Mots-clés : mon amour, plaisir androgyne, prostate
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27 février 2019 à 19 h 39 min #33167bzoParticipant
hé hé ces derniers jours, je rentre chez moi en hâtant le pas imperceptiblement
comme quelqu’un qui sait qu’un programme extraordinaire l’attend à la maisonen refermant la porte derrière moi,
je suis excité comme un enfant entrant dans un magasin de bonbons
où on lui a dit qu’il pouvait prendre tout ce qu’il voulaitle magasin de bonbons m’est grand ouvert,
les rayons sont remplis de friandises splendides,
une multitude de friandises extravagantes
de toutes les couleurs et de toutes les formes,
jusqu’au plafond de tous les côtés,
qui n’attendent que mon bon plaisir28 février 2019 à 8 h 56 min #33171bzoParticipanthuit heures quart, cela fait maintenant près d’une heure et demie que je suis occupé,
que j’ai mis en route mon petit hors-bord,
mes vieilles couilles poilues joue contre joue avec mes cuisses,
se frottant les unes contre les autres, se pressant les unes contre les autres,
avec les contractions comme un piston,
venant régulièrement fendre ce mille feuille de chairs serrées,
venant régulièrement s’enfoncer comme dans du beurre
dans ce mille feuille de chairs incrustées les unes dans les autres,
dans ce mille feuille de chairs bougeant langoureusement les unes contre les autres,
dans ce mille feuille de chairs sillonnées de connections nerveuses en folieoui j’ai une addiction à cette sensation de nectar voluptueux coulant partout en moi,
oui j’ai une addiction à cette sensation de pal chaud, de pal dur, remontant en moi,
allumant une fournaise sur son passage dans mes entraillestout mon corps ondule, mes mains caressent mon ventre, mes épaules,
mes seins, mes flancs, mes hanches, mes bras,
je suis au milieu de tout cela,
au milieu de toute cette chair enivrée
comme un poisson pris délicieusement dans la nasse, tournant et tournantde quelque côté que je m’avance, un peu affolé, ce sont des filets voluptueux
qui m’enserrent, qui m’effleurent, qui me frottent, qui me repoussent
j’ai beau me débattre, je suis de plus en plus emmêlé dedans,
les frissons, le nectar, la chaleur bienfaitrice, resourçante, me retiennent prisonnier,
que puis-je faire, comment me libérer?
il faut que cela explose, que je m’échappe,
par le haut, il n’y à rien, il n’y a rien, plus de filet,
juste la divine apesanteur dans le bleu lumineux sans âge du ciel,
un ciel comme un ventre qui m’accueille dans sa chaleur nourricière
que je veux sillonner un instant, libre28 février 2019 à 19 h 35 min #33178bzoParticipantdans le quotidien quand on sent son corps, ce n’est jamais bon signe,
cela veut dire qu’on est blessé par exemple, ou maladequand on se fait vieux malheureusement , il y a l’usure du corps qui s’installe,
on commence à le sentir à tout bout de champs,
le genou avec ses problèmes d’articulation, problème de vertèbre dans le dos, etcdans le sport, on a un certain rapport à son corps,
c’est bien, cela me manque
mais avec tous mes problèmes articulaires, j’ai du renoncer à toute activité sportive
et même à mon cher yoga
où ce rapport du corps est si puissant, si développé, si poussémais avec ma pratique, le rapport au corps a pris une dimension vraiment spéciale,
une tellement puissante complicité, une tellement puissante intimité,
et puis pendant la séance,
là comme je le sens, je vis dedans, mon moi pensant est la plupart du temps en veilleuse
et je suis mon corps, je suis tout mon corps, je me sens à 100% dans mon corps vivant avec,
je suis dans ma chair, je vis dans ma chair, je suis ma chair, je bouillonne avec,
plus juste dans une tour isolée dans ma tête,
porté par mon corps comme par un vaisseau dont je suis le pilote
je redeviens animal
et je sens par moments de mystérieuses connexions au monde naturel en moi,
à la terre aussi, je sens un tel tellurisme en moi par momentssans même parler de ce féminin qui monte de mes abysses,
qui prend les commandes,
là cela devient vraiment magiquemais ce rapport que j’ai désormais à mon corps,
cette proximité, cette complicité tellement spéciale,
cela je le dois à ma pratique
parmi tant d’autres choseset puis
même les excrétions de ce corps, je les vois d’un autre oeil désormais,
tout ce qui s’écoule de mon sexe particulièrement attise ma curiosité,
j’aime goûter tout ce qui en sort, urine et puis tout le restemon urine d’ailleurs, j’aime toujours autant terminer une séance en m’aspergeant copieusement avec,
même si je ne le fais plus ces derniers temps
mais c’est plutôt par paresse, je suis trop paresseux pour enfiler l’alèse imperméable sur le lit
mais autrement j’adore,
après une séance réussie, toute la zone génitale est dans un tel état de surexcitation
que se lâcher, faire monter le liquide chaud doré,
le laisser s’écouler sur le bas-ventre, l’estomac,
procure un plaisir semblable à une éjaculation
mais pendant de longues minutes
sans compter le liquide chaud qui fait comme des petites souris courant sur la peau,
des micro-caresses délicieuseset puis même quand je m’empale sur mes doigts,
même si la plupart du temps ils en sortent propres, avant par mesure d’hygiène j’allais les laver,
depuis un certain temps, je les lèche juste consciencieusement28 février 2019 à 21 h 52 min #33179bzoParticipantje me suis mis au lit mais je n’ai pas trop insisté
malgré quelques bons moments,
je sentais bien que mes batteries n’étaient plus suffisamment chargées,
ce matin j’ai été réveillé par mes mains qui se baladaient sur mes fesses, dans ma raie
et je n’ai pratiquement pas arrêté de 7h du matin jusqu’à midije vais plutôt me réserver ce soir pour quelques micro-séances,
pour ces courts moments ultra-intenses, ultra-concentrés,
reste toujours suffisamment d’énergie
pour en vivre quelques uns de bien épiques, de bien grandiosesd’ailleurs j’en ai déjà fait une depuis que je suis rentré qui était absolument superbe,
la tête renversée en arrière dans mon fauteuil, j’étais tendu comme un arc par le plaisir1 mars 2019 à 20 h 06 min #33181bzoParticipantboulot, boulot, boulot, boulot toute la journée, vivement la retraite
et plein de temps libre à nouveau,
je suis rentré enfin,
première chose que j’ai faite,
c’est d’allumer les chauffages et de me mettre nu,
comme un drogué sans sa substance vitale,
mon vice délicieux m’a tellement manqué,
mon vice délicieux a tellement manqué à ma chair,
il était temps,
j’ai laissé un peu mes mains courir sur ma peau,
serrer mes cuisses, frotter, presser lentement
tout en faisant remonter quelques contractionssurtout caresser, caresser beaucoup,
je sentais que ma peau en avait besoin
elle semble assoiffée, desséchée, comme par une traversée du désert
comme si cela faisait des siècles qu’elle n’avait plus été désaltérée à la fontaine secrèteje commence à ressentir des frissons un peu partout,
le nectar voluptueux commence à m’irriguer, je revis,
je respire à nouveau, c’est bon, il y a encore de la vie dans cette vieille carcasse,
mon corps, ma chair, mes sens, mon coeur, mon sexe, mes deux sexes,
nous allons encore beaucoup communier ensemble, festoyer ensemble
nous allons encore beaucoup vibrer ensemble, beaucoup nous envoler ensemble2 mars 2019 à 1 h 32 min #33182bzoParticipantarf, j’ai la peau du ventre qui brûle, avec plein de traces rougeâtres
tellement je me suis griffé,
j’étais comme une chatte en chaleur
et par moments j’avais des envies irrésistibles de me grifferj’ai alterné ce soir des moments d’extrême douceur soyeuse,
de longues, de tranquilles vagues de volupté avec le corps en mode liane lascive
et puis des moments violents, explosifs, animal
où j’avais beaucoup de contacts avec les doigts sur mon sexe, mes couilles
et je laissais tout ce beau monde, ce paquet de nerfs et de muscles se tordre à loisir,
cela faisait des mouvements et des postures vraiment étonnantes par moments,
comme des sculptures modernes, des muscles en tension, en torsion,
et puis donc je me pinçais la chair, je me griffais aussi fort que possible,
cela faisait une gamme de sensations très fortes
qui formaient un contraste délicieux
avec les moments de langueur où j’ondulais, me caressais tranquillement,
laissant mes cuisses et mes couilles joue contre joue, se serrant, se frottantj’adoré ces contrastes, passer comme cela d’un moment à l’autre
à des sensations si différentes, si éloignées,
j’y parvenais avec une étonnante facilitépour ma mes prochaines séances, je me suis établi un menue à la carte,
début sans les doigts, langueur et volupté au programme,
finesse et délicatesse tout en nuances et en variationscela pendant un laps de temps variables selon mon envie, mon état de fatigue, etc,
disons d’un quart d’heure à voire, toute la séance, on verra, il faut garder une certaine souplesse
mais toute cette dentelle jouant en moi, cette fourrure vivant en moi,
offre très certainement la plus haute qualité de sensations possible
mais cela manque d’explosivité
et puis la tension sexuelle croît un peu trop lentement , à mon goût, certains jours,
je ne suis pas d’une nature très patientealors après la seconde phase, ce sera de l’alternance,
des moments avec les doigts allant puissamment au contact suivant mon inspiration
mais les doigts restant assez statiques comme je l’ai déjà décrit maintes fois,
ainsi on obtient l’effet fiche enfoncée dans la prise avec plein de courant sexuel qui passe,
qui vient se mêler au restant du flux créé par les mouvements du corps, les caresses
et puis bien sûr, la prostate éveillée par les contractionsc’est le reste autour qui bouge, les reins, le bassin, les cuisses, les contractions,
tout cela commence à se mouvoir un peu n’importe comment, grotesquement même souvent
mais c’est ainsi que c’est bon, avec des mouvements extrêmes, des gestes sans queue, ni tête
et puis les doigts qui se mettent à griffer, à pincer,
à ce stade c’est comme de jeter de l’huile sur le feu,
dépaysement assuréet puis brusquement, je me remets à onduler lascivement,
la volupté se remet à chanter partout en moi comme un chœur sensuel s’élevant de partout,
des sensations de courbes qui bougent ,
pour être honnête, ce n’est plus la même finesse, ni la même richesse que dans la phase initiale
car les contacts massifs de mes doigts avec mes génitaux,
m’imprègnent encore, ont fait augmenter la tension sexuelle sans ménagement,
toute la délicieuse sophistication, la délicate sensualité omniprésente ,
sont imprégnées d’explosivité, d’animalité haletante,
je suis trop en rut désormais
mais malgré tout, il reste toujours suffisamment de finesse, de nuances, de langueur calme ainsi
que pour former un contraste superbe,des sensations de virages à 180°
dans le type du plaisir2 mars 2019 à 9 h 55 min #33183bzoParticipantil est persistant, le bzo, il creuse, il creuse,
ce matin déjà une séance d’une bonne heure au lit,
oh combien délicieuse,
à marquer d’une pierre blanchenotre plaisir, qu’on pourrait caractériser selon moi par un graphique de ce genre:
notre plaisir est caractérisée par une double progression,
une progression verticale et une progression horizontale.Une pure progression verticale, de même une pure progression horizontale, n’existent pas,
il y a toujours un peu de verticalité,
plus ou moins de verticalité dans une progression essentiellement horizontale,
sinon elle ne décollerait pasde même qu’une progression rien que verticale, totalement verticale, cela n’existe pas non plus,
cela voudrait dire un orgasme instantané, totalement plat finalement, sans aucune réelle épaisseur, consistancealors qu’une progression totalement horizontale, sans aucune verticalité,
sous-entendrait aucune explosivité d’aucune sorte,
aucune sensation de décollageces deux extrêmes n’arrivent jamais,
moi jusqu’ici sans aucun contact de mes doigts sur mes parties mais avec tout le reste
que j’ai déjà tellement souvent décrit,
j’avais une progression essentiellement horizontale,
dans mes meilleurs jours, quand j’avais toute la patience qu’il fallait,
j’atteignais des sortes d’état extatiques,
sensation d’avoir atteint l’horizon, la ligne d’horizon,
avec souvent des images splendides , grandioses vécus dans ma chairmais ce type de progression , même si la plupart du temps je le trouve trop lent pour mon goût
et que j’y cherchais à y injecter depuis toujours de la verticalité, de l’explosivité
avec les contacts de mes doigts sur mes parties,
même sans ceux-ci donc, sans les doigts,
il y avait malgré tout une progression verticale, mais souvent trop lente à mon goût,
c’est ce que j’ai résolu ce matin,
désormais j’ai le beurre et l’argent du beurremais avant de décrire ce que j’ai fait, je veux encore parler de mes séances
où je laissais mes doigts jouer comme ils veulent avec mes parties,
ainsi je parvenais à injecter beaucoup de verticalité, beaucoup d’explosivité,
la perspective d’orgasmes devient prégnante, devient palpable
mais en fait au bout d’un laps de temps plus ou moins long, je perçois des limitations
car ainsi c’est ma progression horizontale qui est devenue à peu près morte,
continuant ainsi, j’avais désormais une progression en dents de scie,
des espèces de sauts, des brusques montées verticales dans intensité du plaisir
mais juste des sauts plus ou moins hauts, avec retombée finalement toujours,
aucune sensation de progression vers l’apesanteur, une félicité jouissive,
aucune sensation d’avoir décollé durablement
avec toujours néanmoins, il faut le préciser, beaucoup beaucoup de plaisir à la clef
mais pour quelqu’un comme moi, qui a atteint un certain niveau dans sa pratique,
ce genre de sensations, ce genre de plaisir, peut me satisfaire quelques minutes
mais il me faut du décollage,
je voulais avoir le meilleur des deux mondes,
des orgasmes, des extases, des orgasmes teintés d’extase
et des extases teintés d’orgasme,
donc un contrôle sur les deux composantes, le plaisir dans sa verticalité
et puis le plaisir dans sa horizontalitéle plaisir prostatique tel qu’on le ressent à ses débuts
quand on parvient à obtenir ses premiers résultats sérieux,
est avant tout vertical, plus masculin, disons,
avec bien sûr, toujours la composante horizontale présente
mais c’est avant tout un plaisir verticalau fond à un moment donné, quand je pratiquais avec masseur,
c’est de ce composante horizontale que j’ai pris conscience,
le plaisir au féminin joue beaucoup plus de cette composante horizontale,
celle-ci est beaucoup plus présente dans leur plaisir,
c’est un peu de tout cela que j’ai pris conscience dans ma chairaprès avoir développé autant qu’il était possible une progression horizontale
dans mon plaisir, dans mes sensations,
il me fallait y réintégrer de la verticalité, de l’explosivité,
d’où mes nombreuses tentatives avec les contacts de mes doigts sur mes génitaux,
encore hier soir
et qui ont conduit à des moments tellement délicieux, tellement puissantsmais ce que j’ai fait ce matin, c’est encore tout autre chose,
j’ai atteint une toute autre dimension dans ma pratique,
c’est peut-être le début d’une contrôle sur la composante verticale
aussi bien que la composante horizontale de mon plaisir,
je suis en tout cas parvenu , sans les doigts, à injecter autant de verticalité que j’avais envie,
vers la fin je jouais des deux composantes de plus en plus, un début de contrôle en quelque sortecomment ai-je fait?
sans les doigts donc, ils restent complètement éloignés de mes parties,
ce sont toujours les mêmes acteurs en fait, mais utilisés différemment,
à savoir mes parties génitales, mes cuisses et puis les contractions,
les cuisses sont tout contre les parties mais immobiles
et puis les contractions sont sur-puissantes,
voilà c’est tout
mais ainsi j’ai obtenu une explosivité tout aussi puissante qu’avec les doigts
mais tout en gardant totalement toute la finesse, toute la sophistication possible,
toutes les nuances, la dentelle de mes contacts habituels de mes cuisses avec mes génitauxdes contractions vraiment sur-puissantes et effectuées plus que jamais n’importe comment,
je ne veux pas savoir ce que je fais, je veux le sentir, je veux le sentir et le diriger ainsi,
je pressais très fort donc,
mes cuisses venaient compresser très fort mes couilles, mon sexe,
je jouais sur la sur-puissance de cette action et ainsi je parvenais à obtenir toutes sortes d’effets
mais la montée verticale était décoiffantvers la fin de la séance, je jouais de plus en plus sur la verticalité et l’horizontalité des sensations,
j’en jouais, un peu plus de celle-ci, un peu plus de celle-là,
un début de contrôle, d’élargissement du spectre, qui offre des perspectives absolument extraordinaires2 mars 2019 à 12 h 12 min #33184bzoParticipantexactement les mêmes acteurs de mon plaisir dans mon bassin donc,
me permettent désormais de jouer tantôt sur la composante verticale,
tantôt sur la composante horizontale,
de mon plaisirc’est en fait une question juste de proportions
mais les deux pôles doivent rester actifs à peu près constamment,
pas en continu strictement
mais en assurant malgré tout une continuité de service
dans l’apport d’énergie mâle et d’énergie femelle autant que l’action dans l’instant le nécessite,
c’est ainsi qu’on a de puissants et de bien perceptibles pôle masculin et pôle féminin
en soi qui animent les débats,
que la sensation d’union, de communion est forte,
que la sensation d’un acte sexuel dans sa chair est vécu avec total réalisme ,
est vécu avec ardeur, avec passion, avec exaltationc’est en fait donc une question juste de proportions,
les cuisses s’immobilisent plus ou moins contre les couilles
et une contraction sur-puissante mais dont on peut aussi varier les effets grandement,
une fois qu’on a pris l’habitude (cela commence chez moi)
monte en nous,
explosivité, décollage, sont bien là,
la composante verticale est active à pleine puissance ainsi,
je dirai qu’il y a ici 75 % en moyenne de contraction
et 25% d’ondes provenant du contact immobile des cuisses tout contre les couilleset puis les cuisses se remettent à danser langoureusement tout contre les boules,
les contractions se font plus légères,
ainsi c’est la composante horizontale, chez moi, qui est activée, qui est sollicitée,
le doux nectar se propage, une volupté frissonnante m’envahit,
comme par une mer de sensualité, je suis emporté,
je dirai ici que les proportions s’inversent,
on a 75% des ondes qui sont assurées par le frottement, les effleurements, les pressions
des cuisses tout contre les couilles,
75% de composante horizontale donc,
et 25% qui sont apportées par la prostate via les contractionsla voie royale, mes amis, je suis engagé sur la voie royale,
temps de récolter ce que j’ai semé patiemment, une moisson arrivée à maturité
dans toute la splendeur de son grain germé
qui a monté, monté, monté
dans la splendeur de l’été, gorgé de soleil, gorgé de terrecela me fait écrire tout cela,
c’est comme une sorte d’éjaculation de mon cerveau basée sur ma pratique3 mars 2019 à 9 h 54 min #33188bzoParticipantj’ai l’impression qu’on a une batterie d’énergie sexuelle
avec une certaine capacité,
dans nos profondeursau-delà d’une certaine durée à pratiquer,
d’une certaine durée avec des résultats tangibles,
ayant donc atteint une certaine intensité dans les sensations ,
le niveau d’énergie à notre disposition dans cette batterie, commence à décliner
et on aura beau faire,
il faudra attendre que celle-ci soit rechargée (une bonne nuit de sommeil)
avant de retrouver des capacités à 100%c’est quelque chose que j’ai pu constater un certain nombre de fois,
je parle bien sûr dans le cadre d’une pratique totalement dépourvue de masturbation,
comme la mienne, cela va de soidans mon cas,
cette limite doit se situer aux environs des trois heures de pratique cumulée sur une journée,
cela m’arrive de temps à autre de la dépasser,
au-delà je sens que les résultats obtenus commencent nettement à diminuer dans leur intensité,
que mes capacités à ressentir du plaisir, semblent décroîtrebon, il y a de la marge heureusement
mais cela arrive tout de même assez régulièrement que je dépasse cette limite,
je commence à reconnaître relativement rapidement
quand la conjugaison de mes caresses, des ondulations de mon corps,
de la danse tout en frottements et en pressions de mes cuisses sur les parties
et de mes contractions (last but not least…)
semble avoir moins d’effetsune pratique avec masturbation, c’est encore pire, bien pire,
si vous vous secouez le gourdin,
il vous faudra au moins trois, quatre jours pour reconstituer cette réserve secrète d’énergie
et être à nouveau à 100%je me rappelle du temps où je me masturbais parfois,
je m’en voulais après car même si je parvenais à éprouver du plaisir prostatique
les jours suivants d’un soir où j’avais fait cracher le jujube,
je sentais bien que l’intensité était toujours un peu moindre, en-deçà
pendant au moins trois, quatre jours, voire plusbien sûr il n’est pas évident si on n’a pas de relations sexuelles avec une autre personne,
de rester sans se soulager par la masturbation,
ma pratique désormais me comble, rassasie mes appétits
et je n’éprouve plus jamais le besoin urgent de me secouer le cocotier
mais cela n’a pas toujours été le cas, loin de là3 mars 2019 à 11 h 11 min #33189bzoParticipantle fait est qu’à chaque fois que j’incorpore une nouveauté technique importante dans ma pratique,
c’est un peu comme si je devais repartir à zérole dialogue avec tous les autres acteurs de mon plaisir doit être mis en place,
doit être remis en question,
leur synchronisation, leur entente, un peu comme dans un orchestre de jazz,
qui improvise
mais dans le cadre de la ligne mélodique et la structure rythmique précises d’un morceau déjà existant,
ils doivent apprendre à se connaître, ils doivent apprendre à jouer ensembleainsi il en va avec mon nouveau coup de pine, ma contraction sur-puissante,
dont je parle avec enthousiasme un peu plus haut,
qui me permet d’obtenir de la verticalité, de l’explosivité,
cela se confirme merveilleusement, son potentiel se confirme divinement
mais je dois encore policer la chose,
varier les effets, les mouvements, optimiser la sensation de pénétration avec
rendre tout cela de plus en plus effectif, bien les incorporer au reste,apprendre à mon nouveau coup de pine dans les entrailles
à bien se synchroniser les autres membres de l’orchestre,
que tout le monde soit sur la même longueur d’ondetout cela est, oh combien, prometteur,
ma pratique devient toujours de plus en plus riche, de plus en plus variée,
toujours plus vivante, plus réalisteêtre habité par cette sensation de se faire l’amour,
toujours plus ressentir ce féminin à l’oeuvre en moi,
c’est là le petit miracle qui s’accomplit à chaque foistant de nuances différentes, tant de finesse et de volupté,
c’est bien là l’essence de ma pratique,
ce kaléidoscope de sensations sans cesse changeantes,
cette mer de volupté qui semble m’habiter,
qui semble danser en moi avec une telle lascivité,
semblant imprégner tellement chaque fibre de mon êtrematurer comme un bon vin, sentir sa chair et son âme s’épanouir,
quelque chose est en train de s’accomplir là, au de-là du plaisir sexuel immédiat,
un parcours initiatique, une exploration de soi-même,
une communion avec son corps, une réunification du masculin et du féminin en soi
et par l’intermédiaire de celles-ci une communion encore plus vaste,
une réunification encore plus vaste,
avec le monde silencieux qui nous entoure,
au-delà des murs, au-delà des maisonspercevoir en soi le grondement tellurique,
percevoir en soi le grondement animal,
qui subsistent encore en nous quelque part3 mars 2019 à 13 h 20 min #33190bzoParticipantune petite heure au lit,
par moments j’ai connu de tels moments d’abandon
mais tels,
je n’étais tellement plus que cette chair enivrée, chair chargée de volupté, de langueur, de lascivité,
on se sent glisser dans cet état,
le cerveau se dissout,
il n’y a plus rien d’autre que cette chair en pâmoison,
que cette chair habitée par une félicité ineffableà chaque lente remontée du piston,
tout semblait se liquéfier autour, de la volupté fraîche par vagues denses
venant m’emplir, venant me faire défaillirmes mains vont et viennent sur ma poitrine, mes flancs,
descendent de temps à autre sur les fesses,
rentrent dans ma fente, jouent en surface quelques instants
puis s’enfoncent dedans,
ainsi j’effectue quelques vigoureuses contractions,
serrant bien les cuisses pour avoir la totale,
mes bonnes ondes du contact des cuisses avec mes boules
et puis celles de mes doigts enfoncés, fusionnées aux contractions charriant les vibrations de ma prostate,
l’ensemble formant comme un obus doux, explosant doucement dans mes entrailles,
les éclats se disséminant dans tout mon corpsje fais monter de plus en plus rapidement de forts coups de piston,
quelque chose va céder, un barrage quelque part va exploser,
laisser passer des millions de litres de liquide rugissant,
ma tête tourne, j’ai le vertige à force de tournoyer comme un fétu de paille en moi-même,
cela s’allume de partout,
je ne suis plus que danse de courbes sensuelles s’éveillant de tous les côtés,
je cambre le bassin, mon sexe mou bouge un peu, glisse de lui-même,
cela provoque une décharge de frissons dans mon bas-ventre,
je n’arrête pas de crier et de gémir,
quelle fête4 mars 2019 à 21 h 47 min #33203bzoParticipantma première micro-séance de la journée
c’est vraiment génial de complètement oublier que cela existe,
pris dans le flux insipide mais néanmoins stressant du boulot,
ma pratique s’éloigne de moi, jusqu’à ne plus exister du toutchez moi encore aujourd’hui, cette fois-ci je ne me suis pas rué dessus,
je me douché, je me suis restauré, regardé un peu de série, écrit quelques mails
puis d’un coup je me suis souvenu,
que j’avais quelque chose comme une drogue à ma disposition,
une drogue sexuelle qui en quelques instants, pouvaient envahir tout mon corps
et me faire frissonner de la tête aux pieds, me submerger d’une volupté tellement délicieuse,
qu’elle en paraît irréellej’étais déjà nu cependant depuis quelque temps,
aussi il m’a suffi de quelques mouvements,
j’ai mis les mains sur les seins, j’ai serré les cuisses,
commencé à les frotter tout doucement contre mes boules
tout en faisant remonter lentement une contraction
mais me suis immobilisé rapidement , une fois que j’ai senti la contraction à fond en moisuis resté immobile de longues secondes, sentant naître en moi les frissons,
sentant naître en moi la chaleur soyeuse,
me sentais comme le lit d’une rivière asséchée à nouveau parcouru par les eaux,
à nouveau recouverte par les eauxces secondes, immobile, les mains en coupe sur mes seins,
la contraction tenue en moi à fond mais sans presser exagérément
et puis aussi les couilles avec mes cuisses pressées dessus,
cette sensation de douce, de tranquille exaltation qui m’a envahit presque immédiatement
cette sensation de soyeux bien-être jusqu’au plus profond de mon être
qui m’a envahit presque immédiatement,
moments de félicité cristalline, moments de pure magie4 mars 2019 à 23 h 06 min #33205bzoParticipantune première demie heure au lit,
moments enchantés, bijou de séance, moments parfaits,
bonheur cristallin par flots dans ma chairce week-end , ma découverte en aneroless, oh combien importante,
de ces contractions plus puissantes, plus insistantes
couplées avec une pression maintenue de mes cuisses sur mes parties,
je les utilisais un peu n’importe comment,
la frénésie de la découverte, l’exaltation de la nouveautémais là pendant une demie heure,
cela semblait parfaitement intégré, je m’en servais calmement
et j’ai obtenu des effets divins, des moments vraiment parfaitstoute la finesse, toute la dentelle, toute le nectar voluptueux par vagues soyeuses étaient bien là,
restaient bien là
alternant, fusionnant avec ces contractions remontant avec plus d’insistance, plus de force
qui m’offraient de l’explosivité, du décollage vertical,
je jouais des deux, je les combinais,
la tension sexuelle en moi croissait beaucoup plus rapidement que d’habitude
et cela devenait tellement bon, tellement enchanté dans ma chair,
je n’osais y croire comme c’était ineffablement bon à chaque instantje l’ai senti venir de loin mon super O au féminin, j’en ai immédiatement reconnu les prémices,
comme un grondement sourd dans le lointain de ma chair, quelque chose d’immense en train de se lever,
j’ai senti la vague commencer à grossir, à grossir, à grossir toujours plus,
elle est arrivée sur le devant de la scène tellement immense,
envahissant ma chair de son immensité, de son irrésistibilité,
empli de cette densité tellement douce, de cette douceur tellement dense,
que j’ai commencé à prendre un peu trop conscience de ce qui se passait,
excitation, observation et un peu de frayeur ont un peu trop pointé le bout du nez
devant un phénomène d’une telle ampleurla chose a déferlé quelques instants en moi,
je me suis senti soulevé, commencé à être roulé, commencé à être emporté comme un fétu de paille
mais juste quelques instants,
la vague s’est dégonflée, a été tuée dans l’oeuf presque aussitôtquel moment extraordinaire tout de même,
je sais désormais que je peux y arriver autant de fois que je veux,
la prochaine passera, je parviendrais à me laisser emporter,
à me laisser rouler avec délice pendant de longues secondeset si c’est pas encore la prochaine, alors ce sera la suivante,
j’ai les clefs5 mars 2019 à 0 h 58 min #33206bzoParticipantnouvelle séance de 45 minutes à peu près
pas eu de départ de super O cette fois-ci,
ai trop expérimenté pour cela,
j’ai eu par contre plusieurs orgasmes qui ont duré 2,3 minutes au moinsquelle différence par rapport à ceux que j’ai connu d’antan,
ceux de ma période , essentiellement avec un plaisir vertical, plaisir prostatique au masculin?
ce qui fait finalement la grande différence,
c’est que mon corps est empli plus que jamais
de tout ce nectar voluptueux tellement dense, tellement soyeux
que quand la flèche de l’orgasme arrive, sa nature en est transformée instantanément,
il s’imbibe aussi de tout cela,
tout le nectar, toute la soierie, acquièrent la vitesse et le sur-plus de puissance apportée par l’orgasme,
il y a une sorte d’interaction , une synergie entre les deux
qui confèrent à ces orgasmes au féminin ce caractère si particulier,
cette sensation en même temps d’une puissance et d’une douceur incroyables à l’oeuvre,
se conjuguant, s’entremêlant divinementje crie vraiment très fort, mes gémissements sont tellement gras, dégoulinants de plaisir ,
comment faire autrement avec ce qui passe dans ma chair
mais mon plaisir a fait sauter toute pudeur, aucune gêne ne me retient,
je hurle sans me retentir, les sons montent brut de décoffrage
avec des intonations délicieusement féminines à la sortiecomme c’est excitant d’être capable de vivre avec un corps d’homme des plaisirs pareils
5 mars 2019 à 7 h 48 min #33207bzoParticipantj’ai pris soin de mes outils de travail hier soir
la peau de l’intérieur de mes cuisses et de mes bourses
que je frotte, que je presse, inlassablement les unes contre les autres,
il y avait de l’irritation, des zones rougeâtres, à force de frictions délicieusescette peau chérie, je l’ai enduite d’une crème bio à propriétés apaisantes, régénérantes,
comme elle était douce ce matin,
quelques mouvements serrées tendrement les unes contre les autres pour tester,
j’ai pu sentir un velouté, des peaux douces, rafraîchies, sans aucune irritation,
prêtes à l’action, prêtes au plaisiret puis dans mon fondement, l’intérieur de mon A-pussy,
j’aime tellement y mettre les doigts, aller et venir dedans,
la housse enveloppante, enlaçante des contractions immédiatement autour, quel fusion dans ma chair,
pal chaud, pal raide mixte, remontant délicieusement, remontant explosivementj’avais cette crème pour vagin qu’à une certaine époque j’utilisais pour lubrifier mes ébats en aneroless
mais depuis belle lurette, j’aime y aller à sec,
aucune lubrifiant, juste des peaux, des chairs, se frottant, se pressant
mais à la longue, cela créait un peu d’irritation, de légères douleurs certains jours
à force de m’empaler, de monter et de descendre dessus,
danse enivrante, lascive, de mon bassin autour de ces doigtslà aussi donc c’est résolu, cette crème pour vagin est parfaite,
je sens toute la zone rafraîchie, totalement raccommodéebanzaïe!
6 mars 2019 à 9 h 49 min #33215bzoParticipantquelle merveilleuse façon de commencer sa journée de congé,
assis dans mon fauteuil face à l’ordi, le peignoir largement entrouvert,
mes mains sont parties en balade,
mes mains se sont mises à explorer,
tantôt spéléologues tout particulièrement s’intéressant à ma toute petite cavité sombre à l’arrière,
la fouillant minutieusement, frottant minutieusement ses parois,
tantôt courant librement, chevauchant les grands espaces de peau,
évaluant les courbes d’une paume rêveuse,
saisissant à pleines mains des seins qui semblent se gonfler, palpiter sous les doigtsmes cuisses se pressaient tendrement, passionnément contre mes vielles couilles,
quel tango langoureux celles-là une fois qu’elles sont en piste,
mon bassin rapidement est inondé d’un nectar voluptueux
et je gémis, comme je gémis,
douces sonorités à mes oreilles de ce plaisir dans ma chairje glisse quelques doigts vers mon pubis, ils viennent se lover contre la hampe de mon pénis flasque
et là je fais monter en rafale lente quelques contractions bien insistantes,
les doigts bien immobiles,
comme du courant électrique sexuel semble se dégager de la zone grâce à cette action,
cela semble vibrer, c’est extraordinairement dense,
mon bouche est envahie de longs “haaaa”
qui s’étirent comme du chewing-gum depuis mes entrailles jusqu’à l’air librebon dieu de bon dieu,
être capable comme cela d’obtenir de pareils résultats dans sa chair, avec sa chair,
quel atout divin désormais dans ma vie,
quelle magie sexuelle à ma portée,
à portée de quelques ondulations du corps, de quelques caresses et de quelques contractions,
comme j’aime ce plaisir,
il est désormais tellement puissant, tellement incroyablement puissant,
il m’emporte tellement facilement,
en quelques secondes je suis déjà totalement envahi et ailleurs,
parti sur mon tapis magique quelque part loin en moi, gémissant et totalement enivré6 mars 2019 à 21 h 49 min #33217bzoParticipantces premières secondes,
le robinet a été fermé pendant plusieurs heures, j’ai été me promener, faire des courses,
ces premières secondes où le nectar recommence à circuler en moi,
la grande évasion par tapis magique,
le luxe, le luxe soudainement dans ma chair8 mars 2019 à 8 h 47 min #33223bzoParticipantje suis tellement excité ce matin, j’ai le feu au cul
et les mains qui me démangent d’aller et venir sur ma peautout en me préparant pour aller au boulot,
je m’interrompais tout le temps,
les doigts caressaient les fesses, jouaient avec ma raie puis s’introduisaient,
oh comme c’était bon de sentir ces doigts entrer là-dedans,
je cabrais les fesses, les écartaient bien et sentir leur parcours millimètre par millimètre,
avec une contraction immédiatement pour les accueillir,
c’est une chose enflée et bien dure que je sentais dans mes entrailles,
que je sentais immédiatement y mettre le feu
tandis que l’autre main caressait lentement mon sein
et que je remuais du bassin rythmiquement, langoureusement,
croisant autant que possible les jambes pour sentir mes cuisses presser mes couilles
et ainsi avoir du nectar,
se dispersant dans mon bassin comme sortant par petits coups de pompeacrobatiques positions dans la cuisine, failli me casser la gueule plusieurs fois,
m’étaler de tout mon long,
pulsions animales, mon derrière comme une bombe à retardement entre mes mains,
je vais devoir me calmer un peu
car je pourrais donner libre cours à mes instincts que ce soir après le boulot,
de longues heures …8 mars 2019 à 22 h 49 min #33224bzoParticipantplusieurs jours de suite je suis resté uniquement les yeux fermés,
aussi bien durant mes séances au lit que durant mes micro-séances un peu partout chez moi,
là ce soir je me suis exercé les yeux ouverts,
ne les laissant plus se fermer que par moments
où le plaisir était trop intense et ils se refermaient d’eux-même
et j’ai été frappé encore une fois
à quel point le plaisir, les sensations étaient différents ainsiyeux fermés, on est concentré vers l’intérieur, aucun détail ne nous échappe,
les nombreuses nuances avec leur légère différence,
tout cela est dégusté, délicieux kaléidoscopela sensation aussi de s’enfoncer toujours plus profondément en soi-même
comme si on s’éloignait de ce corps tout en y restant attaché malgré tout par un maigre fil,
comme un ballon dans la main de cette chairyeux ouverts, c’est avant tout le rythme, l’élan , qui comptent,
on perçoit moins de nuances, moins de variété
mais il y a comme un surcroît de puissance à l’oeuvre à chaque instantle plaisir semble plus à fleur de peau
et je reste là entremêlé à ma chair comme sur le dos d’un cheval
tantôt galopant, tantôt trottant,
la sensation de corps à corps avec ma chair est délicieuse, grisante,
on ne forme plus qu’unma technique évolue, se perfectionne de jour en jour,
ce week-end je vais prendre mon temps, j’ai envie de super orgasme au féminin,
j’ai envie de cette vague comme une muraille immense s’annonçant dans ma chair
et puis emportant pendant de longues secondes tout sur son passage,
je sais désormais que j’en suis capable,
il suffit que je prenne mon temps,
que je laisse la tension sexuelle monter en moi
jusqu’à ce que cela devienne peu à peu comme un baril de poudre prêt à explosermon corps à désormais deux modes de fonctionnement durant mes séances,
deux modes bien distincts mais que j’entremêle, que j’alterneil y a d’abord le mode liane lascive, celui existe depuis pas mal de temps,
il me permet d’obtenir, ce que j’appelle, du plaisir horizontal,
un nectar soyeux qui m’envahit par lentes vagues,
une volupté sans limites comme de la soie frissonnante,
de la fourrure qui effleure tout mon intérieur en même temps partoutc’est le corps qui ondule langoureusement,
le corps qui danse sur le lit,
le corps parfois qui se tord comme un serpent,
les cuisses se frottant, se pressant , quasi constamment contre les couilles,
avec des contractions plutôt légères mais assez constantes ,
les mains vont et viennent aussi sur tout le corpsultimement dans les bons jours, si j’avais suffisamment de patience,
j’obtenais rien qu’en mode lascive de longues, douces et irrésistibles extases,
la sensation d’avoir fusionné à la ligne d’horizon,
un lent éblouissement dans ma chairdésormais ces derniers jours j’ai mis au point une seconde façon d’être durant ma pratique,
le mode pénétration,
il y a donc le mode liane lascive et le mode pénétration
et la conjugaison des deux, leur dialogue, ponctuent ma séancece mode , comme son nom l’indique, eh bien,
il vise avant tout à recréer la sensation de pénétration au mieux,
les va et vient de la pine, les mouvements plus amples aussi avec tout le bassin engagé,
avec ces contractions sur-puissantes dont j’ai parlées il y a quelques joursj’ai ajouté à ma panoplie quelques nouvelles façons de faire mes contractions,
un mouvement glissé, un mouvement qui semble démarrer de mes cuisses,
engager très progressivement dans un mouvement coulé, genre sur roulement à billes,
tous les muscles de la région
jusqu’à se terminer avec les abdominaux se tendant aussi,
c’est un mouvement très long que je peux faire durer interminablement
et y mettre une telle puissance, que j’arrive à me couper complètement le souffle
et l’impression aussi de figer tout mon intérieur avec,
comme si j’étais devenu de la pierre,
de la pierre qui se suinte le plaisir
qui suinte un plaisir tellement dense, tellement explosifce mode pénétration apporte ce que j’appelle , du plaisir vertical, de l’explosivité
et qui ultimement mène à de puissants orgasmes , voire des super orgasmes
mais au fémininen mode pénétration, mon corps bouge peu, quasi pas, les mains serrent, pressent
mais bougent aussi peu, le focus est entièrement sur le bassin, sur les entrailles
et sur l’engin qui est en train de se former dans mon bas-ventre grâce à la contraction
et sa montée en moi, bien percevoir sa trajectoire, ses a-coups, ses frottements, dans mon A-pussy,
le doux torrent de lave qu’il éveille, la façon dont il se répand en moiet puis le mélange de ces deux modes, leur amalgame,leur séparation , leur réunion,
éveille plus que jamais la sensation de se faire l’amour ,
est tellement prenante, tellement extraordinairement vécue dans la chair,
on sent les caresses de l’autre, on sent son sexe en nous,
on sent notre corps habité par une femme, mise en mouvement par une femmeles contrastes entre ces deux modes, sont extraordinaires
on a encore gagné en richesse et en variété9 mars 2019 à 10 h 01 min #33226bzoParticipantj’ai ajouté à ma panoplie quelques nouvelles façons de faire mes contractions,
un mouvement glissé, un mouvement qui semble démarrer de mes cuisses,
engager très progressivement dans un mouvement coulé, genre sur roulement à billes,
tous les muscles de la région
jusqu’à se terminer avec les abdominaux se tendant aussi,
c’est un mouvement très long que je peux faire durer interminablementj’ai un peu plus observé cette nouvelle façon que j’ai de faire des contractions
quand mon corps est en mode pénétration,
contractions puissantes à sur-puissantes,
en fait d’après ce que j’ai pu relever dans mes observations,
dans la seconde partie du mouvement,
tout le diaphragme semble soulevé, c’est la caractéristique essentiellela sensation que seuls des muscles en arrière de mon bassin,
depuis le périnée et l’arrière des fesses, autour de l’anus, sont engagés dans le mouvement
et donc qu’une extraordinaire sur-puissance est mis à ma disposition
en soulevant tout le diaphragme,
comme si tout mon intérieur se surélevait un peu, peu à peu9 mars 2019 à 11 h 23 min #33227bzoParticipantce mode pénétration est devenu rapidement tellement efficace
que depuis hier soir j’ai connu des dizaines d’orgasmes aveccela n’arrête plus en fait,
après une dizaine de minutes dans la séance, une fois que je suis bien chaud, que je suis bien lancé,
quand je passe du mode liane lascive en mode pénétration,
chaque mouvement de pénétration déclenche un orgasme,
cela devient vraiment fou, délicieux, au de-là de toutes les limites imaginablesau début, de quelques secondes
mais en plus ils se rallongent au fur et à mesure que je suis de plus en plus excitéj’adore rester de longs moments en mode liane lascive,
danser langoureusement à l’horizontale avec mon corps, danser avec mes mains sur la peau,
sentir mes couilles pressées, serrées, enlacées, par mes cuisses
et puis tout ce nectar qui m’envahit, toute cette tellement délicieuse volupté être omniprésente,
c’est à devenir fou de bonheur tout ce frissonnement voluptueux en soiet puis je passe en mode pénétration,
la première contraction se forme, la première contraction durcit, grandit, grandit , durcit
puis commence à remonter dans mes entrailles, puissamment, lentement,
lente explosion de lave, tout fond, tout devient vibration,
dans ma tête , dispersion d’étoiles, de chaleur,
dans ma bouche, des râles , des cris et des gémissements qui se bousculent,
sublime embouteillage,
de la bouche d’abord jusqu’aux oreilles, tendre pénétration des sons par mes conduits auditifs,
le plaisir redescend par mes oreilles, repénétration par les oreillesje maintiens la tension de la contraction,
le plaisir devenu incroyablement dense, se met à suinter et à dégouliner de tous les côtés,
cela explose, cela explose dans ma chair, tout craquetendre grenade du plaisir, disperse-moi, éclate-moi
10 mars 2019 à 22 h 44 min #33229bzoParticipantmon mode liane lascive et mon mode pénétration alternant, s’enchaînant,
font partie de la même chorégraphie, du même élan,
il y a une totale continuité, une totale cohérencec’est comme un danseur sur la scène en action
qui enchaîne toutes sortes des figures, de mouvements
avec des pointes, des pirouettes, des entrechats
et puis tout d’un coup qui s’immobilise dans une posture,
la maintient pendant quelques instantsmes mains s’arrêtent, pressent contre ma peau là où elles se sont trouvées immobilisées
tandis que la contraction se forme en moi,
comme un papillon émergeant de sa chrysalide,
elle va faire son chemin dans mes entrailles, y mettre le feu,
le danseur en moi est immobilisé, tout le corps est tendu vers le même but,
mes mains à l’arrêt, tous mes organes, tous mes muscles, mes os, mon sang,
tout est focalisé sur cet accouchement en moi,
sur cet engin remontant en moi, tout y participe,
pas une atome de mon être qui ne soit mobilisée, prête à la fécondation sensuelle,
prête à être inondée, prête à être transie, à trembler de bonheurl’orgasme me vient si facilement, c’est l’enfant turbulent des sensations,
elles le roulent comme de la pâte dans mes entrailles quelques instants, l’enfourne,
là voilà déjà qui sort du four tout fumant,
tout imprégnée des délicieuses odeurs, de la délicieuse consistance, du plaisir exultant,
de l’ivresse débordant joyeusementprêt déjà pour la fournée suivante, je suis insatiable, j’en veux toujours plus,
vais tout de même aller faire un tour du côté du nectar,
mon bassin se remet en route, mes mains se remettent en route,
mon corps se remet à onduler
et en une fraction de seconde, je suis tout empli de ce miel chaud,
de ce baume onctueux, de cette fourrure frissonnant partout dans mon êtreje trais mes couilles expertement avec mes cuisses,
elles dégagent cette volupté, ondes mâles crémeuses, chaudes
qui viennent se mêler aux vibration de ma prostate,
quel propulsion immédiatement partout,
ma prostate est maîtresse de tous les réseaux, de tous les canaux secrets,
quel trafic, cela s’en va de tous les côtés,
cela se répand,
mon âme en est remplie aussi,
je pourrai crier, hurler tellement je suis heureux dans ces moments11 mars 2019 à 18 h 46 min #33234bzoParticipantrien que pour cela, je ne pratique plus en journée,
pour avoir l’effet “retrouvailles” le soir chez moi,
quand je m’y remets pour la première fois ce jour-làc’est indescriptiblement délicieux,
même si plus tard il aura des moments beaucoup plus intenses, beaucoup plus riches,
ce moment de retrouvailles,
c’est vraiment comme le lit d’un torrent asséché, asséché par des heures de soleil brûlant
qui tout d’un coup retrouve le contact avec le liquide désaltérant,
le liquide qui s’insinue entre les grains de sable, la rocaille
pour aller humidifier dessous,
rendre l’ivresse de la vie aux cellules dans les profondeursle plaisir en moi est devenu une manière d’être, une manière de vivre dont je ne peux plus me passer,
chez moi à la maison,
il m’accompagne constamment, il n’est jamais loin,
il est prêt à intervenir à la moindre sollicitation,
c’est un dialogue concertant de tout mon être et de certaines énergies mystérieuses qui l’habitentc’est une ouverture, un assouplissement, un agrandissement,
je sens en moi un estuaire immense, sous un ciel encore plus immense,
j’y ai accès sporadiquementen tout cas je pagaie, je rame dans ma petite embarcation,
je descend le courant en des contrées inconnues,
une aventure, une passion , un chemin initiatique, dans ma chair12 mars 2019 à 0 h 51 min #33236bzoParticipantbelle séance d’une heure, divins moments,
très certainement une des meilleures séances que j’ai connue à ce jourcomment rendre avec des mots une telle finesse s’exprimant à chaque instant?
pareille variété dans les sensations?
éblouissement de cristal dans ma chairla volupté comme des décollages et des plongées soudain et s’arrondissant toujours plus, partout en moi,
des grandes et belles vagues dansantes, des grandes et belles vagues riantes,
des mains me caressant partout à l’intérieur, des millions d’entre elles,
des milliards d’entre ellescent mille fauves aux muscles puissants jouant sous leur fourrure,
se frôlant et me frôlant, tournant et tournant en moi,
j’ai leurs feulements rauques et rendus gras de plaisir dans les oreilles,
j’ai leurs feulements rauques et rendus gras de plaisir dans la gorge,
dans mes gémissements les grandes vagues jouent,
dans mes gémissements les grands fauves vont et viennent,
je n’arrête plus de jouir, doucement, puissamment
avec mille nuances tournoyant en moi,
avec mille nuances tournoyant, tournoyant, en moimais cette pureté de cristal que le plaisir a acquis pendant de longs moments,
juste du ciel, du grand vide et du soleil partout
et une nuée d’oiseaux caressant l’air de leurs ailes,
lentes arabesques derrière mes yeux,
mon sang est léger, mon sang chante,
je n’ai jamais été aussi libre de ma vie,
quel chant choral s’élève de partout en moi,
communion totale, avec qui? avec quoi? je ne sais pas
mais communion totale12 mars 2019 à 7 h 40 min #33237bzoParticipantmon nouveau mode, le mode “pénétration”,
les deux premiers jours j’ai usé et abusé de certaines de ses particularités que je découvrais,
faisant remonter soudainement très fort en moi, soudainement le plus fort possible
après quelques instants de tendre et libre tournoiement en mode liane lascive,
m’assurait à chaque fois un orgasme,
explosif, dissolvant, transformant tout en lave délicieuse, en lave brûlante, partout en moi,
cela durait parfois jusqu’à une trentaine de secondesje les ai enchaînés, c’était comme une recette de cuisine sexuelle facile sur laquelle j’étais tombé,
qu’on ne peut pas rater, réussie à chaque fois,
vous remuez doucement mais de plus en plus amplement
et puis soudainement vous faites décoller la fusée à pleine puissance,
feu d’artifice, lumière chaude, pluie de météorites chaleureux dans toutes les directionsdeux premiers jours ainsi donc, dans l’éblouissement de la découverte
mais depuis je me suis calmé,
un rythme plus serein, plus calme, plus de mode liane lascive à nouveau,
plus énergique cependant, plus de danse, encore plus de danse, de frottements, de caresses, de volupté
et puis ce chant hier soir dans ma chair,
tellement fusionnel, effusion torride, torride effusion,
élévation, élévation irrésistible et puis ces sensations d’une finesse telle partout en moi,
magiques vibrations, amour pur, amour torride,
la vie soudainement comme à son maximum de concentration, partout en moi13 mars 2019 à 1 h 04 min #33245bzoParticipantque de moments délicieux encore dans ma séance du soir que je viens de terminer,
ce plaisir arrive tellement à maturité,
ce plaisir désormais est tellement épanoui, tellement richeépanouissement, comme j’aime ce mot,
quand je me fais l’amour, je me sens tellement m’épanouir, tellement totalement m’épanouir,
nuances mordorées partout en moi, émerveillement de cristal,
il y a quelque chose de totalement surnaturel
à cette sensation de luxuriance en soi qu’apporte ce plaisirj’ai trouvé du sens là-dedans,
j’ai trouvé du sens dans ce paquet de barbaque irriguée, qui rote et qui pète
j’ai trouvé du sens à cette chair
avant qu’elle ne fonde pour l’éternité dans le néant,
le sens de s’épanouir dans l’instant,
le sens de s’épanouir dans l’instant, instant après instant,
le sens de ressentir quelque chose de divinement accompli en soi,
le sens de ressentir cette effusion de tout notre être,
ardeur chaude, ardente chaleur, passion sans freinsje suis à la fois tellement homme et tellement femme,
le vrai courage, c’est d’accepter toute cette féminité en soi,
de l’accueillir, de la laisser nous rendre meilleur,
plus tendre, plus fragile, plus capable de s’accompliréveil d’énergies mystérieuses, sourire cristallin des abysses,
douce communion, tendre fête,
ô mon bassin mouvant tellement sensuellement, ô mon bassin mouvant tellement lascivement,
bassin de tous les orages, bassin de toutes les splendeurs, bassin de tous les émerveillements15 mars 2019 à 0 h 30 min #33251bzoParticipantse faire l’amour,
c’est une sensation de communion charnelle avec soi-même,
il n’y a rien que j’aime plusébats fusionnels dans ma chair,
parce que je me suis rendu capable qu’on me fasse l’amour,
cette femme m’est réservée, cette femme est sorti de sa réserve,
parce que je me veux, parce que je me désire,
je redirige tous mes moyens d’homme vers elle à travers moiune autre personne me ferait l’amour,
j’aurais une communion charnelle avec elle, pas avec moi,
une autre personne à qui je ferais l’amour,
j’aurai une communion charnelle avec elle, pas avec moi15 mars 2019 à 19 h 45 min #33252bzoParticipanthum, je me sens de moins en moins motivé à écrire par ici,
bien sûr c’est un journal
mais je voyais cela comme un journal à partager,
hors là j’ai l’impression de partager avec le videje crois que je vais de moins en moins écrire, voire complètement arrêter,
à un moment donné, cela semblait prendre la forme d’une petite communauté ,
libre parole autour de la sexualité, entraide au quotidien, encouragements, complicité
mais tout le monde s’est envolé du nid, une fois l’apprentissage bien maîtrisé,
finalement seul moi est resté,
j’ai persévéré , espérant que des gens du début reviendrait
mais nonalors je crois que je vais faire comme tout le monde
22 mars 2019 à 16 h 15 min #33278lighteningboltoParticipantJe comprends ton désarrois, mon ami.
Si ca peut te rassurer, je pense qu’on est quelques uns à lire tes textes et les apprécier. C’est pas toujours facile de répondre, car ton avancement est tellement loin du notre qu’on ne saurait quoi te dire 😉 Par contre, tu as bien raison, un ptit “j’aime” de temps en temps fait du bien.
Personnellement je suis souvent via smartphone et c’est chiant d’écrire avec, tout comme de s’authentifier. Du coup, je reste en invité et je planifie mes interventions quand je suis sur PC ce qui met parfois plusieurs jours ^^
En tout cas, je salue ta maîtrise, tant de ton cheminement que de ton style littéraire 😉A bientôt j’espère @bzo
22 mars 2019 à 19 h 10 min #33281bzoParticipanttu as bien raison, un ptit « j’aime » de temps en temps fait du bien.
ce n’est pas de cela qu’il est question, j’ai pas besoin qu’on me fasse des “like”,
je parle de partage, d’échange humain, de complicité, d’émulation
à un moment donné, cela semblait prendre cette forme par icice que j’ai décrit plus haut:
une petite communauté ,
libre parole autour de la sexualité, entraide au quotidien, encouragements, complicitéforce est de constater malheureusement que cela s’est désagrégé,
tel que c’est maintenant cela m’intéresse moins, je me sens plus trop motivé pour écrire mon journalje répondrais de temps à autre si j’ai l’impression
que ma réponse peut apporter quelque chose au questionnement de quelqu’un
mais les gens par ici cherchent avant tout des informations
dans le cadre d’une pratique prostatique genre traité d’Aneros,
je m’en suis tellement totalement éloigné,
ma pratique n’a rien à voir avec, à part qu’un de mes moteurs est ma prostate,
pour le reste, c’est la nuit et le jour
donc en fait je me sens de moins en mois habilité à répondre à des questions de débutants,
j’ai l’impression que je risque d’entraîner plus de confusion qu’autre chose -
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