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  • #10427
    Andraneros
    Modérateur

    La seule position qui m’ait permis d’accéder à l’orgasme prostatique est allongé sur le dos, jambes dépliées et écartées. Mon corps est bien posé sans aucun déséquilibre parasite. Je peux me détendre naturellement et faire une respiration abdominale sans effort. Je ressens bien toutes les pulsations, contractions et vagues de plaisir aussi ténues soient-elles.
    A contrario je perds presque toutes mes sensations lorsque je suis sur le côté. En particulier je ne parviens pas à faire de respiration abdominale dans cette position.
    Je n’ai pas encore essayé assis, ni debout, ni en appui bras et genoux (“doggy style”), ni allongé sur le ventre.

    #10428
    helix47
    Participant

    j ai longtemps pratiquer mes sessions allongé sur le dos jambes repliées , pour moi ce n est pas la plus favorable , mes meilleures sensations sont allongé sur le dos jambes étendues non écartées mais pas serrées .

    #10440
    Hyménée
    Participant

    Pour moi, c’est allongé sur le dos, les jambes font ce qu’elles veulent (peuvent). Les bras aussi.

    Le superO embrase le corps en son entier, pour peu qu’on lui offre. 🙂

    #11005
    Modjo
    Participant

    @Theghosssst, J’ai rencontré un peu le même problème au départ, peut-être que ce qui suit aidera ?

    Au début, j’utilisais la position la plus confortable et la plus relaxante : celle du chien de fusil.
    En effet, cette posture me permettait de me détendre et d’accepter plus facilement l’insertion de l’hélix.
    Cependant je n’ai obtenu aucun tremblement et très peu de sensation dans cette position (même au bout de 5-6 séances).
    Par pur hasard – j’ai alors adopté la position suivante : sur le dos, les jambes repliées, les genoux en l’air et les pieds à plats. Et la, ça a été radical ! Au bout d’une vingtaine de minutes, j’étais envahi de convulsions, de spasmes et de contractions incontrôlables. La transition entre les deux positions a été très marquante et ce n’était que ma 7ème session. J’ai essayé de comprendre pourquoi :
    Je pense que la relaxation ne doit pas forcément être interprété comme une totale détente du corps(*)
    (* je parle d’un point vue purement physique et non psychologique). Mais pour moi il n’a pas été utile de relâcher tous les muscles, j’explique :

    Le problème qui s’est posé, lorsque je commençais les contractions (et que l’insertion de l’helix ne constituait plus une gêne), c’est que je n’avais aucun “pont” pour faire l’intermédiaire entre la phase “relâchement” et la phase “spasmes”.
    De ce que j’ai vu, les tremblements constituent une étape clef dans l’établissement de l’orgasme prostatique.
    Or je crois qu’il est difficile de trembler lorsque la totalité de nos muscles sont détendu et que nous sommes étendus de tout notre poids sur le lit.

    En ce sens, je pense que la position à adopter pour favoriser le développement des premières contractions involontaires (du moins au début), doit être une position légèrement instable qui nécessite un peu d’effort.
    La position décrite un peu plus haut (contrairement à celle du chien de fusil) crée une tension légère et constante dans le bassin (on contracte pour garder les genoux en l’air). C’est cette sensation d’inconfort qui – paradoxalement – m’a aidé à trouver les premières convulsions.
    Visiblement, cette position m’a permis de transmettre directement les premiers frissons à la prostate (via le masseur) et sans avoir d’effort supplémentaire à faire. Progressivement, la sensation d’incommodité s’est transformée en “chatouilles”. Ces chatouilles étaient liées aux vibrations provoquées par mes convulsions, elles mêmes véhiculées par le masseur, faisant ainsi monter l’excitation et le plaisir par la même occasion.

    Depuis, je réalise la relaxation en position chien de fusil et lorsque je souhaite lancer les contractions, je prends la position décrite plus haut. J’ai obtenu mes premières contractions involontaires de cette manière, depuis ma sensibilité a considérablement évolué. Ma dernière séance était incroyable…
    Je ne connais pas la position que tu utilises, mais peut-être pourrais-tu essayer celle la ? En espérant avoir été utile 🙂

    #11007
    Andraneros
    Modérateur

    @Modjo votre suggestion pour passer de la relaxation à l’apparition des contractions (moteur du mouvement de l’Aneros) involontaires (carburant du moteur qui permettra aux mouvements de se répéter) sont très intéressantes.

    Mais je comprends que, si les genoux sont en l’air et les pieds à plat, ces derniers reposent sur le lit ou sur un support. Or vous parlez de position instable pour déclencher les spasmes libérateurs. Est-ce à dire que vos pieds ne reposent sur aucun support et restent en l’air pour créer la sensation d’inconfort génératrice des convulsions ?

    Les précisions concrètes que vous nous apportez vont fortement intéresser nos amis qui éprouvent des difficultés à obtenir les contractions involontaires.

    #11009
    logansan
    Participant

    Pour ma part, je pense qu’il parle d’un léger effort pour être dans cette position, pieds sur le lit. Je me permet de participer ici, car je ressens aussi plus de sensations dans cette position. Comme s’il fallait une légère fatigue des muscles pour aider à provoquer ces contractions involontaires.

    Par contre, je me pose la question suivante :
    Ces contractions sont-elles nécessaires ? Je vis de grands moments de plaisirs ainsi, et des témoignages (textes, vidéos…) vont dans ce sens… Mais n’y a-t-il pas mieux encore avec un corps entièrement relâché ?? Mais peut-être arrive-t-on là dans le niveau expert…
    En attendant, je conseille à ceux qui sont sur la route d’essayer ce côté ‘fatigue’ musculaire, cela a marché avec moi, et Hyménée nous en parle aussi en haut de cette page.

    Je languis de vous rejoindre à nouveau dans le monde du massage interne de la prostate mais ma raison me force à attendre la cicatrisation.

    #11010
    Modjo
    Participant

    @logansan a raison, les pieds sont posés sur le lit, l’effort réside juste dans le fait de maintenir les jambes droites : (inspiré d’une position de yoga)
    Position

    En effet, je ne crois pas que les contractions soient indispensables, même si elles m’ont fortement aidé à découvrir le plaisir prostatique. Justement ça peut-être une simple “passerelle”, une étape pour découvrir plus ?

    Merci @andraneros pour le compliment et bon courage @logansan, j’ai eu vent de la mésaventure en parcourant les pages de ce forum :/

    #11012
    nicolas775
    Participant

    @modjo. Ce que tu rapportes m’interpelle. Ma position était souvent allongé sur le dos et les jambes à plat écartées. Celà favorise la détente. Lors de ma dernière session, j’ai adopté la position que tu décris et comme toi, cela a fini par des tremblements ininterrompus du bassin favorisant Les contractions internes involontaires. Cela m’ a beaucoup surpris sans toutefois que cela ne me procure des sensations extraordinaires. Comme cela faisait plus de 2 heures que j’avais commencé, je n’ ai pas persévéré longtemps, mais j’ ai réalisé que j’ avais atteint une étape importante. A l’avenir, je vais procéder comme suggéré: sur le côté pendant la phase de detente et sur le dos, jambes relevées en phase “ascendante”

    #11013
    Modjo
    Participant

    @nicolas775, après une séance de 2h, t’as persévéré un petit peu quand même ^^
    Comme le traité d’aneros le stipule (ainsi que de nombreux témoignages) je crois que la sensibilité de cette zone se développe progressivement. Ce n’est plus qu’une question de temps 😉

    #11014
    Andraneros
    Modérateur

    Merci @logansan et @Modjo pour toutes ces précieuses précisions.

    Ce glissement vers les contractions involontaires est un peu différent en ce qui me concerne.
    Je fais la plupart de mes sessions la nuit à partir d’un demi-sommeil. Ma position est alors allongé avec les jambes écartées allongées. Je sens des pulsations internes, vraisemblablement créées,sous la pression du masseur, par la circulation sanguine dans la région anale / prostatique / rectale, qui prennent de l’ampleur et commencent à lancer des vagues de plaisir le long de la colonne vertébrale. Puis ces pulsations basculent tantôt progressivement, tantôt brusquement en contractions anales qui déclenchent les explosions de jouissance que j’accompagne en m’enfonçant encore plus dans la détente, quand je le peux.

    Dans mon expérience tout est pratiquement involontaire dès les premières sensations. Mon principal effort consiste à me concentrer sur mes sensations pour amplifier ce que je ressens et à rester aussi détendu que possible.

    Mes sessions diurnes progressent peu à peu et m’ont conduit très récemment aussi à un orgasme prostatique en reproduisant plus ou moins le même schéma avec cependant un démarrage beaucoup plus laborieux. Preuve que je ne maîtrise pas encore le processus. Ma position est alors allongé sur le dos, jambes repliées et pieds à plat sur le lit.

    Par contre la position couché sur le côté me bloque. La respiration abdominale est trop laborieuse, je ne ressens pas bien les pulsations et micro-contractions ni aucun effet favorisant la montée vers l’orgasme. Chacun est différent.

    Pour information j’utilise un Helix classique dont j’ai coupé la poignée à 4 cm du pied du corps principal pour faciliter son mouvement en position couchée.

    #11025
    helix47
    Participant

    en ce qui me concerne , j ai essayé presque toutes les positions pendant ma longue recherche du plaisir , qui a été très longue et interrompues plusieurs fois après d infructueuses sessions .la position me donnant les meilleures sensations et qui me conduisent a l’orgasme est sur le dos , les jambes a plat et légèrement écartées , celle en chien de fusil ne me fait absolument pas réagir . quand je sens une réaction plaisante de la zone prostatique la caresse des tetons accentue très fortement la sensation agréable qui provoque l’orgasme .

    #11037
    logansan
    Participant

    Après plus de 2 mois d’interruption, j’ai fait une séance aujourd’hui.
    J’étais tellement excité mentalement que je n’ai pas pris beaucoup de temps de détente, après préparation de l’anus et insertion, le plaisir est monté assez vite, sur le dos, jambes repliées, pieds sur le lit.
    Après cette première vague de plaisir, je me suis retourné sur le ventre, et je me suis pris 5 ou 6 vagues de plus en plus intenses.
    Je ne sais pas si le frottement du pénis sur la serviette, ou la position qui mentalement impose plus de soumission, mes fesses offertes à la pénétration, ou les 2, mais j’ai pris mon pied plus d’une heure.

    Je ne sais toujours pas s’il s’agit du super-O en plus, car j’ai l’impression qu’il peut y avoir encore plus fort derrière ce plaisir que j’ai ressenti.

    Mais là, aujourd’hui, sur le ventre, j’ai adoré !

    #11292
    Hyménée
    Participant

    Bonsoir,

    Et bien moi désormais, c’est celle de la femme en missionnaire ! 😀

    C’est très étrange à vivre, car c’est venu tout seul, petit à petit, sans crier gare : auparavant, la position pratiquée était celle de Modjo. Mais sous la stimulation du Vice, j’arrive à un premier plateau orgasmique, où naturellement, le lacher prise total que les orgasmes occasionnent, amène mes jambes à se recroqueviller, mettant tout mon poids sur le dos. C’est assez génial, car cela libère le bassin et permet l’ondulation de la colonne vertébrale.

    Là, je n’ai plus qu’à m’ouvrir (tout : l’esprit, les jambes, les bras, la poitrine, le crâne), ne penser à rien, et laisser l’amant m’assaillir. Exactement comme ma compagne dans la même situation : le bassin se gorge de sang, et les orgasmes partent dans tous les sens. C’est à hurler de plaisir. Y’a rien à faire d’autre que de laisser le champs libre à l’amant en plastique et laisser les contractions involontaires faire leur oeuvre.

    Ouah ! Allez-y, c’est extra ! Moi, j’y retourne !

    Pour y parvenir, un seul chemin : il faut le désirer ardemment.

    Désir, Ô mon désir, où me mènes-tu ?

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