Mots-clés : mon amour, plaisir androgyne, prostate
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1 décembre 2018 à 0 h 26 min #31882bzoParticipant
Je clos mon Prostatomane IV, un cycle se termine pour moi,
un autre débute,
s’achève une période intensive d’explorations tous azimuts et d’apprentissage,
commence un âge d’or en aneroless pour moi,
un continent immense s’est révélé dans la brume,
c’est comme si des paroles magiques avaient été prononcées quelque part au fond de moi,
et qu’une paroi de pierre s’est ébranlée, a bougé, a révélé le passage,
j’y ai libre accès désormais et je ne me fais pas prierje ne sais pas si jamais j’écrirai un autre message dans ce nouvel journal
car comme je l’ai écrit dans le dernier message de mon Prostatomane IV,
les mots me manquent encore actuellement pour traduire ce que je vis,
je m’en voudrais de trahir la qualité incomparable de ces instants,
juste en amoncelant des épithètes
mais tout a pris de telles proportions durant mes séances ces derniers jours,
plus particulièrement ce soir
où j’ai connu mon premier super O au féminin
qu’il fallait que j’entame au moins ce Prostatomane V
pour marquer le coupme renouveler ou me taire,
pour l’instant je vais me taire,
peut-être déjà demain je recommencerais à pondre des textes, peut-être plus jamais,
on va voiren tout cas, je prends sacrément mon pied,
cela je peux l’affirmer
et je vous embrasse à nouveau bien fort2 décembre 2018 à 9 h 57 min #31887bzoParticipantc’est peut-être juste,
c’est peut-être juste le rewiring après des mois et des mois
qui est arrivé à son terme,
un rewiring adapté à mes besoins,
un rewiring adapté à mes besoins bien précis,
un rewiring adapté au récit sexuel que je voulais me raconter,
un rewiring adapté au récit sexuel que je voulais me raconter avec mon corpsle fait est que désormais la moindre petite caresse, le moindre geste,
accompagné d’un léger effleurement de mes parties génitales par mes cuisses,
me fait hurler, me fait délirer de plaisir,
m’emplit d’un torrent de volupté tellement délicieusement effectif, tellement effectivement délicieux,
je bouge un peu, les doigts continuent leur parcours,
mes cuisses continuent leur danse , enlacées étroitement à mes bijoux de famille
et les nuances évoluent, changent constamment, toujours d’une finesse et d’une précision incomparables,
imprégnant tellement vivement tout mon êtredésormais la seule ombre au tableau que je pourrais trouver à ces instants divins,
c’est que mes voisins finissent par me faire une remarque malgré l’épaisseur des murs,
mes gémissements , mes cris sont constants et hauts, sonorités langoureuses,
chargées comme des mines sonores, dégoulinant du plaisir que je visje pourrais rester ainsi des heures,
juste à me caresser le corps au hasard
et laissant mes cuisses et mes parties mener leur chorégraphie langoureuse là en bas,
cela change constamment, les sensations semblent avoir des nuances à l’infini,
cela s’intensifie au fur et à mesure des minutes,
progression irrésistible,
le plaisir m’agite lascivement, me convulse lascivement, me tord lascivement
m’emporte comme un fétu de paille lascivement
et pour l’instant , à chaque fois cela s’est terminé , par ce que j’appelle, un super O au féminin,
c’est-à-dire une douce, une voluptueuse explosion dans ma chair, dans tout mon être,
qui m’éclate, qui me disperse aux quatre coins de la chambreaprès il me faut de longues secondes pour récupérer mes esprits
tout semble noyé, paralysé, par la langueur, en moi
par l’intensité de ce qui vient de se passer dans ma chair,
par l’intensité de ce qui vient de passer dans ma chair3 décembre 2018 à 0 h 26 min #31892bzoParticipantécrire, écrire, après l’amour, c’est plus fort que moi,
j’ai beau savoir que désormais que tous les digues se sont effondrées en moi,
que les flots coulent librement,
que je parviens à franchir toutes les limites allègrement en deux temps, trois mouvements,
que depuis grosso modo une semaine,
je suis arrivé à un stade de mon évolution où cela décolle tellement incroyablement facilement,
tellement incroyablement irrésistiblement, tellement incroyablement puissamment,
j’ai beau savoir que les mots ne peuvent plus refléter
ce que je parviens à faire durant mes séances, les résultats que j’obtiens
mais j’ai trop envie d’écrire quand même,
le plaisir me rend bavard, j’aime m’épancher sur mes ébatsl’extrême richesse des sensations, leur extrême variété ,
leurs nuances sans cesse changeantes, désormais,
leur finesse inouïe, cette intensité qui augmente progressivement, invariablement
et puis enfin ces orgasmes qui emportent tout, d’une telle puissance,
plus rien ne semble exister en moi que cette lente implosion qui disperse ma chair pendant de longues secondes,
j’utilise le mot implosion , ce qui pourrait sous-entendre de la violence
mais non, il y a juste de la félicité, de la transe
mais à un tel degré de densité, d’omnipotence, d’omniprésence,
l’impression d’être une super Nova fourmillant d’étoiles et de couleurs chatoyantes, crémeuses,
je ne me sens plus du tout capable de restituer tout cela avec suffisamment de fidélité
mais j’ai quand même trop envie d’écrireavant j’étais plutôt content de mes images, de mes phrases,
cela donnait une assez bonne idée de ce que je vivais
mais là c’est fini, enfin pour l’instant,
il ne me reste vraiment plus qu’à m’y mettre avec la caméra,
elle seule peut restituer, je crois,
donner une idée suffisamment précise de ce que je vis durant mes séancesreste toujours le problème du floutage du visage, il me pose vraiment problème,
j’aurai tellement envie d’offrir aussi mes traits noyés dans le plaisir,
imbibés de toutes ses sensations qui habitent dans ces moments tout mon êtrepersonnellement, j’adore ces moments
où la caméra d’un film X avec des gens qui font vraiment l’amour (la plupart du temps les fabrications artisanales),
au lieu de gros plans sur les sexes, sur les corps,
s’attarde sur le visage de la femme,
qu’on peut lire le plaisir sur son visage,
toutes les nuances de son plaisir se lisent sur son visage
et c’est délicieux et c’est bouleversant et c’est beauje sens mon visage pareillement habité durant mes séances
et j’aurai vraiment envie d’offrir cela aux personnes avec lesquelles je partagerai cette vidéo
mais en même temps je sais qu’une part de moi est pas mal naïve,
qu’elle tient pour acquis que parmi les gens que je connais,
tout le monde a l’esprit ouvert et est tolérant, ne serait pas plus choqué que cela par ce genre de vidéo
et ce n’est pas vrai , bien sûr, ils ne le sont pas tous,
surtout sur mon lieu de travail, il y a quelques sacrés gros connards sur mon lieu de travail,
je ne sais pas comment réagiraient beaucoup de gens dans mon entreprise,
même parmi des gens que j’apprécie
si on découvrait que j’ai fait cette vidéo,
même s’il y a très peu de chance pour que cela arrivec’est un peu un dilemme, assez bloquant d’ailleurs pour l’instant,
d’un côté j’aurais vraiment envie de partager mon bonheur, ma chance,
le petit miracle que je vis dans ma chair quotidiennement,
surtout maintenant que cela a pris des proportions tellement démesurées, tellement dantesques,
montrer un peu comment j’y arrive, comment je me fais l’amour,
car comme ma pratique est dynamique, il y a pas mal à voir,
je ne reste pas immobile comme une planche avec juste un peu le bassin qui bouge,
non c’est toute une chorégraphie lascive, sensuelle, animale, dans mon lit
où le désir me mène par le bout du nez,
où le désir m’entraîne, me fait se convulser par moments, me fait se tordre de plaisir,
me fait se pâmer,
avec beaucoup de mouvements, beaucoup de caresses
et puis mon visage aussi que je sens très expressif, très habité par tout ce que je ressensmais d’autre part, j’ai quand même cette appréhension, même si la chance est très minime,
le risque n’est pas inexistant que si je mets à disposition de quelques uns sur le forum cette vidéo,
qu’elle se retrouve finalement sur quelque site plus grand public
et qu’une personne de mon entourage professionnel tombe dessusje suis toujours en train d’y méditer, de peser le pour et le contre
mais de toutes les façons, je m’y mets au mois de janvier, déjà je vais faire une vidéo,
on verra après pour la mise en partagede moins en moins de gens par ici ces derniers temps,
pas drôle ça3 décembre 2018 à 23 h 15 min #31907bzoParticipantdes forces de plus en plus puissantes s’éveillent en moi tellement facilement,
est-ce que cela me fait peur?
est-ce que j’ai peur de perdre le contrôle?on a lu par ici des récits assez effrayants de gens qui aussi étaient parvenus
à libérer toutes les soupapes en eux
mais qu’après cela débordait, cela leur jouait des tours,
cela devenait douloureux, envahissant,
bref que le paradis sur terre s’était transformé en cauchemar pour euxnon, cela ne me fait pas peur un seul instant,
ce sont tellement d’autres types de mécanismes que j’ai mis en oeuvre,
j’ai besoin de certains gestes, de certains mouvements comme déclencheurs,
sans cela rien ne se passeainsi au boulot aujourd’hui, profitant d’un moment plus calme devant mes ordinateurs,
je glissais discrètement une main sous ma chemise,
serrait les cuisses, les ait frotté un peu contre mes parties
tandis que je fis remonter lentement une contraction,
immédiatement une telle vague de volupté m’a envahi
que j’ai du me retenir de toutes mes forces de crier, de gémir,
j’enlevais la main et j’arrêtai tout mouvement
mais c’était trop tard, la vague a démarré , a continué sa course
et elle a bien roulé pendant une bonne quinzaine de secondes
durant lesquelles, j’ai du faire un gros, un très gros effort
pour ne pas gémir, ne pas criermais sans ces déclencheurs, rien ne se passe chez moi,
juste je sens le féminin au fond de moi quelque part,
là j’ai juste besoin de me concentrer un peu sur mon intérieur
pour la sentir, pour sentir cette espèce de nappe phréatique de forces vives,
de forces originelles de la vie, de sensualité première, de volupté infinie
qui dort en moi,
je la sens à peu près constamment en moi,
prêt à entrer en action,
prêt à noyer dans le délire ma chair, tout mon être en fait
comme c’est merveilleux de passer ainsi sa journée avec ce trésor secret en soi
prêt à lever les plus délicieuses et les plus douces tempêtes imaginablesj’ai juste besoin d’effleurer un peu ma peau, de serrer un peu les fesses
et déjà cela se met à vibrer de toutes parts en moi3 décembre 2018 à 23 h 40 min #31908luckyParticipantBonjour,
Je ne peux pas contrôler parfois. Mais j’ai appris à faire passer des vessies pour des lanternes.Exemples :
* Sur la plage, je ne peux pas m’allonger et me détendre, sinon les spasmes arrivent. Et cela se voit comme un nez au milieu d’une figure. En fait, cela ne se voit pas vraiment :
– d’abord parce que les autres ne passent pas leur temps à me fixer
– ensuite parce que j’agis en changeant de position par exemple et le spasme disparaît dans le mouvement de mon corps.* J’adore l’eau. Je me baigne dans de l’eau même fraîche. Je me mets dans le Gardon et alors l’eau fraîche sur mon corps, mes tétons qui se mettent en érection, et un spasme, et un autre, je plonge pour crier dans l’eau ! Sous l’eau, on ne peut pas m’entendre….
* Mais l’air fait pareil. Un petit courant d’air se lève et je sens l’air sur mon corps. De ma serviette, je me lève et marche parce que si je reste il y aura un orgasme.
* Une amie, lors d’un dîner entre amis, passe à côté de moi et son sein me frôle. Hou là ! Je suis parti vite en d’autres lieux pour calmer le jeu.
Mais des fois je ne peux pas faire passer des lessies pour des vanternes… alors :
* A l’hôpital, je me fais opérer. Je suis en réanimation. Plein d’infirmières. Je vais bien, je me détends et paf un spasme, deux… soudain 3 infirmières autour de moi : ”
– Ca va Monsieur ? Qu’est ce qui vous arrive ?
– Ca va, je vais bien. Ca va.
– Cela vous arrive régulièrement ?
– Oui, oui, tout va bien ! ”
Bon là c’est dur parce qu’en étant à l’hôpital, je suis forcément dans un lit, à me détendre, à me reposer et là, ça ne fait pas un pli. L’orgasme arrive !Voilà quelques exemples des difficultés toutes relatives qui attendent celui ou celle qui jouit tout seul.
Bonne nuit à tous
Julie4 décembre 2018 à 0 h 07 min #31911bzoParticipantVoilà quelques exemples des difficultés toutes relatives qui attendent celui ou celle qui jouit tout seul.
hé, hé, dur parfois la vie d’artiste en auto-érotisme
* J’adore l’eau. Je me baigne dans de l’eau même fraîche. Je me mets dans le Gardon et alors l’eau fraîche sur mon corps, mes tétons qui se mettent en érection, et un spasme, et un autre, je plonge pour crier dans l’eau ! Sous l’eau, on ne peut pas m’entendre….
* Mais l’air fait pareil. Un petit courant d’air se lève et je sens l’air sur mon corps. De ma serviette, je me lève et marche parce que si je reste il y aura un orgasme.
cela j’imagine très bien, une fois que je suis excité, que je suis lancé, je deviens aussi sensible au moindre mouvement, au moindre frôlement,
c’est splendide de vivre cela, tout notre corps devient un organe sexuel
prêt à s’enflammer au moindre soupçon de contactA l’hôpital, je me fais opérer. Je suis en réanimation. Plein d’infirmières. Je vais bien, je me détends et paf un spasme, deux… soudain 3 infirmières autour de moi : »
– Ca va Monsieur ? Qu’est ce qui vous arrive ?cela ne risque pas de m’arriver,
avec le système que j’ai développé lentement au fil des mois,
il me faut vraiment plus grand chose pour immédiatement désormais être dans tous mes états
mais sans ce pas grand chose, rien ne se passe heureusementc’est bien précis en fait,
il faut qu’il y ait simultanément un effleurement par mes cuisses de mes bijoux de famille,
une contraction qui remonte un peu en moi
(cela fait vibrer ma prostate et en même temps me donne la sensation de pénétration)
et puis au moins un doigt ou deux qui jouent un instant sur ma peau,
je fais ces trois actions simultanément, je ne me contrôle presque plusen fait chacune de ces actions séparément est déjà suffisante pour déclencher des effets
mais pour atteindre immédiatement la pleine puissance, j’ai besoin des trois en même temps,
en tout cas au début,
une fois que je suis bien excité,
je peux faire à peu près n’importe quoi,
juste rouler dans mon lit par exemple,
me frotter la jambe, ou respirer un peu fort,
me lécher avec la langue, juste bouger en fait, est déjà assez, une fois que je suis bien excitéc’est tellement merveilleux tout cela,
de pouvoir vivre de pareilles choses,
homme , on était prédestiné aux érections, aux éjaculations,
peut-être quelques fantaisies à côté de celaalors que là ce que je vis, en est aussi éloigné que possible
et quels flots de volupté, quelle félicité dans la chair, dans la tête,
rien que d’y penser,
j’en frissonne de la tête aux pieds,
c’est assez magique tout celaet puis pour toi, @Julie Armandine,
cela a bien sûr encore une toute autre dimension,
cette féminité éveillée comme pour @envole,
elle t’a permis de te révéler à toi-même,
de comprendre ta nature,
tu veux la vivre au quotidien, dans ton quotidien,
je trouve cela splendide et très courageux5 décembre 2018 à 10 h 01 min #31922bzoParticipantquelle séance encore hier soir,
j’ai été emporté, roulé, roulé comme un fétu de paille par des vagues soyeuses,
c’était épique, c’était unique, c’était magiqueje m’arrêterai là , si je n’ai pas écrit hier soir immédiatement après mes ébats
comme je le faisais si souvent avant
et que je ne fais plus depuis une dizaine de jours,
c’est que je ne me sens plus capable avec les mots de donner à voir, de retranscrire assez fidèlement
ce qui m’arrive désormais durant ces moments de corps à corps amoureux avec moi-même,
de cette puissance inouïe qui semble s’être libérée ,
de cette puissance inouïe et si douce à la fête en moi,
à la fête dans ma chair d’une façon si totale, si complètequ’est-ce qui s’est passé,
qu’est-ce qui a fait que tout d’un coup toutes les soupapes se soient ouvertes en moi?
j’en ai touché déjà un mot plus haut, j’ai évoqué le rewiring,
je vais essayer d’affiner tout cela,
à défaut désormais de pouvoir produire ces petites scénettes sexuelles
que j’aimais tellement composer à chaud après mes ébatsle rewiring, donc, j’ai ma théorie là-dessus,
je crois qu’il ne cesse jamais, qu’il évolue sans cesse en nous,
ainsi si on arrête un certain temps, tel un athlète de haut niveau,
il nous faudra une période pour retrouver nos sensations, nos automatismesle rewiring est vivant en nous, il fait partie de notre évolution,
ainsi quand il y a un bon mois,
la dernière pièce majeure de ma technique s’est mise en place,
à savoir un ralentissement des gestes, des mouvements,
une lenteur langoureuse, voir des arrêts complets pendant de longs instants
pour déguster, se sentir submergé,
tout cela permettant à ce que j’appelle, la grande oreille, d’être bien en place,
une écoute optimisée de ce qui se passe en nous,
la moindre sensation résonnant avec une acuité précise, vive
comme dans un immense hangar où le moindre bruit va résonner, être amplifié
et pourra s’entendre à la rondeaujourd’hui je n’y pense plus, c’est parfaitement intégré,
mon corps contrôle à nouveau totalement le rythme, la vitesse,
de mes gestes, de mes mouvements, de mes caresses, de mes contractions, etc,
il a parfaitement assimilé cette lenteur assumée, ces ralentis interminables
et même si cela s’accélère de temps à autre,
qu’il y a des moments de frénésie, des galops,
c’est jamais bien longtemps,
le rythme général est lent, lascif à souhait, permettant d’être bien à l’écoute,
totalement à l’écoute de ce qui s’éveille en moile terrain ainsi était devenu favorable pour que le rewiring évolue soudainement très fort
et me permette d’avoir ce décuplement des sensations,
comme si tout d’un coup, toutes les soupapes s’étaient ouvertes
et que les sensations semblent avoir acquis une puissance sans limites5 décembre 2018 à 10 h 36 min #31923bzoParticipantj’ajouterai que cet accroissement des sensations, cette soudaine libération, ouverture complète des vannes,
n’avait rien à voir avec le fait que je gardai à nouveau éloignée ma main de mes bijoux de famille,
je l’ai cru quelques instants que c’était lié
mais non, je m’étais trompé, c’était juste une coïncidencedepuis hier soir j’ai ré-intégré les manipulations avec les doigts aussi de mes parties génitales
et là aussi le surcroît de puissance est décoiffant,
l’explosivité, la verticalité que ce type de contact apporte,est tout à fait le bienvenu
et enrichit considérablementun équilibre pour l’instant semble bien en place,
le surcroît de puissance des sensations désormais
quand ce sont les cuisses qui jouent avec mes parties génitales
ou alors quand j’ai des doigts qui farfouillent dans mon A-pussy
fait qu’il y a une sorte d’équilibre, en tout cas pour l’instant,
entre ces différentes façons de solliciter le plaisir, d’éveiller des sensations,
en bas dans le bassin,
il n’y a pas, pour l’instant en tout cas,
de tentation d’avoir les doigts de plus en plus au contact des génitaux,
ceux-ci s’éloignent, les cuisses prennent le relais
et cela reste délicieusement puissant, envahissant
et surtout tellement différent,
toute cette soie, toute cette douceur chaude, frémissante, émanant de mes couilles,
c’est absolument irrésistibleet puis à l’arrière quand mes doigts vont jouer dans mon A-pussy,
là aussi c’est tellement bon, tellement divinement bon,
que les trois façons d’éveiller du plaisir en bas,
cohabitent et créent une émulation très positive entre elleset ainsi je bénéficie de la formidable verticalité, explosivité, des contacts des doigts,
étonnant d’ailleurs à quel point les sensations éveillées sont différentes
quand on y va avec les doigts ou avec les cuisses,
c’est même assez diamétralement opposé,
il faudra un jour que j’étude cela de plus près, d’où peut venir cette différence si radicale5 décembre 2018 à 11 h 07 min #31924lighteningboltoParticipantA la lecture de ton journal, je suis impressionné et heureux pour toi. J’ose à peine imaginer ce que tu peux ressentir, je n’ai jamais connu de telles choses et je doute arrivé à un tel niveau un jour. En tout cas cela semble véritable magique! Je te souhaite un bon envol @bzo
6 décembre 2018 à 0 h 08 min #31935bzoParticipant@lighteningbolto, avec de la patience et de la persévérance,
tu arriveras aussi à des résultats très satisfaisants, peut-être pas les mêmes que moi
car chacun a son parcours bien à lui,
l’important c’est de persister malgré les résultats en dents de scie au débutbien se vider la tête le plus possible durant la séance,
juste se laisser aller, sentir son corps, écouter son corps,
moi, mes séances sont un corps à corps amoureux,
une partie de moi fait l’amour à une autre partie de moi,
c’est ma façon, il y en a d’autres,
j’ai la sensation de vivre mes séances au féminin, d’autres pas,
notre pratique sexuelle est un récit qu’on se raconte avec son corps
qui peut prendre tellement de formesl’important , c’est de s’inventer son propre récit
qui soit en accord avec toi, avec ton moi intime, avec ton désir,
épouser ton désir, grandir avec lui, s’épanouir avec lui,
oser, briser ses tabous,
là tu deviens un aventurier explorant tes confins, reculant ses limitesje ne parle pas d’imaginer des choses durant la séance,
c’est un récit qu’on s’invente avec son corps,
au fur et à mesure que tu progresseras, ce genre de phrase fera de plus en plus sens pour toi
quand tu percevras de plus en plus les possibilités extraordinaires de ton corps
dans le domaine de la sexualité,
à quel point c’est plus riche que juste bander, pénétrer et puis éjaculer un peu plus tard,
il y a tellement plus de richesses et d’horizons qui dorment au fond de nous,
il ne tient qu’à toi d’oser et d’aller t’aventurer hors des sentiers battus,
aux confins de toi-même6 décembre 2018 à 11 h 32 min #31939lighteningboltoParticipantMerci pour ces conseils. Certains commencent effectivement à faire echo en moi, comme épouser son désir et grandir avec lui… Pour d’autres, je pense devoir encore progresser un peu effectivement pour percevoir le sens de ce que tu expliques, notamment cette sorte de fusion en esprit et corps. Pour l’instant c’est encore très dissocié chez moi ^^
6 décembre 2018 à 20 h 11 min #31946bzoParticipantj’ai beau désormais être entré dans ce que j’appelle un âge d’or de ma pratique en aneroless,
c’est-à-dire des sensations qui étaient déjà très fortes, très variées, très riches, très tout ce que l’on veut
qui tout d’un coup car c’est venu du jour au lendemain,
se sont décuplées dans toutes ces qualités que je viens de citer,
autant dire que c’est ces sensations qui me passent par les tuyaux,
ben elles sont telles que je n’arrive plus à les décrire
tellement tout cela est devenu trop ceci, trop celacependant cela ne veut pas dire que j’ai arrêté net d’être en apprentissage,
que je suis désormais installé dans un fauteuil métaphoriquement parlant,
me contentant de gérer ma bonne fortune,
passant d’extase en orgasme, d’orgasme en extase
sans plus aucune curiosité, sans plus aucune hésitation, sans plus aucun questionnement,
sans plus aucune remise en questionune constante curiosité, une constante volonté de progresser,
curieux et avide, curieux et avide de progresser , curieux et avide de me questionner,
curieux et avide de questionner mon corps, de questionner mes abysses,
curieux et avide de me mettre à contribution, curieux et avide de repousser encore et toujours mes limitesune flamme allumée, ma petite flamme allumée,
faire danser la flamme, faire chanter le feu,
mon feu, mon petit feu chéri, ma petite flamme chérie,
cet embrasement de ma chair, de tout mon être,
tellement plein, tellement riche,
cet épanouissement de mon être durant la séance,
cette sensation tellement puissante d’épanouissement dans ma chair,
dans tout mon êtreje suis sur les bancs de l’amour, en éternel apprentissage et je m’y sens bien,
je m’embrase, je m’enflamme,
plein d’enthousiasme, je me trompe souvent allègrement
mais désormais que ma pratique a tellement décollé,
si irrésistiblement décollé,
je continue avec une patience d’orfèvre penché sur son ouvrage
à scruter, à étudier, à ciseler, à façonneril n’y a rien de définitif, tout doit rester en constante évolution,
tel le cours d’un fleuve, le plaisir passe régulièrement en nous,
jamais nous nous baignons dans les mêmes eaux
et pour garder notre pratique vivante,
il faut garder notre curiosité et notre soif de progresser, vivantes7 décembre 2018 à 23 h 45 min #31956bzoParticipantje sors d’une séance, j’ai encore le coeur qui bat la chamade
et je sens le plaisir refluer partout en moi,
il se retire, il retourne dans sa tanière,
il m’a encore rendu fou , le bougretoujours pas de scénette inspirée de ma séance, j’en brûle d’envie
mais comment restituer ces sensations?
leur réalisme, leur finesse, leurs nuances sans cesse changeantes
mais tout cela ne sont que des mots,
ils ne veulent plus rien dire pour moi actuellement,
il y a quelque temps, ils rendaient assez bien ce que je vivais
mais là,
cette volupté qui s’empare de ma chair, qui l’emporte,
cette félicité qui s’empare de moi,
non je ne m’y essaierais que si un jour je crois que je peux y parvenir sans trahir ce que j’ai vécupourtant en fait, je me rends compte que ma séance n’a pas changé beaucoup,
je n’arrête pas de remettre en question ces contacts avec mes parties génitales directement avec les doigts,
ce thème me travaille
et tant que je n’aurai pas acquis des certitudes,
cela continuera, je ne suis pas du genre à lâcher le morceaule fait est qu’il y a très bien moyen de se débrouiller sans,
la finesse, la variété des sensations devient incomparable,
aussi il y a un lent crescendo tellement délicieux, tellement régulier,
un décollage tranquille mais qui peut faire monter tellement loin,
cette sensation d’équilibre aussi, d’harmonie
entre les différents acteurs participant à la progression du plaisird’un autre côté dès que je descend les doigts au contact de mes bijoux de famille,
il y a immédiatement cette explosivité, ce démarrage vertical,
c’est tellement instantané, on est vraiment collé à son siège, à bord d’une fusée qui décolle,
aussi cette animalité, on se sent chair en train de coïter, chair en rutcependant adieu la finesse d’il y a quelques instants,
cette finesse, cette limpidité incomparable des sensations,
cette lente et régulière progression de la tension sexuelle,
là désormais c’est en dent de scie, on décolle à la verticale, on retombe,
on redécolle , on retombe à nouveaubeaucoup moins de variété aussi,
la sensation que c’est quand même beaucoup plus limité,
même si dans l’immédiat, c’est comme si on avait allumé un turbod’où l’idée d’alterner, j’y suis assez bien arrivé dans cette première séance ce soir,
délicieux, comment pourrai-je me plaindre,
j’atteins désormais de telles hauteurs dans ma chair, avec ma chair,
cependant j’en veux toujours plus,
j’en veux toujours plus car je sais qu’il y a aucune limite,
je l’ai déjà tellement souvent vécu ,
je le sais , il n’y a aucune limite,
dès lors au plus on pousse dans la bonne direction, au plus incroyable, au plus magique, cela devientdonc j’ai assez bien réussi d’alterner les moments où je cajolais
mes génitaux avec les cuisses, tantôt avec les doigts,
cela a bien fonctionné, c’était très bon,
cependant c’est quelque chose entre les deux,
cette finesse, cette limpidité sans pareilles que j’ai évoquées plus haut,
elle n’est plus tout à fait làalors je ne sais pas, je continue d’explorer,
autant j’ai immédiatement senti que dans mes micro-séances, chez moi assis à mon bureau
ou bien au boulot aux toilettes,
ou encore debout, enfin partout ailleurs hors de mon lit,
dans ces petites séances qui durent au maximum 3 à 4 minutes,
là les contacts avec les doigts étaient totalement justifiés
et trouvaient tout naturellement leur place,
il s’agit ici de lever autant de plaisir, de sensations fortes que possible
en un minimum de temps
alors que mes séances au lit, c’est autre chose,
c’est un voyage, une lente, une patiente exploration aux confins de moi-même
et là je ne suis pas du tout sûr que cette immédiate explosivité ait sa place,
plus du tout sûr en faitmon premier super O au féminin et celui qui a suivi le jour suivant,
j’y avais été uniquement avec les cuisses
mais avec les doigts dans la région, chipotant mes attributs,
je suis sûr que je pourrais obtenir des orgasmes très explosifs, très animals
en me labourant puissamment, pas forcément des galops mais puissamment,
avec beaucoup d’insistance, bien en profondeur, bien à fondcependant est-ce que je cherche? sans doute de temps à autre cela fait du bien,
bref la bonne formule est encore à trouver9 décembre 2018 à 1 h 05 min #31960bzoParticipantbelle séance d’une heure et demie environ,
long et lent crescendo,
quand la tension sexuelle en vous augmente comme cela très progressivement,
votre séance devient vraiment un voyage, une épopée,
un lent et délicieux décollage où vous vous sentez peu à peu prendre de l’altitude,
c’est tellement grisantavec chaque variation d’un geste, d’un mouvement, aussi infime soit-elle,
je ressens désormais la sensation qui change parallèlement,
cela fait un flot continuellement changeant de sensations, un kaléidoscope de nuances,
une féerie tournoyante en moi qui varie sans cesse,
il n’y a quasiment plus moyen ainsi d’obtenir la même combinaison
tellement mon écoute s’est développée,
mon acuité à tout ce qui se passe en moi
et que je perçois la plus infime nuance provoquée
par un geste qui s’accélère ou ralentit, une main qui presse un peu plus fort,
une contraction qui remonte avec plus insistance,
tout cela forme un flot de combinaisons de sensations variant à l’infinitrois façons d’éveiller le plaisir dans mon bassin,
avec toujours les contractions, c’est une constante,
elles sont le coeur battant de ma pratique,
ma prostate entre en vibration grâce à elles,
elles sont l’équivalent du masseur, des mouvements de celui-ci
mais en beaucoup plus riche, beaucoup plus variéd’abord la danse des cuisses avec mes parties génitales,
celles-là en bas, elles ne se lassent pas de s’enlacer,
de se frotter les unes contre les autres,
quelle volupté elles éveillent, quel océan de volupté m’envahit, vague après vagueles doigts farfouillant dans mon A-pussy,
sans lubrifiant, ni crème quelconque désormais,
cela racle plus, cela bouge moins et moins vite
mais il y a comme une puissance de suggestion qui reste intacte,
délicieux moments d’aller ainsi touiller là-dedanset puis bien sûr les doigts, la main au contact de mes bijoux de famille,
j’ai déjà longuement décrit les effets, instantanés,
de la verticalité, de l’explosivité, de l’animalité, en veux-tu, en voilà,
sensation immédiate, puissante de coït, de rutle problème jusqu’ici, c’est que c’est irrésistible par moments
et à d’autres moments j’ai l’impression
d’un éléphant dansant sans aucun égard dans un magasin de porcelaine,
cela a tendance à devenir envahissant et puis étouffant toute finesse, toutes les nuances,
plus de kaléidoscope des sensations,
juste des montagnes russes de plus ou moins même teneurmais cela semble se résoudre,
il semble qu’à force d’expérimenter dans tous les sens,
je sens parvenu à trouver la place de cette façon d’éveiller le plaisir
sans que cela déséquilibre la séance, l’alourdisse irréparablement en bout d’un certain temps,
l’exploiter pour ces qualités et même parviennent à varier aussi le ressenti durant ces momentsd’abord j’ai repris un peu le contrôle du rythme de la séance,
ou au moins je continue à laisser faire mon corps
mais je surveille le rythme général attentivement
et force mon corps à ralentir si c’est trop rapide,
c’était une des clefs pour une intégration réussie,
jusqu’ici je m’étais pas rendu compte que le rythme s’accélérait trop
du à l’explosivité immédiate du ressenti dès qu’il y a contact entre mes doigts et mon sexe, mes couilles,
cela s’accélérait donc,
la grande oreille tendu vers l’intérieur devenait moins efficace
et je perdais la possibilité de goûter aux nuancesje me suis forcé à ralentir donc
et cela a tout de suite payé, j’ai commencé à ressentir
que même dans les moments tellement sauvages, tellement coïtaux
de ces contacts, il y avait aussi des tas de nuancesle second paramètre qui m’a permit d’enfin obtenir une intégration très satisfaisante
ce soir et hier déjà aussi,
c’est le type de contact que je m’autorise désormais,
plus de frottements, plus de mouvements des doigts,
ceux-ci arrivent dans une certaine position,
j’en ai quelques unes que je favorise tout particulièrement
comme un doigt de par et d’autre de la verge,
pressant aussi le pubis
ou alors toute la main glissé du côté droit entre les couilles et la cuisse,
ou encore la main descendant encore plus loin , sous les bourses,
pressant le périnée, un doigt venant presser contre l’entrée de mon A-pussy, voire entrant légèrementune fois la main en position, elle s’immobilise complètement,
tous les mouvements, les frottements dans la région
seront assurés par les contractions qui remontent ou les mouvements des cuisses ou du bassin,
les sensations émanant ainsi de mes parties génitales semblent plus concentrées, de meilleure qualité,
beaucoup plus à même d’être assimilées au flux général,
dès que les doigts se mettent à bouger, je me suis rendu compte,
il y a un effet “éveil sexuel” de mes parties génitales, des sensations péniennes
alors qu’avec la méthode décrite,
ce sont des ondes mâles à “l’état pur”
beaucoup plus à même d’être exploitées dans le cadre de ma séance,
enfin c’est comme cela que je le ressens en tout casah aussi, je m’autorise beaucoup plus de contacts avec mes génitaux
quand je suis assis, debout, durant mes micro-séances,
là je trouve cela va tout à fait bien avec,
il s’agit en trois, quatre minutes, voire moins,
d’éveiller le plus de sensations possible, d’être emporté par le plaisir le plus violent possible,
un “fuck” avec moi-même, bien bestial, sur le coin d’une table ou à même le sol
ou dans mon fauteuil devant l’ordinateur,
les jambes bien écartés comme pris sans ménagementcependant j’envisage de développer des séances hors du lit au plus long cours,
avec des contacts aussi retreints qu’au lit,
car à côté de ces moments très courts de corps à corps très animal, en rut total,
debout, assis ou par terre,
j’ai envie d’essayer de développer des séances hors du lit qui durent plus longtemps,
10, 15 minutes, voire plus, on verraau lit, c’est autre chose, ce sont des voyages au long cours,
au-delà du plaisir immédiat dans la chair,
de ce extraordinaire carrousel des sensations sans cesse changeantes,
j’essaie d’atteindre des rivages lointains,
j’essaie de vivre des communions hors du temps et de l’espace en moi-même,
bref ce ne sont pas des orgasmes que je cherche
mais avant tout ces longues extases dans la chair,
cette sensation de félicité, d’épanouissement
et ces images si extraordinaires qui parfois naissent dans ma chair,
comme une fois ce pont suspendu dans la lumière
qui semblait se prolonger hors de moi10 décembre 2018 à 22 h 25 min #31998bzoParticipantj’ai décidé de me laisser aller à, d’explorer cette bestialité à l’état pur que proposent
les contacts directs de la main avec mes parties,
ce déferlement torrentiel d’ondes mâles dans mon corps
que provoque le moindre effleurement, la moindre pression,
ne fusse que d’un doigt, sur une couille ou un bout de vergetoute cette explosivité immédiate, cette puissance tellement animale,
soit je la repoussais, soit je cherchais à la canaliser, à la filtrer,
il était temps que je lui donne vraiment sa chance, que je lui donne libre accès, libre cours
et voir ce que cela donne en explorant un peu systématiquement, avec patience
vers où cela me mènevoir si ainsi il y a moyen de la faire cohabiter
avec toute cette finesse, cette sophistication, toutes ces nuances si subtiles
qu’éveillent ce autre type de contacts,
les enlacements soyeux, si voluptueux, si lascifs, entre mes parties et mes cuisses,
la délicieuse progression en crescendo que j’obtiens aussi de cette manière
qui m’a mené vers mes premiers super O au fémininou bien si trop d’incompatibilité,
alors avoir deux types bien différents de séances
ou de parties de séances,
chacun basée sur cette différente façon d’éveiller des ondes sexuelles mâlesactuellement j’ai l’impression que c’est plutôt cette seconde hypothèse qui prévaudra,
tellement je sens une fois que je donne libre accès aux contacts entre les doigts et mes génitaux,
que cela devient envahissant
et même les frottements de mes cuisses s’imprègnent de toute cette explosivité
c’est du tir de mortier, de canon,
en aucune façon de la dentelle, de la soie
comme quand je n’y vais qu’avec les cuissesil faut que je trouve un moyen de rendre cela évolutif et varié,
sinon cela ne tiendra pas la route, un canardage systématique,
cela a son charme pendant quelques minutes
mais à la longue , cela devient lassant10 décembre 2018 à 23 h 46 min #32000bzoParticipantune séance de 45 minutes à peu près,
mettant en pratique ce que je décris juste au-dessusune première partie où je laisse les contacts se faire sans aucun contrôle, sans aucune restrictions,
comme écrit au-dessus, c’est du tir de barrage au mortier lourd, au gros calibre,
c’est plaisant pendant quelques minutes
mais à la longue, cela manque de variété et il n’y a pas de réelle progression,
en forçant un peu, en se laissant aller à la frénésie,
on obtient des orgasmes
mais finalement peu intéressants car assez répétitifs et limités dans leur puissance et leurs nuancespar contre après j’ai obtenu des résultats nettement plus prometteurs
en limitant les contacts à quelques secondes,
ils sont sans aucune retenue, caressant, frôlant sans restrictions,
toujours bien secondés de contractions bien puissantes
pour bien emmêler ondes sexuelles mâles provenant de mes parties
et puis ondes provenant de ma prostate
mais je les force à ne durer que quelques secondes,
en fait je les synchronise à une longue et insistante contraction ou deux,
ainsi le corps pourra aussi s’emparer de cet enchaînement de quelques secondes,
contractions puissantes plus contact de la main sur mon sexe, mes couilles, mon périnée,
mon petit trou trou plus bas, palpitant d’excitation quand le bout d’un doigt vient le frôlercela fait effet pénétration sur-puissante,
effet super-mâle de toute la force de ses reins qui s’enfonce splendidement
allant et venant irrésistiblement dans les entrailles,
le temps d’un coup de rein ou deuxcela booste superbement, l’injection de bestial, de tellurique, est délicieux ainsi
et le restant des façons de faire,
les diverses autres types d’interventions de mon répertoire dans la fabrique du plaisir, des sensations,
continuent d’agir, d’interagir, gardent leur efficacité, ont droit au registre
il n’y a pas cet envahissement si difficile à résister
quand on laisse la main faire comme elle veut avec ses parties génitalesles résultats ont été donc, très prometteurs,
on va voir ce que cela va donner sur plusieurs jours,
cela mérite très certainement d’être exploré11 décembre 2018 à 0 h 35 min #32001bzoParticipantj’ai refait une autre séance, d’une demie heure, celle-ci,
vous pouvez me croire ou pas,
vous seriez en droit d’être un peu sceptique vu le nombre de mes volte-face sur le sujet
mais cette fois-ci j’abandonne définitivement les contacts entre mes doigts et mes génitaux
au lit durant mes séancesj’ai recommencé comme j’avais suspendu juste avant mon précédent message
puis après 10 minutes, je me suis dis “merde, il y a quelque chose qui ne va pas ici”
et j’ai arrêté de me toucher, de me frôler, de me presser, les couilles, le sexe, avec les doigts
et peu à peu j’ai senti les choses rentrer dans l’ordre,
un délicieux équilibre s’est rétabli,
les sensations sont redevenues d’une finesse sans pareille,
je sentais mon corps à nouveau chanter,
je sentais la danse en moi,
je sentais en moi le couple heureux, le couple heureux de s’étreindre et de fusionner,
comment ai-je pu les perdre de vue ainsi pendant quelques joursdonc, voilà, cette fois j’ai tranché après de nombreuses hésitations, de volte-faces,
cette fois-ci mon corps m’a envoyé des signaux sans équivoque,
par contre hors du lit,
là ces contacts ont vraiment leur place,
durant mes micro-séances
qui sont comme je l’ai décrit plus haut,
des fuck bien bestiaux au bord d’une table, par terre, debout dans les toilettes
ou assis devant mon ordinateur,
ils ne durent généralement pas plus de quelques minutes,
là ces contacts des doigts avec mes génitaux prennent tout leur senscependant je veux aller plus loin
et voir s’il y a moyen de développer une pratique sur des laps de temps plus longs
assis, debout donc, enfin dans toutes les positions imaginables mais hors du litdans le lit où c’est vraiment un autre type de voyage, un autre type d’aventure,
en quête de rives lointaines, se fondre en soi-même à la ligne d’horizon
dans une douce extase sans fin et sans cesse changeanteallez, grosses bises à tous et à toutes,
ici radio volupté, radio prostate, en direct de Bruxelles,
je rends l’antenne15 décembre 2018 à 11 h 12 min #32088bzoParticipantimpossible de résister à ce chant polyphonique de sensualité, de volupté, de lascivité qui s’élève de partout,
de mes milliards de cellules,
depuis la surface de ma peau, depuis mes ténèbres les plus profondes,
depuis mes os, depuis mon sang, depuis mes yeux, depuis mon cerveau,
de partout s’élève ce chant immémorial, cette communion intime, ce geyser de bonheur extatique de la chair,
ce geyser de bonheur extatique de l’esprit,
tout mon être tendu en un seul élan, toute ma chair vibrant sous les caresses,
sous les remontées des contractions, des ondes mâles injectées,
fleur de chair éclose, fleur de chair ouverte,
fleur de chair épanouie languidementje me pâme, je n’en finis pas de me pâmer,
insatiablement, comme un tonneau des Danaïdes, je m’emplis de ce nectar tellement voluptueux,
il s’écoule de moi à flots, il entre en moi à flots,
flux divin, frottement inlassable de toutes mes cellules,
amour, amour torride, tes eaux m’emplissent, m’inondentles contacts des génitaux avec les doigts rompent un équilibre subtil,
une trop massive injection d’ondes sexuelles mâles,
après il n’y a plus moyen de s’en débarrasser, c’est dans le circuit, on est alourdit
et même si le plaisir est immense,
il y aura un moment où on est obligé de s’arrêter
car on va vers l’éjaculation lentement mais sûrementbon , il y a moyen de contrôler et puis de se donner avant beaucoup, beaucoup de plaisir
mais c’est frustrant au possible à un moment donné de s’arrêter,
hop on a atteint la hauteur limite, il faut redescendre, la carlingue peut pas monter plus haut
sinon elle va exploseréjaculer tout seul dans son coin, c’est triste
et puis après il faut des jours pour recharger ses réserves sexuelles,
les frottements avec les cuisses, ces subtils enlacements, ne comportent pas ce problème,
on décolle lentement, progressivement, il faut plus de patience,
une extase voluptueuse comme hors du temps et de l’espace, s’installe peu à peu dans la chair
mais jamais mon sexe ne durcit sérieusement et me fait sentir qu’il aurait envie de lâcher un coup,
un équilibre subtil sur le fil du rasoir est maintenu,
on peut pomper pendant des heures si on veut, des ondes sexuelles mâles, de nos parties génitales
sans que cela soit aussi quelque part un mécanisme masturbatoire conduisant à la longue à l’éjaculation ,
obligeant de couper net notre vol22 décembre 2018 à 1 h 30 min #32153bzoParticipantje continue mon petit bonhomme de chemin
mais j’ai réussi à découpler ma pratique de l’habitude que j’avais prise
de venir écrire ici après quasi chaque séancel’impression de n’être qu’au début de quelque chose,
est devenue tellement présente, tellement omniprésente,
j’ai beau être submergé par un plaisir tellement riche et tellement varié à chaque fois,
j’ai aussi cette sensation de n’être qu’au début,
que je n’ai encore rien vu,
qu’on va voir ce qu’on va voirainsi va le plaisir, notre plaisir un peu spécial, un peu particulier,
les trésors qu’on a déterrés qui nous entraînent toujours plus loin,
que va-t-on découvrir à la fin?comment expliquer l’ineffable?
l’ineffable volupté qui envahit mes cellules, l’ineffable félicité qui envahit mes cellules?il n’est plus question de jouir, d’avoir des orgasmes ici,
il est juste question d’être là dans l’instant avec cette ineffable volupté,
cette ineffable douceur, cet ineffable frissonnement,
qui traversent toute ma chair, qui passent vague après vague dans tout mon être,un kaléidoscope magique de sensations, une incandescence irradiante à son apogée,
je brûle comme la flamme d’une bougie,
mes mains caressent ce corps qui est le mien mais qui n’est pas le mien,
des seins qui sont les miens mais qui ne sont pas les miens,
des doigts que je glisse derrière, dans mon A-pussy,
mes entrailles en fusionmes reins, ses reins, nos reins,
nos reins fusionnés, nos sexes fusionnés, son va et vient, mon va et vient
nos va et vient,
fusionnéscomme j’aime sentir la houle dans mon bassin,
toute cette houle masculine et toute cette houle féminine qui vont à la rencontre l’une de l’autre,
quelle danse joyeuse, quelle danse soyeuse,
je m’enfonce en tournoyant dans un puits de lascivité,
je suis pris au piège des mouvements d’un grand fauve,
je suis frotté de toutes parts par ses muscles si puissants, ses muscles si soyeux, en action, en mouvement,
quelle langueur dans chacun de ses gestes,
quelle tellurisme dans son souffle,
je suis pris dans son souffle, je roule, je roule,
je m’envole22 décembre 2018 à 11 h 04 min #32154bzoParticipantrésumons-nous,
si vous êtes intéressé avant tout par le massage prostatique,
la règle est et restera toujours qu’on ne s’approche pas de ses parties génitales,
on établit un no man’s land, une zone interdite qu’on respecte scrupuleusementj’ai pratiqué ainsi pendant un an , un an et demie
mais durant cette période peu à peu l’éveil , de ce que j’appelle, le féminin en moi durant la séance,
disons en tout cas, quelque chose qui fait penser à du féminin en soi,
quelque chose d’envahissant de plus en plus, quelque chose qui prend possession de notre corps
quelque chose qui modifie nos sensations, nos gestes, nos mouvements,
jusqu’à se sentir femme, entièrement femme durant la séance,
entièrement femme durant la séance caressée par des mains d’homme,
pénétrée par un sexe d’hommeet quand ce processus a atteint un certain stade,
j’ai compris que ce féminin en moi, aime les ondes sexuelles mâles,
plein d’ondes sexuelles mâles dans ses entrailles, dans mes entrailles,
plein d’ondes sexuelles mâles dans mon A-pussy,
amplifiant, magnifiant les contractions accompagnées des vibrations prostatiquestout cela formant d’irrésistibles sensations de viande turgescente, raide,
remuant dans les entrailles,
qui monte, qui descend, qui frotte, qui allume le feudès lors mes doigts se sont rapprochés de mes bijoux de famille,
mes cuisses se sont rapprochées de mes bijoux de famille
et ne s’en sont plus jamais vraiment éloignés,
même si certaines règles ont du être établies, ont du être dégagées
quand à la façon de se servir de ce second moteur en association de ma prostatece n’est d’ailleurs toujours clair à 100 pour 100,
comment se servir de tout cela,
il me semble aujourd’hui après bien des expérimentations
qu’il est vraiment difficile de mêler les contacts avec les doigts et puis les contacts avec les cuisses
des parties génitales,
même s’ils réservent des moments délicieux, puissants, magiques
quand on les utilise combinés,
l’excitation monte vite, même on plafonne, on se heurte au fait
qu’il y a une excitation pénienne aussi qui nous rapproche de l’éjaculationpersonnellement je me refuse d’aller jusqu’à là
car mon expérience m’a appris qu’après pour reconstituer les réserves sexuelles,
je ne parle pas juste des réserves de sperme, des réserves pour l’éjaculation,
non, d’énergies plus subtiles, plus en profondeur, celles associées à la prostate,
celles qu’on exploite durant la séance, qu’on essaie du moins,
pour celles-là, il faut au moins une semainede plus quand on combine donc les deux façons d’éveiller des ondes sexuelles mâles,
les contacts avec les doigts et puis les contacts avec les cuisses,
les premières finissent par envahir toute la séance
car leur explosivité, l’immédiateté des sensations qu’ils génèrent,
vont s’imposer peu à peuun éléphant dans un magasin de porcelaine,
il n’y a pas moyen de lui dire,
toi, danse juste dans ce espace où tu ne vas rien casser,
cela ne marche pas ou donne des résultats frustrants en fin de compte,
on finit par lâcher la bride
et la bête se met à tournoyer à sa guise
et renverse, tout, brise tout, écrabouille tout,
fini la porcelaine délicate,
la finesse incomparable des enlacements des cuisses avec les parties génitalesdonc désormais cela me fait deux pratiques bien distinctes,
l’une basée sur des contacts avec les doigts, l’autre uniquement avec les cuisses,
la seconde au lit, la première hors du lit,
dans toutes les positions imaginables et dans tous les endroits possibles,
même parfois au lit mais jamais couché,
plutôt assis, à genou, , à quatre pattescouché au lit, c’est réservé aux cuisses, aux longs voyages au long cours
qui exigent un peu plus de patience,
où les décollages ne sont pas verticaux
mais plutôt on dérive lentement vers l’horizon, vers la ligne d’horizon
sur des vagues de volupté d’une finesse incomparable,
d’une variété sans égale23 décembre 2018 à 12 h 21 min #32183bzoParticipantje pratique yeux ouverts ces derniers jours
ainsi, mon plaisir semble se prolonger à toute la chambre,
c’est comme si toutes les parois, toutes les distances , peu à peu s’abolissaient,
comme si ma chair enivrée, comme si ma chair délirante,
invisiblement se répandait dans toute la pièce,
le mur d’en face jouit avec moi,
le lustre jouit avec moi, le buffet jouit avec moi,
le lit, ah le lit, collé à moi, pressé contre moi, il jouit, comme il jouit avec moi,
mon bureau que j’entraperçois, il jouit avec moiyeux ouverts, tout mon intérieur en folie, tout mon intérieur chamboulé,
se rue par mes mirettes, c’est de l’extase à l’air libre,
mes sensations forment comme des montagnes russes illuminées devant mes yeux,
je tournoie comme un oiseau ivre dans les airs, je pique à toute vitesse,
je remonte à toute allure, je reprends de l’hauteur,
je redescends, quel vertige, quel tourbillon,
quelle griserie de tous les sens, quelle griserie de toutes les cellulesma chair, ma chair, que fais-tu de moi, je suis dans tous mes états, je ne sais plus où je suis, qui je suis,
je ne suis plus qu’une masse informe, une masse lascive,
en train de jouir, de jouir, de jouir24 décembre 2018 à 11 h 18 min #32203bzoParticipantpour cette matinée du 24,
je me suis offert une séance extra-longue au lit, une cuvée spéciale Noel,
le père Noel était entre mes jambes, avec ses deux rennes,
ils allaient et venaient avec leur traîneau rempli de cadeaux,
mon sapin en était tout ému, de tant de largesses,
il frissonnait de toutes ses aiguilles,
ses boules en étaient toutes remuées,
sacré gaillard , le père Noelmon petit tuyau lâchait des grosses larmes tellement il y avait de la joie partout,
mes deux grosses joues poilues en-dessous, en étaient toutes mouillées, dégoulinantes,
mes deux mains allaient et venaient inlassablement,
portant la joie dans tous les hameaux,
faisant vibrer le coeur de toutes les petites cellules,
un chant universel de bonheur s’élevait de partout, depuis le rouge sombre de mon sangla chorale de Noel était un immense cul, empalé sur un pic,
descendant lentement dessous,remuant, remuant,
les jambes bien écartées, pour mieux se sentir transpercé ainsi,
ses notes s’élevaient de plus en plus extatiques,
colonne dure, colonne vibrante, colonne frottante,
colonne, colonne, bien la sentir en soi,
bien la sentir en soi dans ses entrailles,
se frayant lentement un chemin vers les cieux,
quel chant, mes amis, quel chant de Noelah purée, je passerais bien ma journée à cela
mais il y a un dîner de famille ce soir,
et puis là maintenant, dans une heure, j’ai un rendez-vous chez le coiffeur
car ma tête devient impossible,
j’ai l’air d’être coiffé au pétard en permanence,
même les coups de peigne n’arrivent plus à y mettre de l’ordre ,
c’est peut-être à force de remuer dans tous les sens dans mon lit en mode liane lascive,
mes cheveux semblent être devenus un témoignage capillaire de tout ce désordre délicieux
de tout cette onctuosité soyeuse, frissonnante qui me passe par les entrailles25 décembre 2018 à 12 h 36 min #32224bzoParticipantje sors du lit, quelle séance, mes amis, quelle séance!
c’est vraiment Noel, quel cadeau ma chair m’a offert,
j’en tremble encore de la tête aux pieds et je suis tout éberlué, tout émerveillése sentir femme, entièrement femme durant sa séance,
c’est se sentir ouvert,
c’est n’être plus qu’une béance,
on n’est plus qu’une béance,
pas un cercle, même pas
car cela sous-entendrait des bords,
non là on ne se sent plus rien d’autre qu’ouvert, totalement ouvert,
une béance prêt à accueillir tout le nectar du mondeet il va venir, ce nectar, comme il va venir…
béance donc, une ouverture sur quoi? je ne sais pas,
juste ouvert, si totalement, si parfaitement ouvert,
plus de chair, plus de tête, plus de jambes, plus rien d’autre qu’une ouverture,
une ouverture par laquelle des choses se déversent,
oui tout de même…
plein de choses se déversent, cela n’arrête pas, on est une ouverture de puits
par laquelle des flots se déversent,
comme c’est bon de sentir toutes ces choses se déverser en vous,
cela coule sur mes parois, cela fait du bien,
cela coule de tous les côtés caressant au passage,
comme cela caresse tout ce qui se déverse,
c’est velouté, c’est soyeux, c’est chaud, c’est frissonnant,
cela se déverse en moi ,
des torrents se déversent en moi qui ne suis plus qu’une ouverture,
une immense ouverture25 décembre 2018 à 16 h 32 min #32225bzoParticipantdepuis des mois en aneroless,
je mets en place les pièces d’un puzzle lentement, scrupuleusement,
ce puzzle, c’est le puzzle du corps à corps amoureux tout seul,
il existe, je le pressentais, mes tripes, mes entrailles me le chuchotaientles gestes,les mouvements du corps à corps amoureux, je les appris,
je les connaissais déjà à deux, j’en ai exploré les dédales,
tellement délicieux nos peaux qui se frottent, nos sexes qui se touchent,
nos muqueuses, nos salives qui se mélangentalors tout seul, comment on fait?
une seul peau, une seule carcasse, un seul sexe, une seule volonté
mais l’amour est en nous, d’une richesse insoupçonnée, d’une puissance insoupçonnée,
pouvant prendre tellement d’aspects, tellement de routes,
on n’a pas assez d’une seule vie pour en explorer tous les méandresalors tout seul, comment on fait?
le fait est qu’on a le masculin et le féminin en nous,
voilà déjà un excellent point de départ,
à eux deux, ils vont faire un excellent couple,
il n’y a plus qu’à apprendre, ré-apprendre les gestes et les mouvements d’amour
qu’on connaissait avec un autre ou une autre
pour que ces deux-là en nous puissent s’exprimer à pleine puissance,
se reprogrammer, cela prend du temps mais on y arrivej’y suis arrivé et ce corps désormais exulte, ce corps s’épanouit,
ce corps chante, ce corps danse,
polyphonie extraordinaire des sens en émoi, du corps ivre,
ivre de cette dualité masculin et féminin communiant dans une même chairune différence tout de même,
dans les gestes et les mouvements du corps à corps amoureux
à deux ou tout seul,
le rythme,
autant à deux on peut laisser les choses suivre leur rythme,
autant tout seul, il faut savoir rester lent, très lent,
fonctionner au ralenti quasiment
pour que la grande oreille soit constamment là,
que l’on soit toujours à 100% à l’écoute de ce qui se passe en nous, de ce qui s’éveille en nousdès que vous vous laissez emporter par l’excitation et que vous laissez le rythme un peu trop s’accélérer,
la qualité des sensation diminue en même temps que la qualité de l’écoute,
c’est un réflexe à prendre, dès qu’il y a accélération,
dès qu’on commence à ressentir une perte de qualité due à la vitesse qui s’est un peu trop accélérée,
on reprend le contrôle et on ralentit,
c’est assez facile en fait, le corps va vite apprendre à se débrouiller tout seul
une fois qu’il a compris que c’est son intérêt,
il y a toujours un peu de latitude,
on peut se permettre beaucoup de changements de rythme même dans l’extrême lenteur assumée
mais dès qu’on a u n peu trop laisser le rythme s’accélérer,
on va commencer à sentir si on est très attentif qu’on tourne de plus en plus à vide,
que la qualité des sensations diminuent
il faut ralentir en tout urgence pour se reconnecter à pleine puissance avec ses sensationsc’est même devenu une sorte de jeu amoureux chez moi quand je suis excité,
je laisse le rythme un peu hors de contrôle et quand je sens que la vitesse a un peu trop augmenté
que la qualité commence à diminuer sérieusement,
je ralentis et là tout de suite cela repart, le moteur avec tous ses chevaux prêt à vrombir, est de nouveau là
et c’est délicieux, ces petits décrochages suivis d’un redémarrage à pleine puissance,
avec le ressenti à pleine puissance à nouveau25 décembre 2018 à 23 h 43 min #32227inviseParticipantVotre temoignage est très sympa! Je peux flouter votre visage sur la vidéo il suffit de me contacter 😉
25 décembre 2018 à 23 h 55 min #32228bzoParticipantVotre temoignage est très sympa! Je peux flouter votre visage sur la vidéo il suffit de me contacter
c’est très sympa, il faudrait vraiment que je m’y mette à cette vidéo
tiens tant qu’on y est, tu n’as pas un logiciel à me conseiller pour monter la vidéo?
26 décembre 2018 à 9 h 04 min #32237inviseParticipantFinal cut sur mac ou Adobe premiere feront l’affaire.
26 décembre 2018 à 19 h 57 min #32265bzoParticipantmerci,
j’ai un peu vérifié,
c’est pour le montage de la vidéo
mais le logiciel pour la webcam, pour filmer,
celui fourni avec la Logitech me semble assez élémentaire,
n’y a-t-il pas quelque chose de mieux tout en restant assez simple de prise en main?27 décembre 2018 à 0 h 38 min #32272bzoParticipanttant de lascivité se révèle dans la lenteur,
tant de lascivité, tant d’ondulations sensuelles, suaves,
tant de courbes caressantesen mode liane lascive au ralenti avec mes mains allant et venant,
mes cuisses frôlant mon sexe, mes couilles,
les frottant inlassablement comme dans un slow, collés l’un contre l’autrema peau tout contre ma peau, je danse, je me sens, je me frôle, je me presse,
elle vibre de plus en plus en moi, elle ondule, elle se déhanche, elle se pâme,
elle se pare de toutes les couleurs de l’arc en ciel,
nous nous envolonsse faire l’amour, ces mots me font frémir,
on évoque tout de suite en soi, les cuisses, les seins de l’amante,
on sent encore contre ses doigts la douceur humide de l’intérieur de son sexe,
on sent encore en soi ses mouvements tellement sensuels, tellement gracieux, tellement animal
de panthère feulant, de panthère embrasée par le désirnous nous sommes aimés en toi, dans ta chair,
nous avons fusionné , cela n’a duré qu’un instant
mais cet instant a plongé tellement loin, tellement profondl’ivresse nous a emporté comme sur une barque entraîné par des courants,
la volupté est un océan dans le corps,
un océan sans limites27 décembre 2018 à 7 h 21 min #32273bzoParticipant@invise
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