Mots-clés : aneroless
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10 décembre 2023 à 0 h 54 min #47750bzoParticipant
la volupté est un univers qui se construit,
avant que de pouvoir y habiter,
avant que de pouvoir y déambuler, à sa guise
laisser parler son instinct, laisser parler son désir,
c’est un travail de longue haleine,
tellement nous sommes peu habitués à la liberté,
tellement nous sommes peu habitués à nous écouter
ou à écouter l’autre
10 décembre 2023 à 12 h 58 min #47751PetitsPlaisirs76ParticipantBonjour
bzo écrit
le 2 /12/2023
le plaisir au féminin, exclut tout contact de ses génitaux avec les doigts,
cela rompt directement ce type de flux qu’on est parvenu à établir en soi,
les sensations repassent en mode pénien
le 9/12/2023
on va laisser nos hanches, se mettre à bouger
on va se caresser les seins,
comme si c’étaient ceux d’une femme qu’on touche
et de fait, c’est ceux d’une femme qu’on va toucher,
de la femme qui est en nous
qu’on a laissé monter ,
qu’on a laissé prendre les commandes
Sans le toucher avec les doigts, je constate que lorsque mon bassin bouge beaucoup,
mon pénis flasque, avec prépuce, tape un peu sur le pubis,
cela entraîne des sensations péniennes un peu trop importantes,j’ai résolu le problème en l’immobilisant dans un petit string.
Je me caresse tous les jours, ce matin au menu:
10% verge, 40% cuisses+fesses+torse+tétons,
50% anus extérieur+périnée+périnée base de la verge.
Je dois dire que les caresses en rotation sur le périnée à la base de la verge + sur les tétons m’ont fait monter aux rideaux.
Pour la suite de ton texte du 9, il me semble que tu t’es fait rattrapé par la patrouille du yang avec cette érection.
10 décembre 2023 à 19 h 54 min #47753bzoParticipantPour la suite de ton texte du 9, il me semble que tu t’es fait rattrapé par la patrouille du yang avec cette érection.
bah, pas vraiment,
ce n’est pas à proprement parler du plaisir pénien,
même si je bandais,
c’est une expérience très particulière
avec le pénis en érection qui semble attirer les ondes prostatiques,
semble s’en emplir
je fais cela, de temps à autre quand je suis dans de bonnes dispositions,
que je sens que cela va fonctionner
sinon, je ne suis pas un extrémiste, un radical,
je n’ai rien contre le plaisir pénien,
juste, il me semble que c’est vraiment intéressant
que quand on est , au moins, avec une autre personne
tout seul, dans le plaisir en solitaire,
j’en suis arrivé à l’éliminer totalement
car sans grand intérêt, par rapport à ce qu’on peut obtenir,
en mode prostatique, ou anal ou mode yin, bien sûr
si on veut être très concret et pragmatique,
le rendement du plaisir pénien,
ne peut pas se comparer à celui du plaisir prostatique, anal ou mode yin
rendement mais richesse et variété, non plus
ces pratiques, hors de la voie standard,
deviennent de plus en plus extraordinaire,
au plus on pratique l’abstinence d’éjaculation,
@modeyin pourra confirmer
c’est antinomique, avec le plaisir pénien
qui tend vers cela, vers le petit crachat laiteux,
qui va déboucher sur cela, la plupart du temps
avec un ou une partenaire, c’est autre chose,
on est dans un autre univers,
là, il y a échange des énergies,
c’est l’équivalent en acquisition de puissance, pour moi,
à l’abstinence d’éjaculation, en solitaire
10 décembre 2023 à 22 h 29 min #47754bzoParticipantJe me caresse tous les jours, ce matin au menu:
10% verge, 40% cuisses+fesses+torse+tétons,
50% anus extérieur+périnée+périnée base de la verge.
Je dois dire que les caresses en rotation sur le périnée à la base de la verge + sur les tétons m’ont fait monter aux rideaux.
tu diversifies, tu explores, c’est vraiment bien, çà.
au plus tu te caresses, au plus ton corps va réagir.
s’écouter, toujours plus s’écouter,
c’est le secret ultime de nos pratiques hors des sentiers battus
établir le lien avec son corps,
construire de la complicité avec lui,
vient avec l’écoute,
une écoute totale et sans conditions
écouter son corps,
c’est renoncer à n’en faire qu’à sa tête,
n’en faire que selon sa tête,
juste céder au désir le plus immédiat
ne plus suivre ses idées
mais apprendre à laisser faire son instinct,
apprendre à agir, à réagir, selon son ressenti,
donner de plus en plus d’ampleur à son désir ,
en le désenclavant, en se désenclavant
le diable est dans les détails,
on pourrait dire la même chose du plaisir,
le plaisir est dans les détails
12 décembre 2023 à 23 h 10 min #47756bzoParticipantil faudrait que je crée un fil, à part,
pour les effets de l’abstinence d’éjaculation,
sur ma pratique
et sur ma vie, en général, d’ailleurs,
tellement cela devient de plus en plus étonnant
c’est une expérience, exaltante, passionnante,
je me sens un peu comme un laboratoire
ou comme un explorateur
qui va de découverte en découverte
en terra incognita
la nuit passée, a été extraordinaire,
mon sommeil a été très agitée
et j’ai peu dormi
mais j’ai vécu des moments splendides,
de communion voluptueuse avec mon corps
oh, pas d’orgasme himalayen,
juste de ces moments d’une telle pure complicité,
des sensations d’une finesse et d’une richesse telles,
cela devient assez indescriptible
indéniablement, au fil des jours,
c’est la qualité qui augmente, qui en bénéficie,
bien plus que la quantité
car finalement, je pratique de moins en moins,
me contentant de moins,
étant assouvi, avec moins
mais c’est juste que même la plus simple caresse,
semble avoir une telle portée en moi,
épanouissement dans l’instant,
un profond et complet épanouissement, dans l’instant,
dans toutes mes fibres,
une sensation ineffable de bien-être,
de complicité avec mon corps
qui se répercute , d’ailleurs, dans ma vie de tous les jours,
je n’ai jamais été aussi serein, aussi balancé,
aussi tranquillement confiant
et puis il y a ces bienfaits physiques, étonnants
que j’ai déjà décrits,
toutes les douleurs de type inflammatoire
très très handicapantes que j’avais,
qui semblent avoir complètement disparues
et ne me parler pas de hasard, de coïncidence,
c’étaient des douleurs trop installées,
qui avaient pignon sur rue, en moi, depuis des années,
pour lesquelles j’avais consulté bien des fois,
pour lesquelles la médecine était assez impuissante,
sinon que de constater et d’entériner
15 décembre 2023 à 14 h 13 min #47759JCParticipant<p style=”text-align: left;”>Bonjour, à toute la communauté. Tout d’abord, un grand merci pour la qualité des échanges, la pédagogie et la bienveillance qui ponctue le site. J’ai acquis depuis quelques semaines le trident hélix syn. Aucune expérience auparavant en la matière mais une réelle envie de découvrir le plein potentiel de cette fameuse glande :). Les quelques premiers essais ont été intéressants (chatouillis et pulsations ressenties). Comme je m’y attendais, il va me falloir du temps et de la persévérance pour progresser dans la carte au trésors. Une belle journée à tous.</p>
16 décembre 2023 à 2 h 23 min #47768bzoParticipantpour des conseils plus pratiques,
sur la manière de se débrouiller dans la manière du Traité,
je te conseille d’aller, plutôt, sur le discord , lié au site
16 décembre 2023 à 2 h 47 min #47770bzoParticipantje pratique moins ces derniers jours, nettement moins,
quasi pas, en fait,
c’est pour cela que je ne viens plus écrire,
mes textes, sont des extensions de mes moments intimes,
les mots jaillissent, souvent, comme flottant sur la volupté,
durant mes multiples mini-séances
je pratique moins, je disais, donc,
va savoir pourquoi, je ne force pas,
je me sens bien,
le désir est un peu en sommeil
pas de porno,
pour le rallumer artificiellement,
cela joue, sans doute,
cycle naturel, cycle plein
de temps à autre, un frottement, une petite contraction,
un mouvement des hanches,
juste pour vérifier que tout est bien là,
prêt à démarrer au quart de tour
mais oui, c’est bien là,
ô combien, bien là
tendre explosion entre mes reins,
poulpe de chaleur soyeuse
qui se met à onduler de ses milliers de tentacules,
dans tout mon être,
oui c’est bien là
et avec l’accumulation des énergies,
c’est, en fait, de plus en plus, là,
de plus en plus, miraculeusement, là,
le peu que j’ai besoin de faire,
pour être envahi de fond en comble,
d’un bien-être voluptueux,
tellement délicieux, tellement jouissif
mon sexe se durcit, à l’écriture de ces mots,
je le frotte tendrement entre les cuisses,
ses ondes se dispersent dans mon bassin,
montent, descendent, courent un peu partout,
je bouge les hanches, je me caresse les seins,
cela s’allume de tous les côtés, maintenant,
oh comme je suis bien,
quelle langueur généralisée,
quelle sensation d’épanouissement voluptueux,
de volupté épanouissante
je fais monter une contraction ,
c’est toujours la goutte qui fait déborder le vase, chez moi
et il n’en finit plus de déborder, après,
cela gicle de tous les côtés,
c’est une vraie inondation d’une lave chaude, épaisse, tellement douce
je contracte tout le fessier puis les cuisses et enfin, les mollets,
cela fait exploser comme des millions d’étoiles, dans ma tête,
je ferme les yeux, quelques instants,
laisser tout cela suivre son cours
je fais monter rythmiquement des contractions,
la sensation de pénétration est juste divine,
mon sexe est double,
mon sexe est fendu, mon sexe est pointu,
mon sexe est avalé, mon sexe est digéré,
mon sexe est une bouche d’océan
qui englobe tout mon être
je roule dans des mondes lointains,
sur des flots capiteux,
il y a de la lumière, partout, qui nage,
qui me porte, me déporte, toujours plus
le vent est comme une soie
qui ne connait aucune cloison,
quelle brillance parfaite, dans la chair,
l’instant est comme un cristal chantant
17 décembre 2023 à 0 h 20 min #47777bzoParticipantnotre chair, hommes comme femmes,
possède en elle, toutes les sensations,
possibles et imaginables
et le désir est un pont
un pont qui a le pouvoir de croitre et encore de croitre,
de nous emmener par-delà tous les horizons
qui sommeillent en nous
et des horizons, en nous,
il y en a à l’infini,
on est un delta immense qui se jette dans la mer
et le vent du grand large balaie nos fibres
nos constructions sont éphémères, majestueuses,
des splendides palais n’attendent que nous,
dans l’instant,
un fuyant goût d’éternité, dans l’obscurité du sang
splendide animal, capable de coït cosmique,
laissons la turgescence, entre les mains du féminin,
qu’elle se charge de le faire fructifier,
de le faire éclore
qu’un sperme intérieur, arc en ciel,
coule, nous inonde,
de ses torrents incessants
je bande, entre deux lèvres humides,
de la tête aux pieds
17 décembre 2023 à 2 h 17 min #47778bzoParticipantquelle séance splendide au lit,
une bonne heure,
ce qui , pour moi,
est une durée toute à fait inhabituelle,
moi qui , en général, dépasse rarement les 2, 3 minutes, en continu
mais très très souvent répétés
j’étais la plupart du temps, en mode 100% prostatique,
cuisses écartées, sur le dos, les bras au repos,
rien que ma prostate et moi, donc
cependant,
j’alternais régulièrement avec des moments en mode yin
pour me dépayser radicalement de la tension du plaisir prostatique
car chez moi, elle est toujours toute en tension,
bruits et fureurs, sans limites, dans la chair
ma prostatique chérie, de plus en plus tellurique,
de plus en plus, comme en éruption massive
quand je lui accorde le temps et l’attention qu’il faut,
délicieux contraste,
de la violence des faisceaux d’ondes prostatiques
qui balaient, sans cesse, dans tous les sens, ma chair,
déréglant mes nerfs, déréglant mes muscles,
me faisant se convulsionner,
me faisant trembler et frémir, de tous les côtés
passer, tout à coup, à l’extrême opposé,
au laisser-aller, au laisser-faire, royaux, du mode yin,
aux ondulations soyeuses qui apaisent, qui épanouissent, la chair,
de leur nectar ineffable
oh, la volupté royale du féminin,
dans toutes mes fibres,
quelques instants,
quel paradis instantané
puis je repassais aux tempêtes prostatiques,
redevenant une petite nef, secouée sans ménagement, par les vagues,
culbuté, tossé, de tous les côtés,
pour mon plus grand plaisir
les orgasmes s’enchaînaient,
je criais, je hurlais, je gémissais, je râlais, je miaulais, je griffais le coussin
jusqu’au moment où soudainement,
j’avais à nouveau envie,
juste des sereines et souveraines vagues, soyeuses, du mode yin,
pendant quelques instants
et ainsi de suite,
à noter, que cela a pris très très sérieusement consistance,
je veux dire, que cela est devenu complètement démesuré et fou,
à partir du moment où j’ai gardé les yeux bien ouverts,
il y avait , ainsi, comme un surcroît de puissance,
à tout instant, qui s’exprimait
c’est quelque chose que j’ai déjà expérimenté maintes fois, par le passé,
entre le plaisir, plus goûté dans son for intérieur
quand on garde les rideaux bien fermés,
sans doute plus raffiné, plus fin, plus délicat
mais alors, dès qu’on se force à garder les yeux bien ouverts,
alors là, alors là, cela semble exploser vers l’extérieur,
les ondes semblent sortir de moi,
m’envelopper, m’entourer, me secouer de l’extérieur, aussi,
me faire de l’effet, de l’extérieur, aussi
très très impressionnant, à partir de ce moment,
les orgasmes, en mode prostatique, étaient en continu
et d’une puissance déchaînée, sans aucun temps mort
en comparaison, dès que je repassais , pour quelques instants, en mode yin,
cela semblait comme une promenade en barque, par beau temps,
le soleil, le vent et le parfum des fleurs, omniprésents, caressant de partout
et un profond bien-être, tout en laisser-aller,
m’envahissait jusqu’au plus profond de mes fibres,
un carrousel de sensations , sans cesse changeant, s’installait, en moi
et je dégustais une volupté, aux nuances variant constamment, au fil des instants
17 décembre 2023 à 2 h 41 min #47779bzoParticipantaprès, cette séance mémorable,
je sortis dans la cuisine,
me couper une tranche de bon pain au levain,
avec une croute bien épaisse et gouteuse
et je mettais dessus, un peu de beurre et beaucoup, beaucoup, de mortadelle italienne,
jamais pain et charcuterie,
n’ont eu un goût aussi pleinement, aussi finement,
apprécié, par mes papilles gustatives
mon niveau de perception, est étonnant,
jamais eu cela,
semblait s’être démultiplié, pour l’instant,
j’attribue cela, à la splendide connection que j’ai eu avec mon corps,
pendant un si long laps de temps,
durant cette séance décrite, juste au-dessus
17 décembre 2023 à 11 h 08 min #47780bzoParticipantmes couilles et mon sexe,
semblent chaud bouillant, ce matin
et quand je les enveloppe avec mes cuisses,
je sens leur chaleur tellement douce, se diffuser dans mes cuisses
et si j’y ajoute un mouvement des fesses,
façon déhanchement langoureux,
alors soudainement la chaleur semble se transformer en un essaim de velours,
explosant dans toutes les directions
je restais, ainsi, de longues secondes, juste penché au dessus de la baignoire,
goutant à cet envol de nid, dans mon bassin, de milliers d’oiseaux de chaleur soyeuse
ou encore dans la cuisine, devant le robinet ouvert,
immobile sauf pour les hanches,(la bouilloire a débordé),
enfin à tous bouts de champ
le désir de pratiquer, est revenu,
la journée va être consacré à la menuiserie,
terminer cette fichue bibliothèque qui couchée,
prend tellement de place, dans mon salon
et à me lutiner, à m’envoyer en l’air
puis en fin de journée, une petite virée chez un de mes bouquinistes
et après, et après, lecture et lutinage
ou bien lutinage et lecture, comme on veut
17 décembre 2023 à 13 h 11 min #47781bzoParticipantil faut vraiment être nu pour bricoler,
cela permet d’évacuer la chaleur générée par l’exercice,
d’être totalement à l’aise dans ses mouvements,
d’être plus efficace, donc
et puis cela permet à mon autre exercice, plus intime, plus ardent, celui-là,
de bien se mettre en place, automatiquement, sans effort,
généré sans que j’y pense un seul instant, au fur et à mesure
le moindre contact de mes fesses, de mes couilles, avec du bois, avec le parquet,
le moindre contact, en fait, de n’importe quelle partie de mon corps,
avec n’importe quoi,
génère immédiatement des sensations voluptueuses,
comme c’est agréable de travailler ainsi,
quelle ponctuation délicieuse
et puis je suis étonné, à quel point, désormais,
je peux pratiquer en parallèle, en faisant n’importe quoi,
il y a finalement, peu, très peu de tache avec laquelle on est occupé,
qui requiert 100% de notre attention
il y a presque toujours quelques pourcents de concentration qui peuvent être libérés
et détournés vers de la communion voluptueuse, avec mon corps,
alors je visse en plaisir, je scie en plaisir, je déplace ceci ou cela, en plaisir,
cela se fait automatiquement,
dès que 100% de ma concentration est exigée pour finir de visser ou de percer quelque part,
le manège sensuel, s’arrête, le temps qu’il faut
et reprend dès que cela redevient possible
et s’accentue de plus en plus quand la possibilité est là
du piano à quatre mains,
deux mains pour la conversation ardente, entre mon corps et mon esprit,
entre le masculin et le féminin , en moi
et deux mains pour ma bibliothèque
sinon, ma recommendation du jour,
travailler à poil,
vous ferez des économies de lessive, d’usure de vêtement
et vous serez bien mieux, bien plus à l’aise
pour effectuer votre tache
et si vous avez une pratique bien développée,
vous pourrez la faire cohabiter, beaucoup plus facilement,
avec ce que vous faites
17 décembre 2023 à 16 h 02 min #47786bzoParticipantau fond, le mode yin, le plaisir au féminin,
c’est enfantin, c’est simple comme bonjour
à condition d’oser
et c’est peut-être cela, le bloc le plus important,
de l’apprentissage, du parcours,
apprendre à oser de plus en plus
car pour un homme standard
(mais qui l’est vraiment, surtout parmi ceux qui s’attardent par ici?),
il s’agit de se faire violence, en tout cas au début,
d’oser transgresser, d’outrepasser
ce qui semblent les frontières de notre genre,
cela peut paraître contre nature, dans un premier temps
mais le fait est,
que notre chair,
que nous ayons le physique d’un homme, ou d’une femme,
peut réagir, indépendamment de cela,
au masculin , comme au féminin
et bien sûr, sur toutes les nuances de l’échelle, entre les deux
dès lors, oui, c’est simple comme bonjour, c’est enfantin,
il suffit d’agir, comme si notre corps
était celui d’une femme à qui on veut procurer beaucoup de plaisir,
la faire jouir , le plus possible
et notre corps va finir par comprendre ce que l’on attend de lui
et va donc réagir, de plus en plus, en ce sens
notre corps va comprendre de mieux en mieux ce qu’on attend de lui,
aussi au fur et à mesure que nous apprenons de mieux en mieux,
à exprimer, à chaque instant, ce qu’on attend de lui,
c’est un double apprentissage, un rapprochement, un dialogue,
entre notre corps et notre esprit,
pour que le masculin et le féminin, en nous,
puissent interagir de mieux en mieux,
s’entremêler de plus en plus ardemment,
avec de plus en plus d’intensité, de variété et de richesse
agissant, ainsi,
automatiquement nous percevrons le plaisir au féminin
car le plaisir est , avant tout du côté du féminin,
nous autres hommes, avec uniquement notre plaisir pénien,
nous sommes ridicules à côté,
nous ne jouons pas dans la même ligue
mais dès qu’on s’aventure du côté du plaisir prostatique et due plaisir anal,
là, cela devient autre chose,
nous nous rapprochons en qualité des résultats,
de ce que peuvent obtenir les femmes
mais pourquoi se refuser, à côté du plaisir anal et du plaisir prostatique,
si on peut encore obtenir une troisième variété de plaisir,
encore plus proche, au niveau de la qualité et de la richesse,
des sensations et de la jouissance,
de ce que peuvent éprouver les femmes?
en tout cas, pour certains d’entre nous,
c’est une tentation très forte, d’aller par là,
d’éprouver cela, de vivre cela, dans sa chair
17 décembre 2023 à 16 h 53 min #47792PetitsPlaisirs76ParticipantLe 16/12 bzo écrit
je pratique moins, je disais, donc,
va savoir pourquoi, je ne force pas,
je me sens bien,
le désir est un peu en sommeil
pas de porno,
pour le rallumer artificiellement,
cela joue, sans doute,
cycle naturel, cycle plein
Idem pour moi, je pense que la saison hivernale et son manque de soleil y est pour une part.
Je maintiens le niveau de la libido en me caressant, au sens premier, tous les jours, pas de masturbation pénienne et intellectuellement en m’intéressant au “cul”,
en consultant quelques sites ou blogs, toujours les mêmes, qui titillent mes petits fantasmes, pas de “porno” type “classique”.
Ensuite le corps décide, souvent en milieu de nuit lorsqu’il s’est reposé.ps:la notion de porno étant très large, je précise que pour moi ce sont les vidéos “classiques” avec de l’agressivité de la démesure, tout sauf du plaisir.
pour moi une personne seule, en photo, quoi qu’elle fasse n’entre pas dans la catégorie “porno”, le “porno” ne commence qu’à deux.17 décembre 2023 à 17 h 02 min #47794bzoParticipantle “porno” ne commence qu’à deux
hum, là, je ne suis pas du tout d’accord,
une vidéo de femme ou d’homme qui se masturbe en solo,
c’est aussi de la pornographie
dans le contexte d’un film, c’est différent,
si le scénario justifie une scène très dénudée, voire explicite, comme on dit,
là c’est autre chose,
cela peut aller très loin, aussi lojn que possible,
s’il y a un scénario, une action où cela a sa place
un homme ou une femme, peuvent se promener nu
et cela peut être de l’art, dans un film,
exprimant de la sensualité, voire autre chose,
juste de la beauté, la beauté du corps, de la vie
ou cela peut être juste pornographique, dans un autre,
tout dépend s’il y a un scénario, un contexte qui justifie la nudité
ou si elle est simplement là pour inciter le spectateur à se masturber
18 décembre 2023 à 23 h 42 min #47830bzoParticipantsans doute, pour une femme,
une fois qu’elle prend possession de son corps,
laissant son corps la posséder,
c’est juste naturel, cela va de soi
quand cela s’éveille en elle,
quand cela commence à l’emporter,
quand sa chair et son esprit,
se mettent à délirer, ensemble,
sur la monture ardente du désir
mais pour moi
qui suis un homme,
avoir réussi à aller aussi loin,
à l’éveiller en moi
dans cet apprentissage intime, ardent,
en parfaite connivence avec mon corps,
il y a à chaque fois,
comme une sensation de magie
en train de s’opérer
dans la spontanéité absolue,
sans frontières,
je suis ce que je ressens
l’élan vital, le cercle,
l’ardente pente du désir
mon sexe est entrebâillé,
immensément, des pieds à la tête,
je suis face à la mer,
je suis cette ouverture, cette offrande
que pénètrent les vagues,
que pénètre l’écume,
que pénètre le vent,
que pénètre la lumière
19 décembre 2023 à 18 h 14 min #47841bzoParticipantje viens de recevoir une publicité d’une grande surface dans ma boite mail,
“Répandre la magie de Noel”
je ne sais pas pourquoi (enfin, oui, je sais…)
mais j’ai tout de suite penser à ma prostate
19 décembre 2023 à 19 h 12 min #47842bzoParticipantma tête, là, dans l’instant,
avec mon corps,
oui, ensemble,
dans l’instant, réunis,
formant un grand circuit,
formant un grand réseau,
sillonné, parcouru,
festivement
se sentir sillonné,
se sentir parcouru,
de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de ses fibres,
ébloui, oui, ému, oui,
de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de ses fibres
traversé, de part en part,
comme par de la soie,
comme par une nuée de caresses,
de la tête aux pieds,
jusqu’au plus profond de ses fibres
20 décembre 2023 à 9 h 20 min #47848bzoParticipantil y a quelques instants, assis dans mon fauteuil,
en me caressant un peu, bougeant les hanches
pressant et frottant avec les cuisses, les génitaux,
je me suis fait la réflexion
que grâce à l’augmentation, jour après jour,
de l’accumulation des énergies,
je sentais toujours mieux ses formes,
je les vivais avec toujours plus d’intensité et de variété
le grain de sa peau, sous mes doigts,
est devenu tellement, tellement, précis
les courbes de ses seins, dans mes paumes,
se dessinent avec une telle netteté, un tel réalisme,
chaque mouvement de ses hanches,
est devenu tellement incroyablement capiteux,
ressenti avec une telle précision
et puis, et puis,
quelle souffle, quelle bouffée de chaleur enivrante,
qui remonte par la petite fente,
dès que j’applique une contraction,
cela me monte immédiatement au cerveau,
je suis pris d’un délicieux vertige
si je suis debout, je titube, je zigzague,
comme si j’étais ivre,
si je suis assis,
j’ai les yeux qui se referment,
la tête qui se rejette en arrière,
tout mon être,
est entraîné par un doux torrent de soie
comme elle est là,
comme elle est vécue,
comme elle se manifeste,
comme l’instant est plein, capiteux et riche,
comme un désir XXL m’emplit, des pieds à la tête,
comme tout mon corps chante,
sa complicité est une voluptueuse bénédiction,
de tous les instants
et comme ma prostate, joue le jeu, aussi,
mettant toute sa puissance,
au service de la danse de ses hanches
et du dard l’explorant avec ardeur
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