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bzo, le il y a 5 années et 3 mois.
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23 avril 2019 à 23 h 49 min #33562
bzo
Participantj’ai continué ma recherche du « Super O ».
hum, mauvaise approche, le super O est capricieux, le super O n’en fait qu’à sa tête
et ne viendra que là où on ne l’attend pas,
là où on ne l’attend plusdonc maintenant que tu t’es résigné à ne plus avoir de super O,
tu commences à avoir une chance d’en avoir un , un jour ou l’autretout cela est fondamentalement injuste comme le reste de la vie,
certains mériteraient d’en avoir mais ne l’auront jamais
mais là tu as fait un pas dans la bonne direction,
de t’être résignédu temps où j’avais des super O régulièrement
(j’ai changé d’alpages depuis où le super O se traduit plutôt par de longues extases ),
la recette que j’appliquais pour y arriver assez régulièrement donc,
c’était de m’en foutre royalement des super ojuste le plaisir dans l’instant qui m’intéressait
et puis se lâcher de plus en plus,
oh oui, se lâcher de plus en plus, soyons fou, soyons démesuré,
arrêtons de réfléchir et laissons le désir parler,
laissons le désir nous prendre sous son aile,,
arrêtons de spéculer sur ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire,
le moment est de laisser parler le corps,
le moment est de laisser son instinct et ses pulsions prendre le dessuslà est un des grands secrets de nos pratiques,
se lâcher, se laisser emporter,
se laisser emplir par le désir, par la passion,
enfin, moi, c’était ma recette
et c’est toujours ma recette d’ailleurs,
juste ma technique et mon angle d’approche qui ont changé24 avril 2019 à 0 h 16 min #33563christoul
ParticipantBonjour bzo,
Merci pour ta réponse.
Je ne suis pas vraiment résigné. J’ai toujours un petit espoir d’y arriver un jour peut- être.
D’une manière générale, je ne supporte pas de ne plus avoir d’espoir. L’espoir fait vivre et moi il rend ma vie plus heureuse surtout sur des choses aussi importantes pour moi.
D’ailleurs je me suis mis en septembre au Yogi- Yoga (une fois par semaine). Je me suis dit que travailler le relâchement et la circulation des énergies pourrait peut- être m’aider. Bon, pour le moment, les résultats escomptés ne sont pas vraiment là. Mais encore une fois je persévère et en matière de sexualité je suis très persévérant.
Je me suis même mis au rock mais là c’était pour faire plaisir à ma femme (elle ne l’espérait plus) encore que… on ne sait jamais…
Pendant tout ce temps, je lisais vos écrits à la recherche d’un petit détail m’ayant échappé. Mais, j’ai compris que j’en savais suffisamment et que je ne trouverai pas d’autres conseils pouvant m’aider.
En fait, je n’aime pas me résigner mais je suis lucide. J’ai compris que si je n’avais pas trouvé le chemin au bout de 5 ans de pratique ce serait quand même difficile d’y arriver. Alors, j’ai continué mes séances en espérant un peu, en guettant comment je pouvais prendre plus de plaisir mais en étant lucide sur la possibilité d’avoir un “Super O” un jour.
Au plaisir de vous lire.24 avril 2019 à 6 h 45 min #33566bzo
Participantj’ai été un peu excessif,
bien sûr il faut toujours avoir plein d’espérances et chercher à progresser,
en fait il faut toujours viser au plus haut, toujours chercher à se dépasser,
le super O, on ne devrait pas y penser,
il vient à ceux qui ne le cherche pas ou du moins durant la séance,
savent ne rien attendredurant la séance, il faut savoir bien tout laisser au vestiaire,
être nu, offrir au plaisir, offrir aux sensations , un terrain vierge,
une plaine des jeux sans entraves et sans limitesautre chose
mais là c’est moi, c’est mon opinion,
le porno, pour aider à s’exciter, cela devrait être une solution très temporaire,
les sensations bâties sur ce type de socle, ce type de terreau, seront toujours de qualité moindre
que des sensations “100% homegrown”,
des sensations 100% maison, bio, cultivées avec amour, cultivées avec passion,
plutôt que des sensations aux pesticides et autres produits douteux, achetés au supermarchémais ça, c’est moi, cela n’engage que moi
et c’est un gars qui regarde aussi de temps à autre du porno, qui le dit
mais jamais durant la séance, jamais même avant,
c’est séparé, l’un n’a aucun rapport avec l’autre24 avril 2019 à 10 h 39 min #33568aneveil
ParticipantBonjour @christoul,
Beaucoup d’excellents conseils ont été écrits par mes camarades, mais ce qui me saute aux yeux c’est
que tes attentes obstruent certainement très efficacement la source même du plaisir.le super O, on ne devrait pas y penser,
Je suis on ne peux plus d’accord, on ne devrait même pas en parler, idem pour la carte au trésor et ses différents stades,
pour moi, rien de tel pour créer une norme et donc au final de l’insatisfaction et de la frustration.Ce que l’on découvre est extrêmement intime et personnel, chacun est différent et chaque séance est unique.
L’attitude mentale est déterminante, de mon point de vue il important de débuter une séance en se disant que l’on va se faire du bien,
prendre soin de moi, s’écouter, se goûter, s’aimer et vivre un moment d’intimité avec soi même mais sans jamais avoir d’attentes.
Tout ce qui est technique : respirations, contractions ne me sont d’aucune utilité, je me concentre uniquement sur des micro-sensations
que je laisse grandir, je ressens les énergies circuler là ou elles veulent aller, des ponts se créer entre la zone prostatique et d’autres zonnes du corps (bouche, torse, seins épaules, sacrum et colonne…) Et c’est à partir de cette sensorialité très aiguisée que les contractions surviennent toutes seules et que des orgasmes peuvent alors déferler librement dans le corps.C’est un peu comme quand on fait l’amour à deux, si on se dit que l’on doit avoir un orgasme simultané en forme de feu d’artifice
(comme on le lit si souvent dans des articles),
la déception et la frustration sera très souvent au rendez-vous.
Quand on est dans la sensorialité et que l’on sait gouter le moindre micro-plaisir, au partage et à la fusion des corps,
jouir ne sera plus primordial car tout ce que l’on aura vécu pendant nos ébats nous aura déjà comblé.Bref, c’est en n’attendant rien que tout peut survenir.
24 avril 2019 à 11 h 41 min #33569SophiAir
ParticipantBonjour @christoul,
complètement d’accord avec @bzo et @aneveil. Le super O n’est pas le but, mais la conséquence de tes nouvelles expériences. Pour ma part, c’est en étant à l’écoute du moindre écho dans ma chair, mes vaisseaux, à l’affût des soupçons d’étincelle dans mon cerveau, d’un début de chatouillis le long de la colonne ou dans mon bassin, que les sensations ont évolué et se sont amplifiées.
La respiration pour parvenir à te détendre.
La méditation pour t’ouvrir à tes propres sensations.
Le lâcher-prise pour accepter des réactions inédites de ton corps.
L’ouverture de l’esprit pour accueillir ta nouvelle nature.
En fait, c’est l’être en entier qui participe, et qui fait vibrer notre petit bijou de prostate.
Bons voyages et bonnes découvertes (elles sont permanentes, même après plusieurs mois d’extase).24 avril 2019 à 12 h 35 min #33572christoul
ParticipantBonjour à tous et merci pour vos interventions,
En fait, je me rends compte que je suis très (trop) observateur de ce qui de passe. Peut- être est- ce ça ma difficulté, je ne suis pas assez “déconcentré” et donc pas assez relâché.
Pourtant, il me semble que musculairement je le suis mais peut- être pas psychiquement (et c’est inconscient) et je dois lutter contre ma nature propre qui est de tout analyser pour trouver la meilleure solution. C’est pour cela que je me suis mis au Yoga sans résultats probants pour le moment.
Néanmoins, la notion de plaisir existe bel et bien durant toutes mes séances (plus ou moins fort) mais c’est vrai sans arriver au super O. En fait, ce n’est pas tant le super O que je recherche mais ce que l’on ressent: la sensation d’abandon du corps et ces vagues de plaisir qui se succèdent pendant très longtemps et quoiqu’on fasse vont continuer et évidemment le plaisir que l’on en retire.
Au plaisir de vous lire.24 avril 2019 à 16 h 15 min #33573aneveil
ParticipantRe-bonjour @christoul
En fait, je me rends compte que je suis très (trop) observateur de ce qui de passe.
Peut- être est- ce ça ma difficulté, je ne suis pas assez « déconcentré » et donc pas assez relâché.Être observateur (de ses sensations) et être concentré sur celles-ci sont une très bonne chose en soi quand on n’a pas d’attentes,
mais je pense qu’il faut étendre cette attention et cette concentration à d’autres parties du corps, voir parfois l’ensemble du corps et mettre en relation la zonne prostatique avec d’autres zones (énergétiques ou érogènes) pour que la magie puisse avoir lieu.C’est pour cela que je me suis mis au Yoga sans résultats probants pour le moment.
Tout dépends du type de Yoga et surtout du prof…
Tout ce qui est relaxation, certaines Respirations (Pranayama), Yoga-Nidra et globalement ce qui va dans le sens du lâcher prise (qui est avant tout une attitude mentale) sera bon à prendre.
Le problème c’est que beaucoup de Yogas et de profs sont “dans le contrôle”… (Et ils ne l’admettent généralement pas)que je recherche mais ce que l’on ressent: la sensation d’abandon du corps et ces vagues de plaisir qui se succèdent pendant très longtemps et quoiqu’on fasse vont continuer et évidemment le plaisir que l’on en retire.
As-tu eu un avant-gout de cette description, ou bien est-ce quelque chose de lu, entendu ou appris ?
25 avril 2019 à 9 h 43 min #33578Antoine M
ParticipantBonjour Christoul,
Je suis aneronaute tout débutant et je vis la même chose dans un domaine très différent. Le théâtre et en particulier l’improvisation théâtrale. Le lâcher prise est très important dans cette discipline artistique. Monter sur scène devant un public qui à payer pour passer un bon moment et ne pas avoir la moindre idée de ce qui va se passer dans l’heure qui vient 😊L’un des problèmes dans la recherche du lâcher prise est que par définition quand on cherche le lâcher prise… on n’est pas dans le lâcher prise… Je me suis fait des nœuds au cerveau.
Je travaille une technique de jeu / d’interprétation qui m’aide beaucoup. Le principe est d’être à l’écoute et de réagir. En principe ça paraît simple mais les mots sont trompeurs.
Être à l’écoute ne veux pas dire l’être de façon active, chercher à voir, entendre, sentir, ressentir mais être là, ouvert aux choses et accepter ce qui vient, tel quel. Voir, entendre, sentir comme on le fait en permanence sans s’en rendre compte et sans effort.
Et réagir ne veut pas dire réagir de façon consciente, réfléchie, mais laisser ses impulsions sortir, oublier ses filtres, les conventions sociales et se laisser surprendre par ses impulsions. Et si c’est embrasser/giffler son partenaire de scène et bien soit ! (On est dans un environnement sécurisé et bienveillant) On va peut-être faire un pas et avoir une impulsion en sens inverse. L’impulsion à toujours raison.L’un des livres que conseille mon professeur et qui pourrait t’aider s’appelle “Le zen dans l’art chevaleresque du tir à l’arc”. C’est le récit d’un homme qui part avec sa femme apprendre le zen au Japon. Le zen s’apprend au travers d’une autre activité, pour lui le tir à l’arc. Il raconte comment il a appris à ne plus chercher à maîtriser l’arc et atteindre sa cible pour au final mieux l’atteindre. Il est très bien, je vais le relire 😊.
J’espère ne pas être trop hors sujet. Ce n’est pas forcément applicable tel quel pour le plaisir prostatique mais j’espère que ça te donnera des pistes.
25 avril 2019 à 19 h 01 min #33582bzo
ParticipantL’un des problèmes dans la recherche du lâcher prise est que par définition quand on cherche le lâcher prise… on n’est pas dans le lâcher prise… Je me suis fait des nœuds au cerveau.
Je travaille une technique de jeu / d’interprétation qui m’aide beaucoup. Le principe est d’être à l’écoute et de réagir. En principe ça paraît simple mais les mots sont trompeurs.
Être à l’écoute ne veux pas dire l’être de façon active, chercher à voir, entendre, sentir, ressentir mais être là, ouvert aux choses et accepter ce qui vient, tel quel. Voir, entendre, sentir comme on le fait en permanence sans s’en rendre compte et sans effort.
Et réagir ne veut pas dire réagir de façon consciente, réfléchie, mais laisser ses impulsions sortir, oublier ses filtres, les conventions sociales et se laisser surprendre par ses impulsions. Et si c’est embrasser/giffler son partenaire de scène et bien soit ! (On est dans un environnement sécurisé et bienveillant) On va peut-être faire un pas et avoir une impulsion en sens inverse. L’impulsion à toujours raison.tu as bien tout compris, c’est exactement cela
en tout cas, moi ma pratique se passe ainsi,
tout mon travail sur moi à un certain niveau,
a été d’apprendre à agir sur mon corps, à le percevoir, à vivre les sensations
sans que mon moi pensant n’interfèrecela va très loin,
durant la séance j’ai d’un côté mon corps en action,
une sorte de moi agissant, réfléchissant l’action, imaginant l’action, rêvant l’action,
ressentant les sensations, ressentant le plaisir,
comme directement depuis ce corps, comme directement dissous dedanset puis mon moi pensant habituel qui est en veilleuse la plupart du temps
ou alors parfois avec lequel je me remets à réfléchir, avec lequel je me remet à penser,
et alors je suis tout de suite déconnecté de mes sensations
tout de suite plus comme dans l’intimité de cette chair,
comme dirigeant l’action directement depuis celle-ci,
même si l’action continue mais d’une façon mécanique, machinaleje ne sais pas si c’est clair
mais en tout cas, @antoine, tu es pile dessus25 avril 2019 à 20 h 27 min #33584christoul
ParticipantMerci à tous pour vos conseils ou vos réponses.
Merci aneveil pour tes conseils sur le yoga parce que je pense que le yoga que je pratique (même si cela ne fait pas de mal) n’est pas le “bon yoga” pour ce que recherche c’est dire accéder à un relâchement qui me permettra d’arriver à un Super O. J’ai trouvé dans ma région les sortes de yoga qui correspondrait mieux à ma recherche et je m’inscrirai l’année prochaine.
Je pense que je suis “au top” en ce qui concerne les préparatifs, la lubrification, les rituels, la détente mais pas le relâchement au moment de la montée du plaisir. Parce que depuis longtemps, j’ai toujours du plaisir. Ma prostate ronronne à chaque fois, j’ai des contractions involontaires plus ou importantes et régulières mais j’arrive à chaque fois à un plafond que je ne suis pas capable de dépasser.
Cela commence toujours très vite chez moi (en moins de 5 minutes).
Hier, j’ai encore fait une séance (2 jours après la dernière) parce que j’en avais envie. J’ai décidé de suivre les conseils de bzo et de ne pas regarder de porno et simplement d’écouter slip into mindlessness. C’est parti très, très fort comme ce dimanche 21 avril. J’ai senti que ça bouillonnait au niveau de ma prostate et j’ai commencé à sentir des papillons. J’ai essayé de me concentrer uniquement sur mes sensations mais cela n’a pas duré et je n’ai pas réussi à dépasser ce plafond. J’ai juste réussi à renouveler ces sensations un peu plus tard en m’approchant de ce plafond mais un peu moins qu’avant.
Je sais que c’est très agréable mais que ce n’est pas le Super O parce que je l’ai déjà vécu dimanche dernier enfin.
Au plaisir de vous lire.
Christoul25 avril 2019 à 21 h 12 min #33585bzo
Participantje maintiens que tu es obnubilé par le super O,
c’est un défaut partagé par une bonne partie de la communauté des chatouilleurs de prostate,
on l’a érigé en mythe, en graal à atteindreje suis sûr que des tas de gens , ne l’ont jamais connu
et sont parfaitement heureux dans leur pratique,,
Il faut oublier qu’il existe,
s’il vient un jour, qu’il te surprendra un jour, tant mieux, sinon tant pis,
on peut très bien avoir une pratique riche sans avoir jamais eu de super Odes séances avec des tas d’orgasmes puissants qui s’enchaînent pendant une demie heure, une heure
et là je reste dans le contexte de ce que j’appelle le plaisir prostatique au masculin,
où l’orgasme est une sorte de passage obligé,
si on en a pas eu au moins un de la séance, alors c’est une séance ratéebah, tout cela est loin derrière moi,
je parle de mémoire, je suis engagé dans ce que j’appelle pour simplifier,
un plaisir prostatique au féminin,
je peux passer des jours et des jours sans orgasmesce qui est bien plus important à mes yeux que d’éprouver des orgasmes,
c’est la qualité des sensations, leur richesse, leurs nuances, leur variété,
c’est cela que tu dois travailler
et cela vient en apprenant à toujours mieux s’écouter, à toujours mieux se lâcher,
à se concentrer sur les petits détails,
la grande majorité des sensations sont comme une très fine dentelle,
une fois qu’on est capable de les ressentir,
on est traversé par une volupté d’une finesse sans pareilleet enfin bien plus important que tous les super O du monde,
c’est commencé à éprouver le plaisir dans tout le corps
et pas juste localisé au bassinça c’est bien mieux que n’importe quel super O,
quand dès la première caresse, dès la première pression sur la prostate ou la première contraction,
le plaisir est diffus et est ressenti d’un peu partout,
ca c’est un vrai objectif à mes yeux,
qui en vaut vraiment la peine plutôt que de courir après un mythe, une chimère26 avril 2019 à 11 h 27 min #33593aneveil
Participantça c’est bien mieux que n’importe quel super O,
quand dès la première caresse, dès la première pression sur la prostate ou la première contraction,
le plaisir est diffus et est ressenti d’un peu partout,
ca c’est un vrai objectif à mes yeux,
qui en vaut vraiment la peine plutôt que de courir après un mythe, une chimèreOui c’est vraiment ça, être dans cette qualité de relation à soi, à pouvoir goûter le moindre micro-plaisir, l’aimer et le laisser de déployer en nous, laisser son parfum nous enivrer, se diffuser dans tout le corps…
Et se laisser surprendre par les explosions qui surgissent alors…26 avril 2019 à 11 h 33 min #33595SophiAir
Participant@christoul, je rejoins @bzo et @aneveil
Ecouter son corps, et le laisser vivre ses plaisirs, pendant les séances, mais aussi le reste de la journée.
Etre ouverte à la moindre sensation et se laisser envahir, submerger. Qu’il y ait un orgasme ou non. L’important est de ressentir.26 avril 2019 à 19 h 20 min #33598bzo
Participantles gens au début, ne parviennent à ressentir que les crêtes des plus fortes sensations,
espacées dans le temps avec des périodes creuses entre,
puis au fur et à mesure qu’ils progressent,
ils vont ressentir l’entièreté des vagues les plus puissantes,
après ils vont ressentir en plus des vagues les plus puissantes,
aussi des vagues d’intensité moyenne, d’intensité de plus en plus moindre
les moments creux se raccourcissents’ils continuent à progresser dans la bonne direction,
ils vont commencer à ressentir en eux les petites vagues aussi
et quand ils deviennent vraiment pointus, ils vont ressentir la moindre vaguelette qui naît en eux,
plus aucun détail ne leur échappe,
dès ce moment toutes les sensations sont reliées entre elles comme les vagues d’un océan,
ils vont percevoir leur unité, leur continuité,
ils vont percevoir véritablement le flux en eux
qui se serra peu à peu tisser en eux, en étant capables de percevoir de plus en plus les détailsles minuscules vagues sont de loin les plus nombreuses en nous,
au début ils passent dans notre chair sans même qu’on s’en rende compte
pourtant ce sont elles qui assurent essentiellement la variété, la richesse, les mille et une nuances
et leur très grand nombreuse compense largement leur intensité moindre
par rapport aux vagues les plus intensesleur flux incessant, avec des nuances sans cesse changeantes, se lève dans tout le corps ,
commencer à percevoir donc toutes ces infimes vaguelettes, toutes ces innombrables vaguelettes,
c’est commencer à percevoir le plaisir naissant de partout dans le corps, avec tout le corps
et une fois qu’on perçoit bien tout ce flot, qu’il est totalement vivant en nous
tout ce continuum de sensations qui passent en nous,
devient d’une puissance incomparable,
par accumulation à chaque instant de ces innombrables vaguelettes qui entremêlent, se chevauchent, entremêlent,
forment à chaque instant une cohue joyeuse de sensations tellement diverses, avec tellement de nuancesleur flux incessant
tantôt aux ciselures délicates, fines, raffinées, tantôt comme des chevaux sauvages déchaînées
finit par donner l’impression de jouir tout le temps,
d’avoir sa chair immergée dans une félicité aux nuances comme un kaléidoscope tournoyant26 avril 2019 à 19 h 53 min #33600christoul
Participantcette qualité de relation à soi, à pouvoir goûter le moindre micro-plaisir, l’aimer et le laisser se déployer en nous, laisser son parfum nous enivrer, se diffuser dans tout le corps…
Et se laisser surprendre par les explosions qui surgissent alors…Je cherche avant tout à avoir du plaisir et si possible le plus possible que cela s’appelle un orgasme ou pas. Depuis quelques mois déjà, je profitais du plaisir que j’éprouvais pendant mes séances en étant un peu résigné par rapport au Super O.
Etre ouverte à la moindre sensation et se laisser envahir, submerger. Qu’il y ait un orgasme ou non. L’important est de ressentir.
C’est ce que j’essaye de faire depuis longtemps maintenant mais je n’arrive pas vraiment à me laisser envahir, submerger, c’est là ma difficulté.
c’est commencer à percevoir le plaisir de partout dans le corps et une fois qu’on perçoit bien tout ce flot, tout ce continuum de sensations qui passent en nous, c’est d’une puissance incomparable, par accumulation de ces innombrables vaguelettes… finit par donner l’impression de jouir tout le temps.
Tout le monde n’arrive pas au même niveau, j’en suis la preuve vivante. J’aimerai bien mais je peux point, pour le moment en tout cas.
Au plaisir de vous lire26 avril 2019 à 19 h 57 min #33601christoul
ParticipantBonjour à tous,
Pour avoir goûté une fois au Super O, je confirme que la quête vaut le coup et que c’est bien un graal que l’on recherche tant le plaisir est immense.
Jusque-là, je me demandais parfois si au fond je n’avais eu de Super O déjà, sans m’en rendre vraiment compte, parce que parfois j’avais vraiment beaucoup de plaisir. Mais je pensais que je n’atteindrais pas le plaisir conté par tous les témoignages que j’ai pu lire (et que je guettais pour essayer de trouver ce qui ne fonctionnait pas chez moi). Et pourtant…
En effet, ce dimanche 21 avril, sans le prévoir j’ai fumé pour la première fois de ma vie quelque chose de particulier…
Je me suis ensuite éclipsé et j’ai commencé ma séance (j’avais prévu d’essayer bientôt pour voir si ça pouvait débloquer quelque chose). Et là, ce dimanche, c’est monté très vite comme lundi mais cela ne s’est pas arrêté sous le plafond de verre. Au contraire cela a continué et c’était facile, rien ne pouvait perturber mon plaisir pas même moi et mes 3 changements de masseur. Moi qui d’habitude est super attentif à ne pas perturber la montée du plaisir, j’ai senti que rien ne l’arrêterai. C’était un truc de fou. Des milliers de papillon dans tout le bas ventre et dans le ventre.
Tout ce que j’ai pu lire depuis des années s’est vérifié : l’impression de se faire l’amour, ces vagues de plaisir qui déferlent et qui te submergent. Rien n’est forcé, le pilotage automatique est lancé. Contrairement à d’habitude pas de fortes érections, ma verge est restée molle tout le temps, un peu de sperme a coulé mais quel plaisir ! J’ai eu la sensation que mon sexe s’étirait. J’avais un vibreur intégré dans mon corps. D’ailleurs quand j’ai inséré l’aneros vice, j’avais l’impression que le vibreur ne servait à rien puisque je l’avais déjà en moi. J’ai poussé quelques râles, j’étais ouvert à beaucoup de choses et c’est vrai que j’ai mieux compris le côté féminin dont beaucoup parlent.
J’ai essayé de le faire durer le plus longtemps possible et j’ai bien eu au moins 4 à 5 heures de plaisir qui sont passés très vite. J’ai changé 4 fois de masseur (Eupho, Prograsm Junior, Prograsm, Vice) mais en fait ce n’était pas une question de masseur. Moi qui pensais pendant longtemps que je n’avais pas trouvé le bon masseur, quelle erreur. Tout était bon !!
Quand je me suis endormi avec l’Aneros Eupho Trident, je me suis réveillé un peu plus tard et cela a recommencé sans Super O mais avec des sensations très, très agréables.
Le lendemain, je n’ai pu résister à une autre séance avec de super sensations mais pas de Super O. Pourtant je sentais dans mon corps que c’était très favorable mais le plafond de verre n’a pas été franchi comme dimanche.
Je me rends compte, après coup, que même sous effet, j’étais souvent analytique : est- ce que mon sexe tressaute… J’étais spectateur attentif de mon plaisir.
Heureusement cela ne m’a pas empêché de trouver ce nouveau plaisir incomparable avec tout ce que j’ai vécu jusqu’à là.
Comme je ne compte pas fumer très régulièrement, il faut que je trouve la voie que j’ai emprunté dimanche mais cette fois naturellement.
Bon en même temps, moi qui croyais ne jamais vivre de Super O, je signe quand même pour renouveler l’expérience avec une petite aide.
En fait, une jouissance éjaculatoire est plus brutale au niveau du plaisir. Comme me l’avait dit Adam pendant le stage on est à 80% du plaisir mais c’est plus doux et puis cela dure beaucoup, beaucoup plus longtemps. C’est différent et tellement meilleur que cela rend l’orgasme éjaculatoire insatisfaisant par rapport au Super O.
Je n’ai pas pu tout décrire mes sensations dans le détail mais je confirme que c’est un truc de fou et que je compte bien y regoûté.
Au plaisir de vous lire.26 avril 2019 à 21 h 39 min #33603bzo
ParticipantTout le monde n’arrive pas au même niveau, j’en suis la preuve vivante. J’aimerai bien mais je peux point, pour le moment en tout cas.
Au plaisir de vous lirej’essaie de donner des pistes,
des pistes qui me semblent bien plus utiles, porteuses de progrès, de récompenses
que courir après l’hypothétique super OJusque-là, je me demandais parfois si au fond je n’avais eu de Super O déjà, sans m’en rendre vraiment compte
je ne crois pas,
parce que si tu as le moindre doute si tu as vécu un super O ou pas,
alors ce n’était pas un super O.Un super O, on le reconnait tout de suite, on peut en douter, on ne peut douter de ce qu’on a vécu,
tellement c’est unique, tellement c’est énorme, tellement c’est une expérience hors normepour en avoir vécu une douzaine,
je peux te dire que cela ne peut être confondu avec rien,
on sait directement ce qu’on est en train de vivre,
on n’a pas besoin de se demander après si c’en était unEt là, ce dimanche, c’est monté très vite comme lundi mais cela ne s’est pas arrêté sous le plafond de verre. Au contraire cela a continué et c’était facile, rien ne pouvait perturber mon plaisir pas même moi et mes 3 changements de masseur. Moi qui d’habitude est super attentif à ne pas perturber la montée du plaisir, j’ai senti que rien ne l’arrêterai. C’était un truc de fou. Des milliers de papillon dans tout le bas ventre et dans le ventre.
Tout ce que j’ai pu lire depuis des années s’est vérifié : l’impression de se faire l’amour, ces vagues de plaisir qui déferlent et qui te submergent. Rien n’est forcé, le pilotage automatique est lancé. Contrairement à d’habitude pas de fortes érections, ma verge est restée molle tout le temps, un peu de sperme a coulé mais quel plaisir ! J’ai eu la sensation que mon sexe s’étirait. J’avais un vibreur intégré dans mon corps. D’ailleurs quand j’ai inséré l’aneros vice, j’avais l’impression que le vibreur ne servait à rien puisque je l’avais déjà en moi. J’ai poussé quelques râles, j’étais ouvert à beaucoup de choses et c’est vrai que j’ai mieux compris le côté féminin dont beaucoup parlent.
J’ai essayé de le faire durer le plus longtemps possible et j’ai bien eu au moins 4 à 5 heures de plaisir qui sont passés très vite.au risque de te décevoir, tu n’as pas vécu un super O
mais une vraie bonne séance grâce au fait que tu as fumé un pétard,
que cela t’a permis de te lancer sans attentes et en te lâchant complètement,
sans réfléchir non plus quoi faire, comment faire,
juste en faisant et en goûtant le plaisir dans l’instantmais je ne vais plus intervenir après cela sur le sujet du super O
pour toutes les raisons expliquées plus haut,
ce n’est pas une bonne carotte à agiter devant soi pour progresser -
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