20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 36)
  • Auteur
    Articles
  • #21677
    aneveil
    Participant

    Bonjour,

    Même si je sais que les cessions avec l’Aneros se font le plus souvent seul, je rêve depuis longtemps de pouvoir vivre davantage et totalement mon plaisir prostatique avec ma compagne.
    Deux petits éventements m’ont indiqué que mon rêve pouvait sûrement devenir réalité :

    Il y a peu de temps, le jour de mon anniversaire, je me suis réveillé avec une prostate particulièrement fébrile et je vais faire un aparté : depuis que je me suis ouvert au plaisir anal, presque l ‘ensemble de mon corps est devenu beaucoup plus sensible aux caresses de ma femme qui prends alors beaucoup de plaisir à me faire gémir et tordre de plaisir sous ses mains.
    Mais ce jour là c’était bien différent, car en plus des sensations habituelles, ses caresses et ses baiser dans le lit ont rapidement déclenchées des vagues de plaisir prostatique particulièrement agréables et puissantes qu’il me suffisait de relancer avec quelques légères contractions du périnée, je n’ai pas eu d’orgasme mais je me suis levé du lit en état d’apesanteur…
    Ensuite, assis lors du petit déjeuner, ma compagne est revenue m’enlacer, me caresser et m’embrasser de nouveau, le contact de mon périnée sur la chaise aidant, les vagues de plaisir prostatiques bleu turquoise qui inondaient mon bassin sont alors très vite revenues pour s’intensifier
    en 2 ou 3 petits orgasmes successifs d’un très grande douceur.

    Quelques jours plus tard, alors que le réveil avait sonné et que nous devions nous lever, nous nous sommes tout de même enlacés et je l’ai rapidement pénétrée car nous étions alors dans un état amoureux particulièrement fusionnel. Assez rapidement alors que j’étais en elle et sous les lents va-et viens de mon bassin, des vagues de plaisir (toujours plus ou moins bleues turquoise) sont arrivées dans ma zone prostatique envahissant et traversant tout mon bassin et s’intensifiant sous les contractions du périnée et les va-et viens de mon sexe devenu extrêmement dur.
    Le fait que plaisir pénien et prostatique puisse coexister lors d’un coït (sans ustensile) me remplissait alors de joie car je pensais qu’il s’agissait de deux plaisirs séparés et même plutôt incompatibles, (même si j’en rêvais depuis longtemps).
    Nous n’avons pas prolongé trop longtemps cette expérience exquise car le temps commençait à presser et nous avons calmement quittés comblés ce plaisir inoubliable pourtant sans orgasme.

    Ces deux très beaux cadeaux m’ont donné beaucoup d’espoirs de pouvoir les revivre plus souvent et peut être plus intensément lorsque j’aurai progressé et accédé au Super O avec l’Aneros…

    Je commence aussi tout juste aussi à pouvoir insérer mon Bootie devant elle, mais je ne suis pas encore totalement à l’aise et que ce soit seul ou à deux j’ai encore beaucoup de mal à bander avec un objet inséré dans l’anus. Mon premier essai de coït avec ce petit plug m’a fait éjaculer très fort mais beaucoup trop vite, mais les “doubles sensations” étaient franchement agréables…

    Je pense qu’en cultivant un grand lâcher prise, en éveillant ma prostate, en continuant le cessions avec l’Aneros et aussi en économisant le plus possible mes éjaculations (car je ne suis plus tout jeune), ce genre de cadeaux devraient se reproduire davantage.

    Vos témoignages et vos conseils sur vos expériences prostatiques en couple m’intéressent beaucoup.

    Merci de m’avoir lu et désolé d’avoir encore fait si long…

    #21781
    Andraneros
    Modérateur

    @aneveil vous nous présentez une très belle expérience de mini O’ associée à un état de très forte excitation en complicité profonde avec votre femme ce jour là. Ce moment illustre très bien les fruits qu’apporte l’évolution de votre relation de couple, depuis votre acceptation du plaisir anal et prostatique, telle que vous la décrivez dans votre présentation.

    Vous vivrez de plus en plus souvent et de plus en plus naturellement ces moments de double plaisir. Je pense que la participation active de votre femme à votre quête devrait bientôt en faire des moments de triple plaisir lorsque vous percevrez les radiations de sa jouissance comme une stimulation sensorielle supplémentaire qui amplifiera la vôtre.

    Ce n’est pas après avoir « progressé et accédé au Super O avec l’Aneros » que vous les revivrez mais en même temps que vous progresserez. Ce point est d’autant plus vrai que votre femme semble s’être engagée ou s’engager sur le même chemin que vous, en attendant peut-être que ce soit le même cheminement…

    Vous pouvez proposer à votre femme d’insérer elle-même votre Bootie. Je sais par expérience que ces étapes sont importantes pour l’aider à s’approprier vos nouvelles aptitudes à la jouissance et les vivre comme une extension de son pouvoir érotique plutôt que de craindre de ne plus savoir vous satisfaire. Plus elle participera à votre cheminement (discussions, présence lors de sessions, manipulation de vos jouets, renouvellement régulier du massage prostatique dont vous nous parlez dans votre présentation, découverte de son propre plaisir anal…) plus il deviendra naturel et facile, plus elle en ressentira de satisfaction.

    Vous nous disiez dans votre présentation :

    Je sais que je n’en suis qu’au tout début d’une nouvelle relation de couple et d’une nouvelle sexualité ou tout reste encore à apprendre.

    C’est profondément vrai et bouleversant en même temps mais le prix à gagner vaut très largement l’effort que vous ferez.

    Mon cheminement m’a permis d’une part de découvrir les richesses cachées de ma sensualité et d’autre part de faire tomber les barrières invisibles qui existaient encore dans notre couple après tant d’années passées ensemble. Au fil des ans nous devenions de moins en moins amants, de plus en plus Mémé et Pépé. Maintenant nous profitons de toutes les occasions pour nous donner du plaisir, pour recevoir du plaisir, pour offrir notre plaisir (nous n’employons plus l’expression « prendre notre plaisir » qui nous paraît désormais beaucoup trop privative). Notre disponibilité à la jouissance orgasmique n’a jamais été aussi forte depuis que nous vivons ensemble.

    Convaincue par la transformation qu’elle voit en moi et rassurée sur les effets qu’elle a sur notre relation, ma femme a franchi cet été une barrière dont elle ne voulait même pas s’approcher. Elle a en effet décidé de découvrir ce que pouvait apporter la stimulation anale. Elle a donc fait son cheminement avec mes conseils, à son rythme. Elle a d’abord voulu que je sois présent, puis elle a poursuivi son exploration en solo.

    Très vite elle a emprunté les Peridise et le Tempo pour « faire ses gammes » ; j’ai compris qu’elle avait dû lire tout notre site et plus particulièrement notre traité d’Aneros. Elle m’a demandé d’assister à deux sessions pour lui apporter mon « avis technique » (pas le droit de toucher) ce qui m’a permis de constater qu’elle s’était bien familiarisée avec « mes jouets » et qu’elle commençait à apprécier leurs effets.

    En octobre elle m’a demandé conseil pour acheter un plug (le S de N’Joy) et a autorisé les caresses anales appuyée et profondes dans nos jeux. Début décembre ma douce m’a fait le cadeau de son premier orgasme déclenché par stimulation anale… Depuis elle a appris (très vite) à faire exploser ma prostate.

    Mon cheminement ne cesse de me donner de magnifiques cadeaux. Il en sera de même pour vous. Bon cheminement @aneveil.

    #21788
    aneveil
    Participant

    Andraneros Merci pour votre longue réponse, vos conseils pour adopter les jouets au sein du couple et votre très beau témoignage qui nous montre que ce que les médias appellent communément un “couple senior” n’est pas fatalement voué aux frustrations, aux renoncements progressif de la sexualité, ou à une relation pleine d’aigreur, de ronchonnement, de propos acariâtres et de stress mutuel… (c’est malheureusement le lot courant des couples de retraités que je connais)
    Ce témoignage me montre au contraire l’inverse : l’age peut au contraire être mis au service d’une profonde connaissance de soi et d’un épanouissement du couple pouvant dépasser toutes nos attentes.
    Pour y arriver cela implique sûrement beaucoup de qualité d’écoute et de dialogue au sein du couple et sûrement aussi pas mal de courage pour arriver à remettre en question les zones de confort établies et affronter ses monstres intérieurs et la peur de l’inconnu.

    De mon côté j’ai encore un gros blocage psychologique qui freine considérablement ma progression vers le super O,
    d’un autre côté je vis une renaissance de notre couple avec la découverte d’une nouvelle qualité de relation et de connexion plus profonde, mais ces blocages (critique intérieure) sont également un frein à cette nouvelle relation car la peur et l’inquiétude empêchent vraiment une vraie présence.
    Ma compagne pense que je vise deux objectifs à la fois et que c’est peut être bien trop ambitieux et compliqué pour l’instant.
    (notre intérêt commun pour la sexualité Tantrique et ma quête du plaisir prostatique)

    Mon problème actuel est ce que l’on appelle un ancrage (négatif) en PNL, soit un état émotionnel inhibant, une peur qui peut se déclencher à chaque fois qu’une situation nouvelle peut rappeler et donc réactiver l’état émotionnel d’une situation désagréable passée.
    J’ai “programmé” inconsciemment, ou plutôt une “critique intérieure” a programmée insidieusement en moi l’idée que l’exploration du plaisir anal était incompatible avec “une vie de couple normale” ou le fait que ce chemin impliquait forcément une perte de mon identité masculine et de ma virilité, faisant que je n’étais plus digne d’elle…
    Je sais pertinemment que c’est faux, mais il est difficile de défaire soi même un tel ancrage.
    Une piste d’audio-hypnose traitant de l’estime des soi et de la critique intérieure a partiellement améliorée les choses mais je sais que le travail n’est pas terminé…
    Je connais un peu les principes de la PNL et je vais essayer de travailler là dessus, mais si je n’y arrive pas je ne tarderai pas à aller consulter un hypnothérapeute-PNL.

    Comme le dit Jacques Ferber, un travail sur la sexualité nous confronte inévitablement à nos zones d’ombres dont nous nous étions accommodés et que nous avions enfouis, mais la progression de notre sexualité parallèlement à notre développement personnel nécessite le plus souvent de devoir affronter nos monstres intérieurs et d’ailleurs Andraneros votre témoignage le confirme en filigranes :

    Mon cheminement m’a permis d’une part de découvrir les richesses cachées de ma sensualité et d’autre part de faire tomber les barrières invisibles qui existaient encore dans notre couple après tant d’années passées ensemble. Au fil des ans nous devenions de moins en moins amants, de plus en plus Mémé et Pépé.

    Je ne sais combien d’années vous a-il fallu pour arriver à une telle liberté et une telle complicité au sein de votre couple ?

    Convaincue par la transformation qu’elle voit en moi et rassurée sur les effets qu’elle a sur notre relation, ma femme a franchi cet été une barrière dont elle ne voulait même pas s’approcher. Elle a en effet décidé de découvrir ce que pouvait apporter la stimulation anale.

    Pour ma compagne sa zone anale est pour l’instant une zone interdite, elle me dit que c’est pour elle sûrement un tabou qu’elle ne peut affronter et que son orifice vaginal lui suffit amplement. Je respecte totalement ce ressenti d’autant plus que la sodomie n’est plus pour moi une source de fantasmes ou une priorité à expérimenter.

    Début décembre ma douce m’a fait le cadeau de son premier orgasme déclenché par stimulation anale… Depuis elle a appris (très vite) à faire exploser ma prostate.

    Dans la mesure ou les femmes sont dépourvues de prostate, est il nécessaire d’avoir un objet (boule de geisha ou autre) enserré dans le vagin de manière à ce que le plaisir anal stimule le point G, ou la seule stimulation anale (sodomie ou gode anal) peut elle déclencher un tel orgasme ?
    Quand à “faire exploser votre prostate” si ce n’est pas trop indiscret comment s’y prends-elle ? Avec un objet ou avec ses doigts ?
    Cela m’intéresse beaucoup car depuis les débuts et les quelques jours d’excès (un peu fougueux) de stimulation de ma prostate par les doigts de ma compagne et l’impuissance temporaire mais tout de même relativement longue qui en a résultée, je me méfie un peu et à part un doigt qu’elle introduit parfois dans mon anus, nous n’avons pas osés renouvelé l’expérience…

    Encore merci Andraneros pour ce véritable travail de coach que vous menez si généreusement sur ce forum.

    #21797
    Andraneros
    Modérateur

    Ma compagne pense que je vise deux objectifs à la fois et que c’est peut être bien trop ambitieux et compliqué pour l’instant (notre intérêt commun pour la sexualité Tantrique et ma quête du plaisir prostatique).

    Elle a raison si votre quête du super O’ est la conséquence d’un besoin non maîtrisé de plaisir pour compenser un désamour profond, inspiré par votre inconscient, de ce que vous êtes.
    Elle a tort si votre quête du plaisir prostatique est la conséquence d’une recherche pour améliorer par ce biais la perception de votre corps à un moment où l’âge commence à se faire sentir.

    La pratique du massage prostatique avec un masseur non vibrant s’inscrit naturellement dans les principes présents dans le Tantra ou le Tao. Elle conduit à la découverte et à une forme de contrôle d’une énergie interne pour ceux qui vont au bout de leur cheminement. Elle permet à l’homme l’apprentissage d’un état d’esprit où il ouvre son être pour recevoir son plaisir, au lieu de le prendre. Elle lui permet de découvrir qu’il est masculin et féminin à la fois.

    Si vous parvenez, avec l’aide de votre femme et si nécessaire celle d’un thérapeute, à accepter que ce cheminement ait, provisoirement à mon avis, quelques effets négatifs vous pouvez visez les deux objectifs. N’oubliez pas que la découverte du super O’ ne se fait ni dans l’effort ni dans la tension mais dans la pratique, la patience, le relâchement, l’écoute et l’acceptation.

    Mon évolution et celle de ma relation avec ma femme s’est faite, et se fait encore, en gros depuis le début de mon cheminement et ma découverte du blog d’Adam et du Traité d’Aneros et mon inscription sur le forum.

    Ma femme, comme moi avant, avait le même tabou. Elle a d’abord accepté que je joue avec mon anus, puis elle a commencé à manipuler timidement mon masseur pendant nos câlins, puis avec plus de naturel. Jusqu’à récemment elle n’avait pas dépassé le stade de la caresse externe. La règle était que je ne devais pas cacher mes explorations, que je devais lui en parler et que je ne devais rien lui imposer.

    Ma femme a fait son apprentissage du plaisir anal sans stimulation vaginale simultanée (pour appliquer les mêmes règles que celles que nous suivons pour notre découverte du plaisir prostatique !). Son nouveau plaisir est donc vraiment anal. L’étape suivante, quand elle jugera sa nouvelle aptitude à jouir suffisamment maîtrisée, sera de combiner les stimulations vaginales, anales et clitoridiennes. Jusqu’à nouvel ordre seule l’alternance est au programme.

    Cette expérience est très nouvelle pour elle et encore difficile à exprimer clairement. Elle dit sentir une forme de pression interne, comme un poids, centrée sur l’anus qui le fait trembler et peu à peu se contracter jusqu’à la perte de contrôle. Son premier orgasme anal, en dehors de ma présence, l’a tellement surprise qu’elle n’en a ressenti aucun plaisir. Elle dissocie cette forme d’orgasme de ceux qu’elle a au niveau du clitoris ou du vagin. Son plaisir est très différent pour chaque type d’orgasme. Pour l’instant l’orgasme anal lui apporte plutôt moins de satisfaction (moins fort ou moins bien ressenti ?.

    Quant à l’efficacité des massages prostatiques qu’elle me fait, je pense qu’elle est autant, sinon plus, le résultat de ma nouvelle sensibilité et de mes nouvelles aptitudes à jouir que de sa technique à proprement parler. Au départ elle suivait mes indications, maintenant elle s’approprie peu à peu les mouvements qui deviennent aussi naturels pour elle que les autres caresses qu’elle sait prodiguer. La lubrification est toujours très abondante, tant dans mon rectum que sur ses doigts et ses ongles sont coupés très courts bien sûr.

    Bon cheminement @aneveil.

    #21799
    aneveil
    Participant

    Elle a raison si votre quête du super O’ est la conséquence d’un besoin non maîtrisé de plaisir pour compenser un désamour profond, inspiré par votre inconscient, de ce que vous êtes.
    Elle a tort si votre quête du plaisir prostatique est la conséquence d’une recherche pour améliorer par ce biais la perception de votre corps à un moment où l’âge commence à se faire sentir.

    C’est en effet intéressant de répondre et de faire le point sur ce qui nous pousse et nous motive dans cette démarche.
    Je crois que je n’ai pas de quête particulière du super O en soi, ni de besoin de compenser quoi que ce soit par ce biais là.
    La recherche du plaisir prostatique est pour moi une manière ou plutôt un besoin profond d’accéder à une sexualité et à une conscience corporelle beaucoup plus vaste, j’y vois aussi l’accès à une énergie sexuelle, une énergie de vie restée trop longtemps ignorée et dans l’ombre, un trésor caché que je sais présent et dont j’ai pu entrevoir l’éclat mais qu’il me reste à découvrir dans sa totalité. Ce chemin a clairement pour moi quelque chose d’initiatique visant une plus grande connexion avec ce qu’il y a de vivant en moi, votre paragraphe suivant confirme d’ailleurs clairement l’aspect “sacré” et initiatique de cette démarche :

    La pratique du massage prostatique avec un masseur non vibrant s’inscrit naturellement dans les principes présents dans le Tantra ou le Tao. Elle conduit à la découverte et à une forme de contrôle d’une énergie interne pour ceux qui vont au bout de leur cheminement. Elle permet à l’homme l’apprentissage d’un état d’esprit où il ouvre son être pour recevoir son plaisir, au lieu de le prendre. Elle lui permet de découvrir qu’il est masculin et féminin à la fois.

    C’est tout à fait ma vision des choses 😉

    Merci pour les précision de vos pratiques en couple, le fait que ce soit possible cela me rassure beaucoup.

    J’oubliais ce passage :

    Vous vivrez de plus en plus souvent et de plus en plus naturellement ces moments de double plaisir. Je pense que la participation active de votre femme à votre quête devrait bientôt en faire des moments de triple plaisir lorsque vous percevrez les radiations de sa jouissance comme une stimulation sensorielle supplémentaire qui amplifiera la vôtre.

    Vous me confirmez donc qu’il est possible ou même fréquent que ce double plaisir puisse avoir lieux
    lors d’un coït ?
    Le problème est que plus je souhaite que cela recommence, moins je suis ouvert à ce cadeau, à cette magie…

    #21801
    Andraneros
    Modérateur

    @aneveil lors d’un coït ou de toute forme de caresse consacrée au pénis mais cela demande une séance amoureuse où tout se fait lentement, en prenant notre temps de faire monter le plaisir.

    Ce que j’appelle double plaisir est la capacité que j’ai maintenant à réagir distinctement à des stimulations diverses en ressentant de mieux en mieux la diversité des sources de mon plaisir. En d’autres termes la double stimulation, prostate et pénis, ne se traduit plus « seulement » par la montée amplifiée d‘un seul orgasme, mais comme la montée de deux orgasmes qui dans les meilleures conditions vont se nourrir l’un de l’autre.

    Mon problème est que je ne suis pas encore capable de dire si je vis bien deux orgasmes en parallèle ou si c’est une invention de mon esprit. A suivre. En tout cas je n’ai pas cherché à obtenir ce résultat. C’est apparu peu à peu, à mon grand étonnement et à ma plus grande satisfaction, comme un fruit de mon cheminement.

    Bon cheminement @aneveil.

    #21811
    aneveil
    Participant

    Bonjour Andraeros,

    Certaines de vos réponses comme celle que je cite ci-dessous ont contribuées à me faire franchir une étape majeure de mon cheminement avec une expérience inoubliable qui a eu lieu cette nuit et s’est poursuivie ce matin.

    La pratique du massage prostatique avec un masseur non vibrant s’inscrit naturellement dans les principes présents dans le Tantra ou le Tao. Elle conduit à la découverte et à une forme de contrôle d’une énergie interne pour ceux qui vont au bout de leur cheminement. Elle permet à l’homme l’apprentissage d’un état d’esprit où il ouvre son être pour recevoir son plaisir, au lieu de le prendre.Elle lui permet de découvrir qu’il est masculin et féminin à la fois.

    J’ai aussi visionné et écouté quelques vidéos de Darpan comme [L’union du coeur et du sexe (extrait)] et [L’AMOUR ENTRE L’HOMME ET LA FEMME avec Julien et Gwennoline]
    (Darpan est un maitre spirituel Suisse dont les propos sont particulièrement habités et touchants)
    Ses paroles m’ont rappelé des fondamentaux sur des principes Tantriques (même si il ne parle pas de Tantrisme) et j’ai compris comment faire le lien entre les principes Tantriques Homme/Femme et notre part Homme/Femme intérieure…
    Cela m’a permis de comprendre de manière physique (peut être que pour moi..), comment la prostate peut s’éveiller très rapidement…
    Cette expérience avec montée de Kundalini très rapide vécue cette nuit et les séries d’orgasme vécus ce matin (sans rien d’inserré en moi) en réponse à cette découverte m’a totalement bouleversé et je suis en train de mettre tout cela par écrit pendant que mes souvenirs ne sont pas encore trop altérés…

    #21895
    Andraneros
    Modérateur

    C’est formidable @aneveil ! Les portes du Paradis orgasmique se sont ouvertes et vous ont permis d’entrer. Quel bonheur pour vous et pour nous qui vous lisons ! Quel encouragement pour les amis qui s’en approchent !

    Je suis persuadé que je ne suis pas le seul à attendre avec un très grand intérêt votre témoignage sur cette expérience qui vous a permis de basculer dans une extase orgasmique qui me semble beaucoup ressembler au fameux super O’ de la carte au trésor (étapes 56, 57 peut-être 58 ?).

    Bon cheminement @aneveil.

    #21897
    aneveil
    Participant

    Merci Andraneros pour les encouragement et votre bienveillance légendaire !
    Mais cette estimation de ma position sur la carte au trésor est sûrement très optimiste,
    car je me situe plutôt entre 46 et 48, peut être 49, mais peu importe…

    Concernant cette expérience du 6 janvier, je vais essayer de faire court :
    Le soir du 5 après avoir visionné des vidéos de Darpan et en revenant à pieds de la boulangerie j’ai l’intuition de m’être égaré dans une approche trop technique, trop matérialiste et d’avoir en quelque sorte “violé ma femme intérieure” lors de mes dernières cessions avec l’Aneros.
    Je me souviens de mémoire de quelques phrases de Barry Long dans “Faire l’amour de manière divine” (Barry Long qu a été un mentor très important pour Darpan)
    “La femme ne peut donner à l’homme ce qu’il ne peut recevoir”
    Et certaines phrases de Darpan qui sont très proche de celles de Long : (toujours de mémoire…) “L’homme ne devient homme qu’en retrouvant son autorité, mais ce n’est pas l’autorité du macho par la force physique ou par le pouvoir, mais une autorité qui consiste à savoir aimer de manière juste la femme”. (le terme juste est plutôt de Barry Long, mais ce n’est pas très grave si Darpan utilise un autre terme…)
    D’autre notions importantes chez Long comme Darpan et que l’on retrouve bien sûr dans le Tantrisme : Pour que la femme s’ouvre et puisse libérer à l’homme ses énergies divines, l’amour (juste) de l’homme doit précéder et accompagner son désir sexuel (sinon la femme se bloque). C’est le Yoni de la femme qui s’ouvre pour accueillir le lingam (ce n’est bien sûr pas le lingam qui force l’entrée)
    Toutes ces notions germent en moi, ainsi que toutes les lectures tantriques dans lesquelles nous baignons depuis 3 mois…
    Dans le Tantrisme l’homme doit s’ouvrir à sa part féminine Yin, comme la femme s’ouvre à sa part masculine Yang, et lors des rituels d’union (amoureuse et charnelle) l’homme “ordinaire” devient l’incarnation de Shiva et la femme l’incarnation de Shakti.
    Je remets le lien de la page 227 du livre d’André Van Lysbeth « Tantra le culte de la féminité » Avec cette légende : “Bien que dieu mâle en apparence, Shiva est en fait androgyne”

    La nuit dans un demi sommeil ou un sommeil conscient, ces notions me reviennent et je pose la question : Le plaisir et l’orgasme prostatique ne serait-il pas le résultat de l’amour* profond, de l’union sexuelle, de l’amour de mon masculin extérieur et de mon féminin intérieur ?
    (*L’amour compris dans la sexualité sacrée ayant très peu de rapport avec l’amour romantique ou le mot amour en temps que mot archi-galvaudé.)
    En réponse mon corps est alors entièrement traversé, par une puissante énergie montante du bassin à la tête,
    cela ressemble à ce qui est couramment décrit comme une montée de Kundalini, ce n’est pas pour moi un orgasme, mais clairement une réponse à ma question.
    Je me réveille une peu sous le choc mais extrêmement heureux de ce qui vient de se passer, ma zonne prostatique est alors très réveillée et la moindre petite contraction ou pensée la fait agréablement réagir, mais je me rendors finalement.
    A mon réveil ma zone prostatique est encore réveillée et la moindre contraction du périnée ainsi que la moindre caresse provoque des spasmes de contraction involontaires, idem pour les pensée à caractère tantrique, la moindre lecture de texte tantrique, l’évocation du dessin de la page 227 (plus haut) le sentiment d’amour que j’éprouve envers ma part féminine (qui est relié à ma compagne comme à toutes les femmes) sont l’occasion d’autant de spasmes, vagues de plaisir et petits orgasmes qui se succèdent à mon lever puis lors de mon petit déjeuner. Cela se calme et ça repart à la moindre pensée que je vis profondément, et je ressens clairement et physiquement mon côté droit comme masculin et mon côté gauche comme féminin, leur amour et leur rencontre… Cela repart et continue sous la douche sous mes doigts savonneux avec un ou des orgasmes (je ne sais plus..) plus puissants encore.

    Pendant toute cette expérience (sans Aneros inséré) je n’ai pas cherché à amplifier le plaisir tellement j’étais concentré à apprendre et comprendre le sens et la portée de ce qui se passait.

    Je suis ensuite resté un peu sonné, assez bouleversé de ce qui s’était passé et très occupé à tenter de prendre des notes pour ne pas oublier…

    Le lendemain matin j’ai suivi vos conseils et ce fut encore une très belle expérience avec cette fois-ci mon Anéros et ma femme réunis pour la première fois…

    #28770
    aneveil
    Participant

    @Envole

    Hello @aneveil, quels magnifiques moments dans ta description…Evidemment ce n’est peut-être pas facile à comprendre pour la personne qui partage ta vie…C’est tellement loin de ce qu’on s’imagine en général de la sexualité/sensualité qu’un corps masculin peut procurer…Tout le meilleur à vous deux dans votre progression !!! A bientôt,
    Naomi

    Bonjour Naomi,
    Là c’est un peu la douche froide car je traverse en effet une période assez difficile dans notre couple.
    Alors que je vivais (il y a encore peu) dans mon corps des orgasmes de plus en plus forts et fréquents avec ou sans objet inserrés, ma compagne glisse de plus en plus vers l’anorgasmie.
    Cela crée bien sûr entre nous un fort déséquilibre tant au niveau de nos énergies sexuelles qu’au niveau du désir. Je crois comprendre qu’elle apprécie de moins en moins l’idée que je puisse avoir “beaucoup plus de plaisir seul” et en dehors d’elle, même si pour moi ce n’est pas du tout comparable et que la relation comme le contact de son corp et sa présence reste pour moi très important.
    Mon évolution lui fait peur et mes besoins comme mes expériences lui semblent totalement sans limites ce qui l’in-sécurise totalement,
    car elle me dit avoir peur de ne plus me reconnaître.
    Du coup depuis deux jours mon énergie prostatique et mon moral sont retombés comme un soufflet.

    J’ai l’impression que ceux qui ont la chance de vivre harmonieusement ce type de pratiques en couple se comptent vraiment sur les doigts d’une main.

    Bonne journée et à bientôt.

    #28772
    Epicture
    Participant

    Cher @Aneveil,
    Qui dit déséquilibre, pense aussi équilibre.
    Or l’équilibre par définition est instable. Il nya à mon avis aucun couple qui vive dans l’harmonie permanente. Pour trouver et ameliorer lequilibre, il faut des periodes de déséquilibre. Au vu de ce que ta femme a déjà parcouru, je suis certain qu’elle saura poursui re son cheminement. Mais il faut parfois du temps.
    Bon cheminement a toi et ta femme

    #28801
    Jieffe
    Participant

    Bonjour Aneveil,

    Cette réaction de ta femme ne paraît pas incohérente, et je pense que même si tu t’évertues à la rassurer, elle n’entendra que ce qu’elle voudra. Le point extrêmement positif, c’est qu’elle ait pu l’exprimer, et que vous semblez avoir à ce sujet une bonne communication. Il se peut que cette anorgasmie et cette crainte soient liées.
    J’ai tendance à penser que les personnes trop proches, comme toi, ne sont pas les mieux indiquées pour aider ou rassurer l’autre. Penses tu qu’il serait envisageable pour vous de consulter, un sexothérapeute par exemple? Je pense sincèrement que cela pourrait être une bonne idée.
    Qu’en penses tu?

    #28805
    aneveil
    Participant

    Bonjour @Jieffe et @Epicure,
    Je vais déjà mieux depuis mon dernier message même si tout cela ne s’est pas évaporé par enchantement…

    @Jieffe
    Je pensais aussi revoir la sexothérapeute que j’ai consulté il y a un an, ou plutôt y aller en couple. Mais si ma femme n’est pas contre la consulter pour des problèmes relationnels, elle refuse pour l’instant d’y aller pour y parler sexualité (surtout de la sienne).

    #28810
    Envole
    Participant

    Hello @aneveil, je ne connais que trop ces situations malheureusement…Beaucoup d’hommes ont du mal à explorer leur féminité, mais beaucoup de femmes ont du mal à voir des hommes le faire…Le schéma mental de genre codifié par des milliers d’années de civilisation patriarcale y contribue fortement…On ne remet pas tout ça en cause en un tournemain…Aussi délicieux soit-il…
    Tout le meilleur à vous deux en tous cas,
    Naomi

    #28812
    Jieffe
    Participant

    Bonjour @aneveil

    Je trouve ça très bien qu’elle accepte de consulter, c’est déjà un grand pas. Les problèmes relationnels mèneront peut-être à la sexualité, et par conséquent peut-être à la sienne, mais en douceur. Je serais tenté de dire que c’est le boulot du thérapeute de découvrir ce qui ne va pas, et de mener ses patients à résoudre ce problème, en en parlant ou pas. Quoi qu’il en soit, si j’ai bien compris, son plus gros problème est ta sexualité. Il n’est donc pas question pour le moment de discuter de la sienne.

    Puisqu’elle est d’accord, et que la dégradation de vos relations est très récente si je ne me trompe pas, je ne saurais que t’inciter à ne pas traîner et à prendre rdv au plus vite. À mon sens, moins les situations s’installent dans le temps, plus elles sont faciles à résoudre.

    Je te souhaite du courage et de la détermination dans ton entreprise. Au travers de tes écrits, j’ai pu comprendre que vous êtes un couple proche et amoureux, c’est précieux et ça vaut le coup de tenter de le conserver dans les meilleures conditions.

    #28813
    Andraneros
    Modérateur

    Vos messages des 19, 20, 24 et 25 juin permettent de constater à quel point un tel cheminement n’a rien d’anodin pour celui qui le fait ni pour son entourage. Les « émotions négatives » dont vous parlez dans le premier sont aussi, et peut-être encore plus, présentes chez votre femme qui peut souffrir en plus de
    1) l’absence de cette forme de fantasme,
    2) l’absence de préparation aux franchissements de seuil dans l’expression du désir et sa réalisation,
    3) la jalousie, même non formulée, devant l’accroissement de la jouissance vécue et exprimée par l’autre,
    4) la peur de la différence qui peu à peu se manifeste dans le désir, dans l’expression du désir, dans l’intensité de la jouissance et sa répétition,
    5) le sentiment d’un lien qui s’affaiblit sous l’effet de cette différence,
    6) la peur de l’abandon faute de savoir ou pouvoir répondre à cette situation,
    L’insécurité qui découle de la perception d’une différence qui tend à s’accroître entre vous deux est un facteur suffisant pour être à l’origine de l’anorgasmie que vous constatez. Je ne suis pas étonné de son refus de parler de SA sexualité dans la mesure où cette approche revient à accepter qu’elle est le problème, alors qu’à ses yeux c’est vous qui êtes le problème.

    Votre analyse est bonne. Vos constatations que je reformule à ma manière conduisent à des conclusions dont aucune n’est applicable sans une participation sincère de votre femme. De mon expérience je tire que le plus important est de restaurer et de maintenir la confiance entre vous deux, quelque soit la différence, provisoire peut-être, dans l’évolution de vos sensualités. Cet état d’esprit a trois conséquences :
    1) Cette confiance ne se construit pas seulement au moment de vos ébats érotiques ni de vos conversations intimes mais aussi, voire surtout, dans toutes les autres occasions de la vie commune.
    2) Cette confiance peut demander du temps pour renaître, pour se renforcer, pour redevenir évidente et naturelle.
    3) En attendant vous devrez accepter de « voyager seul et moins vite » ce qui se traduira par un « manque à gagner sensuel » en échange de la promesse d’un rattrapage un peu plus tard.
    Tout autre état d’esprit porte le risque d’une rupture au moins affective sinon malheureusement plus complète.

    Bon cheminement @aneveil.

    #28846
    aneveil
    Participant

    Bonjour et merci à tous,

    J’hésitais à répondre car j’ai bien conscience de polluer pas mal ce fil dédié au “G-Spot Metal Wand”,

    @Andraneros
    , serai-il possible de déplacer cette discussion ailleurs ?
    Par exemple le sujet que j’avais lancé il y a un an et demi pourrait peut être convenir ?

    Plaisir et orgasmes prostatiques en couple, vos conseils et témoignages…


    @Andraneros

    En effet ce genre de pratiques et de cheminements n’est pas sans conséquences sur sa vie et sur celle de son entourage, je crois que peu de “débutants” en sont réellement conscients, enfin quand on ne vit pas en couple tout ceci est nettement plus simple.

    1) Cette confiance ne se construit pas seulement au moment de vos ébats érotiques ni de vos conversations intimes mais aussi, voire surtout, dans toutes les autres occasions de la vie commune.

    Votre analyse est aussi juste que complète et je suis bien conscient que c’est dans notre relation au sens large qu’il faudra travailler, je suis à présent persuadé que focaliser sur la sexualité ne fera qu’accentuer le problème.

    alors qu’à ses yeux c’est vous qui êtes le problème.

    C’est tout à fait ça, elle s’est montrée jusqu’a présent “très conciliante et très ouverte” jusqu’à un certain point et au bout de ses limitations (tant que je ne m’autorisais pas à vivre pleinement cette nouvelle forme de sexualité). De mon côté j’ai beaucoup travaillé à lever mes peurs et mes limites, paradoxalement je ne me suis jamais aussi bien senti dans mon corps mais l’évolution de notre relation devient une source de mal-être sûrement commune.


    @Envole

    Le schéma mental de genre codifié par des milliers d’années de civilisation patriarcale y contribue fortement…On ne remet pas tout ça en cause en un tournemain…Aussi délicieux soit-il…

    J’y reviendrais certainement dans un texte en cours que j’appellerai “De l’orgasme énergétique à l’orgasme du Cœur”…
    Mais c’est vrai que depuis un an j’ai beaucoup travaillé sur tout ça, que ce soit par la danse méditative, le mouvement des énergies internes en liaison avec les émotions que j’apprivoise de mieux en mieux, car il y chez moi une véritable passion pour ce genre d’explorations. Alors que ma compagne s’accommode très bien de l’ordre établi et des schémas codifiés de la société, ça a toujours été une très grande différence entre nous même si l’intérêt commun pour la CNV et le Tantra nous a un temps rapprochés.

    #28864
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @aneveil.
    C’est fait. J’ai libéré le fil de discussion consacré au G spot metal Wand pour faire le regroupement que vous suggérez.

    J’espère que vous saurez surmonter la difficulté qui empoisonne votre vie de couple. Bon cheminement @aneveil.

    #28865
    aneveil
    Participant

    Merci infiniment @Andraneros pour ce déplacement de haute voltige.
    (Donc avant le 24 Juin il faut aller voir sur le sujet du “Metal Wand” car ce qui précède ici avant le 24 a plus d’un an..)

    Demande de RV faite chez la sexothérapeute que je connais… 🙂

    Je viens de “tomber” sur ce superbe texte de Daniel Odier qui me parle décidément très fort :
    http://www.danielodier.com/french/frsexualite.php
    Et j’écoute “A Humdrum Star” le dernier album de “GoGo Penguin” sur Deezer…. La vie a parfois un goût d’extase.

    #28870
    Epicture
    Participant

    Oui ce texte est assez juste, selon moi. On y retrouve l’essentiel.
    J’allais proposer de faire une petite analogie entre ta relation à toi même, dans le cadre d’une quete de plaisir a traver le massage prostatique, qui pour beaucoup necessite de ne rien en attendre, et, ta relation conjugale. Plus j’avance dans ma relation, plus je pense que pour la faire grandir il ne fait rien en attendre. C’est ce qui donne de l’espace à l’autre. Être à l’écoute pour encourager, noter, montrer qu’on les a vus, tous les petits signes de créativité, les petits pas qui sont fais vers le plaisir de partager sa vie avec moi. Et faire des choses pour montrer qu’on est là, present, aimant. Finalement c’est assez proche de la relation que j’ai renoué avec mon corps.

    Bon cheminement à ta femme et toi aneveil

20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 36)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.