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  • #31802
    bzo
    Participant

    cette nuit a été bien étrange
    mais j’ai bien l’intention de renouveler ce qui s’est passé,
    à savoir qu’à chaque fois que je m’éveillais,
    au lieu de bouger un peu, de me retourner une ou deux fois,
    m’immobilisant, plongeant le regard quelques instants dans le lac sombre de la chambre
    puis me rendormant

    au lieu de tout cela donc,
    je me mets à bouger lascivement, me caresse, enfonce vigoureusement les doigts dans mon anus-pussy,
    fait monter des contractions, sors les doigts,
    va devant, presse ma verge, accentue la contraction,
    sentant comme quelques vigoureux coups de pine en moi mettant le feu à mes entrailles quelques instants

    cela dure 10 secondes, 20, trente, une ou deux minutes maximum
    puis je me rendors
    mais ils ont été des moments bien intenses, bien agréables,
    cette nuit je dois bien avoir vécu une dizaine de ces moments
    et j’ai bien l’intention de renouveler cela désormais chaque nuit

    des nouvelles du front

    sur la question des manipulations avec la main de mes parties

    comme je l’ai écrit précédemment, je veux régler cette question une bonne fois pour toutes,
    comment cette façon d’éveiller du plaisir peut s’intégrer dans mes séances,
    la problématique étant que certes c’est très intense,
    que brusquement il y a éveil et injection de quantité massive d’ondes mâles,
    c’est puissant certes, la question n’est pas là
    mais cela peut vite devenir un effet “éléphant dans un magasin de porcelaine”

    si vous n’êtes pas strict,
    si vous vous laissez aller à vous toucher les bijoux de famille n’importe comment avec vos mains,
    bientôt celles-ci ne quitteront plus la zone,
    seront continuellement à vous chipoter les couilles, la bite,
    j’ai déjà expérimenté cela maintes fois,
    cela ne se transforma pas chez moi en séance de masturbation ,
    je parviens à maintenir sans problème un sexe à peu près flasque
    et donc à une continuelle injection de dose massive d’ondes mâles
    qui alliées aux vibrations de la prostate grâce aux contractions,
    forment un flux puissant
    mais on perd en qualité, on perd en finesse,
    on culmine assez rapidement, il n’y a plus une progression,
    il n’y a plus ce crescendo qui installe peu à peu le délire de plus en plus intense
    et qui peut mener aux états supérieurs et aux sortilèges

    je crois que les contacts doivent être brefs, relativement bref,
    genre comme quand on fait l’amour avec quelqu’un d’autre,
    régulièrement on accélère, les coups de queue se font plus vigoureux, plus rapides,
    on galope quelques instants, on pousse à fond, on laboure puissamment
    puis on reprend un rythme plus lent, on joue un scénario avec des contrastes, des alternances
    de moments comme des galops furieux, débridés
    puis des moments avec des caresses tendres, plus sophistiquées, qui cherchent des effets variés
    ainsi on fait durer, ainsi on obtient un crescendo
    qui mènera progressivement à des moments paroxystiques, des sommets délicieux vécus à deux,
    en communion, en fusion, avec nos chairs en fête

    au lieu d’avoir simplement un galop frénétique pendant quelques minutes,
    faire durer, obtenir une piste de décollage longue, longue, longue
    et puis à un moment, s’élever irrésistiblement,
    vivre des moments magiques de fusion, de communion,
    d’épanouissement de la chair en fête

    donc pour l’instant,
    je me caresse, mes mains parcourent inlassablement ma peau,
    mon bassin bouge beaucoup avec mes cuisses, frottant passionnément mes parties,
    le corps en mode liane lascive,
    des contractions remontant régulièrement avec des effets variés,
    tout cela très tranquillement, beaucoup de nectar , beaucoup de soie frissonnante partout
    puis soudainement je descend la main, installe quelques doigts à la base de ma verge sur mon pubis
    et je me mets à faire remonter des contractions plus vigoureuses, plus rapides

    parfois rien qu’un ou deux et déjà je reprends mes explorations plus tranquilles, plus systématiques,
    parfois ce sont des petits galops de quelques dizaines de secondes,
    il n’y a pas de règle,
    dans ces moments je lâche tout, j’écoute mon instinct,
    mon corps se met à ruer, à galoper,
    je saisis la crinière, me sers contre ma monture et je me laisse entraîner
    sans réfléchir, m’ouvrant, goûtant l’animalité de ces moments

    cependant ils sont d’autant plus délicieux qu’ils restent brefs,
    ce sont des délicieux moments d’alternance
    qui installent un crescendo puissant, une augmentation progressive de la tension sexuelle

    #31827
    bzo
    Participant

    cela a merveilleusement fonctionné,
    quelques moments magiques j’ai vécu ce soir encore,
    alternant des moments de volupté soyeuse, des moments de lentes vagues langoureuses,
    de miel, de nectar partout en moi
    avec des moments de pure animalité avec une explosivité tellement jouissive

    les expériences de ces derniers jours ont payé,
    là j’ai trouvé la meilleure façon pour moi de manipuler mes bijoux de famille avec les doigts,
    cela s’est déroulé au-delà de tous mes espoirs

    étonnant d’ailleurs à quel point il y a une différence entre les sensations éveillées
    quand on y va uniquement avec les cuisses
    ou quand on y va avec les doigts,
    d’une part cette douceur ineffable, toute cette soie frissonnant en moi,
    une lascivité qui s’insinue partout, me fait planer, me fait vivre de longs moments d’extase
    et puis dès que je descend les doigts, qu’ils entrent en contact avec la base de ma verge
    et le pubis
    et que je fais remonter une ou deux contractions plus vigoureusement
    là cela explose directement, c’est du coït à l’état pur,
    je laisse les rennes entièrement à mon corps, à mes reins même pour être plus précis,
    je deviens l’esclave de ces reins, de leurs amples et puissants mouvements de va et vient
    et de cette sensation de braquemart en érection en moi qui remonte dans mes entrailles,
    je galope, je suis pris, je suis fou furieusement en chaleur, en rut,
    cela dure quelques secondes, quelques dizaines de secondes au plus
    et déjà ma main s’éloigne, se remet à caresser, à aller et venir partout sur mon corps

    cependant cela a changé, la tension sexuelle s’est accrue,
    quelque chose est resté de toute cette animalité en moi il y a quelques instants,
    un crescendo est bien là
    et tout s’est bien mis en place, je suis aux anges,
    tout semble bien en place techniquement, plus d’hésitation, de doute
    et les résultats sont là,
    j’ai eu du plaisir ce soir comme rarement encore une fois

    désormais je me sens capable de ces longues extases voluptueuses
    qui m’emmènent dériver parfois tellement loin
    mais aussi de verticalité, d’explosivité,
    la sensation d’animalité qui brusquement m’envahit des pieds à la tête,
    en une fraction de seconde balayant toute la soie voluptueuse, le calme lascif,
    c’est incroyablement délicieux
    et quand j’enlève la main,
    tout revient aussi en une fraction de seconde
    mais légèrement différent, chacun de ces sensations semblant se nourrir de l’autre type de sensations

    comme je suis comblé, comme je suis heureux,
    les perspectives sont extraordinaires,
    quelle richesse, tant de variété,
    cela ressemble de plus en plus au jardin d’Eden par ici,
    votre serviteur croque la pomme à pleines dents,
    Eve est en lui, Eve lui sourit, Eve l’aime, Eve se déchaîne pour lui

    le premier homme et la première femme sont en nous,
    les premiers à avoir goutté à l’amour,
    l’innocence et la pureté étaient en eux,
    ils se sont reconnus l’un en l’autre,
    ils ont reconnu la beauté de l’autre, ils se sont émerveillés devant elle,
    ils ont voulu être l’un dans l’autre,
    ils ont voulu fusionner, vivre dans la communion l’instant l’un dans l’autre
    ils ont été les premiers à s’aimer,
    les premiers à rapprocher leur chair, à fusionner leur chair

    ils sont restés en nous, enfouis en nous, prêts à revivre le premier amour,
    comme au premier jour,
    à nous de transformer notre chair en couche pour leurs ébats,
    à nous de goûter au ciel avec eux,
    de vivre la communion charnelle qui élève,
    de vivre la communion charnelle qui nous élève de plus en plus

    #31828
    bzo
    Participant

    mes parties touchées, manipulées, par les doigts,
    accompagnés par de vigoureuses contractions,
    c’est le mâle dominant dans toute sa splendeur qui s’exprime

    ce corps dont s’est emparé le féminin, ce corps habité par le féminin,
    le bûcheron en nous, immédiatement veut en prendre possession, veut le labourer,
    veut imposer son rythme et sa volonté conquérante

    si on le laisse faire,
    on est rapidement avec les doigts qui ne quittent plus la zone,
    toute la séance n’est plus qu’une cavalcade, de la frénésie
    certes très agréable au début
    mais cela a vite ses limites,
    même si on parvient à bien rediriger les ondes sexuelles mâles,
    à les amalgamer aux vibrations provenant de la prostate
    pour constituer un flux puissant
    et que le sexe reste à peu près flasque

    c’est avec cette problématique que je me suis débattu ces derniers jours,
    j’ai testé pas mal de façons de faire, expérimenter pas mal de voies,
    pour finalement trouver la bonne, je crois,
    car si on laisse faire les doigts, les laisse pétrir, frotter comme ils veulent dans la zone,
    il faut sans cesse engager sa volonté pour arracher un tant soit peu les doigts de ses parties
    et qu’ils retournent un peu caresser le reste du corps,
    qu’ils laissent un peu les couilles et le pénis aux cuisses,
    leur partenaire naturel pour la danse érotique, pour moi

    si on doit sans cesse engager sa volonté, y penser
    pour maintenir tant bien que mal éloignés de la zone un peu, les doigts,
    c’est mal engagé,
    l’élan amoureux, la dynamique sensuelle d’une séance telle que je la conçois, pour que cela fonctionne,
    veut qu’on laisse la direction des opérations autant que possible au corps
    et que notre moi pensant se mette en veilleuse
    mais si on doit sans cesse faire un effort conscient pour éloigner les doigts de ses parties,
    c’est contre-productif, cela empêche les sensations de vraiment prendre leur envol
    et d’atteindre les étages supérieurs d’excitation et de plaisir,
    ces états de transe amoureuse si délicieuses, si dépaysantes, si épanouissantes

    il faut donc trouver un moyen qui permet au corps facilement de gérer cela,
    à la fois de temps à autre descendre les doigts et chipoter toutes ces choses si délicieuses à chipoter
    et puis de les garder éloignés aussi sans effort particulier,
    avec un minimum d’effort de notre volonté en tout cas,
    c’est possible, c’est ce que je suis parvenu à faire
    à force de tourner et de retourner le problème dans tous les sens

    le secret, c’est qu’il faut alterner et compartimenter

    trois façons d’éveiller des sensations dans le bassin,
    trois façons produisant des sensations bien distinctes , délicieusement différentes,
    chacune avec ses caractéristiques,
    la main par derrière, dans l’anus-pussy,
    la main par devant, directement en contact avec nos parties
    et puis juste avec les cuisses, pour les enlacer, les presser, les frotter

    il faut donc bien compartimenter, ne pas laisser l’anarchie s’installer
    et que les doigts n’en fassent qu’à leur tête,
    un instant soient derrière enfoncés dans le pussy, quelques instants après à presser les couilles, etc
    à ce petit jeu, ce sont toujours les manipulations des parties avec les doigts
    qui vont gagner
    car ce sont les sensations les plus immédiates, les plus explosives dans l’instant
    alors que rien avec les cuisses, c’est plus progressif
    et puis la main par derrière, chipotant le pussy,c’est un peu entre les deux,
    il faut donc laisser une chance à chaque type de sensations de se développer,
    de prendre de l’ampleur

    donc je compartimente tout en ayant attribué à chacun un rôle qui lui convient,
    les doigts touchant la verge, pressant le pubis
    avec des contractions plus ou moins vigoureuses, plus ou moins rapides,
    c’est le mâle dominant qui laboure, c’est le bûcheron qui avec sa cognée bien rigide
    se fait son chemin dans mes entrailles,
    c’est le rôle qui lui va et c’est délicieux, irrésistible
    quand cela alterne avec tout le reste
    pour faire monter progressivement la tension sexuelle

    rien qu’avec les cuisses, j’ai déjà écrit en long et en large
    à quel point cela éveille un océan de volupté soyeuse

    et puis la main par derrière dans le pussy,
    c’est encore différent, sensation délicieuse d’être masturbé,
    de sentir des doigts dans notre fente,
    sensation délicieuse de plis délicats de chair prêts à s’enflammer
    avec lesquels jouent les doigts

    il ne faut donc pas mélanger anarchiquement ces trois types de façons d’éveiller des sensations dans le bassin,
    il faut les alterner, les compartimenter
    et ainsi ils font bon ménage et ainsi tout cela prend de l’ampleur,
    une divine ampleur en nous

    cela ne veut pas dire , bien sûr, qu’on doit être là avec un chronomètre,
    ni même qu’il faut rester avec une façon de faire pendant de longues minutes,
    non c’est juste ne pas laisser les doigts faire comme ils veulent
    c’est vite un désir brouillon qui s’exprime ainsi,
    non,
    les doigts sur les parties génitales, ce sont des vigoureux coups de rein,
    un par-ci, par là ou alors des galops plus ou moins longs
    mais il faut alterner cela, bien compartimenter
    et laisser de la place aux types de sensations,
    c’est leur combinaison ainsi
    qui va permettre à notre séance de prendre une ampleur majestueuse,
    le délire de s’installer dans notre chair,
    donc on force un peu, juste un peu les doigts,
    cela ne demande pas un grand effort
    et cela permet vraiment d’obtenir cette extraordinaire variété des sensations
    qui se marient si divinement ainsi

    les doigts vont se discipliner d’eux-même quand le corps se rend compte
    à quel point les résultats sont splendides ainsi
    et l’effort de la volonté sera minimal,
    notre esprit rapidement n’a quasiment plus à intervenir,
    le corps gère presque tout seul toute cette technique assez sophistiquée
    mais développée de manière à ce qu’il puisse prendre en main tout cela,
    de façon à ce que l’esprit puisse être pendant la séance autant que possible
    rien d’autre qu’une éponge imbibée de sensations

    #31832
    bzo
    Participant

    j’ai beaucoup fait appel au bûcheron ce soir,
    le bûcheron et sa grosse cognée,
    elle est faite d’un bois tellement dur , sa cognée,
    il allait et venait avec sa cognée, inlassablement, le bougre,
    il ne rechignait pas à la tâche
    et moi je gémissait sans discontinuité, je miaulais comme une chatte en chaleur montée par son matou

    et puis quand il passait un peu le relais à mes cuisses,
    j’étais immédiatement comme empli de toute cette volupté soyeuse
    mais la cognée semblait encore présente,
    cela faisait un mélange assez somptueux,
    je redoublais de gémissement, je me roulais en boule, pressant avec mes cuisses mes parties génitales,
    venant les frotter contre mon ventre,
    la soie semblait exploser doucement dans tous mes organes , tous mes membres,
    comme c’est puissant

    j’y allais très lentement, rythme hypnotique, berceuse sensuelle,
    plus rien semblait pouvoir m’arrêter,
    la houle était en moi, bougeait en moi, le délire était en moi,
    j’étais en roue libre
    et quand le bûcheron s’y remettait,
    enfonçant sa cognée dans mes entrailles,allant et venant sans ménagement,
    j’ai cru que ma tête allait exploser de plaisir,
    sa cognée m’emplissait le cerveau, y touillait parmi des étoiles

    j’ai respecté mes règles, alternance, compartimentation
    mais j’ai quand même pas mal favorisé le bûcheron,
    j’avais besoin d’intensité, de verticalité, d’embrasement brutal en moi,
    pour laver tous mes soucis, il fallait que ça cogne, que ça frotte

    et cela a marché, au bout de quelque temps,
    j’étais au firmament, plus rien d’autre n’existait que ce plaisir qui m’emplissait,
    m’emportait, me roulait comme un fétu de paille par moments

    se sentir rouler ainsi comme un fétu de paille en soi-même,
    comme emporté par un torrent sexuel, c’est quelque chose,
    évidemment on est complètement déraciné, il n’y a plus aucun repère,
    juste le plaisir partout comme un océan omniprésent, omnipotent,
    qui a fait de nous son objet, son pantin

    ce sont des moments comme cela qui nous font percevoir
    à quel point il y a aussi de l’absolu en nous, de l’ineffable en nous,
    des trésors en nous,
    on n’est pas qu’un sac de viande occupé de pas grand chose d’autre
    que de sa survie, que de son confort,
    il y a quelque chose au-dessus de nous, en nous

    #31834
    bzo
    Participant

    petite séance matinale, un bon quart d’heure,
    minutes enchantées, minutes voluptueuses,
    ce corps quand il chante pour moi,
    ce corps quand il enchante pour moi,
    tout mon cerveau semble être en mode liane lascive aussi,
    j’ai l’impression qu’il ondule au rythme des vagues langoureuses
    qui traversent mes membres, mes organes

    cela danse de tous les côtés en fait en moi dans ces moments,
    chorégraphie sensuelle, langoureuse, partout en moi,
    tout n’est vraiment plus qu’ondulations, courbes, soie voluptueuse,
    frémissements chauds, enveloppants

    mais aussi dorénavant maintenant que mes doigts vont régulièrement à la rencontre de mes parties génitales,
    des moments plus violents, le bûcheron avec sa grosse cognée bien rigide,
    comme mes entrailles l’aime, sa cognée aussi,
    délicieux moments d’alternance,
    passer instantanément de la soie frémissante la plus voluptueuse imaginable
    à des coups de rein pénétrants, vigoureux qui mettent le feu,
    provoquent de l’élévation verticale, de l’animal, du coïtal

    plusieurs fois j’ai plongé les doigts derrière dans mon A-pussy,
    comme c’était chaud, comme c’était accueillant,
    là aussi cela met le feu directement partout dans mes entrailles,
    j’ai l’impression que j’allais m’évanouir de plaisir
    tellement c’était bon, ces doigts qui me fouillaient

    j’ai appliqué mon système décrit en long et en large plus haut,
    cela a l’air de fonctionner,
    tout va bien donc, votre serviteur s’envoie en l’air à volonté,
    c’est open bar

    beaucoup trop en fait,
    j’ai pris des résolutions, au moins jusqu’à la fin de l’année,
    je pratique trop , sans compter le temps passé ici,
    j’ai des tâches domestiques à effectuer, des bricolages aussi,
    une liste de plus en plus longue, il faut que je réagisse

    donc j’ai pris des décisions,
    plus de séance avant 22 heures, aussi bien en semaine qu’en week-end
    et un seul message au maximum par jour ici sur le forum

    le plaisir est devenu tellement facile, tellement riche, tellement dense,
    que je me rends compte que le week-end , je ne fais pratiquement que cela quand je suis chez moi,
    il faut que cela change, au moins temporairement,
    le temps d’effectuer tous les travaux en retard,
    je voulais me construire une bibliothèque en plus,
    les bouquins s’empilent sur mes étagères des existantes

    je mets cela en place à partir de demain,
    comme cela aujourd’hui je peux encore m’adonner à mes excès favoris sans frein

    #31839
    bzo
    Participant

    quels moments incroyables encore,
    je n’en finis pas d’être ébloui, surpris, jour après jour

    j’ai laissé de côté pour cette séance nocturne le bûcheron,
    pas d’éléphant dans le magasin de porcelaine,
    mes cuisses et mes parties génitales se sont livrées à une danse
    tellement sensuelle, tellement érotique

    comme cela bougeait divinement là en bas,
    toute la houle lascive de mon bassin, par l’intermédiaire de mes cuisses
    venaient envelopper mes bijoux de famille,
    les pressant, les frottant inlassablement

    la volupté à partir d’un certain niveau de densité, cela devient de l’extase,
    une espèce de félicité qui vous emplit des pieds à la tête,
    votre chair est tellement ravie, tellement épanouie dans l’instant, tellement en fleur,
    qu’un soleil intérieur semble briller de mille feux,

    j’étais en train de me pâmer,
    j’étais en pâmoison pendant de longues minutes,
    mes mains me caressaient lentement, des contractions remontaient,
    mes cuisses allaient et venaient, frottaient et encore frottaient,
    mon sexe était heureux, je le sentais heureux comme il ne l’a plus été depuis longtemps
    pourtant il restait parfaitement au repos
    mais il émanait des ondes d’une telle intensité, d’une telle richesse,
    flots d’onctuosité ineffable dont j’étais envahi,
    dont les vagues allaient et venaient partout en moi

    le moindre mouvement me faisait se tordre de plaisir
    et accentuait ma pâmoison,
    le féminin avait déployé des ailes d’une telle ampleur,
    une telle richesse de coloris emplissait les cieux dans mes yeux,
    j’étais tout petit quelque part, emporté, un fétu de paille, heureux de vivre,
    quels instants de magie, de sorcellerie,
    une grande fête, l’océan en invité principal

    comme tu as été belle, mon amour, comme tu as été chatoyante,
    comme tu as déployé tes ailes en moi,
    tu as sillonné des cieux lointains,
    mes yeux n’ont pas rêvé, mes yeux n’étaient pas ouverts, mes yeux étaient avec toi,
    nous avons fait un avec la ligne d’horizon, mon amour,
    la ligne d’horizon nous a accueilli,
    nous avons fêté l’instant,
    nous avons fêté

    #31849
    bzo
    Participant

    je m’effleure n’importe quelle partie de mon corps,
    genou, talon, flanc,
    en même temps que ma cuisse presse un peu mes parties
    et qu’une contraction me remonte gentiment, paresseusement entre les jambes
    et c’est un plaisir tellement intense ressenti instantanément partout dans mon corps,
    c’est comme si j’étais emporté par une vague, c’est sublime,
    une vague d’une telle volupté

    volupté, félicité, ces deux mots semblent se confondre tellement chez moi,
    une félicité dans la chair, une extase calme dans la chair,
    une volupté d’une ineffable douceur et d’une ineffable puissance,
    une caresse intérieure sans discontinuité de tout mon être

    quelle langueur dans mon âme,
    dans ma coupe, je me répète, le baiser de la vie,
    le baiser ensorcelant de la vie,
    les bras des anges sont d’une sensualité sans bornes,
    ils pénètrent en vous, vont et viennent en toute innocence
    car le plaisir est innocence, pureté,
    le plaisir lave la chair de toutes les fautes

    comme je vibre,
    un torrent me traverse,
    un torrent chantant, un torrent dansant,
    comme je suis joyeux et insouciant dans ses courants,
    bondissant comme un bouchon
    à la surface de tant de volupté, de tant de lascivité, de tant de félicité

    #31857
    bzo
    Participant

    toute ma quête depuis mes débuts en aneroless,
    a été de reproduire un acte sexuel,
    un acte sexuel avec moi-même

    me faire l’amour,
    mettre cela en pratique, faire fructifier ces mots dans la pratique,
    enrichir les gestes, faire chanter les mains,
    accroître la houle dans mon bassin

    créer de toutes pièces un acte sexuel avec soi-même,
    en partant de zéro, pas de sexe masculin, pas de sexe féminin au début, rien,
    je pressentais juste que c’était possible ainsi
    et arriver peu à peu à ressentir les deux en soi,
    sentir les deux naître peu à peu en soi, pousser, prendre forme, germer, prendre peu à peu vie
    commencer à vibrer, commencer à frémir,
    commencent à se chercher, commencer à s’attirer

    ce corps va être partagé quelques instants mystérieusement
    déterrons le féminin, exhumons le féminin,
    sortons-le de sa tombe où il a été placé à la naissance,
    redonnons-lui vie, invitons-le à vivre en nous,
    invitons-le à vivre en nous un acte d’amour

    mes mains , caressez ce corps,
    cette chair comme une liane ondule à présent, sans frein et sans tabou,
    mes doigts , visitez cette fente au milieu du bassin,
    fouillez, touillez, dans cette fente,
    faites trembler cette vieille carcasse soudainement si emplie de bonheur,
    soudainement si emplie de vibrations, de frémissements, de chaleur

    tant de volupté, tant de gémissements, je ne savais que j’en étais capable,
    chaque jour désormais, mes séances sont un lent et un long éblouissement,
    un chant tellement puissant naît en moi, s’élève en moi,
    une félicité voluptueuse dans la chair,
    une félicité voluptueuse, généralisée dans la chair
    comme un chant de vie,
    intense et joyeuse célébration

    homme-orchestre, je me sens vraiment comme un homme-orchestre
    avec plein d’instruments accrochés par des bouts de ficelle, de sparadraps, de tous les côtés,
    je peux tout désormais, plus rien de l’acte sexuel me manque,
    je me fais l’amour, comme je me fais l’amour!

    tout est utilisé, recyclé, pas une partie de mon corps qui ne participe,
    les caresses sont rendues envoûtantes, voluptueuses, ineffables
    grâce à mes parties génitales qui dansent inlassablement avec mes cuisses,
    comme ils dansent ensemble, ceux-là,
    ils se serrent, ils s’écartent, des figures de style à ne plus en finir,
    combinés à mes caresses, aux ondulations de mon corps,
    quel entrelacement voluptueux,
    comme deux corps qui se frottent, qui se serrent, qui se caressent,
    qui cherchent à communier, qui cherchent à fusionner

    arrivent à rythme plus ou moins régulier, les contractions,
    montent les contractions avec leur cortège de vibrations provenant de la prostate,
    celle-ci qui est pourtant la porte vers le féminin,
    la porte par laquelle elle peut passer pour prendre possession de mon corps,
    en même temps avec les contractions,
    se chargent aussi d’apporter toute la puissance qu’il faut aux coups de rein,
    cette sensation d’un bout de chair bien dur, bien dressé, gorgé de sang,
    me pénétrant, remontant dans mes entrailles,
    masculin et féminin sont entrelacés, emmêlés, collaborent, intervertissent les rôles
    les organes mâles se chargent de procurer le nectar pour les caresses,
    la prostate se charge aussi des coups de queue,

    j’ai démêlé tout cela, j’ai emmêlé tout cela,
    tout est bien synchronisé, tout fonctionne à merveille,
    je garde les mains éloignées de mes parties génitales à nouveau,
    il le fallait, je l’ai toujours su quelque part,
    malgré mes expériences très fortes il y a pas si longtemps
    mais c’est devenu tellement puissant, tellement riche, tellement fin, ainsi,
    l’équilibre est parfais désormais,
    l’expérience est totale,
    l’expérience est sans limites

    #31858
    bzo
    Participant

    est-ce de l’hystérie, de la fantasmagorie?
    la vérité, c’est que notre sexualité,
    c’est une histoire qu’on se raconte,
    une histoire qu’on invente et qu’on se raconte

    elle est plus simple et plus facile de narration
    quand c’est une histoire qu’on se raconte à deux
    mais tous les scénarios sont sur la table,
    tous les scénarios sont au fond de nous

    #31880
    bzo
    Participant

    je n’ai plus grand chose à écrire pour l’instant,
    à part écrire que je n’ai plus grand chose à écrire…

    curieusement, c’est depuis quelques jours
    que j’ai atteint une sorte de plaine de jeu en altitude, en très haute altitude,
    que ma pratique s’épanouit totalement,
    qu’elle n’a jamais été aussi florissante, riche, dense
    que soudainement je n’ai plus grand chose à écrire
    sinon à répéter soir après soir
    à quel point c’est devenu incroyable, merveilleux, wonderful, wonderbar, extra-terrestre, etc

    alors je vais attendre de retrouver une inspiration en accord avec les résultats que j’ai atteints
    sans pour autant quitter le forum,
    je vais continuer à hanter les lieux bien sûr,
    je me sens bien par ici,
    liberté des mots, liberté d’expression,
    à la rencontre d’autres aventures intérieures,
    de gens en quête de liberté intérieure, de liberté sexuelle, de liberté du corps,
    de communion folle, intense, avec eux-même

    cette sexualité qui est vraiment comme un récit qu’on se raconte,
    récit qu’on se raconte avec son corps,
    avec ses fantasmes, avec sa sensibilité, avec son instinct, ses pulsions
    son énergie vitale, avec tout son être, avec tous ses abysses

    récit à inventer et à ré-inventer sans cesse
    avec audace, curiosité, envie, ardeur,
    beaucoup de folie, beaucoup d’amour,
    loin des chemins balisés, rabâchés

    je vous embrasse bien fort

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