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20 sujets de 1,281 à 1,300 (sur un total de 1,448)
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    Articles
  • #47750
    bzo
    Participant

    la volupté est un univers qui se construit,

    avant que de pouvoir y habiter,

    avant que de pouvoir y déambuler, à sa guise

     

    laisser parler son instinct, laisser parler son désir,

    c’est un travail de longue haleine,

    tellement nous sommes peu habitués à la liberté,

    tellement nous sommes peu habitués à nous écouter

    ou à écouter l’autre

    #47751
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Bonjour

     

    bzo écrit

    le 2 /12/2023

    le plaisir au féminin, exclut tout contact de ses génitaux avec les doigts,

    cela rompt directement ce type de flux qu’on est parvenu à établir en soi,

    les sensations repassent en mode pénien

    le 9/12/2023

    on va laisser nos hanches, se mettre à bouger

    on va se caresser les seins,

    comme si c’étaient ceux d’une femme qu’on touche

    et de fait, c’est ceux d’une femme qu’on va toucher,

    de la femme qui est en nous

    qu’on a laissé monter ,

    qu’on a laissé prendre les commandes

     

    Sans le toucher avec les doigts, je constate que lorsque mon bassin bouge beaucoup,

    mon pénis flasque, avec prépuce, tape un peu sur le pubis,
    cela entraîne des sensations péniennes un peu trop importantes,

    j’ai résolu le problème en l’immobilisant dans un petit string.

     

    Je me caresse tous les jours, ce matin au menu:

    10% verge, 40% cuisses+fesses+torse+tétons,

    50% anus extérieur+périnée+périnée base de la verge.

    Je dois dire que les caresses en rotation sur le périnée à la base de la verge + sur les tétons m’ont fait monter aux rideaux.

    Pour la suite de ton texte du 9, il me semble que tu t’es fait rattrapé par la patrouille du yang avec cette érection.

    #47753
    bzo
    Participant

    Pour la suite de ton texte du 9, il me semble que tu t’es fait rattrapé par la patrouille du yang avec cette érection.

    bah, pas vraiment,

    ce n’est pas à proprement parler du plaisir pénien,

    même si je bandais,

    c’est une expérience très particulière

    avec le pénis en érection qui semble attirer les ondes prostatiques,

    semble s’en emplir

     

    je fais cela, de temps à autre quand je suis dans de bonnes dispositions,

    que je sens que cela va fonctionner

     

    sinon, je ne suis pas un extrémiste, un radical,

    je n’ai rien contre le plaisir pénien,

    juste, il me semble que c’est vraiment intéressant

    que quand on est , au moins, avec une autre personne

     

    tout seul, dans le plaisir en solitaire,

    j’en suis arrivé à l’éliminer totalement

    car sans grand intérêt, par rapport à ce qu’on peut obtenir,

    en mode prostatique, ou anal ou mode yin, bien sûr

     

    si on veut être très concret et pragmatique,

    le rendement du plaisir pénien,

    ne peut pas se comparer à celui du plaisir prostatique, anal ou mode yin

     

    rendement mais richesse et variété, non plus

     

    ces pratiques, hors de la voie standard,

    deviennent de plus en plus extraordinaire,

    au plus on pratique l’abstinence d’éjaculation,

    @modeyin  pourra confirmer

     

    c’est antinomique, avec  le plaisir pénien

    qui tend vers cela, vers le petit crachat laiteux,

    qui va déboucher sur cela, la plupart du temps

     

    avec un ou une partenaire, c’est autre chose,

    on est dans un autre univers,

    là, il y a échange des énergies,

    c’est l’équivalent en acquisition de puissance, pour moi,

    à l’abstinence d’éjaculation, en solitaire

     

    #47754
    bzo
    Participant

    Je me caresse tous les jours, ce matin au menu:

    10% verge, 40% cuisses+fesses+torse+tétons,

    50% anus extérieur+périnée+périnée base de la verge.

    Je dois dire que les caresses en rotation sur le périnée à la base de la verge + sur les tétons m’ont fait monter aux rideaux.

     

    tu diversifies, tu explores, c’est vraiment bien, çà.

    au plus tu te caresses, au plus ton corps va réagir.

     

    s’écouter, toujours plus s’écouter,

    c’est le secret ultime de nos pratiques hors des sentiers battus

     

    établir le lien avec son corps,

    construire de la complicité avec lui,

    vient avec l’écoute,

    une écoute totale et sans conditions

     

    écouter son corps,

    c’est renoncer à n’en faire qu’à sa tête,

    n’en faire que selon sa tête,

    juste céder au désir le plus immédiat

     

    ne plus suivre ses idées

    mais apprendre à laisser faire son instinct,

    apprendre à agir, à réagir, selon son ressenti,

    donner de plus en plus d’ampleur à son désir ,

    en le désenclavant, en se désenclavant

     

    le diable est dans les détails,

    on pourrait dire la même chose du plaisir,

    le plaisir est dans les détails

    #47756
    bzo
    Participant

    il faudrait que je crée un fil, à part,

    pour les effets de l’abstinence d’éjaculation,

    sur ma pratique

    et sur ma vie, en général, d’ailleurs,

    tellement cela devient de plus en plus étonnant

     

    c’est une expérience, exaltante, passionnante,

    je me sens un peu comme un laboratoire

    ou comme un explorateur

    qui va de découverte en découverte

    en terra incognita

     

    la nuit passée, a été extraordinaire,

    mon sommeil a été très agitée

    et j’ai peu dormi

    mais j’ai vécu des moments splendides,

    de communion voluptueuse avec mon corps

     

    oh, pas d’orgasme himalayen,

    juste de ces moments d’une telle pure complicité,

    des sensations d’une finesse et d’une richesse telles,

    cela devient assez indescriptible

     

    indéniablement, au fil des jours,

    c’est la qualité qui augmente, qui en bénéficie,

    bien plus que la quantité

    car finalement, je pratique de moins en moins,

    me contentant de moins,

    étant assouvi, avec moins

     

    mais c’est juste que même la plus simple caresse,

    semble avoir une telle portée en moi,

    épanouissement dans l’instant,

    un profond et complet épanouissement, dans l’instant,

    dans toutes mes fibres,

    une sensation ineffable de bien-être,

    de complicité avec mon corps

    qui se répercute , d’ailleurs, dans ma vie de tous les jours,

    je n’ai jamais été aussi serein, aussi balancé,

    aussi tranquillement confiant

     

    et puis il y a ces bienfaits physiques, étonnants

    que j’ai déjà décrits,

    toutes les douleurs de type inflammatoire

    très très handicapantes que j’avais,

    qui semblent avoir complètement disparues

    et ne me parler pas de hasard, de coïncidence,

    c’étaient des douleurs trop installées,

    qui avaient pignon sur rue, en moi, depuis des années,

    pour lesquelles j’avais consulté bien des fois,

    pour lesquelles la médecine était assez impuissante,

    sinon que de constater et d’entériner

    #47759
    JC
    Participant

    <p style=”text-align: left;”>Bonjour, à toute la communauté. Tout d’abord, un grand merci pour la qualité des échanges, la pédagogie et la bienveillance qui ponctue le site. J’ai acquis depuis quelques semaines le trident hélix syn. Aucune expérience auparavant en la matière mais une réelle envie de découvrir le plein potentiel de cette fameuse glande :). Les quelques premiers essais ont été intéressants (chatouillis et pulsations ressenties). Comme je m’y attendais, il va me falloir du temps et de la persévérance pour progresser dans la carte au trésors. Une belle journée à tous.</p>

    #47768
    bzo
    Participant

    pour des conseils plus pratiques,

    sur la manière de se débrouiller dans la manière du Traité,

    je te conseille d’aller, plutôt, sur le discord , lié au site

    #47770
    bzo
    Participant

    je pratique moins ces derniers jours, nettement moins,

    quasi pas, en fait,

    c’est pour cela que je ne viens plus écrire,

    mes textes, sont des extensions de mes moments intimes,

    les mots jaillissent, souvent,  comme flottant sur la volupté,

    durant mes multiples mini-séances

     

    je pratique moins, je disais, donc,

    va savoir pourquoi, je ne force pas,

    je me sens bien,

    le désir est un peu en sommeil

     

    pas de porno,

    pour le rallumer artificiellement,

    cela joue, sans doute,

    cycle naturel, cycle plein

     

    de temps à autre, un frottement, une petite contraction,

    un mouvement des hanches,

    juste pour vérifier que tout est bien là,

    prêt à démarrer au quart de tour

    mais oui, c’est bien là,

    ô combien, bien là

     

    tendre explosion entre mes reins,

    poulpe de chaleur soyeuse

    qui se met à onduler de ses milliers de tentacules,

    dans tout mon être,

    oui c’est bien là

     

    et avec l’accumulation des énergies,

    c’est, en fait, de plus en plus, là,

    de plus en plus, miraculeusement, là,

    le peu que j’ai besoin  de faire,

    pour être envahi de fond en comble,

    d’un bien-être voluptueux,

    tellement délicieux, tellement jouissif

     

    mon sexe se durcit, à l’écriture de ces mots,

    je le frotte tendrement entre les cuisses,

    ses ondes se dispersent dans mon bassin,

    montent, descendent, courent un peu partout,

    je bouge les hanches, je me caresse les seins,

    cela s’allume de tous les côtés, maintenant,

    oh comme je suis bien,

    quelle langueur généralisée,

    quelle sensation d’épanouissement voluptueux,

    de volupté épanouissante

     

    je fais monter une contraction ,

    c’est toujours la goutte qui fait déborder le vase, chez moi

    et il n’en finit plus de déborder, après,

    cela gicle de tous les côtés,

    c’est une vraie inondation d’une lave chaude, épaisse, tellement douce

     

    je contracte tout le fessier puis les cuisses et enfin, les mollets,

    cela fait exploser comme des millions d’étoiles, dans ma tête,

    je ferme les yeux, quelques instants,

    laisser tout cela suivre son cours

     

    je fais monter rythmiquement des contractions,

    la sensation de pénétration est juste divine,

    mon sexe est double,

    mon sexe est fendu, mon sexe est pointu,

    mon sexe est avalé, mon sexe est digéré,

    mon sexe est une bouche d’océan

    qui englobe tout mon être

     

    je roule dans des mondes lointains,

    sur des flots capiteux,

    il y a de la lumière, partout, qui nage,

    qui me porte, me déporte, toujours plus

    le vent est comme une soie

    qui ne connait aucune cloison,

    quelle brillance parfaite, dans la chair,

    l’instant est comme un cristal chantant

     

     

     

     

    #47777
    bzo
    Participant

    notre chair, hommes comme femmes,

    possède en elle, toutes les sensations,

    possibles et imaginables

     

    et le désir est un pont

    un pont qui a le pouvoir de croitre et encore de croitre,

    de nous emmener par-delà tous les horizons

    qui sommeillent en nous

     

    et des horizons, en nous,

    il y en a à l’infini,

    on est un delta immense qui se jette dans la mer

    et le vent du grand large balaie nos fibres

     

    nos constructions sont éphémères, majestueuses,

    des splendides palais n’attendent que nous,

    dans l’instant,

    un fuyant goût d’éternité, dans l’obscurité du sang

     

    splendide animal, capable de coït cosmique,

    laissons la turgescence, entre les mains du féminin,

    qu’elle se charge de le faire fructifier,

    de le faire éclore

     

    qu’un sperme intérieur, arc en ciel,

    coule, nous inonde,

    de ses torrents incessants

     

    je bande, entre deux lèvres humides,

    de la tête aux pieds

     

     

     

     

    #47778
    bzo
    Participant

    quelle séance splendide au lit,

    une bonne heure,

    ce qui , pour moi,

    est une durée toute à fait inhabituelle,

    moi qui , en général, dépasse rarement les 2, 3 minutes, en continu

    mais très très souvent répétés

     

    j’étais la plupart du temps, en mode 100% prostatique,

    cuisses écartées, sur le dos, les bras au repos,

    rien que ma prostate et moi, donc

     

    cependant,

    j’alternais régulièrement avec des moments en mode yin

    pour me dépayser radicalement de la tension du plaisir prostatique

    car chez moi, elle est toujours toute en tension,

    bruits et fureurs, sans limites, dans la chair

    ma prostatique chérie, de plus en plus tellurique,

    de plus en plus, comme en éruption massive

    quand je lui accorde le temps et l’attention qu’il faut,

     

    délicieux contraste,

    de la violence des faisceaux d’ondes prostatiques

    qui balaient, sans cesse, dans tous les sens, ma chair,

    déréglant mes nerfs, déréglant mes muscles,

    me faisant se convulsionner,

    me faisant trembler et frémir, de tous les côtés

     

    passer, tout à coup, à l’extrême opposé,

    au laisser-aller, au laisser-faire, royaux, du mode yin,

    aux ondulations soyeuses qui apaisent, qui épanouissent, la chair,

    de leur nectar ineffable

     

    oh, la volupté royale du féminin,

    dans toutes mes fibres,

    quelques instants,

    quel paradis instantané

     

    puis je repassais aux tempêtes prostatiques,

    redevenant une petite nef, secouée sans ménagement, par les vagues,

    culbuté, tossé, de tous les côtés,

    pour mon plus grand plaisir

     

    les orgasmes s’enchaînaient,

    je criais, je hurlais, je gémissais, je râlais, je miaulais,  je griffais le coussin

    jusqu’au moment où soudainement,

    j’avais à nouveau envie,

    juste des sereines et souveraines vagues, soyeuses, du mode yin,

    pendant quelques instants

     

    et ainsi de suite,

    à noter, que cela a pris très très sérieusement consistance,

    je veux dire, que cela est devenu complètement démesuré et fou,

    à partir du moment où j’ai gardé les yeux bien ouverts,

    il y avait , ainsi, comme un surcroît de puissance,

    à tout instant, qui s’exprimait

     

    c’est quelque chose que j’ai déjà expérimenté maintes fois, par le passé,

    entre le plaisir, plus goûté dans son for intérieur

    quand on garde les rideaux bien fermés,

    sans doute plus raffiné, plus fin, plus délicat

     

    mais alors, dès qu’on se force à garder les yeux bien ouverts,

    alors là, alors là, cela semble exploser vers l’extérieur,

    les ondes semblent sortir de moi,

    m’envelopper, m’entourer, me secouer de l’extérieur, aussi,

    me faire de l’effet, de l’extérieur, aussi

     

    très très impressionnant, à partir de ce moment,

    les orgasmes, en mode prostatique, étaient en continu

    et d’une puissance déchaînée,  sans aucun temps mort

     

    en comparaison, dès que je repassais , pour quelques instants, en mode yin,

    cela semblait comme une promenade en barque, par beau temps,

    le soleil, le vent et le parfum des fleurs, omniprésents, caressant de partout

    et un  profond bien-être, tout en laisser-aller,

    m’envahissait jusqu’au plus profond de mes fibres,

    un carrousel de sensations , sans cesse changeant, s’installait, en moi

    et je dégustais une volupté, aux nuances variant constamment, au fil des instants

     

    #47779
    bzo
    Participant

    après, cette séance mémorable,

    je sortis dans la cuisine,

    me couper une tranche de bon pain au levain,

    avec une croute bien épaisse et gouteuse

    et je mettais dessus, un peu de beurre et beaucoup, beaucoup, de mortadelle italienne,

    jamais pain et charcuterie,

    n’ont eu un goût aussi pleinement, aussi finement,

    apprécié, par mes papilles gustatives

     

    mon niveau de perception, est étonnant,

    jamais eu cela,

    semblait s’être démultiplié, pour l’instant,

    j’attribue cela, à la splendide connection que j’ai eu avec mon corps,

    pendant un si long laps de temps,

    durant cette séance décrite, juste au-dessus

     

    #47780
    bzo
    Participant

    mes couilles et mon sexe,

    semblent chaud bouillant, ce matin

    et quand je les enveloppe avec mes cuisses,

    je sens leur chaleur tellement  douce, se diffuser dans mes cuisses

     

    et si j’y ajoute un mouvement des fesses,

    façon déhanchement langoureux,

    alors soudainement la chaleur semble se transformer en un essaim de velours,

    explosant dans toutes les directions

     

    je restais, ainsi, de longues secondes, juste penché au dessus de la baignoire,

    goutant à cet envol de nid, dans mon bassin, de milliers d’oiseaux de chaleur soyeuse

    ou encore dans la cuisine, devant le robinet ouvert,

    immobile sauf pour les hanches,(la bouilloire a débordé),

    enfin à tous bouts de champ

     

    le désir de pratiquer, est revenu,

    la journée va être consacré à la menuiserie,

    terminer cette fichue bibliothèque qui couchée,

    prend tellement de place, dans mon salon

    et à me lutiner, à m’envoyer en l’air

    puis en fin de journée, une petite virée chez un de mes bouquinistes

    et après, et après, lecture et lutinage

    ou bien lutinage et lecture, comme on veut

     

    #47781
    bzo
    Participant

    il faut vraiment être nu pour bricoler,

    cela permet d’évacuer la chaleur générée par l’exercice,

    d’être totalement à l’aise dans ses mouvements,

    d’être plus efficace, donc

     

    et puis cela permet à mon autre exercice, plus intime, plus ardent, celui-là,

    de bien se mettre en place, automatiquement, sans effort,

    généré sans que j’y pense un seul instant, au fur et à mesure

     

    le moindre contact de mes fesses, de mes couilles, avec du bois, avec le parquet,

    le moindre contact, en fait, de n’importe quelle partie de mon corps,

    avec n’importe quoi,

    génère immédiatement des sensations voluptueuses,

    comme c’est agréable de travailler ainsi,

    quelle ponctuation délicieuse

     

    et puis je suis étonné, à quel point, désormais,

    je peux pratiquer en parallèle, en faisant n’importe quoi,

    il y a finalement, peu, très peu de tache avec laquelle on est occupé,

    qui requiert 100% de notre attention

     

    il y a presque toujours quelques pourcents de concentration qui peuvent être libérés

    et détournés vers de la communion voluptueuse, avec mon corps,

    alors je visse en plaisir, je scie en plaisir, je déplace ceci ou cela, en plaisir,

    cela se fait automatiquement,

    dès que 100% de ma concentration est exigée pour finir de visser ou de percer quelque part,

    le manège sensuel, s’arrête, le temps qu’il faut

    et reprend dès que cela redevient possible

    et s’accentue de plus en plus quand la possibilité est là

     

    du piano à quatre mains,

    deux mains pour la conversation ardente, entre mon corps et mon esprit,

    entre le masculin et le féminin , en moi

    et deux mains pour ma bibliothèque

     

    sinon, ma recommendation du jour,

    travailler à poil,

    vous ferez des économies de lessive, d’usure de vêtement

    et vous serez bien mieux, bien plus à l’aise

    pour effectuer votre tache

    et si vous avez une pratique bien développée,

    vous pourrez la faire cohabiter, beaucoup plus facilement,

    avec ce que vous faites

     

    #47786
    bzo
    Participant

    au fond, le mode yin, le plaisir au féminin,

    c’est enfantin, c’est simple comme bonjour

     

    à condition d’oser

    et c’est peut-être cela, le bloc le plus important,

    de l’apprentissage, du parcours,

    apprendre à oser de plus en plus

    car pour un homme standard

    (mais qui l’est vraiment, surtout parmi ceux qui s’attardent par ici?),

    il s’agit de se faire violence, en tout cas au début,

    d’oser transgresser, d’outrepasser

    ce qui semblent les frontières de notre genre,

    cela peut paraître contre nature, dans un premier temps

     

    mais le fait est,

    que notre chair,

    que nous ayons le physique d’un homme, ou d’une femme,

    peut réagir, indépendamment de cela,

    au masculin , comme au féminin

    et bien sûr, sur toutes les nuances de l’échelle, entre les deux

     

    dès lors, oui, c’est simple comme bonjour, c’est enfantin,

    il suffit d’agir, comme si notre corps

    était celui d’une femme à qui on veut procurer beaucoup de plaisir,

    la faire jouir , le plus possible

    et notre corps va finir par comprendre ce que l’on attend de lui

    et va donc réagir, de plus en plus, en ce sens

     

    notre corps va comprendre de mieux en mieux ce qu’on attend de lui,

    aussi au fur et à mesure que nous apprenons de mieux en mieux,

    à exprimer, à chaque instant, ce qu’on attend de lui,

    c’est un double apprentissage, un rapprochement, un dialogue,

    entre notre corps et notre esprit,

    pour que le masculin et le féminin, en nous,

    puissent interagir de mieux en mieux,

    s’entremêler de plus en plus ardemment,

    avec de plus en plus d’intensité, de variété et de richesse

     

    agissant, ainsi,

    automatiquement nous percevrons le plaisir au féminin

    car le plaisir est , avant tout du côté du féminin,

    nous autres hommes, avec uniquement notre plaisir pénien,

    nous sommes ridicules à côté,

    nous ne jouons pas dans la même ligue

     

    mais dès qu’on s’aventure du côté du plaisir prostatique et due plaisir anal,

    là, cela devient autre chose,

    nous nous rapprochons en qualité des résultats,

    de ce que peuvent obtenir les femmes

     

    mais pourquoi se refuser, à côté du plaisir anal et du plaisir prostatique,

    si on peut encore obtenir une troisième variété de plaisir,

    encore plus proche, au niveau de la qualité et de la richesse,

    des sensations et de la jouissance,

    de ce que peuvent éprouver les femmes?

     

    en  tout cas, pour certains d’entre nous,

    c’est une tentation très forte, d’aller par là,

    d’éprouver cela, de vivre cela, dans sa chair

    #47792
    PetitsPlaisirs76
    Participant

    Le 16/12  bzo écrit

    je pratique moins, je disais, donc,

    va savoir pourquoi, je ne force pas,

    je me sens bien,

    le désir est un peu en sommeil

     

    pas de porno,

    pour le rallumer artificiellement,

    cela joue, sans doute,

    cycle naturel, cycle plein

     

    Idem pour moi, je pense que la saison hivernale et son manque de soleil y est pour une part.

    Je maintiens le niveau de la libido en me caressant, au sens premier, tous les jours, pas de masturbation pénienne et intellectuellement en m’intéressant au “cul”,
    en consultant quelques sites ou blogs, toujours les mêmes, qui titillent mes petits fantasmes, pas de “porno” type “classique”.
    Ensuite le corps décide, souvent en milieu de nuit lorsqu’il s’est reposé.

    ps:la notion de porno étant très large, je précise que pour moi ce sont les vidéos “classiques” avec de l’agressivité de la démesure, tout sauf du plaisir.
    pour moi une personne seule, en photo, quoi qu’elle fasse n’entre pas dans la catégorie “porno”, le “porno” ne commence qu’à deux.

    #47794
    bzo
    Participant

    le “porno” ne commence qu’à deux

    hum, là, je ne suis pas du tout d’accord,

    une vidéo de femme ou d’homme qui se masturbe en solo,

    c’est aussi de la pornographie

     

    dans le contexte d’un film, c’est différent,

    si le scénario justifie une scène très dénudée, voire explicite, comme on dit,

    là c’est autre chose,

    cela peut aller très loin, aussi lojn que possible,

    s’il y a un scénario, une action où cela a sa place

     

    un homme ou une femme, peuvent se promener nu

    et cela peut être de l’art, dans un film,

    exprimant de la sensualité,  voire autre chose,

    juste de la beauté, la beauté du corps, de la vie

     

    ou cela peut être juste pornographique, dans un autre,

    tout dépend s’il y a un scénario, un contexte qui justifie la nudité

    ou si elle est simplement là pour inciter le spectateur à se masturber

     

    #47830
    bzo
    Participant

    sans doute, pour une femme,

    une fois qu’elle prend possession de son corps,

    laissant son corps la posséder,

    c’est juste naturel, cela va de soi

    quand cela s’éveille en elle,

    quand cela commence à l’emporter,

    quand sa chair et son esprit,

    se mettent à délirer, ensemble,

    sur la monture ardente du désir

     

    mais pour moi

    qui suis un homme,

    avoir réussi à aller aussi loin,

    à l’éveiller en moi

    dans cet apprentissage intime, ardent,

    en parfaite connivence avec mon corps,

    il y a à chaque fois,

    comme une sensation de magie

    en train de s’opérer

     

    dans la spontanéité absolue,

    sans frontières,

    je suis ce que je ressens

     

    l’élan vital, le cercle,

    l’ardente pente du désir

     

    mon sexe est entrebâillé,

    immensément, des pieds à la tête,

    je suis face à la mer,

    je suis cette ouverture, cette offrande

    que pénètrent les vagues,

    que pénètre l’écume,

    que pénètre le vent,

    que pénètre la lumière

    #47841
    bzo
    Participant

    je viens de recevoir une publicité d’une grande surface dans ma boite mail,

    Répandre la magie de Noel

     

    je ne sais pas pourquoi (enfin, oui, je sais…)

    mais j’ai tout de suite penser à ma prostate

     

    #47842
    bzo
    Participant

    ma tête, là, dans l’instant,

    avec mon corps,

    oui, ensemble,

    dans l’instant, réunis,

    formant un grand circuit,

    formant  un grand réseau,

    sillonné, parcouru,

    festivement

     

    se sentir sillonné,

    se sentir parcouru,

    de la tête aux pieds,

    jusqu’au plus profond de ses fibres,

    ébloui, oui, ému, oui,

    de la tête aux pieds,

    jusqu’au plus profond de ses fibres

     

    traversé, de part en part,

    comme par de la soie,

    comme par une nuée de caresses,

    de la tête aux pieds,

    jusqu’au plus profond de ses fibres

    #47848
    bzo
    Participant

    il y a quelques instants, assis dans mon fauteuil,

    en me caressant un peu, bougeant les hanches

    pressant et frottant avec les cuisses, les génitaux,

    je me suis fait la réflexion

    que grâce à l’augmentation, jour après jour,

    de l’accumulation des énergies,

    je sentais toujours mieux ses formes,

    je les vivais avec toujours plus d’intensité et de variété

     

    le grain de sa peau, sous mes doigts,

    est devenu tellement, tellement,  précis

    les courbes de ses seins, dans mes paumes,

    se dessinent avec une telle netteté, un tel réalisme,

    chaque mouvement de ses hanches,

    est devenu tellement incroyablement capiteux,

    ressenti avec une telle précision

     

    et puis, et puis,

    quelle souffle, quelle bouffée  de chaleur enivrante,

    qui remonte par la petite fente,

    dès que j’applique une contraction,

    cela me monte immédiatement au cerveau,

    je suis pris d’un délicieux vertige

     

    si je suis debout, je titube, je zigzague,

    comme si j’étais ivre,

    si je suis assis,

    j’ai les yeux qui se referment,

    la tête qui se rejette en arrière,

    tout mon être,

    est entraîné par un doux torrent de soie

     

    comme elle est là,

    comme elle est vécue,

    comme elle se manifeste,

    comme l’instant est plein, capiteux et riche,

    comme un désir XXL m’emplit, des pieds à la tête,

    comme tout mon corps chante,

    sa complicité est une voluptueuse bénédiction,

    de tous les instants

     

    et comme ma prostate, joue le jeu, aussi,

    mettant toute sa puissance,

    au service de la danse de ses hanches

    et du dard l’explorant avec ardeur

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