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20 sujets de 281 à 300 (sur un total de 371)
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  • #28486
    bzo
    Participant

    une danse pour terminer en beauté cette journée,
    une danse sacrée,
    le plaisir dansait en moi,

    j’étais une piste de danse,
    des pieds légers en moi,
    je n’étais plus qu’une bouche,
    une bouche accrochée à un sexe,
    une bouche accrochée à un volcan,
    une bouche comme une cheminée sonore
    pour exprimer le feu en moi, la lave en moi

    le feu comme une belle gitane dansait,
    ses jupons colorés partout en moi
    voletaient, tournoyaient, effleuraient, frôlaient,
    c’était une fête tout en voiles frissonnantes,
    tout en voiles frémissantes,
    dans mon sang, dans ma chair

    entre terre et ciel, une échelle un instant,
    quelque chose est monté,
    quelqu’un a monté

    #28487
    bzo
    Participant

    quelle meilleure façon de commencer une journée que par un orgasme?
    quelle meilleure façon de s’éveiller
    qu’en se surprenant à se caresser,à s’effleurer la raie du cul,
    à se sentir une bien dure contraction remontant le fondement?

    oh je gémis comme dans un rêve, le plaisir est-il dans mon rêve,
    est-ce un plaisir de rêve ou suis-je encore en train de rêver au plaisir?
    non, non, ce doigt qui s’enfonce bien fort dans mon cul à sec
    qui va à la rencontre de mes muscles se contractant,
    provoquant des étincelles de plaisir dans tout mon corps,
    il est bien réel, c’est ma chair
    à la rencontre de ma chair,
    c’est ma chair allant à la rencontre du plaisir

    bon dieu comme je gémis, oh c’est tellement bon,
    ce miel ardent qui m’emplit, qui déborde dans mon cerveau,
    ça y est, je jouis, des vagues et encore des vagues,
    la chair est rafraîchie, la chair est légère, la chair est en fête

    bonjour tout le monde, bonjour plaisir,
    bonjour moi-même

    je vous embrasse tous et toutes

    #28499
    Jieffe
    Participant

    Bonjour bzo,

    c’était parce que celui qui regarde, celui qui voit tout cela,
    c’est moi, le mâle, c’est mon moi masculin,
    alors que celui qui agit, celui qui caresse,
    celui dont le bassin ondule, celui dont le corps lascivement est en mouvement,
    c’est ce féminin qui s’est emparé de mon corps
    et qui l’anime selon son désir et selon son plaisir

    C’est très intéressant ce que tu dis là. Oui, ce doit être très excitant, une belle expérience à vivre certainement.

    j’y ai perdu en spontanéité certes,
    mes séances en a-less sont moins instinctives,
    font appel à une technique beaucoup plus élaborée

    Ne crois tu pas qu’à force de pratique, elle deviendront de nouveau spontanées, naturelles?

    #28504
    Andraneros
    Modérateur

    j’y ai perdu en spontanéité certes, mes séances en a-less sont moins instinctives, font appel à une technique beaucoup plus élaborée

    Je partage l’opinion de @jieffe. A force de pratique toute technique devient naturelle voire instinctive. Tous les débutants devraient avoir cette phrase en tête.

    Patience, confiance et pratique, patience, confiance et pratique, patience, confiance et pratique…

    Bon cheminement @bzo.

    #28525
    bzo
    Participant

    terminé de manger, pris ma douche, réglé quelques affaires courantes,
    temps d’aller me mettre un peu de crème au cul,
    j’ai testé il y a quelques minutes avec le doigt,
    mon anus est tellement sec qu’il n’y aurait pas moyen d’y enfoncer une allumette

    temps aussi, je me suis rendu compte d’arrêter d’analyser ce que je fais,
    de faire à présent confiance à mon corps, de laisser à nouveau parler mon instinct,
    je lui ai donné quelques accessoires, quelques techniques supplémentaires,
    les ai testé dans tous les sens, perçu leur potentialité, leurs limites,
    contrairement à ma pratique avec masseur,
    il y a définitivement moyen d’intégrer toutes sortes de manières différentes de se donner du plaisir,
    le a-less est beaucoup plus souple, aucune limite d’aucune sorte en fait,
    une fois que notre prostate est totalement éveillée,
    c’est éclectique, protéiforme, au possible,
    on peut faire pratiquement ce qu’on veut

    une de mes actions favorites actuellement
    est une variation de cette position à mon bureau que j’aime tellement,
    je mets les pieds sur la table, les jambes bien écartées,
    je suis dans la position ainsi d’une femme chez son gyneco,
    les pieds sur les étriers, grande ouverte

    la variation est que je m’enfonce un doigt bien loin dans le fondement,
    et puis j’entre en action,
    avec une main je caresse mon sein, mon flanc lentement
    et puis les contractions font bouger le doigt dans mon anus,
    la main est sous les couilles, appuie aussi sur le périnée,
    toute cette zone est très érogène
    et la main s’est étendu là pour pouvoir enfoncer le doigt dans le fondement

    avec chaque contraction, les doigts bougent,
    celui enfoncé dans l’anus, est happé comme d’habitude par les muscles de la contraction,
    semble en contact directement avec ma prostate,
    tellement je la sens vibrer non loin de là
    à chaque fois que le contact a lieu entre le doigt au nid et la contraction

    sous le scrotum cela frotte délicieusement aussi
    et le périnée est pressé aussi,
    très vite, en quelques secondes, le plaisir devient tellement intense

    je ne peux me retenir de hurler de plus en plus fort, tant pis pour les voisins,
    bon dieu de bon dieu,
    ce doigt enfoncé dans mon cul, il va me rendre fou

    #28529
    bzo
    Participant

    j’adore me caresser les seins,
    ce sont les ports d’attache de mes mains

    il y a toujours un moment quand je les ai empoignés,
    les pressant lentement vers le haut,
    mes paumes glissant au ralenti dessus
    en frottant au passage avec insistance les mamelons
    où ils vont me faire sentir le féminin éveillé en moi
    comme à nul autre moment

    “sens comme tu es femme là en ce moment, femme avec toutes ses courbes”
    semblent me susurrer les pointes dures frottées lentement
    et les globes de chair pressés, malaxés

    des seins qui se balancent en rythme,
    qui dialoguent harmonieusement avec la houle des hanches,
    tu n’as pas cela
    mais sens malgré tout comme tu es femme en ce moment,
    malgré aussi cette paire de couilles qui se balancent plus bas
    et ce petit tuyau de chair tout flasque
    prêt à se gorger de sang et à se dresser

    #28530
    bzo
    Participant

    04h du matin

    après une nouvelle nuit de luxure et de débauche solitaire
    où je n’ai pas arrêté de me baiser et de jouir,
    je me suis décidé dans un moment d’humeur rétro, vintage
    à sortir mes deux masseurs préférés de leur boîte, le Vice et mon G-Rider

    d’abord le Vice, je me suis dit, il est moins gros,
    avec le temps, débuter avec l’autre qui est plus volumineux,
    c’est peut-être un peu risqué

    donc Vice d’abord puis G-Rider,
    aussi dit, aussi fait, sorti aussi le lubrifiant,
    me voilà avec le Vice dans le fondement,
    pas grand chose comme sensations,
    au bout de quelques minutes, dans une tentative déjà désespérée d’obtenir des résultats,
    je passe au G-Rider

    il entre assez facilement finalement,
    faut dire que ces derniers jours, j’y allais parfois avec tous les doigts,
    alors pas de problème de taille

    cependant la déception a été énorme
    et j’ai arrêté là aussi après 5 mn,
    le fait de ressentir un corps étranger dans mon trou de balle,
    me dérangeait vraiment,
    j’y étais vraiment plus habitué

    et puis surtout,
    si au début j’essayais de reproduire avec les contractions
    le comportement d’un masseur,
    cette nuit , cela a été le contraire,
    avec le masseur j’ai essayé de reproduire les contractions
    et cela n’a pas marché bien sûr

    ce masseur, c’est un objet avec une forme fixe,
    là j’ai compris que les contractions ne font pas seulement naître
    une sensation de sexe me pénétrant,
    reproduisant toutes sortes de variétés de mouvements
    mais aussi que la forme était mouvante, sans cesse mouvante,
    s’adaptant à mon désir et à mon anatomie à volonté

    alors que là, le masseur, ben il est forcément une forme fixe,
    je le rentrais et je sentais cette forme qui remontait en moi
    et qui restait obstinément la même tout le long de la trajectoire,
    cela sidérait mon corps qui était habitué à autre chose ces dernières semaines
    et qui a rejetait ce corps étranger à forme fixe
    avec lequel j’essayais d’obtenir du plaisir

    pour me consoler, sur mon fauteuil bas après,
    je me suis assis sur ma main, trois doigts bien enfoncés dans mon cul,
    j’ai commencé les contractions,
    les alliant avec des mouvements du bassin
    et me caressant langoureusement de l’autre main,
    gardant de temps à autre les yeux fermés
    puis les ré-ouvrant pour déguster la houle tellement féminine qui animait mon corps

    mon torse sur laquelle se déplaçait lentement ma main
    était tout tendu, à l’écoute, le plaisir rejetait ma tête régulièrement vers l’arrière

    de temps à autre je sortais la main de mon cul
    et j’allais envelopper mon sexe , le presser,
    serrer autour très fort les cuisses
    puis faisait remonter des contractions
    qui bougeaient tout cela

    mon sexe bougeait un peu dans ma main, c’était délicieux,
    des ondes de plaisir se répandaient dans tout mon corps,
    c’est tellement intense,
    ce pénis en cage, se frottant à ses barreaux,
    contribuait à mon plaisir prostatique dans des proportions phénoménales

    je remontais vers mes seins, comme c’est bon de les empoigner, de les serrer,
    je redescendais vers mon cul,
    restait aux abords de mon anus en feu,
    passait et repassait dans la raie,
    enfonçant juste le bout d’un doigt, cherchant à happer celui-ci avec une contraction bien forte

    je restais ainsi de longues minutes à divaguer de plaisir en roue libre,
    temps d’aller dormir
    mais j’ai encore envie de plaisir, de jouir,
    je suis insatiable, ma chair est insatiable,
    je pourrais faire cela 24h sur 24
    tellement c’est bon, tellement c’est intense,
    j’ai l’impression d’être incandescent de plaisir

    #28531
    bzo
    Participant

    ma journée a recommencé sur les chapeaux de roue

    je sors d’une délicieuse séance d’une vingtaine de minutes
    (ce qui est particulièrement long pour moi en a-less),
    j’étais sur mon fauteuil repose-pieds,
    je vais l’utiliser plus souvent celui-là,
    j’ai remarqué que j’avais toujours d’excellentes séances quand je l’utilisais,
    que je prenais la peine de quitter mon bureau

    je suis resté la plupart du temps les yeux fermés
    sauf quand je me concentrais exclusivement sur les caresses ,
    alors j’adore ouvrir les yeux, voir mes mains parcourir mon corps,
    je les suis du regard, je suis là avec elles sur la peau,
    une sensation d’épanouissement dans toutes ces courbes que j’effectue sur ma peau,
    je sens les formes du féminin sous mes doigts,
    comme elle exulte, comme elle se cambre sous les caresses qui l’enflamme,
    sous les caresses qui soulignent ses formes délicieuses
    dansant sous les doigts, ondulant de plaisir

    le corps est dans l’océan, les vagues arrivent, je m’éloigne du rivage,
    quelle puissance qui m’envahit, elle vient de toutes les parts du globe,
    elle a fait le tour de l’univers depuis la nuit des temps
    cette force qui m’a envahi, qui me submerge

    de la sensation de sexe ouvert entre mes jambes jusqu’à ma bouche,
    je sens une allée bienheureuse, une allée surpeuplée de sensations,
    qui quand elles arrivent dans ma bouche,
    s’envolent une à une en gémissements, en râles, en longs cris plaintifs,
    et j’ai pensé un instant à toi là, Naomi,
    car tu as évoqué ce genre d’image il y a pas longtemps dans un de tes textes

    flux exalté, flux mélodieux,
    tantôt torrent déchaîné, tantôt fleuve large, fleuve majestueux
    établi en moi
    qui se termine en sons chauds, en sons d’entrailles heureuses,
    en sons de chair enivrée

    j’ai bien senti les doigts enfoncé dans mon fondement,
    à quel point ils faisaient partie de la contraction,
    ne formaient plus qu’une masse pénétrante, remonte, fouillante, remuante,
    installée en moi pour générer des perturbations sans cesse

    cela me rend dingue de sentir ce pal de chair dans mes entrailles,
    cela n’arrête pas d’être insupportablement bon, insupportablement flamboyant,
    on a envie qu’il monte jusqu’à la bouche,
    qu’il continue, qu’il monte jusqu’au ciel, jusqu’aux étoiles

    et puis quand je saisis mon sexe et mes couilles, que je mets la main dessus,
    serrant plus ou moins fort, osant quelques changements de position même
    pour changer le flux de sensations se dégageant d’eux,
    là aussi je sens à quel point elles sont intégrées au flux principal émanant des contractions,
    ils ne forment qu’une masse, renforcée délicieusement ainsi,
    je me sens là aussi pénétré irrésistiblement,
    quel va et vient, cela frotte,comme cela frotte divinement, cela enflamme
    il va et vient comme un maître-queue, il manie son gourdin comme un dieu,
    il me rend fou de plaisir, je suis en roue libre,
    je dévale des pentes sur une collines verdoyantes au loin, sous un ciel ensoleillé

    je rouvre les yeux, je caresse lentement ma poitrine,
    comme elle est gonflée, comme elle vient à la rencontre de mes doigts,
    je déguste ses rondeurs, toutes ces courbes de mon corps,
    toute cette houle sous mes doigts que je perçois,
    océan, cher océan, merci

    je vous embrasse

    #28542
    bzo
    Participant

    dans la semi-obscurité,
    je n’étais pas encore sûr tout à fait qui j’étais,
    ni quel jour on était
    mais mon instinct comme premier acte au réveil,
    entraînait déjà ma main vers la raie de mon cul

    j’étais couché sur le ventre, les jambes en ciseau,
    la paume de la main vint se poser sur le globe d’une fesse
    tandis que les doigts bien serrés les uns contre les autres,
    se frayaient déjà un chemin dans mon fondement

    hum, mon anus est distendu un peu du fait
    que les doigts restaient bien alignés les uns contre les autres,
    je sentais le gain en profondeur, je les sentais de plus en plus profond en moi,
    je remuais lascivement un peu le bassin
    comme une femme qui voulait faciliter
    la progression du sexe en érection de son amant à l’intérieur d’elle

    cela rentrait doucement mais sûrement,
    pas besoin de se presser, cela frotte mieux, cela se déguste mieux
    quand c’est bien lent, au ralenti le mouvement est plus long,
    on ressent chaque millimètre de chair frottée sur le parcours

    cela rentrait et cela descendait aussi,
    tous les muscles de la région se sont tendus
    et la contraction dans l’autre direction arrivait,
    les doigts sont happés, enveloppés expertement par les muscles de la contraction,
    le contact est fait, je sens ma prostate qui commence à vibrer,
    comme une décharge électrique de chaleur et de frémissements,
    cela se répand dans mon bassin, je bouge langoureusement

    j’essaie d’écarter autant que possible les jambes,
    sentir les doigts de plus en plus profond en moi
    tandis que je continue à appliquer la contraction,
    tout mon corps maintenant est envahi par les vagues de plaisir,
    je gémis et je continue à bouger lascivement,
    à cambrer mon cul, les jambes bien écartées en ciseau sur le ventre,
    à l’offrir sans réserve, je n’ai qu’une envie, c’est d’être pris, d’être baisé
    “viens plus fort, plus profond, baise-moi, baise-moi”

    j’enlevai la main, la remonte en caressant au passage la fesse, le flanc,
    m’attarde longuement sur le sein,
    j’ouvre les yeux pour m’imbiber de la vision du mamelon enveloppé par les doigts,
    pressé, malaxé et du mouvement langoureux qui anime tout mon corps,
    tout son corps de femme en chaleur, de femme prise de bon matin,
    les sens en éveil, envahie de sensations délicieuses de tous côtés

    cela ondule lascivement de partout, plein de courbes en action,
    ma paume est chaude, ma paume est emplie,
    ma main va et vient,
    fait des allers-retours entre mon sein, mon fondement et puis mon sexe
    qu’elle vient envelopper des doigts,
    je resserre à ce moment les cuisses sur ce petit paquet empli d’explosifs
    et je bouge du bassin, je ondule de plus en plus fort
    tandis qu’un grand mouvement de pénétration est initié aussi par mes reins
    en conjugaison avec une contraction

    je râle, une digue quelque part a éclaté en mille morceaux, je suis inondé de sensations,
    spectre large, il y a de tout dans ce ressenti délicieux,
    la sensation de pénétrer , la sensation d’être pénétré, sont délicieuses, puissantes
    mon sexe dans ma main, renforce toutes ces ondes

    ça y est, je me souviens quel jour on est,
    on est dimanche, le jour du seigneur,
    il est enfoncé bien profond en moi, le seigneur,
    et je me souviens aussi qui je suis maintenant,
    je suis le gars qui éprouve du plaisir prostatique à la pelle

    je vous embrasse tous

    #28578
    bzo
    Participant

    ma posture préférée encore, je ne m’en lasse pas,
    rien que de me mettre dans cette position,
    je suis déjà excité comme une puce lubrique

    je mets les jambes sur le bureau bien écartées,
    la position chez le gyneco donc, pieds sur les étriers,
    je me retrouve ouvert de chez ouvert, je sens mon corps prêt à l’action,
    mon cul est là à portée de main, comme il est à portée de main, tout est bien à portée de main en fait
    je sens ma prostate toute excitée dans sa niche, prête à vibrer,
    mon petit moteur chéri, ma petite pile atomique sexuelle

    je commence immanquablement par les seins,
    je les prends à pleine mains,
    je passe dessus avec les doigts, puis les paumes lentement,
    dans la foulée ce sont les coudes maintenant qui viennent passer dessus en pressant,
    frottant les mamelons avec leur pointe dure au passage

    je reste ainsi à serrer les bras devant ma poitrine
    et je laisse une contraction remonter dans mon fondement,
    je rouvre les yeux, je veux voir mes mains caressant,
    je veux voir mes mains caressant
    ce corps ondulant, ce corps balancé par une houle voluptueuse,
    ce corps mu par le féminin, il devenu tellement gracieux,
    tellement harmonieux dans la volupté,
    il semble tout en courbes, tout en ondulations graciles,
    souplesse animale, ballet de mes mains, chorégraphie sensuelle

    là, les choses sérieuses commencent, j’approche un doigt de mon fondement,
    avec mes pieds sur le bureau, je suis presque à l’horizontale dans mon fauteuil de bureau,
    et mon bassin avec d’un côté mon sexe
    et de l’autre mon trou de balle légèrement lubrifié avec ma crème
    semble un plateau de fruits offert à ma convoitise

    ça y est, le doigt s’enfonce, il glisse bien
    mais ce n’est pas une patinoire comme avec du lubrifiant,
    immédiatement un cri rauque s’échappe de ma gorge,
    la contraction vient prendre contact avec l’intrus,
    les muscles l’enveloppe, bientôt le doigt semble faire partie de la contraction,
    ils ne font plus qu’un,
    torche qui fouille dans mes entrailles avec sa flamme chaude, sa flamme dansante

    le doigt est bien enfoncé, aussi enfoncé qu’il peut l’être dans cette position,
    pour cela la main vient prendre appui sur le périnée
    et sous les couilles,
    à chaque contraction, tout cela bouge, tout cela frotte,
    je vous dis pas, hou la la, hou la la,
    le bzo hurle comme une chatte en chaleur en train de se faire prendre par son matou

    ce doigt, oh ce doigt diabolique, quel doigt mutin, quel doigt éveilleur d’entrailles,
    il a le feu sacré, ce doigt, c’est le doigt de Superman au moins,
    bon dieu de bon dieu, j’ai le fondement en feu
    et puis les frottements sur les couilles et la pression sur le périnée,
    quel ensemble! mais quel ensemble!
    je suis en train de fondre de plaisir comme neige au soleil

    je n’ai jamais gémi comme cela,
    ce n’était plus moi qui gémissais mais ma prostate et mon cul,
    tous les deux étaient là tout entiers dans ces gémissements,
    ce n’était plus ma voix, ce n’étaient plus des sonorités dont j’étais capable
    c’était quelqu’un d’autre,
    un animal en rut qui s’est installé en moi, qui parlait avec ses entrailles
    et dès que j’ai entendu cette voix,
    mon orgasme a décuplé de puissance,
    je partais en roue libre d’entendre cette voix qui semblait plus mienne
    et porteuse d’un plaisir qui semblait aussi , ne plus être le mien
    mais une sorte d’orgasme surnaturel, extra-terrestre

    je me disais à m’entendre, “bon dieu, c’est moi qui est en train de jouir comme cela?
    c’est moi cela, cet animal en rut en train d’hurler sans réserve le plaisir qui secoue ses entrailles?”

    oui c’était moi, comme c’était bon,
    du transport en première classe,
    merci la SNCF, la société nationale des coïts dans le fondement

    je vous embrasse et une toute particulièrement
    à qui je dédie ce bel orgasme

    #28584
    bzo
    Participant

    terminé de manger, régler quelques affaires courantes,
    aux loisirs et au plaisir maintenant,
    me mets un peu de crème au cul, retourne vers mon bureau

    comme ma prostate est de plus en plus réactive,
    comme ma prostate est de plus en plus puissante,
    je le sens immédiatement, à la première caresse, à la première contraction,
    ma petite dynamo d’amour,
    dans mes flancs tu ouvres des vannes secrètes,
    tu ouvres des vannes tellement précieuses,
    tellement vitales, tellement essentielles

    je me sens inondé d’un miel chaleureux, d’un miel doux, d’un miel soyeux,
    je le sens dans mes muscles, dans mes organes, dans mes os,
    qui s’infiltre partout,
    dans mes plaies, dans mes engrenages, dans ma fatigue, dans mes nerfs, dans mon cerveau,
    la boxe, le ring, tout ce qui pèse, tout qui alourdit, tout ce qui assourdit, tout ce qui abrutit,
    tout ce qui combat, tout ce qui s’abat, tout ce qui s’use, tout ce qui se perd,
    tout cela est oublié, tout cela est ressuscité, tout cela est plein de vie comme au premier jour,
    énergie primale, je baigne dans la source,
    dans la source qui ne vieillit jamais,
    dans la source qui reste aussi intacte, aussi jeune, à notre mort
    qu’à notre premier jour

    tant de volupté, d’où me viennent toutes ces courbes, toutes ces ondulations?
    tellement de feu dans le moindre effleurement,
    tellement de houle frémissante dans le moindre mouvement,
    mes mains éveillent tellement de lascivité, tellement de chaleur

    je presse un peu mon sexe, quelques contractions le bouge lentement sous mes doigts,
    délicieux frottements, quelle puissante sensation de pénétration,
    je rouvre les yeux pour voir mes seins pressés, mes seins caressés,
    quelle fièvre, cela ondule de partout, cela frémit de partout,
    comme c’est délicieux comme spectacle, ce corps déchaîné, ce corps à l’oeuvre,
    ce corps en action, ce corps livré au féminin, ce corps délivré au féminin,
    toute cette sensualité suave,
    je me sens déchaîné, je me sens en chaleur, je me sens libéré, je me sens découplé,
    l’impression de galoper comme un mustang sur des plaines sans fin

    je m’assois sur ma main, les doigts s’enfoncent en moi,
    remontent en moi, je bouge un peu pour qu’ils s’enfoncent bien,
    comme ils glissent bien, comme ils sont plantés en moi,
    comme cela frotte divinement,
    mes muqueuses n’en peuvent plus en quelques instants,
    elles sont en feu

    je commence à danser sur mes doigts bien à la verticale,
    avec mon bassin qui ondule d’avant en arrière
    et mes contractions qui semblent vouloir les aspirer,
    les entraîner comme des sirènes tentatrices vers les profondeurs

    je tremble de plus en plus fort, le plaisir devient d’une densité inouïe,
    c’est tellurique, cela secoue dans tous les sens, la moindre fibre de mon être est en transe,
    toute une série de secousses brèves s’enchaînent pendant une minute ou deux,
    orgasmes en rafales

    #28585
    bzo
    Participant

    44 minutes très exactement que j’ai terminé mon message juste au-dessus

    pourtant j’ai l’impression que c’était il y a une éternité déjà,
    une éternité de plaisir et d’orgasmes,
    ma pratique décolle toujours plus, il n’y a plus rien qui me retient,
    plus rien qui me retient,
    ma prostate est un moteur sur-puissant
    qui se met en route à la moindre sollicitation,
    qui m’envoie valdinguer dans la stratosphère en un clin d’oeil

    après la main enveloppant le sexe,
    après la main par derrière avec quelques doigts enfoncés dans le fondement,
    après un doigt bien enfoncé par-devant dans mon petit trou de balle
    le reste de la main posé sur le périnée, sous le scrotum, enfin sur toute cette zone,
    une nouvelle variation, j’élargis encore ma gamme
    peut-être la meilleure de toutes mes trouvailles, je suis enthousiaste,
    cela a l’air, en tout cas, très très prometteur,
    je suis excité comme une puce

    la main posée juste à côté des couilles frottant vaguement contre l’une,
    un doigt ou l’autre, de temps à autre changeant de position,
    pressant un tout petit plus contre, voire pas du tout
    tout en nuances, en léger appui, pression légère
    mais dans cette zone tout autour des parties génitales

    les effets sont tout simplement stupéfiants, je n’en revenais pas,
    j’applique mes contractions, les sensations semblent être du pur aneroless à 100%
    ou alors tellement proches que c’en est bluffant
    et pourtant je sens clairement qu’il y a boostage, décuplement des sensations,
    de par la position de la main à proximité

    c’est subtil, sophistiqué et tellement progressif,
    tellement tellement progressif dans l’augmentation de la tension sexuelle,
    je retourne de ce pas explorer ce nouveau pan

    et c’est valable aussi dans la zone anale,
    la main donc plus directement enfoncée dans mon fondement
    mais installée dans la zone , un ou deux doigts légèrement dans la raie,
    parfois un peu plus enfoncée, parfois pas du tout,
    on peut faire varier à l’infini en bougeant légèrement les doigts

    je me rends compte qu’après avoir utilisé les mains comme je l’ai fait depuis quelque temps
    dans la zone anale et de mon sexe,
    directement en contact, fortement en contact même,
    je découvre là peut-être la meilleure façon d’exploiter ces zones,
    une façon tellement plus subtile, plus riche et plus variée

    et où il y a moyen d’obtenir une progressive augmentation de la tension sexuelle
    avec une facilité déconcertante

    #28593
    bzo
    Participant

    la façon dont j’utilisais jusqu’ici la main dans le bassin

    la main en coquille sur les parties génitales,
    pressant légèrement, mon petit paquet de chair bien passif
    mais bougé par les contractions, activé par les contractions

    et puis la main par derrière,
    quelques doigts enfoncés dans le fondement, bien plantés,
    la paume embrassant une fesse

    ces deux actions si puissantes, si délicieuses, donc,
    n’étaient que la partie immergée de l’iceberg,
    la partie immergée de la façon de les utiliser,
    la façon extrême, le potentiomètre poussé à fond

    ce que je viens de découvrir c’est qu’il y a mille manières plus subtiles,
    plus nuancées,
    les sensations sont beaucoup plus progressives, plus riches, plus variées

    avec la main par devant,
    les doigts effleurent juste la bourse, un doigt presse un peu plus fort
    puis se retire,
    la main va juste rester à côté, en appui en-dessous de l’aine,
    pressant un peu, pas loin du sexe, des couilles, se rapprochant, effleurant,
    c’est confondant à quel point ainsi
    la qualité des sensation se diversifie et s’améliore encore,
    une progression délicieuse de l’intensité

    avec la main par derrière aussi,
    juste s’asseoir déjà sur la main, celle-ci enveloppant une fesse,
    on se met à bouger, à onduler avec les hanches,
    à reproduire des va et vient, des ondulations du bassin,
    la main boit les mouvements, s’imbibe, amplifie ce qu’on ressent,
    les sensations de pénétration sont décuplées, irrésistible

    les doigts maintenant vont un peu dans la raie,
    en coordination avec les contractions toujours,
    se déplacent un peu pour varier les effet,
    à chaque changement d’emplacement des doigts,
    c’est comme si le pénis en action en nous changeait son mouvement, changeait de direction,
    les sensations changent de couleur,
    quelle incroyable panoplie!

    les doigts entrent légèrement dans l’anus, cela fouille vaguement,
    quel nid de chaleur, de frissons,
    tout un nouveau continent de sensations

    #28605
    bzo
    Participant

    tantôt je m’apprêtai à prendre ma douche,
    j’étais nu à côté de la baignoire,
    je commençai à faire couler l’eau chaude,
    enfin en principe chaude…
    ces derniers temps, elle met parfois un temps fou à atteindre une température acceptable,
    peut-être est-ce du au fait que dans l’appartement à côté, il y a maintenant une famille nombreuse,
    quand ceux-là prennent leur douche l’un après l’autre,
    ils doivent épuiser toutes les réserves d’eau chaude de la chaudière,
    enfin c’est juste une supposition

    en tout cas, j’étais donc à côté de la baignoire à m’impatienter
    puis je me suis dit autant mettre à profit ce laps de temps
    et me voilà déjà me caressant la poitrine avec passion et langueur,
    ondulant du bassin, descendant les mains le long de mes flancs,
    sentant leurs courbes sous mes doigts,
    sentant la houle dans mes hanches

    je descend la main vers mon cul
    mais l’arrête sur la fesse, la paume vient se coller à elle,
    se tapir contre elle, en épouser le globe,
    j’effectue des lents mouvements de pénétration,
    avec mes reins, avec tous mes muscles de région, engagés,
    les contractions en éclaireurs

    ma main comme un buvard s’imbibe de tous ces mouvements,
    de toutes ces ondulations, de toute cette langueur, de toute cette lascivité
    qui ont envahi ma chair,
    ma paume, mes doigts inertes sur ma fesse,
    semble une caisse de résonance
    bientôt emplie de toute cette chorégraphie sensuelle de mon bassin,
    de toute cette houle délicieuse, suave, vibrante,
    je la sens passer entièrement dans ma main, l’emplir,
    elle devient grouillante d’ondes gracieuses, érotiques
    de plus en plus décuplées

    tout mon corps bientôt est empli par ce rythme,
    par ces courbes en mouvement, par cette houle sexuelle,
    je me laisse aller, j’abdique toute volonté,
    je me laisse entraîner, le plaisir m’emporte,
    je ne suis plus qu’un jouet emporté par les flots,
    gémissant de plus en plus fort

    j’ai retrouvé grâce à cette façon plus subtile, plus nuancée
    d’utiliser la main au derrière
    toute la progressive augmentation de la tension sexuelle d’une vraie séance,
    cela me manquait avec mes micro-séances
    où le plaisir était maximal dès le premier instant mais n’augmentait que peu,
    éclatait de temps à autre en un orgasme plus ou moins fort,
    là il y a ce crescendo, cette intensité qui croît au fur et à mesure,
    où le délire s’installe progressivement,
    tout est encore plus possible ainsi, les limites semblent encore moins exister

    alleluia

    #28606
    bzo
    Participant

    où le plaisir était maximal dès le premier instant mais n’augmentait que peu,

    maximal n’est pas le terme exact, très intense, disons

    #28640
    bzo
    Participant

    quel long et merveilleux orgasme

    j’étais juste assis sur ma main, les doigts parfois glissant un peu dans la raie
    puis ressortant, jouant aux alentours,
    je dansais dessus, mon bassin allait et venait, entamait des petits mouvements latéraux,
    tournait par-ci, tournait par-là,
    une vraie essoreuse tournoyant au ralenti lascivement
    une croupe de plus en plus en feu
    au rythme des contractions

    les doigts maintenant s’aventuraient plus dans la raie, effleuraient l’entrée de l’anus,
    l’agaçaient, s’enfonçaient un tout petit peu, ressortaient,
    remuaient comme des petites souris, minaudaient
    et moi je râlais de plus en plus fort,
    et moi je n’en pouvais plus
    ce plaisir qui montait progressivement, tonnerre de Brest, mille tonnerres de sabords,
    c’était quelque chose qui vous retourne les tripes comme une crêpe,
    mon tronc bougeait lentement, lentement,
    j’étais comme traversé de longues vagues de chaleur, de de longs frissons

    là, maintenant je me lève un peu
    et je pèse de mon poids pour m’enfoncer cul sec de quelques centimètres,
    quelle fournaise, quelle tempête, je crie maintenant, c’est trop,
    je danse de plus belle avec mon bassin ,
    embroché que je suis, délirant de plaisir que je suis

    j’aimerai rester ainsi pour l’éternité
    avec ce plaisir si vif m’inondant de la tête aux pieds
    et particulièrement la tête,
    mon cerveau en ébullition, mille feux d’artifice éclatant,
    un torrent, un raz de marée, que sais-je,
    les mots ne sont plus que des mots, à partir d’un moment
    et ce qu’on a vécu, tellement puissant, nous expulsant tellement hors de ce monde
    dans une extase, une jouissance dans une autre dimension, une autre galaxie,
    un autre espace-temps

    ben non, en fait on était là, quelque part au milieu de cette chair exultante,
    au milieu de cette chair en fête
    comme au fond d’une barque à la dérive, secouée par les flots,
    j’étais en communion,
    avec qui, avec quoi, je ne sais pas, avec moi-même seulement peut-être
    mais j’étais en communion, j’étais recueilli, j’étais absorbé,
    dévotion,adoration, béatitude,
    païennes, orgiaques

    #28641
    bzo
    Participant

    je n’arrête pratiquement jamais chez moi,
    pourquoi s’arrêter? comment s’empêcher?

    je vais m’acheter un kimono d’été et un kimono d’hiver,
    cela s’ouvre facilement,
    on a les parties intéressantes du corps à l’air en un instant,
    les mains qui s’introduisent en-dessous et déjà cela s’ouvre automatiquement,
    la poitrine est là, le bassin est là
    et le sexe est là, les fesses sont là,
    le tout à portée de main, à portée de plaisir

    organisé le bzo, pas question que je sois plus habillé que cela chez moi,
    je veux pouvoir m’adonner à mon vice, à mon addiction
    comme cela me chante, comme cela m’enchante

    je n’ai fais que cela donc ce soir,
    avant j’avais mes occupations quotidiennes que je ponctuais de petites séances,
    désormais c’est le contraire
    je ponctue mes séances un peu d’occupations plus terre à terre,
    évidemment cela n’aide pas à la gestion de la vie courante,
    je commence à être en retard dans certains domaines,
    j’ai une liste de tâches qui se ralonge,
    il va falloir que je me secoue un peu

    enfin me secouer, je ne fais que cela, un peu trop même…

    la vedette de la soirée a été les séances assis sur ma main,
    bougeant beaucoup le bassin dans tous les sens langoureusement,
    la paume buvant tous ces mouvements,
    diffusant tout cela vers le reste du corps, décuplé,
    je ressens ainsi la houle sensuelle de mon bassin dans tout mon corps,
    c’est délicieux, on n’y résiste pas longtemps

    surtout que les doigts en plus,n’en font qu’à leur tête,
    dans la raie de mon cul, vont, viennent, chatouillent, touillent,
    vont s’enfoncer un peu dans l’anus,
    parfois beaucoup, alors c’est une explosion à chaque fois,
    ma tête se rejette complètement vers l’arrière,
    tellement est forte la déflagration de plaisir
    et je reste ainsi de longues secondes, jouissant, jouissant, jouissant

    je retire ma main, elle continue d’épouser le globe de la fesse,
    je recommencer à bouger avec le bassin,
    simulant les va et vient d’une pénétration,
    je suis aux deux bouts, je sens l’engin turgescent s’enfoncer en moi,
    enflammant tout sur son passage
    et puis je manie l’engin, je le sens bien dur, je suis fier de lui,
    comme il est conquérant, comme il est dressé, quel guerrier,
    va, fraie-toi un chemin dans ses entrailles,
    taille ton chemin sans ménagement, fais tressaillir tout sur ton passage

    je retire ma main de derrière
    et je viens envelopper et presser pendant quelques secondes mon sexe et mes couilles,
    grosse décharge de plaisir, cela explose dans mon cerveau,
    cela pulse partout dans mon corps, des stroboscopes de sensations,
    j’enlève ma main, je la mets sur le haut de ma cuisse,
    un doigt venant effleurer une couille, un autre pressant un peu le périnée

    je recommence ainsi des contractions, je les sens beaucoup plus puissantes,
    les sensations sont décuplées de par la main qui repose pas loin du sexe,
    effleurant ma bourse, pressant le périnée,
    des ondes supplémentaires viennent corser les sensations issues des contractions
    et de l’autre main qui caresse les flancs et les seins lentement

    je bouge un peu le doigt, je l’enfonce un peu plus dans la couille
    et je presse plus fort sur la cuisse et le périnée,
    l’effet immédiatement se fait ressentir à la contraction suivante,
    mes gémissements redoublent d’intensité,
    je ne suis plus loin de l’orgasme

    je retire la main de la zone
    et vient caresser avec langueur et suavité mes seins,
    me concentre particulièrement sur mes contractions,
    essaient de bien les sentir s’enfoncer en moi,
    sentir chaque millimètre de la progression,
    sentir comme cela frotte divinement en moi,
    comme des frissons et des vagues de chaleur naissent sur leur passage
    et se répandent dans tout mon corps

    je redescends la main , passe à côté de mon sexe,
    mets le bout d’un doigt légèrement dans l’anus
    et laisse le reste de la main reposer comme elle a atterri,
    je me concentre bien sur les sensations qui naissent,
    la digue est prêt de se rompre, la cocote-minute d’exploser,
    je rejette la tête en arrière, je laisse aller mes gémissements,
    je me lâche, je lève toutes les défenses,
    comme si je descendais un toboggan glissant en moi,
    le plaisir me happe au passage comme sur un tapis volant,
    je suis porté, je suis emporté, je m’envole, je m’élève,
    je disparais, je ne suis plus là,
    il n’ y a plus que de la jouissance là où j’étais encore il y a quelques instants,
    disparaître de soi, être remplacé par l’orgasme qui explose dans sa chair
    et empli notre tête

    #28643
    Jieffe
    Participant

    Bonjour bzo,

    J’interviens peu en ce moment, mais je vous lis toujours, et je lis chacun de tes textes. Je suis vraiment heureux pour toi et pour ce que tu vis. Tu sembles définitivement parti dans la stratosphère, c’est génial.
    Je suis vraiment content pour toi.

    Une belle journée à toi.

    #28648
    bzo
    Participant

    quinze minutes après ma petite séance,
    enfin plutôt ma suite de petites séances,
    mon sexe coulait encore

    il m’a fait danser entre ses bras,
    on a tournoyé, tournoyé, tournoyé,
    j’étais liane en mouvement entre ses bras,
    toutes mes courbes étaient éveillées, étaient en mouvement
    je me laissais guider, il me tenait par la taille,
    je n’avais plus qu’à me laisser aller, à me laisser prendre

    j’étais pris, comme j’étais pris, le rythme était partout en moi,
    j’étais pris par la houle,
    le plaisir m’a pris dans ses bras,
    je me suis laisser aller, j’ai rejeté la tête en arrière
    et j’ai gémis, gémis, gémis,
    n’ai plus rien fait d’autre que gémir
    et me laisser aller au rythme de la houle partout en moi

    #28649
    bzo
    Participant

    Bonjour bzo,

    J’interviens peu en ce moment, mais je vous lis toujours, et je lis chacun de tes textes. Je suis vraiment heureux pour toi et pour ce que tu vis. Tu sembles définitivement parti dans la stratosphère, c’est génial.
    Je suis vraiment content pour toi.

    Une belle journée à toi.

    viens plus souvent, tu te fais rare. @jieffe

    Je ne sais pas si c’est dans la stratosphère que je suis parti
    mais je suis parti quelque part, c’est certain

    mais je ne suis pas encore totalement satisfait,
    cependant ce serait indécent de me plaindre,
    vu les résultats que je parviens à obtenir

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