Mots-clés : 

20 sujets de 241 à 260 (sur un total de 580)
  • Auteur
    Articles
  • #40238
    bzo
    Participant

    mes contractions sont comme des coups de pompe dans mon bassin,
    je sens, un instant, comme un immense et sans fond puit, en moi,
    cela s’amorce, les énergies commencent à monter, à se déverser,
    un flux de vagues s’installe, me balance de plus en plus,
    je glisse, je fond, je suis emporté

    cela devient une danse généralisée, une danse soyeuse,
    je n’existe plus, il n’y a plus que des sensations partout,
    une harmonie tournoyante, un carrousel, un chant, une délicieuse sauvagerie,
    comme je me sens animal, comme je me sens en feu,
    comme je me sens poussière chaude tournoyant dans la lumière

    comme je sens tout, de partout, oh comme je sens,
    je suis traversé de chaleur de toutes parts, traversé de veines de lave,
    je me sens vibrer du plus profond des entrailles,
    je sens le ciel sous ma peau, je sens le soleil sous ma peau, je sens les nuages sous ma peau,
    je sens la mer calme, majestueuse, sous ma peau,
    tellement de douceur et de puissance en son sein, en mon sein,
    comme une immense caresse sans fin qui entraîne toujours plus loin,
    je roule bienheureux, riche dans l’instant, de tout le plaisir du monde

    #40239
    bzo
    Participant

    tiens, @modeyin
    je suis curieux, tu peux un peu décrire ta façon de pratiquer?

    aneroless, tu fais comment? chez toi ou un peu n’importe où?
    de légères contractions façon Traité ou alors plus puissantes?
    plutôt mécaniquement appliquées ou plus anarchiquement, évoquant un mouvement de pénétration?

    utilises-tu les mains? des caresses? si oui, beaucoup? sur tout le corps?
    plutôt uniquement les tétons?

    pratique avec masseur aussi?
    de légers mouvements, façon Traité, avec? ou alors des mouvements plus prononcés?
    évoquant un sexe en érection allant et venant?

    en mode yin? sensation d’être envahi du féminin, de prendre son pied au féminin?
    de rechercher juste à être bien dans l’instant, de vivre une communion avec son corps?

    ou alors plutôt en mode yang, plus traditionnellement donc,
    c’est-à-dire, avant tout une recherche d’orgasmes, toujours plus forts, plus nombreux et plus longs?

    #40240
    bzo
    Participant

    en fait, je crois que je t’ai déjà demandé cela, il y a quelque temps

    #40241
    modeyin
    Participant

    Bonjour @bzo

    tu peux un peu décrire ta façon de pratiquer?

    Beaucoup au feeling, à l’envie

    aneroless, tu fais comment?

    Depuis quelques mois pratiquement aneroless
    Le 7 janvier j’ai commandé le beurre de karité de @andraneros
    mais il n’est toujours pas arrivé

    chez toi ou un peu n’importe où?

    Les 2 mon colonel comme je travail tout seul
    je peux faire ce que je veux ….

    utilises-tu les mains?

    oui partout ou elles peuvent aller mais aussi mes jambes mes pieds

    des caresses?

    oh que oui

    sur tout le corps?

    de la tête au pieds

    plutôt uniquement les tétons?

    il y a des jours je peux me les caresser 50 fois

    pratique avec masseur aussi?

    J’attends mon beurre de karaté pour reprendre

    de légers mouvements, façon Traité, avec? ou alors des mouvements plus prononcés?

    au feeling

    évoquant un sexe en érection allant et venant?

    évoquer mon propre sexe en soi, j’y arrive de temps en temps et c’est divin

    en mode yin? sensation d’être envahi du féminin, de prendre son pied au féminin?
    de rechercher juste à être bien dans l’instant, de vivre une communion avec son corps?

    Si les 2 sont extraordinaires j’ai une préférence pour le mode yin
    J’ai vécu yin et yang en même temps et c’est aussi un truc de dingue

    #40242
    modeyin
    Participant

    sur tout le corps?

    Je commence par les tétons pour voir la réaction de mon corps
    j’adore me caresser les hanches
    m’embrasser aussi
    Parfois quand je me lève je continue de me caresser

    #40243
    modeyin
    Participant

    aneroless, tu fais comment?
    Le matin au réveil, après manger quand j’ai le temps et dans la journée quand c’est possible
    J’essaie de séduire ma gazelle intérieur, de faire monter le désir
    Et puis des fois j’ai rien à faire ça vient tout seul

    #40248
    bzo
    Participant

    Depuis quelques mois pratiquement aneroless
    Le 7 janvier j’ai commandé le beurre de karité de @andraneros
    mais il n’est toujours pas arrivé

    ah dommage qu’on n’est pas voisin, moi, j’en ai un kg de la meilleure qualité au frigo dont je ne me sers jamais,
    je n’utilise plus que du beurre de noix de coco plutôt, je n’aime pas l’odeur prononcé de purin du karité

    Les 2 mon colonel comme je travail tout seul
    je peux faire ce que je veux

    ah moi aussi, chez moi en télétravail depuis des mois,
    je suis nu toute la journée devant mon écran, je dois juste faire attention de ne pas allumer la webcam,
    une fois c’est arrivé, depuis elle est tournée vers le mur, au cas où je l’allumerai par accident,
    je m’en sers uniquement comme micro, en fait

    des caresses?

    oh que oui

    sur tout le corps?

    de la tête au pieds

    moi aussi d’habitude, passionnément, ardemment, je ne me lasse pas de me caresser,
    mes mains vont par-ci, par-là, explorent, fouillent, titillent, frôlent, pressent, pincent, griffent,
    mais là ces derniers jours,
    je ne les utilise plus du tout,
    j’ai envie de sentir se diffuser pour l’instant dans tout mon corps
    uniquement les ondes prostatiques et les ondes génitales,
    leur mélange, leur fusion, leurs entrelacements, leurs moments en solo,
    c’est comme un bouquet sans cesse changeant qui s’élève depuis mon bassin

    ainsi sans les ondes générées aussi par tout le reste du corps,
    j’en ressens le moindre détail, la moindre fluctuation,
    alors que quand tout le corps participe activement, génère aussi, ne se contente plus d’être juste le réceptacle,
    c’est comme un raz de marée voluptueux de toutes parts,
    j’ai envie de quelque chose de plus sobre, de plus fin et de plus ciblé, pour l’instant

    évoquer mon propre sexe en soi, j’y arrive de temps en temps et c’est divin

    ah, j’ai cela constamment, c’est absolument irrésistible,
    c’est comme si j’avais un tsunami de douceur et de chaleur veloutées qui montait dans un couloir entre mes jambes,
    se répandait dans mon bassin puis se diffusait à tout mon corps,
    il semble venir comme de l’extérieur, d’un corps étranger introduit en moi,
    qui va et qui vient en moi

    J’ai vécu yin et yang en même temps et c’est aussi un truc de dingue

    c’est cela, en fait, c’est ma définition du plaisir androgyne, en même temps masculin et féminin,
    les sensations sont, juste, parfaites, alors,
    une telle sensation de plénitude, d’épanouissement, de richesse, en soi, à chaque instant

    c’est l’état ultime pour moi, celui que je recherche constamment
    et que je cherche constamment à affiner, à pousser plus en avant,
    l’impression d’habiter totalement son corps, d’être un à nouveau
    en même temps un homme et une femme en train de se faire l’amour,
    je sens leurs deux sexes enchevêtrés, comme je les sens dans mon bassin,
    je sens leur danse animale, leur danse mystiquement animale,
    leur va et vient, leurs frottements, leurs chairs gorgés de sang, de nerfs, de peaux, de muqueuses
    qui cherchent à s’unir toujours plus
    on sent tout cela bouger, vibrer, dialoguer, s’enflammer,
    intense communion avec soi-même, unique communion avec soi-même

    les sensations qui se donnent sous tous les angles en même temps,
    dans toute la richesse et la diversité de leur gémellité genrée

    cela me fait tellement plaisir ce que tu as écris au-dessus,
    ils m’indiquent définitivement , que même si on a des façons différentes de pratiquer,
    on vit plus ou moins la même expérience très spéciale du plaisir en mode yin,
    enfin plutôt le yin éveillé qui se mêle, s’entremêle, au yang, pour être plus exact

    dans mon esprit, c’est toujours comme cela que je le vois en fait,
    quand j’évoque le plaisir en mode yin,
    c’est le yin et le yang qui s’accouplent,
    même si essentiellement on en perçoit surtout que le yin car il prend quasi toute la place
    et c’est bien normal, c’est le yin qui a toute la richesse et la puissance,
    le yang dans mon expérience, c’est surtout un détonateur
    mais le baril de poudre, c’est le yin

    une chose que je trouve dommage pour toi, c’est qu’apparemment d’après ce que tu écris,
    il t’arrive régulièrement d’avoir des périodes où la marée sexuelle soit basse
    et qu’alors tu as une période sans pratique,
    c’est un peu bizarre pour moi, je t’avoue
    car tu pourrais très bien aller éveiller les énergies pour avoir une pratique au quotidien, autant que tu as envie
    ou alors cela reflète, peut-être autre chose dans ta vie
    qui exige ces moments sans le compagnonnage intime avec ton corps

    #40249
    modeyin
    Participant

    je suis nu toute la journée devant mon écran, je dois juste faire attention de ne pas allumer la webcam,
    une fois c’est arrivé

    Hé alors ?

    c’est ma définition du plaisir androgyne, en même temps masculin et féminin,
    les sensations sont, juste, parfaites, alors,
    une telle sensation de plénitude, d’épanouissement, de richesse, en soi, à chaque instant

    Le plaisir androgyne j’adore

    il t’arrive régulièrement d’avoir des périodes où la marée sexuelle soit basse alors cela reflète, peut-être autre chose dans ta vie
    qui exige ces moments sans le compagnonnage intime avec ton corps

    C’est tout simplement à cause de mon travail
    Mais même dans c’est moment je continue d’explorer mon être intérieur, d’essayer de séduire ma gazelle
    et mon corps me le rend bien car ça donne ensuite des tsunamis de plaisir orgasmique des fois difficile à gérer

    #40250
    bzo
    Participant

    je suis nu toute la journée devant mon écran, je dois juste faire attention de ne pas allumer la webcam,
    une fois c’est arrivé

    Hé alors ?

    mais en fait, heureusement, la webcam était placée de telle manière sur mon bureau
    qu’on ne voyait que le haut de mon corps, mon torse nu et puis ma bouille mal rasée, échevelé

    mes collègues ont bien rigolé, depuis je fais attention, la webcam est toujours dirigée vers le mur
    si par hasard, elle s’allumerait sans que je me rende compte

    Le plaisir androgyne j’adore

    c’est mystérieux, splendide, cette histoire d’androgynéité vécue durant les moments d’action,
    on couve cela secrètement toute la journée au fond de soi, on fait croître cela peu à peu,
    et puis cela se déploie durant la séance comme un papillon qui sort de sa chrysalide,
    coloré, chatoyant, frémissant, volant splendidement un peu dans la lumière

    certains diront, penseront,
    que ce sont des fantasmes qu’on se joue à soi-même, des scénarios qu’on s’invente,
    je ne sais pas
    mais c’est perçu avec une telle puissance, cela semble tellement réel,
    c’est tellement vécu à chaque instant jusqu’au profond de sa chair, jusqu’au plus profond de son être,
    que moi, cela me suffit

    parvenir à éveiller tout le masculin et tout le féminin, en soi, les mettre en mouvement,
    comme deux pierres qui se cogneraient l’une contre l’autre,
    produisant des étincelles, produisant des flammes, produisant de la chaleur,
    créant cette sensation irrésistible de se faire l’amour

    bien que cette image de deux pierres se cognant, n’est pas du tout exact, en fait,
    tellement leur enchevêtrement, leur enlacement, est souple, élastique, mouvant, fusionnel,
    sans limites précises, entremêlement intime à l’infini

    pour moi, les sensations sont comme des continents inconnus, explorables sans fin,
    c’est bien sur elles qu’il faut rester concentré,
    c’est bien d’elles qu’il faut essayer d’être le plus possible habité,
    qu’il n’y ait plus rien d’autres en nous

    quand on est débutant, celles qu’on parvient à éveiller, à mettre en mouvement,
    on en déguste qu’une petite portion,
    il y a beaucoup de gaspillage, beaucoup de perte,
    quand on est très avancé dans son cheminement, la perception de chaque sensation est optimisée,
    on parvient à faire plus, avec moins, beaucoup moins,
    chaque sensation est pressée comme un citron et on parvient à en extraire la moindre nuance

    mais surtout, les sensations, n’ont pas de sexe, ont ainsi les deux,
    le plaisir androgyne, telle que je le vis et tel que tu le vis, semble-t-il,
    c’est goûter à la fois aux nuances masculines et aux nuances féminines possibles,
    bien qu’on ne perçoit, encore une fois, surtout les féminines,
    tellement celui-ci est plus puissant, plus prédominant,
    une fois qu’on ouvre toutes les vannes sans rien retenir, sans aune filtration

    une sensation va passer en nous, comme une vague,
    elle a un cycle, elle va naître, elle va monter en puissance, culminer puis elle va mourir,
    il faut essayer de bien laisser chaque temps de la vague s’exprimer,
    quand on est débutant, on ne commence à la déguster que quand elle est au point le plus haut de son cycle,
    une fois qu’on est bien avancé, on commence à la goûter dès ses premiers frémissements,
    et puis on la suit tout le long de son parcours,
    on ne la lâche plus pour en déguster le moindre changement de nuance, la moindre évolution,
    jusqu’à sa fin où elle meurt de sa belle mort

    mais aussi donc, la sensation est fondamentalement androgyne, elle a les deux sexes,
    parvenir à déguster cette dualité de genre,
    c’est la goûter dans son entièreté, sur tout son spectre,
    elle peut exprimer ainsi tout son potentiel, sans plus aucune limitation de genre,
    tout sa palette peut passer en nous

    ainsi la vague progresse en nous, on la perçoit en même temps au masculin et au féminin,
    ces aller-venues genrés dans les nuances, les colorations,
    ces glissements subtils du féminin au masculin dans la perception,
    cette malléabilité sans frontières, de notre sensibilité, dans ces moments-là,
    décuplée au-delà des limites de notre identité sexuelle,
    confèrent aux instants cette irrésistible richesse,
    créent cette splendide sensation d’épanouissement, de plénitude, dans l’instant,
    de communion totale avec son corps

    #40251
    modeyin
    Participant

    mes collègues ont bien rigolé

    Tu m’étonnes
    Comment fais tu pour éveiller ton féminin en toi ?

    #40252
    bzo
    Participant

    Comment fais tu pour éveiller ton féminin en toi ?

    cela part toujours d’en bas chez moi, je n’ai plus grand chose à faire,
    il me suffit juste d’un petit mouvement dans le bassin, une petite contraction,
    cambrer les reins, changer de posture, u n léger mouvement langoureux, etc
    et déjà je bascule, cela part sur les chapeaux de roue

    après je peux enchaîner en me caressant les seins ou ailleurs ou pas du tout
    faire n’importe quoi en fait mais des gestes comme d’un acte sexuel avec moi-même
    mais l’étincelle initiale, c’est toujours dans le bassin

    plus concrètement, j’avais déjà évoqué cela il y a longtemps comme exercice à faire, tu t’en souviens sans doute,
    le mouvement de base,
    c’est ce mouvement qu’on fait lors de la pénétration avec le bassin,
    comme si on poussait notre sexe dressé vers l’avant pour entrer en la femme (ou l’homme)
    et qu’on fait avec des aller-retours,
    ce mouvement, le faire juste tout seul debout, assis ou couché, ne suffit pas
    pour qu’il devienne vraiment efficace, il manque encore un élément primordial,
    la contraction dans la zone de l’anus, du périnée,
    c’est cette contraction qui va faire que le sens de ce mouvement va comme s’inverser,
    comme si ce mouvement de pénétration était effectué vers l’intérieur, vers soi,
    du dehors vers en soi, remontant en nous,
    nous donnant l’impression qu’on est pénétré,
    qu’on pénètre et en même temps, qu’on est pénétré

    avec un peu d’entraînement, on sent très bien cela, ce que je décris au-dessus,
    donc le mouvement de pousser en avant son sexe dressé pour pénétrer, avec une contraction en même temps,
    le reste n’est plus qu’un question de motivation, il faut y croire,
    y mettre toute son ardeur, toute la sensualité dont on est capable,
    avoir l’impression qu’on déploie la même panoplie sexuelle que quand on fait l’amour avec quelqu’un d’autre
    sauf qu’ici, ce quelqu’un, cela va être soi-même, on apprend ainsi à se pénétrer soi-même,
    à se faire l’amour à soi-même

    rien qu’en faisant tout ce que je décris au-dessus,
    cela va éveiller le féminin en soi, tu vas passer en mode yin automatiquement, de plus en plus
    cela va se faire, il suffit de s’exercer, je le certifie

    autre chose, ce mouvement dans le bassin, il acquiert une richesse étonnante
    si on commence à mélanger les ondes prostatiques et les ondes génitales,
    rien de plus facile, les contractions dans la zone anale et le périnée, ce sont les appels vers la prostate
    et puis les cuisses qui se serrent contre les bijoux de famille, les frottent, les pressent, un peu, pas trop,
    cela va être les ondes génitales,
    il faut juste apprendre à bien doser

    ce double mouvement est tellement facile à combiner,
    une fois qu’on le maîtrise bien,
    il devient tellement facile à tout instant d’amalgamer ces deux types d’ondes,
    on parvient d’instinct à les doser de plus en plus, selon notre envie,
    y injecter plus de prostatique ou plus de génital

    les deux types d’ondes ont des caractéristiques bien spécifiques
    qu’il est particulièrement intéressant de combiner pour obtenir un nouvel alliage d’ondes
    qui acquiert certaines caractéristiques, de l’un comme de l’autre,
    je ne vais pas m’étendre dessus, je l’ai déjà décrit dans le passé
    mais pour résumé, les ondes génitales,
    sont plus brèves, plus multi-directionnelles, plus aléatoires, plus porteuses de volupté, de sensation de jouissance,
    elles se répandent facilement à tout le corps en quelques instants, comme une traînée de poudre
    alors que les ondes prostatiques, elles ont tendance à monter vers le haut,
    s’écartant au fur et à mesure en faisceau, elles sont plus puissantes, plus porteuses de jouissance, d’extase, d’orgasmes
    mais les nuances sont plus difficiles à obtenir,
    alors qu’avec les génitales, cela vient plus rapidement, il est plus facile au début de les faire varier,
    et donc la combinaison des deux, permet d’obtenir toutes sortes de nuances variées à l’infini,
    c’est tellement incroyable à vivre,
    chez moi, la sensation de jouir, s’installe après quelques secondes et ne me quitte plus

    cependant la combinaison des deux types d’ondes, si cela a d’énormes avantages, a aussi des désavantages,
    pas possible, par exemple, d’obtenir avec des orgasmes prostatiques,
    pour cela, il faut garder les cuisses écartées, qu’il n’y ait plus de contact pendant un certain temps avec les organes génitaux
    et ainsi n’avoir qu’un flux d’ondes prostatiques pendant tout un temps,
    ainsi je parviens désormais à obtenir des orgasmes prostatiques d’un type très différents des orgasmes prostatiques en mode yang,
    c’est nouveau, j’y parviens enfin, cela faisait longtemps que je cherchais cela

    ces orgasmes purement prostatiques en mode yin, c’est quelque chose,
    je commence seulement à les découvrir, à les vivre, avant je n’y parvenais pas donc,
    c’est le parfait équivalent de l’orgasme féminin, obtenu dans cette façon de pratiquer,
    ils viennent couronner des crescendos lumineux en soi où le corps part de plus en plus en roue libre
    et finalement cela explose de façon tellement splendide
    ce sont des moments juste indescriptibles comme je n’en avais pas encore vécue jusqu’ici

    #40255
    modeyin
    Participant

    j’avais déjà évoqué cela il y a longtemps comme exercice à faire, tu t’en souviens sans doute,

    Oui je me souviens maintenant mais je n’avais pas percuté à ce moment la
    J’ai commencé hier soir avant de me coucher debout pendant quelques minutes
    et les premières sensations sont apparues
    Je décide de continuer sur mon lit
    L’amplitude est moins importante donc on y va slow sex
    J’ai commencé à s’aliver
    mon corps a été envahi de chaleur, un léger plaisir a circulé dans mes jambes
    mon visage s’est crispé avec une légère douleur dans la mâchoire
    un mal de tête est apparu aussi assez rapidement qui est resté pendant toute la durer
    des mouvements
    Des gémissement sont venus égayer ce moment de plaisir
    A 1 heure du matin je me suis réveillé rebelote
    Et ce matin pareil
    Je faisais un truc dans le genre mais beaucoup plus désordonner
    Ca ouvre plein de perpective tout ça

    Que du bonheur

    #40256
    bzo
    Participant

    trouve ton rythme, trouve tes mouvements,
    ce que je propose, ce sont des indications impérativement à adapter à soi
    mais il y a là une manière puissante, irrésistible d’éveiller le yin en soi

    raidir son sexe vers l’intérieur, le sentir commencer à bouger,
    tête chercheuse obnubilée commençant à fouiller en soi,
    éveillant tout ce féminin endormi en nous

    c’est l’éveil magnifique, une aube qui monte des profondeurs de la chair,
    un rayonnement intense à vivre passionnément de tout son être

    #40257
    modeyin
    Participant

    En tout cas de debout mon corps demande des contractions beaucoup plus fortes

    #40258
    bzo
    Participant

    En tout cas de debout mon corps demande des contractions beaucoup plus fortes

    moi aussi, la plupart du temps, enfin je varie beaucoup l’intensité,
    c’est vraiment au feeling
    mais ce n’est très certainement pas juste des effleurements légers, la plupart du temps

    #40259
    bzo
    Participant

    ah, je n’avais pas lu que c’était debout que c’était le cas,
    moi dans toutes les positions,
    j’ai toujours effectué des contractions plutôt fortes, voire très fortes

    #40260
    bzo
    Participant

    J’ai commencé hier soir avant de me coucher debout pendant quelques minutes
    et les premières sensations sont apparues
    Je décide de continuer sur mon lit
    L’amplitude est moins importante donc on y va slow sex
    J’ai commencé à s’aliver
    mon corps a été envahi de chaleur, un léger plaisir a circulé dans mes jambes
    mon visage s’est crispé avec une légère douleur dans la mâchoire
    un mal de tête est apparu aussi assez rapidement qui est resté pendant toute la durer
    des mouvements
    Des gémissement sont venus égayer ce moment de plaisir
    A 1 heure du matin je me suis réveillé rebelote
    Et ce matin pareil
    Je faisais un truc dans le genre mais beaucoup plus désordonner
    Ca ouvre plein de perpective tout ça

    mais oui, prends ton temps pour explorer cela, il faut que tu fasses le mouvement, tien,
    que tu t’en accapares, sens-le avec ton corps, avec ton, bassin,
    cela doit être une danse dans ton bassin, une danse langoureuse, amoureuse,
    laisse le mouvement se libérer, laisse le désir s’en emparer

    n’oublie pas, le mouvement du bassin + la contraction,
    les deux parts sont importantes, il faut apprendre à jouer avec, à les sentir,
    à bien les faire se dialoguer ensemble, comme deux danseurs de tango qui s’enflamment entre tes hanches

    le mal de tête, c’est un peu bizarre
    mais en tout cas, tu as là de signes très encourageants, je dirai pour des premiers essais,
    cela va toujours plus se renforcer, au fur et à mesure que ton corps apprend à bien se lâcher avec ce mouvement,
    que tu le sens toujours plus, que ton désir va s’en emparer toujours plus
    et puis que le féminin va s’éveiller toujours plus

    essaie de bien sentir ce que j’ai décris,
    le mouvement de pénétration qui avec la contraction
    semble inverser son cours,
    comme s’il se faisait vers l’intérieur,
    mets-y toute ton envie de faire l’amour
    et sens comme cela va se diriger vers toi, en toi, que quelque chose va prendre de plus en plus de plaisir en toi
    à sentir ce va et vient, comme ton bassin va s’enflammer de plus en plus

    #40261
    bzo
    Participant

    contractions fortes ou pas,
    fondamentalement cependant, ce n’est pas la puissance du mouvement qui compte,
    je veux dire, ce n’est pas automatique, plus fort on y va, plus le plaisir va être intense,
    loin de là,
    cela devrait toujours se faire par rapport à notre désir,
    celui-ci, par moments préfère des contractions plus fortes, à d’autres plus légères, plus fines,
    à nous de bien l’écouter, de bien nous plier à lui, d’épouser son élan

    dans la manière du Traité d’Aneros,
    ils n’appliquent généralement, systématiquement que des légers effleurements, de touts petits contacts,
    voire, ils laissent complètement faire le masseur sans exercer aucune pression dessus,
    les fameuses contractions involontaires, le laissant se débrouiller tout seul

    mais c’est une autre vision tout à fait, une autre façon de faire que la mienne,
    chez moi, c’est une manière beaucoup plus dynamique, beaucoup plus active, à tout instant,
    j’ai essayé de développer quelque chose qui me donne la sensation de vivre des ébats avec moi-même, un acte sexuel,
    par moments, tout feu, tout flammes,
    à d’autres, plus calme, plus tendre, plus attentif aux plus infimes détails,
    cherchant à ressentir comme une pluie de micro-nuances

    l’action est essentiellement instinctive, mue par le désir, par les pulsions,
    l’imagination intervient aussi cependant d’une certaine façon, je le sens dans le feu de l’action,
    il est un acteur essentiel quelque part de cette improvisation érotique en solitaire,
    elle semble venir se mêler au débat sensuel, venant jouer avec le corps,
    l’aidant à improviser, l’aidant à chorégraphier tout cela,
    j’essaie de laisser le désir s’exprimer, autant que possible sans retenue,
    sans plus tenir aucun compte des frontières de mon identité sexuelle

    ce mouvement dans le bassin que j’ai décrit, il est vraiment fondamental,
    il est presque tout le temps là sous une forme ou une autre, varié à l’infini
    il est comme au coeur de l’action, pas l’unique seule source d’ondes
    puisque tout le corps peut participer, peut générer
    mais il est cependant la principale source
    malgré tout avec la génération des ondes prostatiques et des ondes génitales
    ainsi que des ondes anales que je viens y mêler aussi très régulièrement, selon mon envie,
    en allant derrière avec les doigts

    ce mouvement donc, c’est une danse hypnotique, langoureuse, dans le bassin
    où différents acteurs peuvent intervenir,
    la contraction, les cuisses se rapprochant ou s’éloignant des génitaux,
    les frottant, les pressant, les effleurant, selon les moments
    ou se tenant éloignés pour laisser la place à des ondes prostatiques uniquement ou anales ou les deux entremêlées
    mais aussi tout le reste, les hanches, les fesses,
    tout cela danse langoureusement, ondule, se déhanche, se penche, se raidit, se cabre, se balance,
    se détend, s’ouvre, se referme, se tend, se lâche, devient brutal, puissant
    ou au contraire mou, sans plus aucune résistance

    apprendre à coordonner tout cela, à les faire se dialoguer, à les faire danser ensemble,
    la prostate, par l’intermédiaire des contractions, sera constamment là,
    enfin si elle est bien rewirée, totalement en éveil,
    il faut un certain temps tout de même pour cela

    une fois que vous avez habitué vos organes génitaux à des contacts réguliers avec vos cuisses,
    ils deviennent ultra-sensible au moindre de ces effleurements,
    chez moi, c’est très développé, cette sensibilité,
    au moindre contact, aussi infime soit-il,
    j’ai déjà des ondes génitales qui bondissent de tous les côtés, emplissant mon bassin
    et en quelques secondes, tout le corps si j’insiste un peu

    le jeu dans le bassin peut se varier à l’infini,
    je peux rester des jours parfois, pour le déguster dans les moindres détails, en ressentir toute la richesse,
    à ne plus utiliser les mains, les laissant au repos

    l’amplitude des mouvements dans le bassin, tout type d’actions confondues,
    resserrement des fesses, ouvertures de celles-ci, mouvements plus ou moins alanguis des hanches,
    contractions, variété de celles-ci, plus autour de l’anus, plus autour du périnée,
    les multiples variantes possibles de pressions, de frottements, des cuisses sur les bijoux de famille,
    tout cela offrant des variations à l’infini
    qui génèrent des nuances et des colorations pouvant changer sans cesse
    et offrant un crescendo délicieux qu’on peut faire de plus en plus culminer
    jusqu’aux explosions des orgasmes

    les mouvements dans le bassin donc,
    est un mouvement en pendule à l’amplitude variant et déviant de sa course très régulièrement,
    un pendule ivre, un pendule lascif, un pendule gorgé de sensualité qui aime zigzaguer langoureusement,
    s’attarder, freiner, retenir son mouvement puis qui se lâche, s’agite un peu, frémit tout le long de sa course,
    se faisant caressant, sinueux, accomplissant des arabesques, dessinant des courbes,
    ce bassin est un pendule, est un bateau ivre, une coque qui aime se faire lécher par les vagues,
    une coque qui aime le rythme lancinant de la houle

    j’ai beaucoup d’entraînement à ce petit jeu, je peux m’y laisser aller n’importe où,
    par exemple, en pressant mes oranges le matin, debout dans la cuisine,
    je commence, je mets en mouvement, c’est très léger, on voit mes hanches bouger,
    un petit mouvement en avant, en arrière, à peine perceptible si on regarde distraitement,
    l’amplitude du mouvement est très réduit, je fais comme de très courts allers et retours,
    contraction après contraction, avec les hanches qui dansent un peu avec,
    je joue sur l’écartement des cuisses, je les laisse venir un peu se frotter à mes organes génitaux,
    je les écarte un peu, je les resserre, un petit peu plus , un petit peu moins,
    ainsi je joue constamment sur la quantité d’ondes génitales injectées,
    venant se mêler au flux d’ondes prostatiques qui lui est régulier avec les contractions

    il y a ce que je fais et ce que je sens,
    ah mes amis, ce que je sens avec tout ce que je viens de décrire,
    je suis déjà au septième ciel, mon bassin est en feu
    tandis que ma main continue de presser l’orange et que le jus coule du bec de la machine, emplissant mon verre,
    oh comme c’est bon ainsi, j’ai envie de me caresser en plus,
    la main libre se dirige vers un de mes seins,
    je commence à le palper, à en frotter la pointe,
    avec la paume, je forme comme une coque autour, je presse de plus en plus, je relâche,
    je coordonne avec mon bassin, ils entrent comme en dialogue, se répondent en sensations, en rythme,
    j’ai tout mon corps qui se met à onduler à présent,
    j’ai relâché la pression de l’autre main sur l’orange,
    je reste ainsi à onduler et à gémir de plus en plus fort

    #40267
    bzo
    Participant

    mes journées à la maison,
    tellement désormais je parviens sans restrictions à faire monter les énergies,
    tellement ma technique commence à être bien au point,
    tellement je parviens aussi à libérer le féminin et le masculin en moi,
    mes journées à la maison semblent comme un long acte sexuel avec moi-même,
    entrecoupées de diverses tâches, comme lire, cuisiner, aller aux toilettes, faire la vaisselle,
    regarder des films, aller sur internet, etc

    mais une telle sensation de continuité est là désormais
    entre les multiples moments de communion charnelle que je vis,
    cela ne s’éteint plus, je sens les flammes constamment dans mon bassin,
    je les laisse se répandre, plus ou moins, à tout mon être, selon mon envie

    le féminin, cette caresse divine en moi,
    ma chair en fleur, ma chair qui se regarde dans le ciel comme dans un miroir,
    mon corps, mon cher complice, nous nous murmurons constamment des choses ardentes, des secrets d’alcôve,
    nous sommes comme des complices, à la vie, à la mort, unis dans le même but,
    vivre l’instant, vivre intensément l’instant,
    n’être plus qu’une flamme dansante dans l’instant

    le mot, communion, est le plus approprié, communion érotique, communion charnelle, communion des sens
    mais aussi de splendides envolées mystérieuses,
    le monde autour de moi, semble comme un nid chaud, enveloppant, qui m’approvisionne, me nourrit, me berce,
    tandis que je m’enflamme, que je vis l’instant, que je danse l’instant,
    il semble venir se serrer contre moi, m’entourer tendrement,
    je semble prendre racine en lui, je semble brûler sur un autel de plus en plus

    réservoir sans limites d’énergies sommeillant en nous,
    peut-être aucun autre but réel, ici-bas, tout seul ou à plusieurs,
    que de parvenir à les vivre libérés dans l’instant, de plus en plus
    que de parvenir à vivre l’instant de plus en plus intensément,
    éternité fugace des sensations,
    éternité fugace du flux réveillé en nous

    #40274
    modeyin
    Participant

    mon corps, mon cher complice, nous nous murmurons constamment des choses ardentes, des secrets d’alcôve

    Ca va je ne suis pas tout seul à parler à mon corps
    Ce week end silence radio de moi même et de mon corps
    Lundi retour des sensations
    Lundi soir envie de me masturber quelle idée aucun plaisir en plus
    Mardi matin, respiration normale mais lente, quelques contractions ce qui enclenche l’interrupteur est le plaisir s’allume
    J’aurais pu rester toute la journée dans cet état mais il faut se lever
    Mardi midi, on recommence
    Mercredi matin et midi pareil
    Jeudi matin et midi pareil
    Et ce matin, on prend les même et on recommence
    J’ai pu enclenché l’interrupteur de fois de suite

20 sujets de 241 à 260 (sur un total de 580)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.