Mots-clés : mon amour, plaisir androgyne, prostate
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22 novembre 2019 à 0 h 37 min #35488bzoParticipant
la technique,
quand elle va dans la bonne direction,
elle nous accorde toujours plus de libertéune bonne technique
est une technique qui nous libère de la techniqueune bonne technique nous permet de faire des gestes de plus en plus efficaces
tout en ayant de moins en moins besoin de penser à ce qu’on doit faire ou ne pas faireune bonne technique permet au désir de s’exprimer de plus en plus
une bonne technique est une technique qui s’efface quand on l’applique
une bonne technique est instantanément adoptée par le corps
comme s’il s’en servait depuis toujoursune bonne technique, c’est du vocabulaire, c’est de la grammaire,
ils permettent une expression de plus en plus claire, précise, riche, fouillée,
dans la langue secrète de notre chair23 novembre 2019 à 0 h 59 min #35490bzoParticipantle plaisir me déchire la chair délicieusement
et c’est comme si un liquide épais, chaud, soyeux, se répandait par la brèche, m’emplissait,
me faisait exploser peu à peu du trop plein,
les parois ne résistent pas bien longtemps à tant de pression délicieuse de toutes partsmon sexe est brûlant, il est au repos et pourtant il est en plein activité,
un fief à vibrations, un bastion,
le masculin et le féminin que je sens en moi, collés l’un à l’autre,
c’est ma chair qui s’est déployée comme un papillon,
c’est la danse ultime,
en bas, tout en bas dans la cave, on est en même temps fille et garçon,
apprendre à le vivre dans son corps, vivre le plaisir androgyne,
c’est vivre une incandescence ultime, sans concessions,
c’est tutoyer les sommets les plus mystérieux en nous23 novembre 2019 à 12 h 27 min #35491bzoParticipantla jouissance me va si bien,
derrière mon visage,
tout n’est plus que lave soyeuse, vibrations dans le noirje me sens comme un fruit mûr gonflé de sève,
croqué par des lèvres pulpeusesdents blanches, immaculées,
éclats de chair tendre, juteuse,
entremêlés23 novembre 2019 à 12 h 55 min #35492bzoParticipantmoments glorieux encore ce matin
je sentais toute la puissance d’un animal au galop entre les reins,
je faisais corps avec lui, il faisait corps avec moi,
nous chevauchions unis, nous partagions les mêmes muscles en plein effort,
les mêmes nerfs en plein feu d’artifice,
à chaque foulée, au contact de ses sabots, la terre semblait résonner comme un tambour24 novembre 2019 à 0 h 17 min #35497bzoParticipantl’avantage quand on n’a pas trop de vie sociale,
quasiment pas, avouons-le,
c’est que quand on se découvre une pratique aussi intéressante,
aussi susceptible d’emporter au loin,
on peut s’y consacrer à fond mais quand je dis à fond, c’est vraiment à fond
et cela paie,
oh que oui cela paie,
mon corps est devenu comme une boîte magique à sensationsje progresse sans cesse, ma disposition plus les heures de pratique
font que j’avance sans cesse sur ce chemin,
apprentissage mystérieux, en quoi consiste-t-il exactement?
un peu d’amélioration technique? sûrement
mais l’essentiel est ailleurs,
l’essentiel, ce sont ces énergies intérieures, ces énergies de profondeurs,
y avoir accès de plus en plus, de plus en plus facilementmoi, en l’occurrence je me suis engagé sur une voie un peu spéciale,
sans doute parce que je n’ai plus de compagne depuis longtemps,
j’ai été cherché le féminin en moi,
à un moment donné j’ai pressenti que tout le féminin possible, était en moi aussi
et quand creusant suffisamment, je pouvais en profiter en moi
avec la même puissance que si j’étais une femmemais cela reste une aventure tellement spéciale
car avec un corps d’homme, on va être en même temps homme et en même temps femme,
on peut y arriver tout simplement parce que notre chair n’a pas de sexe, elle a les deuxet puis aussi ces énergies mystérieuses que nous portons en nous,
elles aussi, elles n’ont pas de sexe, elles peuvent devenir indifféremment masculine ou féminine,
après le reste c’est juste un lent apprentissage,
apprendre à faire l’amour avec un seul corps, recréer les sensations d’un acte sexuel,
en étant, comme j’aime à l’écrire,
aux deux bouts du dard dressé,
parvenir à ressentir dans son bassin un sexe masculin pénétrant un vaginoh comme je l’ai déjà écrit aussi, le plaisir masculin et le plaisir féminin, fondus dans un seul corps,
le féminin prend presque toute la place
mais c’est bien ainsi, cela ne me dérange pas, oh que non,
cet océan de volupté, comme j’aime nager dedans, comme il est d’une douceur ineffable
et puis ces orgasmes qui vous arrachent des larmes
tellement on semble habité par des vibrations cristallines
qui vous illuminent jusqu’au cielle plaisir par moments est d’une pureté inouïe, éblouissante,
il se passe quelque chose en vous de miraculeux, d’une beauté incomparable,
vous vivez des moments de magie où vous semblez uni à la terre entière, aux éléments, au ciel,
le sexe, c’est tellement plus que juste de la pornographie,
il y a des ressources en nous qui peuvent transformer nos vies,
le plaisir est un escalier qui peut mener aussi loin que possible ici-bas24 novembre 2019 à 20 h 27 min #35503bzoParticipantj’écris ce fil, cette sorte de blog, d’abord parce que j’aime écrire
et puis mon expérience, ma pratique, me rendent lyrique,
le plaisir, la jouissance me rendent lyrique,
j’ai envie de chanter à tue-tête comme un oiseau heureux sur sa branche,
comme un ménestrel, un barde amoureux,
une chanson de geste de cette vie amoureuse très spéciale que je vis dans ma chair
que je vis de tout mon être en faitj’y mets toutes sortes de détails pratiques, parfois foireux
mais j’ai prévenu moultes fois que je consignerais autant que possible ici,
même les voies de garage, les erreurs et les pétards mouillés
parce que je me dis que tout cela en vrac
pourrait être utile à quelqu’un un jour qui tombera sur ce filje pense plus précisément à une personne qui s’engagerait dans le même type de voie que moi
car si la pratique prostatique “classique”, commence à être bien documentée sur le net,
ma façon de pratiquer, cherchant à éveiller le féminin en soi,
cherchant au-delà de tous les tabous, en fracassant durant sa pratique son identité sexuelle
à vivre un plaisir au féminin dans son corps,
enfin quelque chose qui lui est assimilable à bien des égards,
je n’ai pas trouvé grand chose dessusaller plus loin même en fait,
tendre vers ce que j’appelle le plaisir androgyne,
c’est-à dire, assumer aussi le masculin en soi,
plus avec son sexe, avec ses couilles
car dans ma façon de pratiquer ceux-ci sont reprogrammés en quelque sorte,
reprogrammés à procurer des ondes sexuelles massivement
sans être sollicitées des manières conventionnelles
dont les attributs masculins sont sollicités généralement
mais en descendant plus bas, au niveau de la chair dont sont faites ces couilles, ce sexe,
au niveau de cette chair qui est neutre sexuellement,
qui peut faire vivre des sensations sur tout le spectre, du masculin au fémininà l’intérieur de soi, laisser le masculin avoir sa place aussi,
le laisser aussi s’exprimer, faire contrepoint, fournir l’étincelle
permettre au féminin d’aller encore plus loin, de s’exprimer encore plus pleinement, plus totalement,
de maturer magnifiquement, flamboyer,
atteindre l’incandescente totale dans l’instantje n’ai encore rien lu qui se rapproche de ma manière de pratiquer
pourtant régulièrement par ici je lis les phrases de personnes
qui relatent leur envie profonde de vivre leur plaisir au féminin,
c’est pour ces personnes que j’écris principalement
car moi, je peux l’écrire sans me vante, je crois,
j’y suis arrivé, je le vis pleinement, je le vis totalement
et j’ai envie de documenter cela
si cela peut aider un jour, ne fusse qu’une personne à avancer dans cette voie
car je sais aussi pour avoir fait tout le parcours
à quel point il n’est pas évident, à quel point il est difficile24 novembre 2019 à 23 h 13 min #35508bzoParticipantdans une pratique comme la mienne,
on pourrait imaginer que tout est dans l’excès, que plus c’est excessif, mieux c’est
mais c’est faux, en partie du moins,
en fait c’est à la fois faux et à la fois vraiil est vrai que ma pratique est constamment dans l’excès,
pour fracasser les frontières de son identité sexuelle,
il faut être constamment dans l’excès
même si on s’y est habitué, même si on a acquis des automatismes,
même si c’est devenu une seconde nature en quelque sorte, une fois qu’on est en actionmais je ne suis pas né femme dans un corps d’homme,
je ne suis pas non plus homosexuel
qui laisse sa part féminine prendre une place à tout instant dans son comportement
parce qu’il se sent bien ainsi, parce qu’il s’aime ainsimême si je suis bisexuel au fond de l’âme
et que du temps où j’ai été actif sexuellement avec des partenaires,
je ne dédaignais pas de temps à autre une bite bien dure,
cependant je suis avant tout un homme qui aime profondément les femmes,
c’est inscrit dans mes gênes
et je ne sens aucun besoin, aucune envie, en dehors de ma pratique
de me laisser envahir par le féminin physiquementen fait ce féminin imbibe ma nature de plus en plus, le le sais, je le sens
mais même si ce sont les effets quelque part de ma pratique,
ce sont des effets indirects qui bonifient ma nature profonde d’homme,
en enrichissant ma sensibilité , par exemple,
ou encore, intensifiant cette connexion que je sens à la nature, à la beauté,
mon instinct aussi, je le sens tellement plus fort en moi,
toutes sortes de signes, de vibrations,aussi de mes abysses qui interfèrent avec mon quotidien,
je vis tout cela avec émerveillement, délectation et avec fascination par moments
mais tout cela n’a pas grand chose à voir directement
avec des manifestations physiques de féminité comme celles qui envahissent ma pratiquema nature de mec plutôt hétérosexuel donc, a tendance toujours à reprendre le dessus,
enfin pour l’instant, cherchant constamment à retrouver ses marques
et c’est normal,
il faut donc parvenir à dépasser certaines de ses frontières naturelles
il faut se forcer, il faut chercher à forcer cette nature
qui a tendance comme un chat à toujours retomber sur ses pattes,
vivre le féminin physiquement durant la pratique,
ce n’est pas juste bouger de manière efféminée, une caricature à la “cage aux folles”,
c’est vivre la féminité dans sa chair, dans tout son être, pendant de longues minutes,
la laisser prendre possession de son corps,
la laisser s’exprimer, bouger, ressentir, vivre, avecon pourrait écrire pour résumer ma pensée
que pour aller loin, très loin, aussi loin que possible,
dans une pratique qui nécessite de l’excès, beaucoup beaucoup d’excès pour casser ses frontières,
il faut aussi de l’équilibre, beaucoup beaucoup d’équilibre, à tout moment,
l’équilibre d’un trapéziste en plein action, effectuant voltige sur voltigeje parle de choses concrètes ici,
ce qu’il faut ressentir à chaque instant dans ce que l’on fait, ce vers quoi il faut tendre,
c’est bien percevoir les différentes synergies en action,
et maintenir un équilibre subtil entre elles,
sans quoi notre action dans l’instant tout de suite n’est plus aussi efficace,
voire plus du tout, on va alors faire à tout bout de champ des sortie de routenotre pratique est comme une musique à la fois simplissime et tellement complexe
c’est un orchestre avec de multiples musiciens,
il faut qu’il y ait une sorte de direction ou sinon c’est la cacophonie,
même les musiciens de jazz qui improvisent, suivent des règles, ne font pas n’importe quoi,
percevoir cette synergie, percevoir l’équilibre nécessaire
pour qu’il n’y ait pas de sortie de route,
c’est faire naître la musique de plus en plus,
c’est faire s’envoler la musique de plus en plusle dialogue avec sa chair, l’écouter,
canaliser la spontanéité du désir, la montée de nos énergies les plus secrètes
avec une écoute constante de ce qui se passe, notre moi pensant en veilleuse,
calme, terriblement calme,
pour un homme excité au plus haut degré
mais pour que la tempête puisse éclater régulièrement dans toute sa splendeur,
il faut savoir garder son calme et rester bien à l’écoute25 novembre 2019 à 22 h 48 min #35513bzoParticipantde retour à la maison,
mon royaume, mon nid, m’attend,
prêt pour la liesse, la liesse au fond de ta chair?il y a quelque chose en toi,
qui t’aime,
dans ce monde fou, dans ce monde froid,
il y a quelque chose qui a germé en toi,
quelque chose qui ne te ment pas
puisque tu le ressens de tout ton être,
puisque tu t’envoles sur un tapis magique tous les soirsquelque chose en toi, a poussé, a grandi,
quelque chose est devenu luxuriant en toi,
quelque chose s’est révélé en toi dans toute sa splendeur25 novembre 2019 à 23 h 50 min #35514bzoParticipantquelque chose en toi, te récompense
d’avoir cru en toi, d’avoir cru en ce que tu portaisquelque chose en toi est devenu magique
parce que tu as eu la patience de creuser suffisamment profondmoment soyeux,
moments d’enlacements soyeux,
quelque chose en toi semblait s’enlacer,
quelque chose dans ta chair, semblait s’enlacer elle-même,
quelque chose tournoyait en toi éperdument,
riait à gorge déployéequelque chose montait de tes abysses,
une fontaine,
une fontaine d’amour,
tu vis les deux sexes en toi,
ta chair te fait vivre toutes les couleurs de l’arc en cielliberté,
liberté inouïe de vivre quelques moments, totalement sans entraves,
désenclavé, parti à la dérive sur un océan de la volupté,
il y a des îles mystérieuses de temps à autre par ici,
des plages de sable chaud, doux, feutré qui vous accueillent comme une caresse
sous un grand ciel bleu éclatant, gorgé d’une lumière cristallinela terre peut-être nous fait naître en partie pour cela
pour faire parler les flammes,
pour faire rugir le petit volcan portatif26 novembre 2019 à 0 h 30 min #35515bzoParticipantj’ai refait quelque chose que je n’avais plus fait depuis longtemps,
j’étais debout, me caressant lentement, ondulant un peu de temps à autre,
laissant jouer mes cuisses et mes bijoux de famille entre eux
avec très régulièrement, une contraction comme un gros cigare chaud et doux mais ferme
qui me remontait dans les entraillesje jouissais depuis de longues minutes,
un râle voluptueux sortait de ma gorge sans discontinuité,
j’avais l’impression que je pourrais rester ainsi jusqu’à la fin des temps
quand soudain chacune de mes mains remontant lentement le long de mes flancs,
pris d’une soudaine envie, j’ai formé avec les doigts comme des sortes de crochet
et je les ai planté progressivement de plus en plus fort dans mes flancs de part et d’autrej’enfonçais les ongles de plus en plus profondément tandis que je maintenais une contraction,
la jouissance pris une tournure tellement épicée,
la chair me brûlait sous les ongles,
j’avais l’impression que deux crocs de boucher me tirait vers le haut,
que bientôt mon corps allait décollerje restais encore quelques secondes ainsi
avec cette douleur vive mais en même temps tellement délicieuse
comme des petites flammes dansant sous la peau de mes flancs
qui attisaient ma jouissance, la débridaient follement,
j’avais la sensation que le dessus de mon crâne avait explosé
et que toute mon être était éjecté vers le haut en cent mille moreaux
se frottant les uns contre les autres, tournoyant, se cognant, déviant de trajectoire dans tous les sens,
retombant, repartant vers le haut, comme un ressac mais à la verticale26 novembre 2019 à 7 h 48 min #35516bzoParticipantfaire le vide dans sa tête est indispensable,
en aucun cas ne penser à ce que vous faites ou à ce que vous allez faire,
laisser faire,
donnez une chance à quelque chose en vous de prendre les rennescependant se laisser faire, ce n’est pas faire n’importe quoi,
le secret est dans l’écoute,
s’écouter, c’est apprendre à entendre des consignes aussi,
les consignes d’un moi plus large
qui comprend votre chair, vos instincts, vos pulsions,
enfin tout tout ce que vous portez en vous
et dont la voix est étouffée, masquée, éteinte,
tant que vous restez enfermé dans votre moi pensant26 novembre 2019 à 8 h 01 min #35517bzoParticipantvivement la retraite,
j’ai envie d’être bouleversé le plus possible,
passer les dernières années de ma vie à être bouleversé le plus possiblebouleversé dans ma chair avec ma pratique,
ma magnifique pratique qui s’est tellement envolée et qui me fait tellement envoler
et puis bouleversé avec l’art, la littérature, le théatre, la peinture,
enfin tout ce qui cherche à nous émouvoir, à nous ravir, à nous emporter,
en nous distillant le mystère et la beauté qu’il y a dans ce monde,
en nous parlant aussi du tragique qu’il y a dans la condition humaine,
l’homme étant une hyène pour l’homme tellement souventj’ai envie de passer mes dernières années avec tout cela le plus possible,
vivre intensément, le plus intensément possible, chaque seconde
et ne plus entendre parler de productivité, d’efficacité, de business logic, etc27 novembre 2019 à 12 h 07 min #35545bzoParticipanttrop de caresses peuvent tuer les caresses, je me suis rendu compte,
réduire en tout cas nettement leur efficacité,
brouiller les signaux montant du bassinj’ai tendance à laisser galoper librement les mains sur mon corps,
elles vont et viennent souvent sans relâche
et cela est, ma foi, très agréable
mais cela peut s’avérer contre-productif, je me suis rendu compte
cela peut avoir un effet dispersant,
plutôt empêchant un décollage puissant que le favorisantdepuis quelque temps, je remets tout cela en question,
bouge beaucoup moins les mains,
celle-ci, immobiles plus souvent, comme dans une position de contact ardent,
de communion avec la peau, sur la peau,
comme cherchant à communiquer avec la viande du corps,
peuvent avoir encore plus d’effet,
comme des mains de sourcier qui captent les ondes, les attirent des profondeursainsi je suis plus concentré sur ce qui se passe dans le bassin,
mes mains semblent particulièrement accompagner désormais,
particulièrement en complicité, ainsi,
plus souvent des solistes jouant une autre partition,
je les sens plus tendus vers le même but, plus en phase avec le reste des acteurs de mon plaisir,
j’avais tendance à leur laisser trop de liberté,
j’avais tendance à les laisser trop divaguer,
a n’en faire qu’à leur tête27 novembre 2019 à 23 h 38 min #35550bzoParticipantj’ai parlé il y a quelque temps de ces chapelets de petits orgasmes
que je parvenais à provoquer un peu à volonté
en exerçant de puissantes contractions maintenues
tout en me lâchant pour faire monter des fortes giclées d’énergie des profondeursje me suis amusé quelques jours avec cela
mais désormais c’est bien intégré dans ma pratique, quasi plus d’orgasme provoqué ainsi
par contre, les contractions maintenues accompagnées de forte montée d’énergie,
sont constamment là
mais juste avec un niveau de pression moindre pour qu’il n’y ait pas les mini-explosions de l’orgasme,
ainsi la tension sexuelle reste spectaculairement élevée,
est maintenue avec facilité,
très rapidement j’ai la sensation d’être envahi de cristal vibrant partout en moila jouissance s’installe pendant de longues minutes
sans que j’ai grand chose à faire
sinon bouger un peu les cuisses, presser à nouveau sur la contraction,
je sens les énergies pulser en moi avec un débit d’étalon en pleine course,
c’est grisant au plus haut point de les sentir circuler en si énorme quantité,
des vannes semblent ouvertes en grandà un certain point d’état d’excitation, complètement hors de moi,
râlant et gémissant sans discontinuité,
je ne bouge plus, juste je maintiens la contraction, la tête renversée en arrière,
tout mon être semble n’être plus que vibrations sillonnant à grande vitesse,
une invasion massive de pure énergie
comme un troupeau de magnifiques étalons courant dans toutes les directions28 novembre 2019 à 0 h 22 min #35551bzoParticipantj’ai déjà répété de multiples fois que plus jamais,
je n’aurais de contact avec mes génitaux avec les doigts,
que leurs interlocuteurs naturels, étaient les cuisses,
je suis dans une phase comme cela,
je ne les touche en aucune façon,
je ne vais pas ajouter que cette fois-ci c’est définitif car cela aussi je l’ai déjà affirmé,
cependant je le crois vraiment cette fois-ci
mais cela aussi je l’ai déjà cru plusieurs foismais la qualité des sensations est devenu telle,
la profusion, l’effusion de sensations d’une qualité extrême,
une telle finesse, une telle précision, une myriade de nuances,
une impression bouleversante de haute joaillerie à chaque instant en moiles vibrations affluent, sont tellement cristallines, puissantes et légères, dansantes,
donc vraiment toucher encore mes couilles ou mon sexe , durant la pratique, avec les doigts,
cela ne me tente plus vraiment
malgré les effets explosifs que cela peut générer,
car la perte de qualité est systématiquement trop grande,
je perds directement cette qualité cristalline des sensations
et celle-ci est devenue trop ineffable, trop irremplaçable, trop jouissivepar contre, par contre…
juste laisser traîner les doigts sur le pubis,
caresser un peu la zone, tout en douceur et en effleurement
tout en restant bien au moins à un centimètre de la hampe,
je suis en train d’expérimenter car cela apporte aussi beaucoup de nouvelles nuances très intéressantes,
un accroissement bien spécifique de la tension sexuelle,
comme une voix avec un timbre jusque là inconnu dans le choeur,
avec il semble, aucune dégradation de la finesse, de la précision,
de la qualité cristalline qui m’est prioritaire plus que toutà vérifier cependant, c’est tout nouveau, tout chaud,
je commence juste avec mes essais28 novembre 2019 à 8 h 40 min #35552bzoParticipantjuste laisser traîner les doigts sur le pubis,
expérience déjà avortée
juste laisser faire
et quand je pratique ainsi, les doigts ne s’arrêtent jamais dans la zone,
alors je laisse tomber,
cela roule très bien tout seul,
je ne vais pas me compliquer la viecela ne s’intégrera pas, je le sens
malgré que cela ne nuise pas à la finesse des sensations,
que cela apporte des nuances nouvelles,
je sens malgré tout que quelque chose ne va pas ,
il y a un subtil équilibre qui est rompu,
cette zone, le pubis, appartient déjà au pénis,
s’y attarder avec les doigts, réveille du pénien,
je n’ai pas besoin d’ondes de ce type dans ma pratique28 novembre 2019 à 23 h 20 min #35559bzoParticipantce corps est fait pour être aimé d’une manière ou d’une autre,
je me suis fait humble, je me suis effacé, je me suis dirigé en moi-même,
je me suis enlacé avec tout l’amour dont j’étais capable,
ce corps l’a senti et a immédiatement répondu avec tout ce qu’il porte en lui,
un chant s’est levé, un chant généralisé s’est levé,
un chant généralisé s’est levé et est venu à ma rencontre,
venant à la rencontre de mon lascif abandon,
de ma volonté de communier dans la chair29 novembre 2019 à 23 h 12 min #35564bzoParticipantma chair, ma drogue,
comme c’est bon d’être instantanément emporté,
pas besoin de fumer quelque chose ou de s’enfoncer une aiguille dans les veines,
j’ai bien mieux à portée de mainça fait un bien fou et ce n’est pas nocif pour un sou,
que du contraire,
cela devrait être recommandé part l’office national de la santé
et appris à l’école30 novembre 2019 à 0 h 41 min #35573bzoParticipantpar moments, j’ai la sensation d’être pris dans le flux d’une fontaine,
tellement les énergies montent fort en moi,
toute la chair semble emplie de vibrations tellement voluptueuses,
c’est de la jouissance non-stop,
il y a la liesse au château -
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