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  • #45664
    augnat
    Participant

    Depuis que j’ai eu mon premier orgasme prostatique la semaine dernière, je suis l’objet d’un véritable déferlement, un feu d’artifice corporel qui se déclenche dès qu’il en a la possibilité (et paradoxalement, je suis assez soupe-au-lait avec mon entourage). Tout-à-l’heure, j’étais accroupi pour une quelconque activité de la vie quotidienne et j’ai été assailli par une vague de plaisir venant du rectum, qui a été le prélude à une obsession qui a trouvé son aboutissement quelques heures plus tard quand j’ai pu m’isoler pour la meilleure session que j’aie faite depuis le début de mes expériences. J’ai été en transe pendant une quarantaine de minutes, dès le début, avant même le déclenchement du premier orgasme, je ne comprenais mes mouvements de caresses qu’au moment où je sentais mes mains palper les différentes parties de mon corps. Une autre partie de moi-même avait pris le contrôle, moi je me contentais de me laisser guider et de profiter sans tout comprendre. Des essoufflements m’obligeaient à faire des pauses avant de repartir de plus belle. Un truc incroyable. J’ai essayé de le faire aboutir par un Super-T, mais je n’y suis pas parvenu (je maîtrisais les stimulations presque jusqu’au bout mais mon corps a dit stop avant).

    Et bref, c’est peut-être ça qui m’a donné envie d’essayer de voir s’il n’était pas possible d’obtenir ce fameux “orgasme du gland” décrit dans un article de ce site, et donc ce soir, mon corps me chatouillait encore et après m’être isolé et avoir laissé le plaisir voguer librement sans avoir spécialement cherché à le diriger, j’ai commencé à effectuer des petites pressions régulières et rapides sur mon gland avec les doigts (cinq pressions par seconde peut-être), couplés avec des petits mouvements de rotation. Je l’ai fait sans en attendre grand-chose mais j’ai senti que ça réagissait. Ça fonctionnait mieux avec la main gauche alors je suis resté comme ça, et j’ai commencé à ressentir du plaisir au niveau du gland, puis le long de la verge, qui s’est un peu étendu vers l’intérieur de mon ventre tout en restant très localisé. Un titillement de mon pénis extrêmement agréable, avec des secousses corporelles involontaires de temps à autre. J’ai arrêté un peu, fait un nouveau tour de mes autres sensations qui commencent à devenir familières (rectum, prostate), et puis j’ai recommencé, un peu différemment, avec des mouvements de va-et-vient sur mon gland du plat de la main. J’ai recommencé plusieurs fois, différemment à chaque fois, au feeling encore une fois (je me souviens d’avoir étendu le mouvement à l’ensemble de mon pénis, avec des mouvements de va-et-vient mais une pression bien plus légère que pour une masturbation traditionnelle), et mon corps en redemandait, en redemandait encore. J’ai eu plusieurs orgasmes, je crois, avec des vagues de plaisir qui s’étendaient de la zone pénienne à l’intérieur, tout près, et je me suis demandé si ma prostate jouait un rôle parce qu’à l’intérieur, près de la zone pubienne, mes sensations étaient très semblables à ça, en plus léger, mais les picotements de la zone génitale rendaient ça très différent. Pas vraiment de perte de contrôle, mais quelque chose de super bon, et j’avais réellement l’impression d’avoir un clitoris. J’ai presque fini par en devenir nerveux, parce que je n’en voyais pas la fin, je voulais arriver à quelque chose qui n’arrivait pas mais qui était quand même là quelque part et j’en avais presque assez, et j’ai fini par aller me masturber par la voie traditionnelle pour que ça s’arrête. Et j’ai eu l’orgasme pénien le plus long que j’avais jamais eu. Plusieurs dizaines de secondes à ressentir les secousses, un climax long suivi d’une descente très lente, très agréable. Un super-T peut-être ? La prochaine fois, j’essayerai le “stop-encore” préconisé par le traité.

    Dans l’article qui en parle, l’auteur émet l’hypothèse que le préalable à un tel orgasme est d’être exténué par plusieurs éjaculations récentes. J’apporte donc ma pierre à l’édifice : je n’avais pas eu de rapport sexuel depuis une semaine, et le jouet vibrant, donc, n’est pas indispensable pour y parvenir. Cela dit, j’ai remarqué dès mes premiers essais prostatiques que j’arrive facilement à cloisonner plaisir sexuel traditionnel et plaisir prostatique, ce qui certes n’est pas le cas de tout le monde. Je me rends bien compte que je n’emprunte pas les voies “traditionnelles” et je me demande où tout ça va m’emmener. J’espère en tout cas que mon retour d’expérience pourra être utile à certains.

    #45665
    bzo
    Participant

    bien, bien,

    je vois que cela marche plutôt bien pour toi, bravo

     

    tu découvres que tout notre corps est un organe sexuel, en fait

    et puis que ta prostate est un peu partout,

    que ton pénis est un peu partout

    et qu’il suffit de se toucher la peau, parfois,

    pour être enflammé de partout

     

    tu as réussi à libérer les énergies en toi,

    en un temps record,

    profite-en bien, désormais

    et laisse parler ton imagination,

    le bac à sable t’est grand ouvert,

    ton corps t’attend pour de sacrés moments

     

    personnellement, j’évite les contacts des génitaux avec la main

    mais chacun fait comme il le sent

     

     

    #45666
    bzo
    Participant

    j’allais rajouter au dernier paragraphe

    mais il n’y a plus moyen

     

    personnellement, j’évite systématiquement les contacts des génitaux avec la main,

    j’utilise les cuisses à la place,

    on obtient avec,

    des sensations bien plus fines, plus riches et plus variées, je trouve

    et puis on ne se sent pas le besoin d’aller jusqu’à l’éjaculation,

    avec un peu d’entraînement, pas du tout même,

    on parvient à bien mixer avec des ondes prostatiques,

    en synchronisant avec les contractions des muscles du périnée

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