
juste laissé faire mon bassin,
il semblait être devenu une pompe à ondes
fonctionnant avec une puissance séismique
les flots montaient à chaque contraction,
m’emplissant divinement,
me charriant toujours plus loin,
m’expulsant de moi-même, toujours loin
mes gémissements,
en mode longue et interminable plainte,
reflétaient une anti-agonie de la plus belle eau,
un maelstrom de jouissance dans lequel j’étais pris,
je hurlais, je gémissais, j’en pouvais plus,
ma chair grésillait, fourmillait d’ondes soyeuses, orgasmiques, déchainées