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bzo, le il y a 4 années et 10 mois.
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- 24 septembre 2018 à 23 h 34 min #30682
bzo
Participantune première séance ce soir, une bonne demie heure
des moments tellement soyeux, tellement voluptueux,
je me suis beaucoup caressé,
mes mains n’arrêtaient pas d’aller et venir,
dansant sur ma peau, langoureusement explorant chaque centimètremes mains ont dirigé la séance, comme un chef d’orchestre dictant le tempo des bras,
je l’ai senti au bout d’un moment qu’ils semblaient mener la manœuvre,
j’avais décidé de ne plus toucher mes parties génitales directement des doigts,
d’où cette liberté de caresser, d’aller et venirj’obtenais les ondes mâles avec les cuisses effleurant, pressant mon entrejambe,
c’était délicieux, tant de nectar ainsi en moi, en vagues lentes, houle onctueuse
j’ondulais aussi beaucoup en synchronisation avec mes caresses,
je me sentais emporté tellement délicatement mais en même temps puissamment,
quelle ivresse des sens de bouger ainsi, si voluptueusement, si lascivement
avec toujours ces explosions de douceur dans l’entrejambe
à chaque fois qu’une contraction remontait en moi
et que j’effleurais mes parties de la cuissequelles sensations raffinées, c’est de la haute couture décidément ainsi
sans les mains directement venant sur mes parties génitales,
juste ces frottement et ces pressions des cuisses,
les mouvements du corps, mes hanches dansant lascivement
et puis mes mains caressant, caressant, sonnant la charge joyeuse, la charge soyeuseque de sensations délicieuses ainsi, bon dieu,
c’était du champagne pétillant et doré dans mon corps, cette séance25 septembre 2018 à 15 h 55 min #30696Epicture
ParticipantBonjour @bzo
donc voilà, tout semble rester complètement sous contrôle chez moi
Tant mieux. C’est rassurant. Il ne faut pas oublier que je ne suis pas autant avancé que toi et que beneficier de ton temoignage est une chose précieuse.
Je n’ai pas moi non plus de problèmes particuliers, mais parfois j’ai quand même bien chaud, et ça c’est pas sous mon contrôle.
Bises et bonnes sessions
26 septembre 2018 à 21 h 07 min #30812bzo
Participantqui est-ce qui est tout nu sous son grand peignoir ample
qui est-ce qui va avoir très bientôt des mains baladeuses,
des mains fouilleuses, des mains farfouilleuseshé hé, c’est votre serviteur
quelle journée chargée, pas eu le temps de me chipoter
sinon quelques minutes le matin avant de partir et galoper toute le temps
mais là je viens de me terminer de manger,
attendre un peu
et puis après le dessert, un feu d’artifice en moi,
un feu d’artifice de sensations,
un feu d’artifice des sens27 septembre 2018 à 8 h 43 min #30814bzo
Participantmême pas eu lieu finalement hier soir, j’étais trop fatigué,
première journée depuis bien longtemps sans séancemais ce matin je me suis déjà chipoté délicieusement de longues minutes,
je sentais la marée du plaisir galoper en moi comme au Mont St-Michel,
à partir du bassin , vers le haut et vers le bas,
cela m’emplissait, ma chair était inondée de ces sensations
de chaleur, de frissons, de nectar caressant onctueusement, chacune de mes cellulesaller au travail
mais je vais me tester aujourd’hui, assis à mon bureau
des contractions
accompagnées de pressions et de frottements de la main discrètement à travers les vêtementson va voir ce que cela va donner
pas de mouvements du corps par contre et pas de gémissements,
ce serait immédiatement détecté par mon entourage27 septembre 2018 à 10 h 08 min #30815Epicture
ParticipantMoi je fais des exercices de contraction, de plus en plus subtiles, et il me monte des vagues de plaisir qui finissent par des spasmes. Les spasmes sont comme des reactions de blocage plus ou moins volontaires. Il faut donc que je soit prudent, car quand je lit le temoignage de @srephane, je me dis que ça pourrait bien m’échapper. Autour de moi personne ne s’en aperçoit.
Bises @bzo
29 septembre 2018 à 0 h 52 min #30883bzo
Participantcette séance de trois quart d’heure aura été incroyable de bout en bout
cela faisait quelques jours que je n’y avais plus été avec la main dans mon anus-pussy,
là presque tout de suite avec trois doigts bien droits et bien serrés,
dans ma petite huître bien chaude à la chair tendre et malléable,
je les ai enfoncé lentement bien droits,
toute cette viande s’est mis à fondre immédiatement comme du beurre à leur contact,
à fondre comme du beurre et à devenir des vagues frissonnantes, moutonnantesma croupe était relâchée, je me sentais pénétré par ces doigts,
mes cuisses venaient presser mes parties
et une contraction régulièrement se frayait un chemin,
remontant comme le carrosse du roi parmi la foule en délire,
divin grouillement,
mes couilles et mon sexe entre mes cuisses se mettaient à bouger légèrement, à frotter,
toutes ces ondes péniennes et vibrations de la prostate
forment bientôt un nectar chaud, caressant qui se répand en moi,
qui m’emplitje bouge peu, je bouge bien, je suis concentré comme un noyau,
ma chair est concentrée comme un noyau tout en étant totalement relâchée,
le moindre mouvement de mon bassin fait naître en moi
des sensations comme des courbes gracieuses, sensuelles
qui ondulent, dansentet puis mes mains tantôt m’enlacent tendrement, pressant mes flancs, pressant mes seins,
tantôt se mettent à se déplacer lentement,
suivies sous la peau par un feu de broussailleet puis chaque contraction qui en même temps fait bouger mes parties génitales entre mes cuisses,
c’est à chaque fois une explosion de douceur, de puissance, de grâce en moi,
tant d’harmonie jouissive à chaque instant,
ces ondulations partout en moi, courbes langoureuses, sensuelles,
lascivité de mon bassin, le moindre mouvement
et c’est comme une fleur de soleil qui vient baiser ma chair,
des rayons de lumière chaude à ne plus en finir qui se répandent partoutun pont finit par se former,
je n’atterris plus, je sens comme un pont en moi,
une grande ouverture est empruntée par ce pont en son milieu,
il semble soutenu par rien,
il semble soutenu par rien d’autre que la lumière,
je n’atterris plus, c’est un pont vers la lumière,
soutenu par elle, embrassée par elle,
le pont semble sortir de moi,
la lumière crée de la légèreté29 septembre 2018 à 11 h 29 min #30885bzo
Participantun pont finit par se former,
je n’atterris plus, je sens comme un pont en moi,
une grande ouverture est empruntée par ce pont en son milieu,
il semble soutenu par rien,
il semble soutenu par rien d’autre que la lumière,
je n’atterris plus, c’est un pont vers la lumière,
soutenu par elle, embrassée par elle,
le pont semble sortir de moi,
la lumière crée de la légèretéce dernier paragraphe de mon précédent message
était une tentative de description de moments bien particuliers, de moments précieux
où après de longues minutes de progression de l’intensité,
j’atteins une sorte de palier où s’installe comme une sorte de douce extase, de lancinante extase,
avec une sensation d’onctuosité générale, de langueur sensuelle, dans tout mon être
avec des passages réguliers des vagues de chaleur, de vagues de frissonssi cet état perdure, peu à peu je perds complètement conscience de moi,
il semble ne plus y avoir de parois, de matière, de limites, plus grand chose en fait,
une lumière ineffable s’installe partout,
une sensation de légèreté pulsante, vibrante,
je baigne dans un aquarium de nectar imbibant toutes mes cellules
et puis cette sensation de pont dans la lumière,
un pont toute en longueur, aérien, me traversant, semblant suspendu à rien,
passant par le centre d’une immense ouverture ronde,
dans le lointain au-delà de l’ouverture, le pont semble disparaître dans un halo de lumière frissonnant29 septembre 2018 à 12 h 36 min #30886Epicture
ParticipantTres cher @bzo
un pont toute en longueur, aérien, me traversant, semblant suspendu à rien,
passant par le centre d’une immense ouverture ronde,
dans le lointain au-delà de l’ouverture, le pont semble disparaître dans un halo de lumière frissonnantcette lecture me donne des frissons. Ce sont des choses que l’on peut, sous une autre forme, trouver ailleurs. Mais ecrites par toi à une heure d’intervalle, j’en frissone tellement cest beau. Je ne t’envie pas, car je perçois cela aussi, par petites bribes, qui ne demandent qu’ à grandir. C’est cela que je convoite. Rien que de le savoir m’empli de joie. Savoir que tu es un exemple vivant de cette experience me rempli de joie. Que tu sois baigné de cela me rempli de joie.
Continue à bien en profiter…1 octobre 2018 à 0 h 38 min #30898bzo
Participantcomme cette chair est tendre, comme cette chair est accueillante,
comme elle aime mes doigts,
comme elle aime les sentir s’enfoncer entre ses plis humides,
ma paume épouse bien sagement la rondeur d’un de mes globes,
tandis que mes doigts jouent à l’explorateurce qui m’a bouleversé ce soir durant cette divine séance,
c’était de sentir cette puissance en moi,
je me sentais vraiment comme un fétu de paille entraîné,
cette puissance m’entraînait comme un fétu de paille
mais avec une telle douceur,
tout le temps il y avait cette douceur sans faille en moi
en même temps qu’une puissance incroyable,
c’était totalement bouleversant à ressentirje me laissais entraîner en levant toutes mes défenses
car je sentais que rien ne pouvait m’arriver,
pas un heurt qui ne soit toutes en rondeurs et en élasticité,
pas une course folle qui ne soit pas enveloppée dans du duvet,
quand je dévalais un toboggan, du nectar m’entourait de toutes parts,
quand un tourbillon m’emportait, de l’onctuosité partoutle spectre de ce plaisir est tellement vaste,
un petit mouvement de la cuisse, une contraction
et la sensation semble tout à fait nouvelle, encore jamais ressentie,
je me touche du bout des doigts, je laisse courir le bout de mes doigts sur ma peau,
je bouge un peu le bassin, quelques pressions sur mes parties génitales,
un doigt s’égare vers mon bas ventre, vient effleurer la tête de mon pénis,
je suis empli de frissons,
une grosse vague m’entoure, je me tords de plaisiroù-t-il mon partenaire, celui qui me fait l’amour comme cela?
je sens bien sa queue en moi, elle bouge divinement,
elle frotte dans mes entrailles, monte, monte, s’enfonce toujours plus profondément,
par moments j’ai l’impression qu’il me remonte jusqu’à dans la bouche,
c’est un déluge de nectar alors qui explose en moimes mains, mes chers mains,elles m’enlacent tendrement,
une contraction monte lentement, je descends l’une d’elles ,
je plante quelques doigts dans mon anus-pussy
tandis que l’autre vient serrer mon sein,
une autre contraction maintenant encore plus lente, encore plus dévastatrice,
je crie de plus en plus fort,
ce plaisir maintenant est tellement vif dans ma chair, c’est de la folie,
c’est mieux que la drogue, il n’y a pas un shoot d’héroïne qui peut cela,
sentir cette incroyable ivresse, cet incroyable bonheur , cette puissante extase,
partout en nouscomment arrêter, alors qu’il suffit maintenant d’un léger mouvement du bassin
ou un simple déplacement de la main
pour immédiatement me tordre de plaisir pendant de longues secondes?
il n’y a pas moyen de s’arrêter pour l’instant
car le simple fait d’essayer d’arrêter,
m’entraîne dans de nouvelles convulsions de plaisir,
il va falloir attendre que cela se calme1 octobre 2018 à 21 h 06 min #30903Envole
ParticipantHello @bzo,
merci encore de partager tous ces moments divins…
J’ai adoré de nombreux passages, dont celui-ci :
quelles sensations raffinées, c’est de la haute couture décidément ainsi
sans les mains directement venant sur mes parties génitales,
juste ces frottement et ces pressions des cuisses,
les mouvements du corps, mes hanches dansant lascivement
et puis mes mains caressant, caressant, sonnant la charge joyeuse, la charge soyeuseque de sensations délicieuses ainsi, bon dieu,
c’était du champagne pétillant et doré dans mon corps, cette séanceEt puis après…Et bien après, le pont de lumière, le bonheur…
Oui le plaisir porté à son paroxysme se sublime en bonheur profond, un genre d’état de perfection douce et lumineuse…1 octobre 2018 à 23 h 48 min #30906bzo
Participanthello @envole
je sème des petits cailloux colorés sur mon chemin,
je ramasse des souvenirs de toutes sortes dans ma besace,
c’est mon trésor, ils portent un peu de ces moments précieux , de ces moments rares,
on se demande après si on n’a pas rêvé, tellement cela paraît d’un autre monde tout cela,
un monde sans frontières et sans limites
qu’avec une formule magique on a invoquémon corps a la formule magique, j’essaie de le laisser faire du mieux que je peux
et quand j’y arrive bien,
je m’embrase des pieds à la tête, je brûle comme une flamme vive,
la vie au fond de nous, un immense réservoir de combustible animal
hautement inflammable2 octobre 2018 à 0 h 14 min #30907bzo
Participantce soir encore splendide séance,
je pratique moins ces derniers jours,
j’essaie de concentrer au maximum,
donc en journée plus de micro-séances au boulot,
en journée j’oublie complètement que cela existe tout cela et le soir encore
puis à un moment donné, il y a un petit signal qui m’éveille,
comme un agent infiltré qui vivait jusque là une vie anonyme, anodine,
soudain un signal me met en route, je me transforme,
j’ai été entraîné pour cela par une agence hautement spécialisée, secrète
je me transforme en bête de luxure sans tabous
prêt à se tordre de plaisir loin de toutes les normes du plaisir masculinil y a un mot que je n’ai pas encore utilisé pour qualifier mes sensations, mon plaisir
mais qui ce soir s’est imposé à moi comme une évidence,
c’est le mot de velouteuxcette caresse velouteuse partout en moi,
c’est comme si un félin sans forme précise, allait et venait partout,
se frottait à tous mes organes, à toutes mes cellules,
un petit mouvement de bassin
et le voilà qui change de direction,
un petit frottement de ma cuisse contre une couille,
le voilà qui avance plus fort, qui change plusieurs fois de direction,
j’en suis empli de son frottement velouteux,
du velours de sa fourrure mise en mouvement par des muscles souples, puissants, racés,
cela n’arrête pas,
c’est infernalement bon, ma chair est folle de bonheur,
on a qu’une seule envie, ce serait de rester ainsi pour l’éternitéj’enfonce mes doigts dans ma petit huître chaude,
je la gobe vivante, ma petit huître,
avec un peu de crème pour la rendre légèrement glissante,
mes doigts vont la chercher, touiller dedans
tandis que je presse mes couilles entre mes cuisses,
que d’ondes douces,
ce sexe quand il est dressé vers l’extérieur, son plaisir est vif, bref et si violent
mais il est aussi capable de cette extraordinaire douceur qui m’emplit pour l’instant,
je sens mes couilles déborder de ce miel, de ce nectar vers l’intérieur,
c’est un flot ininterrompu d’onctueuses sensations qui se répandent de mon bassinjour velouteux, moments velouteux,plein de velours derrière mes yeux aussi, mêlés d’étoiles,
des coulées d’étoiles enrubannées de velours,
velours se plissant, se déplissant, velours, soie,
c’est la nuit des tissus précieux, des tissus doux,
comme ma petite chatte entre mes jambes, ma petit moule,
fournaise adorée, baiser des cieux2 octobre 2018 à 13 h 53 min #30910Jieffe
ParticipantBonjour Bzo,
Tout comme Epicture, j’ai beaucoup apprécié ton message. Il m’a fait voyager, et je t’en remercie. Il me fait également écho, il me semble avoir entr’aperçu de façon brève quelque chose qui ressemblerait à ce que ce que tu décris.
2 octobre 2018 à 18 h 41 min #30912bzo
Participantles sensations d’un jour à l’autre, sont tellement variables
un jour, c’est une extase tout à fait exotique, très éthérée,
c’est comme si par-dessus ma chair en fête,
une part de moi-même dérivait pendant ce temps-là, dérivait vers des rivages lointains
où des sensations tout à fait étonnantes, uniques, vont m’arriverl’exemple le plus frappant de ce type de sensations que j’ai eues,
a été celle de ce pont dans la lumière
qui m’a habité de longues secondes,
je l’ai déjà eu plusieurs foiset puis un plaisir plus charnel, une ivresse beaucoup plus animale,
comme hier,
la chair exulte, la chair est en fête
mais il n’y a pas en même temps ce que j’ai appelé plus haut,
une dérive d’une part de moi-même vers des rivages lointains,
non je reste constamment dans cette chair,
vivant avec elle au plus près la fête exaltante, la fête bariolée, multicolore,
avec plein de sensations de danse,
de flamme dansante et se consumant,
de courbes soyeuses ondulant lascivement3 octobre 2018 à 0 h 33 min #30917bzo
Participanton est saisi par cette puissance tellement douce mais tellement douce,
ou dans l’autre sens,
cette douceur tellement puissante mais tellement puissantedifficile d’imaginer sans doute pour une personne
habituée aux sensations vives, tourbillonnantes, flamboyantes, brèves, d’un sexe en érection,
ce flot continu d’onctueux, ces sensations langoureuses, calmes, apaisantes, nourrissantes
que nos parties génitales peuvent déverser vers l’intérieur vers ce féminin en nous
en conjugaison avec les vibrations issues de la prostateces ondes sexuelles mâles comme si notre sexe était dressé vers l’intérieur,
tendu vers ce féminin éveillé en nous
qui va s’en régaler de ce miel maison, de ce bon miel maisoncaresse feutrée de toutes mes cellules à la fois,
de tout mon être, pas une cellule qui soit oubliée,
pas un recoin de mon cerveau, pas un recoin de mon esprit,
tout y passe,
le velours , le duvet, m’emplissent,
bougent lentement comme une houle de fond,
pas juste quelques vaguelettes, non une houle de fond,
une houle motorisée par le grand océan,
d’où la sensation de puissance à chaque instant, si irrésistibledire que ma chair en est friande, serait faible
elle en est totalement accroc,
dès les premiers frissons de cette sublime fourrure m’envahissant,
me pénétrant de tous côtés, m’emplissant de tous côtés,
effleurant divinement jusqu’au plus profond de mon être,
n’oubliant rien, pas un cheveu, pas un ongle, pas un doigt de pied,
c’est une sensation d’extase qui directement rend folle de bonheur ma chairplus tard, à peine plus tard,
cela va devenir mouvant, de plus en plus caressant,
cela doit être en fait de la jouissance à peu près constamment,
je me rends compte
mais une jouissance calme, houle longue , régulière, puissante
comme on en trouve au large, dès qu’on s’est éloigné des côtesil n’y a qu’à se laisser aller,
sentir cette houle feutrée passer dans sa chair,
il n’y a pas besoin de plus,
un sentiment de plénitude m’envahit,
se sentir bien à ce point heureux de vivre,
heureux dans cette chair épanouie,
ce plaisir mûrit jour après jour en moi
et moi avec, je rayonne de plus en plus6 octobre 2018 à 0 h 49 min #30961bzo
Participantah mes amis, quelle séance encore ce soir,
une bonne heure, j’ai vraiment cassé la baraque,
très certainement une de mes meilleures séances à ce jourla qualité des sensations était telle, la richesse des sensations était telle,
tout cela est devenu tellement fiable, tellement réactif au quart de tour,
c’est désormais comme si j’avais à ma disposition, un clavier avec des centaines de touches
et je joue dessus, des millions de combinaisons, des nuances à l’infini,
je contrôle l’intensité, je libère les tonalités, les coloris,
c’est divin, il n’y a pas d’autre motpetit détail technique, je n’utilise même plus de crème pour mon pussy,
j’aime beaucoup plus sans rien,
cela racle, cela frotte très fort mais cela me convient ainsi,
en fait je bouge peu les doigts dedans désormais,
justement car ainsi à sec il est difficile de bouger
mais les doigts restent bien prisonniers, sont fort comme retenus
et tout le reste se met à bouger autour , c’est encore mieux ainsi,
c’est comme si tout mon cul effectuait une danse du ventre autour de ses doigts,
comme une strip-teaseuse dans un club qui danse autour d’une barre, cherchant à l’ensorcelertout cela m’arrachait de tels cris de plaisir, de tels gémissements en continu,
les murs sont épais, assez j’espèretoutes les parties de mon corps participent activement à l’éveil du plaisir,
même si bien sûr la prostate grâce aux contractions
et puis mes parties génitales avec les frottements et les pressions des cuisses
et puis ma main droite ,
sont les deux principaux pôles, les deux solistes
mais autour il y a les mouvements de mon corps, en mode liane lascive,
comme j’aime cela, j’écarte les jambes, je me sens ouvert, je me sens excité,
j’ai envie de sentir en moi remonter la chose bien dure,
l’explosion en geysers lents de nectar dans mes entrailles sur son passage
et puis mes mains qui vont et qui viennent sur ma poitrine,
comme j’aime me tripoter les seins, les triturer à pleines mains,
pas juste les tétons, non bien saisir ces deux globes,
les malaxer, les presser, les frotter, les cajolercette sauvage harmonie, extraordinaire animalité éveillée
mais aucune sensation violente, toujours cette douceur si puissante qui me rend fou de bonheur,
à un moment donné, je ne sentais plus du tout mon corps
mais une aile en mouvement à la place
et chaque geste que j’effectuais , chaque mouvement, semblait en faire partie,
c’était sublime comme sensation,
cela n’a pas duré longtemps mais c’était vraiment beau, surprenant,
ces derniers temps j’ai des sensations comme cela qui semblent apparaître de nulle part
comme l’autre jour un pont suspendu dans la lumière
et aujourd’hui cette sensation d’aile géante se mouvant lentement
que semblait former mon corpsj’ai volé pendant de longues secondes, c’était très physique comme sensation,
l’ensemble de mes mouvements, de mes gestes, de mes actions diverses,
ce qui était extraordinaire à ressentir,
c’était leur coordination et le souple et puissant mouvement qui en résultait6 octobre 2018 à 9 h 00 min #30962bzo
Participantvous avez tous certainement vu déjà un homme-orchestre dans la rue,
un instrument entre les mains, entre les cuisses des cymbales attachées,
du bout des pieds, une grosse caisse,
enfin plein d’instruments de toutes sortes ingénieusement mis en action
et le tout formant une musique que d’habitude il faut tout un orchestre pour interpréterce matin je me chipotais machinalement au réveil,
sans trop m’engager, j’étais encore aussi dans les limbes du sommeil
mais j’avais malgré tout envie de sentir du plaisir couler en moi,
que le plaisir vienne me cueillir entre les bras de la nuit, prenne le relaisà un moment donné par jeu, par curiosité, je me suis complètement immobilisé,
j’étais avec les genoux fortement ramenés vers le ventre,
ainsi mes parties génitales étaient un peu compressées de tous côtés,
j’avais mis en route des contractions lentement
mais rien d’autre ne bougeait
sinon mes parties génitales légèrement mues, frottées, pressées, ainsile plaisir était là, tout aussi intense que d’habitude, le même type de sensations
mais cantonnées au bassin, strictement limitées à cette zone,
cela m’a frappé, ça m’a fait pensé à mes débuts, mes touts débuts
où aussi il n’y avait que le masseur qui bougeait en moi
et où le plaisir s’en trouvait ainsi ressenti en une zone très limitée,
juste au bassin et encore une partie seulement de celui-ciaprès,
comme dans certains morceaux de musique
où les divers instruments de musique entrent en scène progressivement l’un après l’autre,
je recommençais lentement à faire entrer en jeu tous mes autres instruments,
mouvements divers du corps, à le faire entrer progressivement en mode liane lascive
et puis les mains , allant et venant partout,
insistant surtout autour et sur les seins
mais très régulièrement vagabondant un peu partout,
la droite assignée à mon bas-ventre, fesses, cuisses, essentiellement,
la gauche, le haut du corps, les seins, son port d’attache,
les deux de temps à autre,
volant entièrement librement un peu partoutc’était frappant, au fur et à mesure de ce processus,
tout mon corps redevenait progressivement une chambre de résonance de mon plaisir,
les sensations qui pendant quelques minutes , ont été cantonnées au bassin,
avec juste les contractions mais qui mettaient en route ma prostate et mes parties génitales,
se répandaient maintenant dans tout mon corpsmieux,
les mains caressant, le corps ondulant, rajoutaient aux sensations,
tout mon corps était désormais réceptacle du plaisir
mais aussi acteur actif, générant des sensations qui venaient se mêler au flot montant du bassinhomme-orchestre de mon plaisir
grosses bises et mains baladeuses
à tous et à toutes7 octobre 2018 à 21 h 58 min #30969bzo
Participantces sensations me donne l’impression à chaque instant de faire exploser mes tuyaux,
une gigantesque caresse qui me traverse de part en part inlassablementmon équipage est sur le pont, chacun connait son rôle,
qu’il est splendide mon voilier, toutes voiles gonflées, fendant les flotsc’est mystérieux le plaisir,
c’était pourtant si simple pendant des années,
on a une quéquette qui durcit entre les jambes,
à un moment donné, elle va cracher
et voilà ,c’est bon, on a tiré son coup,
point à la lignelà maintenant, c’est devenu tellement imprévisible, tellement riche,
j’ondule un peu du bassin, je frotte une jambe contre l’autre
puis je les écarte lascivement
tout en effleurant mon sexe du bout des doigts
tandis que que l’autre main caresse mon sein, mon téton
et déjà des frissons s’emparent partout de moi
c’est comme si on tirait un grand tissu de feutre sur toute sa longueur à travers mon corps
et puis dans mon cerveau aussi, c’est soyeux, mouvant, tout en frôlements, partout9 octobre 2018 à 0 h 15 min #30981bzo
Participantc’était comme un envahissement,
comme si une part de ma chair commençait à être envahi pour quelque chose d’une densité phénoménale,
je sentais d’une part ma chair normale, pas mal enivrée d’un côté
puis le début d’une morsure sublime dans un bout de moi-même,
c’était une sensation d’une telle absolue plénitude,
un bonheur tellement total avait envahi quelques centimètres carrés de ma chair,
je n’avais pas encore senti cela,
les autres super O, les super O au masculin
que j’avais eus par le passé, dévalaient comme une déferlante, un tourbillon,
emportant tout sur leur passage,
je tremblais comme une feuille, je convulsais, j’avais la danse de saint-guy,
ici, c’était comme si ma chair se figeait dans un moment d’éternité,
un moment d’extase d’une telle densité, d’une telle limpidité
comme si j’étais envahi par une sève sublime
qui prenait possession de ma chair,
que j’en fus désarçonné à chaque fois pour l’instantc’est arrivé deux, trois fois, c’était trop pour moi malgré toute mon expérience
mais depuis je parviens encore plus à me lâcher,
oh comme j’arrive à me lâcher!
c’est sublime comme j’arrive à me lâcher, à me laisser aller, à me laisser emporter
et avec juste quelques gestes, quelques effleurements, je suis déjà tellement loin
et je parviens à rester longtemps très très loin sans bouger ou à peineje me prépare pour ces nouvelles vagues monstrueuses d’un type que je n’ai pas encore connu,
le mot monstrueuses pourrait sous-entendre une violence
mais ce fut tout le contraire,
c’est cette douceur qui est déjà totalement en moi,
les milles et une variations de ce nectar, de cette onctuosité
mais à un niveau de densité, à un niveau d’onctuosité,
tel
mais tel,
c’est arrivé il y a des semaines,
cela n’a duré chaque fois que quelques secondes
mais je porte encore dans ma chair une trace, leur souvenirje m’y prépare définitivement,
de tout mon être
je m’y prépare définitivement de tout mon être,
j’ai goûté du bout du bout du bout de la chair
à une félicité dont je ne soupçonnais même pas l’existence jusqu’à ce jour
et ma chair en porte encore la trace des semaines après,
je la veux partout en moi,
partout , partout, pour de longues secondes, je la veux en moi,
qu’elle me pénètre, jusqu’au fond de l’âme
que je sois pétrifié d’extase et de langueur jusqu’au plus profond de l’être9 octobre 2018 à 23 h 04 min #30983bzo
Participantje n’ai plus du tout envie de pratiquer en journée,
même chez moi, j’attends, j’oublie en fait que cela existe complètement
puis il y a un moment où quelque chose m’allume,
tout d’un coup ma main se dirige lentement vers mon bas-ventre,
l’autre vers mon sein,
je ferme les yeux
et là en quelques instants, je suis empli de frissonsj’ai besoin de toujours moins,
toujours de moins de mouvements, de moins de gestes, de moins de tout
mais chaque millimètre de déplacement de ma main
semble avoir toujours plus d’effet,
chaque millimètre de ma peau parcouru
semble de plus en plus chargée de sensations, d’émotionsma chair semble de plus en plus réactive, de plus en plus prête à m’emmener loin,
je décolle tellement facilement,
comme c’est extraordinaire ainsij’ai de moins en moins à faire pour des résultats de plus en plus effectifs,
mon corps a de moins en moins besoin de moi,
il me laisse m’en aller, dériver au loince plaisir est devenu une symphonie sauvage,
je sens tout un orchestre dans mon sang à l’oeuvre en moi,
les sensations sont des notes,
la musique de plus en plus forte,
son harmonie devient tellement évidente, tellement porteuse,tellement transporteuse,
par la clef de cette portée, je m’évade,
vers la terre natale de mon corps - AuteurArticles
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