- Ce sujet contient 11 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
PetitsPlaisirs76, le il y a 1 mois et 1 semaine.
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- 1 mars 2023 à 0 h 56 min #45664
augnat
ParticipantDepuis que j’ai eu mon premier orgasme prostatique la semaine dernière, je suis l’objet d’un véritable déferlement, un feu d’artifice corporel qui se déclenche dès qu’il en a la possibilité (et paradoxalement, je suis assez soupe-au-lait avec mon entourage). Tout-à-l’heure, j’étais accroupi pour une quelconque activité de la vie quotidienne et j’ai été assailli par une vague de plaisir venant du rectum, qui a été le prélude à une obsession qui a trouvé son aboutissement quelques heures plus tard quand j’ai pu m’isoler pour la meilleure session que j’aie faite depuis le début de mes expériences. J’ai été en transe pendant une quarantaine de minutes, dès le début, avant même le déclenchement du premier orgasme, je ne comprenais mes mouvements de caresses qu’au moment où je sentais mes mains palper les différentes parties de mon corps. Une autre partie de moi-même avait pris le contrôle, moi je me contentais de me laisser guider et de profiter sans tout comprendre. Des essoufflements m’obligeaient à faire des pauses avant de repartir de plus belle. Un truc incroyable. J’ai essayé de le faire aboutir par un Super-T, mais je n’y suis pas parvenu (je maîtrisais les stimulations presque jusqu’au bout mais mon corps a dit stop avant).
Et bref, c’est peut-être ça qui m’a donné envie d’essayer de voir s’il n’était pas possible d’obtenir ce fameux “orgasme du gland” décrit dans un article de ce site, et donc ce soir, mon corps me chatouillait encore et après m’être isolé et avoir laissé le plaisir voguer librement sans avoir spécialement cherché à le diriger, j’ai commencé à effectuer des petites pressions régulières et rapides sur mon gland avec les doigts (cinq pressions par seconde peut-être), couplés avec des petits mouvements de rotation. Je l’ai fait sans en attendre grand-chose mais j’ai senti que ça réagissait. Ça fonctionnait mieux avec la main gauche alors je suis resté comme ça, et j’ai commencé à ressentir du plaisir au niveau du gland, puis le long de la verge, qui s’est un peu étendu vers l’intérieur de mon ventre tout en restant très localisé. Un titillement de mon pénis extrêmement agréable, avec des secousses corporelles involontaires de temps à autre. J’ai arrêté un peu, fait un nouveau tour de mes autres sensations qui commencent à devenir familières (rectum, prostate), et puis j’ai recommencé, un peu différemment, avec des mouvements de va-et-vient sur mon gland du plat de la main. J’ai recommencé plusieurs fois, différemment à chaque fois, au feeling encore une fois (je me souviens d’avoir étendu le mouvement à l’ensemble de mon pénis, avec des mouvements de va-et-vient mais une pression bien plus légère que pour une masturbation traditionnelle), et mon corps en redemandait, en redemandait encore. J’ai eu plusieurs orgasmes, je crois, avec des vagues de plaisir qui s’étendaient de la zone pénienne à l’intérieur, tout près, et je me suis demandé si ma prostate jouait un rôle parce qu’à l’intérieur, près de la zone pubienne, mes sensations étaient très semblables à ça, en plus léger, mais les picotements de la zone génitale rendaient ça très différent. Pas vraiment de perte de contrôle, mais quelque chose de super bon, et j’avais réellement l’impression d’avoir un clitoris. J’ai presque fini par en devenir nerveux, parce que je n’en voyais pas la fin, je voulais arriver à quelque chose qui n’arrivait pas mais qui était quand même là quelque part et j’en avais presque assez, et j’ai fini par aller me masturber par la voie traditionnelle pour que ça s’arrête. Et j’ai eu l’orgasme pénien le plus long que j’avais jamais eu. Plusieurs dizaines de secondes à ressentir les secousses, un climax long suivi d’une descente très lente, très agréable. Un super-T peut-être ? La prochaine fois, j’essayerai le “stop-encore” préconisé par le traité.
Dans l’article qui en parle, l’auteur émet l’hypothèse que le préalable à un tel orgasme est d’être exténué par plusieurs éjaculations récentes. J’apporte donc ma pierre à l’édifice : je n’avais pas eu de rapport sexuel depuis une semaine, et le jouet vibrant, donc, n’est pas indispensable pour y parvenir. Cela dit, j’ai remarqué dès mes premiers essais prostatiques que j’arrive facilement à cloisonner plaisir sexuel traditionnel et plaisir prostatique, ce qui certes n’est pas le cas de tout le monde. Je me rends bien compte que je n’emprunte pas les voies “traditionnelles” et je me demande où tout ça va m’emmener. J’espère en tout cas que mon retour d’expérience pourra être utile à certains.
1 mars 2023 à 1 h 41 min #45665bzo
Participantbien, bien,
je vois que cela marche plutôt bien pour toi, bravo
tu découvres que tout notre corps est un organe sexuel, en fait
et puis que ta prostate est un peu partout,
que ton pénis est un peu partout
et qu’il suffit de se toucher la peau, parfois,
pour être enflammé de partout
tu as réussi à libérer les énergies en toi,
en un temps record,
profite-en bien, désormais
et laisse parler ton imagination,
le bac à sable t’est grand ouvert,
ton corps t’attend pour de sacrés moments
personnellement, j’évite les contacts des génitaux avec la main
mais chacun fait comme il le sent
1 mars 2023 à 1 h 55 min #45666bzo
Participantj’allais rajouter au dernier paragraphe
mais il n’y a plus moyen
personnellement, j’évite systématiquement les contacts des génitaux avec la main,
j’utilise les cuisses à la place,
on obtient avec,
des sensations bien plus fines, plus riches et plus variées, je trouve
et puis on ne se sent pas le besoin d’aller jusqu’à l’éjaculation,
avec un peu d’entraînement, pas du tout même,
on parvient à bien mixer avec des ondes prostatiques,
en synchronisant avec les contractions des muscles du périnée
23 avril 2023 à 0 h 28 min #45811augnat
ParticipantBon, je ne vais pas parler exactement du sujet et comme c’est “mon” post, j’en changerais bien le titre… quelques petites découvertes sur la mécanique de la chose, venant de quelqu’un qui a la chance d’avoir progressé très rapidement dans sa pratique (moi), pourront peut-être être utiles à certains. Et j’ai envie de m’exprimer 🙂
Je m’étais un peu étendu sur le super-T en me demandant si ma dernière expérience racontée ici s’en approchait ou non, et à la réflexion, je crois que non, le super-T est ce qui se produit quand les fortes contractions dues à un orgasme prostatique provoquent le basculement vers l’orgasme éjaculatoire, ce n’était pas le cas ce jour-là, même si c’était très intense. J’ai réussi à le faire depuis ce dernier post, et j’ai découvert aussi que ça marchait dans les deux sens : quand le matin j’ai envie de me stimuler mais que je n’ai pas le temps de me faire une véritable session (c’est-à-dire souvent !), je prends une douche un peu plus longue et j’ai la chance d’arriver à monter assez vite, et la chance également que la stimulation de mon pénis ne bloque pas mon plaisir prostatique (j’y reviendrai un peu plus loin). Et donc si les contractions prostatiques peuvent provoquer la contraction provoquant l’éjaculation, l’inverse est aussi vrai : ce matin, j’alternais les deux et alors que les sensations prostatiques étaient en creux, je suis arrivé presque au point de non-retour éjaculatoire, en m’arrêtant juste à temps ; le pic de plaisir qui s’est produit à ce moment-là a provoqué de nouvelles contractions très vives au niveau de la prostate (appelons un chat un chat, c’était un orgasme), lui-même provoquant l’éjaculation. J’ai apprécié la réaction en chaîne, mais ce n’est pas le meilleur orgasme éjaculatoire que j’aie eu ; le meilleur a été celui que j’ai décrit sur le premier message de ce sujet, après m’être stimulé le gland pendant au moins une demi-heure.
En fait, comme tu disais bzo (et merci pour cet apport que j’aurais peut-être mis un peu plus de temps à trouver), j’ai découvert que la stimulation de n’importe quelle partie de mon corps pouvait provoquer des réactions de plaisir ressemblant à ce qui est largement décrit ici, les différentes zones autour du bassin évidemment, et plus récemment chez moi la poitrine (chez beaucoup d’autres, c’est un truc qui marche vraiment bien mais ça m’a longtemps laissé froid). En se savonnant ça glisse mieux et ça peut être pas mal du tout, et l’autre jour je sentais les allers-retours avec la prostate et j’ai essayé de bloquer ce lien pour essayer de comprendre les sensations en me concentrant surtout, donc, sur celles au niveau de la poitrine. J’avais des contractions, c’était agréable, comme celles que j’avais pu ressentir sur le gland (mais comme ce n’est pas le même organe le ressenti était différent), et je me suis dit tiens, ça marche avec la poitrine, mais où est-ce que ça s’arrête ? Alors j’ai essayé sur la nuque : pareil, des contractions ont commencé à se produire, pas de lien avec la prostate cette fois-ci mais agréables encore ; puis le haut du crâne, idem ; ensuite, les pieds : même tarif. En fait, toutes les parties de mon corps peuvent me donner du plaisir, qui n’est pas forcément du plaisir sexuel, mais je remarque que dans un cadre plus général, la jouissance est là, mon cerveau reçoit des informations de plaisir même si je n’ai pas vraiment de sensations corporelles. Ça peut être la fameuse jouissance féminine dont j’ai parlé une fois ici je crois et dont ma copine m’avait parlé une fois ou deux : on sent un truc de plaisir assez intense, mais ça ne se fixe pas forcément sur quelque chose de sexuel. Un doigt dans la bouche, ça marche du tonnerre, ça provoque un pic de plaisir dans le cerveau en même temps que des contractions de la prostate si je suis dans le bon état d’esprit. Toucher mon pénis plus doucement que pour la masturbation classique, ça me fait partir tout de suite aussi. L’intérieur des cuisses, pour l’instant, ça ne me dit trop rien. Ça doit aussi être lié à nos représentations. Tant que j’étais en période d’apprentissage, les deux sensations – prostate d’un côté et sensations corporelles localisées à une partie du corps de l’autre – coexistaient indépendemment l’une de l’autre, celle sur le devant étant celle que je stimulais, mettant l’autre en sourdine. Ce qui a changé depuis mon accession à l’orgasme, c’est qu’elles se répondent.
J’ai d’ailleurs je crois maintenant le problème inverse des débutants, c’est-à-dire que mon corps peut réagir trop, trop fort, et quand je me prépare mal, je me retrouve avec des sensations prostatiques hyper intenses alors que je ne suis psychiquement pas prêt à les recevoir, ce qui fait que j’arrête parfois tout de suite mes sessions parce que c’est à la limite désagréable. J’ai d’ailleurs fait très peu de vraies sessions ces dernières semaines (je ne parle pas des stimulations sous la douche, que j’apprécie beaucoup, mais moins que les sessions solo avec du temps devant moi pendant lesquelles je suis psychiquement plus libre et donc plus à même d’apprécier les sensations sans me sentir pressé par le temps), jusqu’à cette fin de semaine, et je me demande si je n’avais pas besoin d’une pause… et bon il y a aussi le fait que ma copine, à qui j’ai fini par en parler, n’a pas aussi bien pris la chose que je l’aurais souhaité, ça m’a un peu bloqué. Et donc quand je fais une “vraie” session, je me suis rendu compte que je préférais prendre un peu de temps, cinq, dix, quinze minutes pour laisser le plaisir monter lentement avant de me laisser envahir par le déchaînement.
Voilà je digresse un peu, j’espère ne pas être trop brouillon !
23 avril 2023 à 9 h 00 min #45812bzo
Participanttemps de relier tout cela,
tu découvres que ton instrument de musique, a des tas et des tas, de cordes
et tu les testes séparément, une à la fois,
pour bien te rendre compte de leur existence séparée
temps de les mélanger, de les fusionner en une jungle miraculeuse, je dirai,
d’élargir à l’infini, leur éventail, en les combinant, en les amalgamant,
d’être baigné dans le flot sans cesse changeant,
montant de toutes parts
et s’écoulant jusqu’à dans la plus infime partie de ton être
tout ton corps, est l’instrument de musique
et en même temps le musicien
et en même temps, aussi, d’ailleurs, tout le système auditif, assoiffé des notes,
assoiffé de volupté et de pamoisons
laisses-toi débrider, laisse tout ton corps, s’emballer, se déchaîner,
se découvrir, territoire de jouissance sans limites,
bas les masques, notre chair est ce monde en feu perpétuel,
ce monde d’énergie bouillonnante,
jaillissant en éclaboussant, en éblouissant, la viande, sur son passage,
la transformant en cristal chantant
petit être deviendra grand, un instant,
accomplira son destin de volcan en éruption, un instant,
goute à la splendeur du flot majestueux de la vie
qui coule en nous
laisse le rythme et la continuité , s’installer,
un flux où toutes les parties de ton corps , peuvent s’exprimer,
en toute liberté,
faire partie du grand orchestre
4 mai 2023 à 2 h 17 min #45818augnat
ParticipantMon cher Bzo, en te lisant, j’ai pensé à la page du traité qui donne des courbes des orgasmes, et je me disais que peut-être ce qui est appelé le quatrième chemin pourrait être provoqué par les multiples sollicitations de différents endroits du corps… est-ce que ça te parle, ces différents “paliers” ? Effectivement je sens que je suis encore dans une phase de découverte et je me promène là-dedans avec étonnement et curiosité. Je me concentre sur une zone ou une sensation, je reste dessus et sur le connu pendant une période qui peut être assez longue, et puis un jour, sans que rien ne me le laisse présager, quelque chose me pousse à aller un peu plus loin.
Contrairement à ce que je pensais avant de découvrir tout ça, ce n’est pas forcément l’intensité très forte tout de suite que je recherche, j’ai souvent besoin d’une mise en condition.
Et bref, pour la stimulation pénienne que j’associe décidément à l’orgasme clitoridien chez la femme, je l’ai testée à nouveau aujourd’hui (je sors d’une grosse semaine de creux au niveau stimulation prostatique et assimilée, une tentative avant-hier qui n’a pas donné grand-chose, ça me fait toujours ça à la session de relance). Cette fois, contrairement aux précédentes, c’est monté très vite, très bon, un orgasme une première fois, une deuxième, une troisième… la prostate s’en mêlait, pas très fort, mais suffisant, ça faisait un bon complément, j’arrêtais, je reprenais… une bonne session mais je n’avais pas beaucoup de temps et j’ai décidé de terminer avec un orgasme éjaculatoire. La stimulation ne donnait pas grand-chose et je m’attendais à quelque chose d’assez banal, mais j’ai eu un orgasme absolument incroyable. Ou plutôt plusieurs orgasmes, l’orgasme éjaculatoire a provoqué une vague de plaisir dans mon sexe, qui allait et venait sans faiblir, je laissais aller et ça continuait, des sensations qui se promenaient tout autour du bas-ventre, provoquant un orgasme prostatique pas très long, puis un deuxième. Dans le même temps j’appréciais la descente liée à l’éjaculation, ça n’en finissait pas, des flux de plaisir qui me parcouraient, ça a duré une minute, deux peut-être, me laissant ensuite dans cet état où je suis parfois après l’amour, un peu ailleurs, sur un petit nuage, des petits pics de plaisirs venant me picoter régulièrement pendant plusieurs dizaines de minutes, alors que j’avais repris des activités bien plus terre-à-terre. J’aurais pu repartir si je n’avais pas eu des choses à faire, mais la vie du travailleur est ainsi faite.
Demain, je tente l’orgasme de la nuque 🙂
4 mai 2023 à 19 h 09 min #45819bzo
Participantest-ce que ça te parle, ces différents “paliers” ?
pas trop, j’ai lu le Traité, en diagonale,
pas pour moi, même si je le respecte totalement
et le recommande , en priorité, pour débuter,
comme il a déjà permis à beaucoup de gens d’accéder au plaisir prostatique,
cependant, il faut avoir conscience qu’il y a d’autres moyens d’y arriver
et que la méthode du Traité , ne convient pas à tout le monde
Effectivement je sens que je suis encore dans une phase de découverte et je me promène là-dedans avec étonnement et curiosité. Je me concentre sur une zone ou une sensation, je reste dessus et sur le connu pendant une période qui peut être assez longue, et puis un jour, sans que rien ne me le laisse présager, quelque chose me pousse à aller un peu plus loin.
et tu as cent fois raison d’y aller à ton rythme et d’explorer selon ton désir, selon ta curiosité
Et bref, pour la stimulation pénienne que j’associe décidément à l’orgasme clitoridien chez la femme
il y a de cela, en effet, je comprends tout à fait ce que tu veux dire,
dans le contexte d’une pratique où l’on amalgame allègrement les ondes, prostatiques, péniennes, anales
et de tout le reste du corps,
comme je le fais, aussi
les différents types d’ondes, ce sont, pour moi, dans ma façon de pratiquer, des ingrédients que je mélange,
pour obtenir une palette infinie de sensations, en nuances comme en intensité,
je me fais l’amour, je peux ressentir, ce que j’ai envie de ressentir,
tantôt, j’accentue la sensation de pénétration avec des contractions qui sollicite la prostate,
tantôt j’accentue la sensation de volupté, un peu partout,
en frottant mes cuisses contre mes génitaux, en ondulant,
et les vagues de volupté m’emportent comme si j’étais caressé, manipulé, léché, irrésisitiblement
je varie les colorations, les nuances, sans cesse,
j’improvise, mon corps m’inspire,
j’associe des ondes montant des cuisses à d’autres venant d’ici ou de là,
bref, les combinaisons sont sans limites,
je joue avec moi-même, je n’ai aucun tabou,
le désir règne à tous les niveaux, sans restrictions,
me sens , en même temps, homme et femme,
mon corps, dans ces moments, est sexe tout entier, du bout des cheveux, du bout des ongles,
jusqu’au fond de l’âme,
le moindre geste, le moindre mouvement, la moindre position, tout génère des ondes,
tout le corps participe, tout le corps dialogue,
cela prend, ainsi, je trouve, encore une toute autre dimension,
une sensation extraordinaire d’être un orchestre, que la musique du désir monte de toutes parts,
l’incroyablement puissante sensation de complicité, avec son corps,
la communion, dans le plaisir, avec lui
1 août 2023 à 21 h 19 min #46259augnat
ParticipantJe me réveille tardivement.
En fait la courbe des orgasmes à laquelle je faisais référence est ici, et comme souvent j’y reviens après une période de pause relative (et je crois comprendre que tu ne reviens pas sur le forum donc ce message restera peut-être lettre morte). Bon elle est évidemment simplifiée, en même temps c’est difficile de représenter la diversité des situations sur un seul schéma.
J’y reviens car ma situation actuelle me laisse de longs moments seul chez moi en ce moment, et les sessions que j’arrive à faire avec cette tranquillité d’esprit-là sont bien plus complètes et satisfaisantes qu’une simple stimulation sous la douche, aussi longue que soit la douche. Il y a quelque jours, il y a eu cette vague de chaleur au plus fort de l’intensité, montant du ventre jusqu’aux joues, qui me laisse encore un souvenir ému.
Et aujourd’hui, donc, cette session avec plusieurs montées successives sur différentes parties du corps. Au bout d’un moment, mon corps a pris une pause, et j’avais simplement des vagues de plaisir, pas très fortes, mais infiniment agréables, je les laissais se déplacer au gré des envies, des pensées, des mains. Je suis passé par la nuque, le visage, plutôt sur le côté, le haut des jambes, le ventre, et au bout de longues minutes à ce tarif, j’ai senti une montée au niveau de l’anus, sur laquelle j’ai insisté pour parvenir à un orgasme très fort, qui s’est propagé dans tout le corps, des pieds à la tête, avec un pic d’intensité au niveau de l’anus.
(Il m’arrive d’ailleurs assez régulièrement de ressentir des titillements au niveau de l’anus, comme si mon corps réclamait un orgasme, et d’ailleurs si j’ai la latitude pour amplifier cette sensation quand ça se produit, ça vient très vite et très fort.)
Après ça, j’ai eu des vagues de plaisir très fortes, limite orgasmiques, qui se sont déplacées le long des jambes pendant un long moment encore. Je crois que ça a été le moment le plus fort de la session, psychiquement, pour moi, au-delà même de l’intensité physique de l’orgasme qui a précédé. Je ne pouvais pas retenir mes râles. Quand ça a fini par redescendre, j’ai fini par me lever, je ressentais des vagues de plaisir un peu partout, j’ai essayé de relancer la machine pendant la douche qui a suivi mais ça ne venait plus, le plaisir était là mais il ne montait plus en intensité. En tout la session a duré peut-être trois quarts d’heure. Ça fait plus d’une heure et je ressens encore des petites décharges dans les jambes et au niveau du périnée. Je pense avoir ressenti ce qui est appelé un orgasme énergétique sur la courbe. D’ailleurs, depuis, je me sens bien, alerte.
PS : si un administrateur passe par là, j’aimerais bien renommer ce post en “Orgasme du gland, orgasmes multiples”
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augnat.
2 août 2023 à 17 h 05 min #46262PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut augnat
J’ai relu tes précédents posts et tu parles de sollicitations du pénis de la prostate et de l’anus, je suppose que tout ça se fait sans accessoires puisque tu ne le dis pas, uniquement avec des caresses sur tout le corps, sexe compris.
Mes sessions ressemblent aux tiennes, mais sûrement moins intenses, par contre je ne touche pas mon sexe, j’utilise l’aneros peredise n°3 pour chauffer anus et prostate, pour elle je le manipule doucement à la main.
Les caresses sur le corps sans oublier les tétons participent à la montée plaisir global.
Ma dernière session la plus haute s’est terminée par une éjaculation, avec le recul, quand je regarde la courbe des plaisirs, j’ai fait la 3, la 5 mais jamais la 4.
Le plus délicat est de passer de la courbe 3 à la 4, donc sans éjaculer, mais à un moment le cerveau souhaite l’éjaculation et au lieu de stopper j’y vais.A+
14 août 2023 à 13 h 30 min #46281augnat
ParticipantHello,
Je suis allé lire tes posts (je les avais lus mais sans les associer entre eux). Tu as longtemps dit que tu n’atteignais pas l’orgasme par la prostate et je n’ai pas vu passer le moment où tu disais y être parvenu, mais je suppose à te lire que tu as fini par y arriver (les courbes 3 et 5 passent par des orgasmes, indubitablement). Si je ne me trompe pas, c’est chouette pour toi 🙂
Pour ma part, pas d’accessoires en effet, et en réalité je n’aime pas les massages de l’anus ou l’insertion de corps extérieurs, quels qu’ils soient : plusieurs fois j’ai eu envie de le faire, et la sensation associée a été décevante voire désagréable. Pour obtenir un orgasme anal, quand mon corps le demande (et je sens que c’est ça qui se joue, le corps veut ça et m’envoie un signal), un massage un peu ferme de la zone péri-anale associé à des contractions en rythme suffisent à le provoquer, fort, rapide (j’y arrive en moins de vingt secondes), me laissant le souffle court si je le laisse se développer suffisamment, avec parfois une sensation de chaleur quand c’est terminé.
Sinon j’ai l’impression que pour accéder à la courbe 4, il faut, en plus de l’envie de se faire du bien, la tranquillité d’esprit suffisante. Si je sais que je peux être dérangé, ça ne peut pas marcher. J’en ai eu un deuxième dans ces conditions après mon dernier post, avec des sensations un peu différentes (mais toujours ce tiraillement dans les jambes vraiment super bon). Cela dit, ma compagne ayant accepté de me faire des stimulations par caresses, ça m’a provoqué des orgasmes prostatiques très forts quand elle l’a fait, plus intenses que ceux que je me provoque tout seul, en tout cas les premiers, ou en tout cas avec quelque chose en plus (mais pourrais-je parvenir à cet état “énergétique” en sa présence ? pas sûr). Je me demande d’ailleurs comment je pourrais l’aider à accéder à des états similaires aux miens dans leur puissance pour mettre fin au déséquilibre dans la sexualité qui est le nôtre depuis quelque temps…
Vu l’état d’avancée auquel tu sembles être arrivé, tu pourrais peut-être essayer la stimulation du pénis. Personnellement j’y parviens en effectuant des mouvements plus légers et plus rapides que pour une masturbation classique, qui me font penser aux mouvements de la masturbation féminine par le clitoris telle que je me la représente. Au pire, ça ne fonctionne pas et tu éjacules, ce n’est pas bien grave. L’orgasme éjaculatoire auquel je parviens si je le provoque après plusieurs orgasmes du gland est un des plus incroyables.
15 août 2023 à 13 h 22 min #46282PetitsPlaisirs76
ParticipantSalut augnat
Au niveau de la carte au trésor, j’identifie bien 47 48 49 51.
Le 51 avec éjaculation ou pas si je décide de stopper juste avant pour pouvoir garder l’énergie et repartir pour un autre un peu plus tard.
Pas mal de contractions, je gigote beaucoup, je me masse les fesses et les jambes, depuis peu je m’écarte les fesses pour libérer un peu le pénétrant du jour. (Peredise ou petit gode ou plug ou hélix)
C’est très agréable.
A+
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