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18 juillet 2020 à 10 h 23 min #38220bzoParticipant
d’un côté, je chante les louanges de ce corps,
les ressources tellement magiques de ce corps,
qui semble vraiment comme un chapeau de prestidigitateur par moments
d’où sortent toutes sortes de bestioles qui vont faire leur course délicieuse dans notre chairmais d’un autre côté, je me dois de pester contre son usure,
cela me soulage de mettre cela en mots,
une posture au lit qui ces derniers jours, retrouvait un franc succès chez moi,
à savoir couché mais la partie supérieure du corps relevée, m’appuyant sur les deux coudes,
ainsi on est dans une position vraiment confortable, bien en équilibre
malgré les mouvements, les gestes et le tangage qui peut être assez accentuée
qui peut être tenue bien longtemps sans aucune fatigueon peut aussi relever un peu les jambes en faisant monter les genoux,
le bassin est libre de bouger, de danser, on est bien calé sur les coudes
qui offrent un soutien sans failleavec masseur, cette posture offre des angles de frottement à la prostate, tout à fait délicieux
et qu’on peut varier à l’infini,
le bassin est vraiment bien placé pour effectuer des mouvements de va et vient,
à la fois puissant mais qu’on peut aussi varier avec délicatesse et finesseaneroless, les cuisses peuvent venir frotter les bijoux de famille
avec une grande variété de mouvements,
les contractions peuvent aussi s’effectuer avec toutes sortes de nuances
qu’on n’a pas, couchéun des bras peut momentanément s’arrêter de soutenir
et venir caresser un sein, une poitrine,
voire plus bas, descendre le long d’une jambe,
venir derrière, titiller dans la fente, chipoter dans l’orificemais voilà, depuis hier, ma tendinite du coude droit, s’est réveillée,
est très douloureuse par moments,
je ne peux plus prendre appui dessus,
j’essaie de trouver des alternatives,
continuant de m’appuyer sur le coude gauche et restant avec l’autre bras tendu
mais l’appui n’est pas aussi efficace, on n’est pas aussi stable
et c’est plus fatiguantje vais continuer de chercher mais la voie la plus simple et la plus optimale,
semble dorénavant exclue malheureusement19 juillet 2020 à 23 h 14 min #38227bzoParticipantil n’y a rien à faire dès que j’écarte les cuisses un peu longuement
et que les ondes prostatiques se retrouvent seules en piste,
il y a quelque chose qui ne fonctionne plus,
comme une sensation de vide dans le bassin
qui m’est vite intolérableje suis trop habitué au délicieux, à l’ineffable, amalgame
des ondes génitales aux ondes prostatiques,
l’une sans l’autre, j’ai totalement perdu l’habitude,
autant dire qu’il y a du rewiring en l’air,
il va falloir se retrousser les manches, si je puis me permettre cette expressionje vais m’attaquer à ce défi, je le veux,
avec masseur, retrouver les orgasmes prostatiques, retrouver les super O,
ils me manquent trop, il faut varier,
j’ai désormais trop d’expérience,
je sais qu’il n’y a pas de plaisir aussi puissant, aussi splendide, soit-il
qui peut résister à la routine,
pourtant je n’arrête pas d’expérimenter, de progresser
mais ce n’est pas assez,
je pratique quotidiennement, en moyenne 45mn , je dirai
et je dois pouvoir avoir plusieurs cordes à mon arc
si je veux continuer à décocher des flèches dans le ciel, bien haut, bien loinmais je comme je l’écris plus haut,
mes orgasmes prostatiques me manquent,
je me rappelle avec nostalgie ces orgasmes que j’enchaînais pendant des heures,
qui me faisaient ruer dans toutes les directions
comme un kangourou qui aurait perdu la tête,
me faisant même parfois tomber du lit
et où je continuais par terre, me cognant aux meubles,
arf, cela vous laisse des souvenirs dans la chair, des moments comme cela,
où une folie orgasmique totale s’empare de vous
et votre corps se lâche complètement, s’abolit de toute règle, de toute disciplinepas ce soir, je m’en sens pas le courage,
j’ai essayé quelques minutes, juste pour prendre la mesure de l’ampleur de la tache,
bah en fait, cela peut ne durer que quelques minutes, comme plusieurs heures,
le temps d’accepter avec humilité, de faire s’évaporer toute trace d’impatience et d’attente,
me replonger dans l’écoute de mon corps sans préjugé et sans énervement ,
m’habituer à ce vide dans mon bassin pour un certain temps,
me réhabituer à ce que les ondes agissent différemmentpas évident mais un beau défi
et le jeu en vaut la chandelle,
après j’aurai déjà cette pratique tellement développée, tellement aboutie
et puis pour varier, j’aurai une pratique prostatique à nouveauj’ai d’ailleurs décidé de me lancer toute une série de défi,
je veux pouvoir beaucoup plus varier,
je vais m’attaquer au “do nothing” classique tel que décrit dans le traité, entre autres,
j’avance trop centré que sur une seule façon de pratiquer,
aussi riche, aussi consistante, soit-elle,
il faut se montrer intelligent, proactif, devancer les risques de lassitude,
diversifier, diversifier21 juillet 2020 à 0 h 15 min #38233bzoParticipantma pratique 2.0 se met en place tout doucement,
comme c’est bon tout cela, comme c’est appétissant tout cela,
c’est comme un gros gâteau qui se révèle, dans toute sa splendeur pâtissière,
se goinfrer de toute cette volupté, se goinfrer de toute cette jouissancecette capacité que j’ai désormais de mixer ondes prostatiques, génitales et anales, à volonté,
leur amalgame se faisant parfaitement à tout instant,
cela crée une telle richesse de nuances, de tels changements constamment dans les sensationscependant ce n’est pas le fruit du hasard si je parviens à tellement bien les marier,
il y a une raison bien précise à cela,
elle se dénomme le mode yin,
il faut bien comprendre que ce n’est pas du plaisir prostatique
ou du plaisir anal ou du plaisir génital que je ressens, que je mélange
mais bien du plaisir en mode yin que j’enrichis, que je diversifie, que j’intensifie
avec des ondes prostatiques, des ondes génitales et des ondes anales,
la nuance est énorme,
je l’ai bien compris désormais,
maintenant que cela s’est encore bien amplifié, bien enrichid’où mon texte au-dessus de celui-ci,
si je veux revivre des orgasmes prostatiques,
je le comprends à présent, il va falloir m’y prendre définitivement autrement,
il y a quelques semaines, quand j’ai commencé à pouvoir injecter des grosses quantités d’ondes prostatiques,
j’ai pu me donner l’illusion que je pourrais revivre des orgasmes prostatiques ainsi
mais non, cela y ressemblait un peu par moments, j’ai surtout voulu y croire très fort
mais depuis j’ai pu me rendre compte que c’est fondamentalement différentce corps peut se vivre de deux manières totalement différentes dans le plaisir,
en mode yang et puis en mode yin,
les choses ne sont pas noir ou blanche, bien sûr,
ces deux modes ne sont pas imperméables l’un par rapport à l’autre,
entre les deux, une infinité de passerelles possible ponctuellement
mais fondamentalement, vous allez être soit en mode yang, soit en mode yin,
avec essentiellement les règles, les frontières
et puis surtout les sensations, la jouissance et la façon de percevoir le corps, de l’un ou de l’autrepersonnellement j’ai choisi le mode yin, j’ai été attiré irrésistiblement par cela
et suis allé aussi loin que possible dans cette direction,
j’y bascule automatiquement désormais à 100% ou à peu près,
et je ne le regrette pas un instant d’avoir pris ce chemin,
j’aime tellement cela, cette volupté qui vous prend dès le premier instant
et qui se perçoit dans tout le corps,
ce bain de lascivité dans lequel on est submergé,
cette extraordinaire sensation de se faire l’amourcependant je regrette d’avoir totalement abandonné le massage prostatique
et toutes ses spécificités, ses orgasmes à la chaîne, ses super O
mais peut-être fallait-il que je casse tous les ponts complètement
pour pouvoir y arriver à ce point en mode yin?cependant à présent, je veux retrouver mes capacités à vivre des moments purement prostatiques,
c’est un défi que je veux relever, j’en ai profondément envie,
néanmoins je suis pas mal découragé devant l’ampleur de la tache pour l’instant,
enfin cela me parait immense mais peut-être que ce sera résolu en quelques minutes ou quelques heuresmais l’idée me retrouver impuissant pendant de longues minutes, voire des jours, des semaines,
comme un débutant face à une chair qui ne réagit plus comme je voudrais
alors qu’avec ma pratique, tout est tellement bien en place,
qu’instantanément les sensations délicieuses démarrent,
que je peux me laisser mener par le désir,
que le moindre geste, le moindre mouvement, provoquent des vagues en moi,
à l’idée d’abandonner tout cela, même ne fusse que pour une seconde,
faire face à une chair muette, désespéramment muette, désespéramment inerte,
ne réagissant plus à mes sollicitations,
en tout cas dans un premier tempsbref, il s’agit de retrouver la bonne attitude face à un niveau d’adversité
auquel je ne suis plus habitué,
humilité, ne rien attendre de ses séances, patience, etc,
tout le monde par ici, connait cette litanie par coeur
mais moi, cela fait longtemps que je ne la pratique plus trop
parce que je trouve tout naturel que tout soit là dès le premier instant,
je respire, je mange et puis je me procure du plaisir aussi d’une certaine manière,
c’est totalement ancré dans ma chair et dans mon esprit
une nourriture sexuelle constamment à ma portée quand je suis chez moi, cela va de soi,
alors me retrouver tout d’un coup avec une chair qui ne réagit plus à mes sollicitations?tout m’est-il devenu trop facile?
très certainement pas, je mérite tout ce que j’obtiens durant mes séances,
j’ai travaillé dur et longtemps pour cela
mais temps d’assumer d’autres défis dans un esprit de diversification proactive
pour avoir par-devant soi une palette plus complète de façons de s’émoustiller
et de s’envoyer en l’air en solitairene pas risque un instant l’usure, l’habitude, la routine,
la seule façon, c’est d’avoir plein de cordes à son arc,
même s’il y en a une qu’on préfère aux autres21 juillet 2020 à 19 h 37 min #38237bzoParticipanthier soir vers 01h du matin,
j’ai fais un premier quart d’heure en prostatique uniquement, avec masseur15mn, c’est pas grand chose dans l’absolu mais je suis déjà très content,
je commençais à être fatigué mais je tenais absolument à entamer ma croisade
et ma foi, le résultat a été très satisfaisant pour une première foisles sensations étaient là, elles étaient bonnes, pas d’orgasme encore
mais l’important c’est que quelque chose se soit passé,
comme je me doutais la sensation de vide m’a accompagné tout le long
et ce fut vraiment très dur par moments de résister à l’envie de juste serrer les cuisses
et commencer à presser, à frotter, mes bijoux de famille
et ainsi, avoir le bassin envahi en un clin d’oeil d’ondes génitalesmais j’ai résisté, bon il faut dire que même avec les cuisses écartées,
il y a tout de même des petits contacts, ce qui avait passait tout à fait inaperçu,
désormais m’envoyait à chaque fois des petits éclairs de douceur,
mes couilles, mon sexe, sont devenus tellement sensibles au moindre contact de mes cuisses,
enfin j’ai tenu,
je vais continuer ainsi, on va voir où cela va menerune observation,
j’ai vraiment l’impression que les ondes génitales circulent tout à fait différemment,
elles se diffusent beaucoup plus facilement,
je crois que quand il y a un amalgame qui se fait entre ondes prostatiques et ondes génitales,
comme cela se fait quasi constamment durant mes séances,
eh bien les prostatiques bénéficient des propriétés de diffusion des ondes génitales
et ainsi se répandent beaucoup plus facilement dans le bassin et plus loinalors que toutes seules, les ondes prostatiques, j’ai pu le constater,
semblent se diffuser différemment, plus difficilement ,
elles semblent plus omni-directionnelles, moins capable de se répandre,
aussi elles durent moins longtemps,
les ondes génitales, j’ai l’impression durent plus longtemps,
peuvent donc plus rapidement se diffuser plus loin et dans toutes les directionsmais encore une fois quand il y a mélange,
les ondes prostatiques bénéficient des propriétés des ondes génitales
et ainsi se répandent aussi plus loin, plus rapidementles ondes prostatiques sont plus concentrées, plus en faisceau dense,
cependant quand l’excitation montera, en prostatique pure,
les capacités de projection de ces ondes vont notablement s’amplifier22 juillet 2020 à 9 h 17 min #38241bzoParticipanthier soir, trop fatigué pour m’envoyer en l’air dans le bac à sable,
aussi pas de nouvelle séance en pur prostatique avec masseurcependant hier au matin, dès le réveil, les yeux à peine ouverts,
eu quelques délicieux moments où j’ai bien progressé avec ma 2.0,
plus de vitesse lente, de ralenti systématique dans le rythme,
les caresses et les mouvements de bras, aussi ont retrouvé leur placequelle différence alors par rapport à avant, par rapport à ma 1.0?
la synchronisation est fondamentalement différente
grâce au fait que la série de vagues générées par chaque contraction
peuvent courir jusqu’à leur terme, sont laissées jusqu’au boutcela semble pas grand chose mais ça l’est,
ça change toute la face de ma pratique, ce détail, tout seul, opère toute la mutation,
enfin avec aussi bien sûr, ce qui a déclenché toutes ces expérimentations:
à savoir, ma capacité à injecter des doses massives d’ondes prostatiques quand je veux, comme je veuxcela change toute le rythme, toute la synchronisation, entre les différents acteurs de mon plaisir,
la qualité d’écoute surtout est constamment restaurée
avec ces moments de silence, de calme méditatif, de calme après la tempête
qui suivent la cavalcade puissante de vagues, à chaque contraction
le corps perçu comme un bloc, comme un hangar résonnant tout d’une pièce,
s’est bien renforcé ainsibon, j’éteins ma machine personnelle
et allume le costaud avec son Xeon et ses 64 gigas de RAM pour la programmation,
au travail!
(pas oublier de mettre un short et un tee-shirt sinon
mon corps ne va pas me laisser me concentrer sur mon code-source,
les invites constantes seront trop tentantes)23 juillet 2020 à 0 h 50 min #38267bzoParticipantce soir, je me suis mis au lit avec l’idée fixe
d’enfoncer le masseur aussi vite que possible dans mon arrière-trainma foi, j’ai bien progressé, je suis content,
oh bien sûr, je pouvais toujours espérer un miracle
et que déjà après quelques minutes, je sauterai au plafond
mais en étant un peu réaliste, je n’ai aucune raison de ne pas être satisfait,
les progrès sont là, tout cela va dans la bonne direction, à bonne allureles points positifs:
les petits contacts de mes cuisses, avec mes couilles, mon sexe,
je m’y habitue de plus en plus, j’y fais de moins en moins attention,
à condition qu’ils ne soient pas trop appuyé, bien sûr
parce qu’alors il y a quelque chose qui se déclenche immédiatement dans mon bassin,
qui commence à être envahi de nectar danseles sensations sont là, constamment,
bien sûr, rien à voir avec l’intensité de ce que je vis habituellement
mais objectivement, je peux qualifier cela très agréable, de très très agréable même par moments,
difficile de juger objectivement le niveau de plaisir réel
quand on vient d’une autre pratique où l’on a constamment un plaisir tellement intense,
tellement généralisé à tout le corps,
où l’on jouit quasi constamment, en faitquestion technique, le rythme, l’amplitude des mouvements,
n’ont rien à voir avec ma pratique aneroless en mode yin,
je dois ré-apprendre tout cela,
la présence du masseur déjà limite les mouvements, on peut pas changer de position comme on veut,
il faut toujours faire attention que le masseur reste efficace quand on commence à bouger,
qu’il aille frotter, presser, là où il faut, comme il fautil faut aussi modifier l’écoute, c’est la dernière chose que j’ai apprise durant la séance
et que j’ai essayer de mettre en oeuvre,
là aussi, une plus grande économie, une moins grande amplitude, des mouvements, des gestes,
m’aidait à rester mieux concentrer sur mon bassin
car oui, j’ai au bout d’un certain temps, focaliser mon attention plus sur le bassin,
alors que dans ma pratique aneroless,
j’ai pris l’habitude de me focaliser sur rien de particulier dans mon corps,
cela se faisait tout seul,
mon écoute semblait attiré automatiquement là où il fallait, là où cela se passait,
l’écoute semblait suivre à la trace les sensations comme un télescope qui bougeait tout seul,
en pilotage automatique en quelque sortedonc pour résumé, une fois que j’ai commencé à me concentrer plus sur la bassin
et plus particulièrement sur la zone de la prostate,
que j’ai bouger avec plus d’économie,
tout en continuant malgré tout de me caresser passionnément, par moments
et donc aussi de bouger moins et avec moins amplitude,
en mode liane lascif minimaliste, disons,
j’ai pu commencer à avoir de vraiment bonnes sensations en pur prostatique,
une piste sérieuse à exploiterje dois aussi encore m’habituer à avoir des séances plus longues,
là après une demie heure, j’en ai eu assez,
là aussi, avec ma pratique habituelle aneroless,
j’ai tellement pris l’habitude que cela commence dès la première seconde avec une intensité maximale,
qu’il est rare que je fasse des séances de plus d’une demie heure,
tellement je suis rassasié, comblé, repu, au moins momentanément
car après, avec un peu de repos, je suis à nouveau d’attaque23 juillet 2020 à 20 h 47 min #38274bzoParticipantce soir, je vais remettre cela avec le masseur,
je suis excité comme un débutant qui espère son premier orgasme prostatiquebah en fait, je ne pas compte pas trop dessus,
et avant, je m’en serais plein le baba avec ma pratique aneroless
sur laquelle je peux me fier sans faille
pour m’envoyer en l’air en deux temps, trois mouvements23 juillet 2020 à 22 h 29 min #38277bzoParticipantune première séance au lit,
un bon quart d’heure pour m’échauffer, me mettre en train,
dans ma pratique en mode yin aneroless, avec mix d’ondes anales, génitales et prostatiques
qui est sur le feu, à cuisson lent, vers sa version 2.0,
ses spécificités ces derniers temps, se sont tellement accentuées,
la variété des nuances tellement encore plus riche,
la volupté toujours plus ineffable, tellement emplissant de soie chaude tout mon êtrecependant ainsi, j’ai du aussi me rendre à l’évidence,
autant une infinité de variantes, de richesse à déguster, semblent s’offrir à moi à chaque instant
avec cette nouvelle version de ma pratique qui se met peu à peu au point,
autant je sais désormais avec certitude aussi ce qu’elle ne pourra jamais m’offrir,
les orgasmes prostatiques, les super O, ne me viendront jamais ainsi,
quand bien même, je pratiquerai 100 ans,
or j’ai envie, moi, de retrouver cette manière d’aller chercher du plaisir extrême en moi,
cette nostalgie s’est éveillée irrésistiblement
et puis c’est un magnifique défi aussi,
de raviver et d’exploiter durablement une compétence si riche, si puissantej’ai envie de développer en fait toute une palette de pratiques avancées en solitaire,
bien sûr ma pratique en mode yin avec mix des trois types d’ondes dans le bassin
plus tout le corps contribuant généreusement aussi,
restera toujours ma pratique principale,
cependant je veux avoir à côté des autres façons de m’explorer,
d’aller chercher des sensations superbes avec la complicité de mon corps,
la montagne a toutes sortes de versants,
pourquoi ne pas aller l’explorer par d’autres aussi?avec cette idée en tête,
j’allais sortir le masseur de sa boîte quand mû par une soudaine inspiration,
j’ai juste arrêté de bouger, écarté les cuisses et ai commencé des contractions en aneroless,
j’ai tout de suite eu beaucoup, beaucoup, de plaisir, de très très bonnes sensations
ça c’est en fait bien mieux passé qu’avec le masseur, bien bien mieux,
je me suis tout de suite dit, que c’est ainsi que je devais d’abord y aller,
que c’était très très prometteurdonc pour l’instant je vais laisser le masseur dans sa boîte
et me lancer en pur prostatique en aneroless,
je suis tellement excité à cette perspective,
avanti, full speed ahead, adelante!24 juillet 2020 à 0 h 31 min #38282bzoParticipantj’aurai mieux fait de continuer cette séance aneroless en prostatique pure de tout à l’heure
mais je croyais que ce que j’avais réussi à éprouver, était acquis
comme dans ma pratique habituelle
mais j’avais tord,
je ne suis plus parvenu après à revivre les mêmes sensations splendides, très intenses,
qui fleuraient bon déjà l’orgasme prostatique
c’est resté cette fois juste dans la fourchette de l’agréable au très agréable,
niveaux pour lesquels je ne parviens pas à m’enthousiasmer comme le ferait sans doute un débutant,
vu ce que je vis habituellement de l’autre côté avec ma pratique mixte en mode yinalors j’ai quand même sorti le masseur,
là aussi , rien de bien bouleversant mais je m’exerce, je m’exerce,
il finira bien par en sortir quelque choseje me rappelle , j’ai eu une période comme cela à mes débuts en massage prostatique il y a longtemps
où il fallait que je chipote pendant une heure en moyenne ma prostate
et puis soudainement, ça démarrait,
les orgasmes arrivaient en rang plus ou moins serré, encore assez aléatoires néanmoinsc’est un peu comme de mettre de l’eau à chauffer sur un feu très bas,
alors l’eau se met à bouillir très lentement,
c’est même assez interminablebon, je vais persévérer quand même,
il me faut une pratique en pure prostatique, parfaitement efficace, avant la fin de l’année,
aussi bien avec masseur que sans,
je m’y investirais le temps qu’il faudra24 juillet 2020 à 8 h 49 min #38283bzoParticipantpour l’instant, j’essaie en pur prostatique d’éveiller la pratique de deux manières,
aussi bien avec masseur qu’aneroless,
une manière en mode yang,
l’autre en mode yindans la première manière, je suis couché dans une position confortable,
j’essaie de me détendre autant que possible,
d’être à l’écoute de mon corps, de ce qui s’y passe, autant que possible,
les mains posées sur le lit ou alors quelque part sur mon corps mais ne bougeant pas,
de temps à autre je change de position,
je suis constamment les cuisses écartées,
évitant les contacts entre mes bijoux de famille et les cuisses,
ceux-ci ayant comme effet d’éveiller des éclairs de douceur chaude dans mon bassin
mais j’y fais de moins en moins attention,
je m’habitue bien ainsi à ne plus leur répondre par plus d’action entre les cuisses et mes génitaux
pour enflammer mon bassinet puis bien sûr, j’effectue des contractions, j’essaie de les varier, de bien les ressentir,
d’essayer de percevoir ceux qui seraient le plus efficace,
à rythme plus ou moins soutenu, selon mon inspiration,
je tâtonne, j’expérimente, quoi, avec euxcette manière de m’y essayer, je l’effectue sous le patronage du souvenir
de ma première période de pratique au début, il y a quelques années,
ma première année de pratique en fait, avec masseur uniquement, cependant, je le précise,
quand il fallait que j’attende systématiquement 30 à 45 minutes avant que cela ne démarre,
tout d’un coup, un premier orgasme venait puis un second, etc
c’était plus ou moins comme cela que je procédais, il me semblel’autre manière, en mode yin, elle est nettement plus active,
elle correspond à la période qui a suivi celle que je viens de décrire,
aussi avec masseur, où j’ai basculé peu à peu en mode yin,
après bien des tâtonnements et une lente progression, suivant mon intuition et une envie profondeune fois que c’était plus ou moins au point, le plaisir était là dès le premier instant,
j’avais même en fait, je me souviens,
toujours mon orgasme de bienvenu qui durait en moyenne une minute
qui se déclenchait dès le premier contact du masseur,
une fois même j’ai eu un super O comme cela qui a duré plus de 5 minutescette manière et que j’essaie donc de reproduire aussi pour l’instant,
aussi bien aneroless qu’avec masseur,
était caractérisée par des caresses passionné, tendres, les bras vont et viennent beaucoup,
le bassin bouge, le bassin danse, le corps est en mode liane lascive la plupart du temps
et puis avec les contractions ou le masseur,
j’essaie autant que possible de reproduire des mouvements de pénétrations, les va et vient,
tantôt en mode bûcheron y allant à rythme soutenu, in, out, in, out, in, out,
tantôt en essayant de varier autant que possible possiblele principe étant que j’essaie de me faire l’amour,
d’ activer le pôle féminin et le pôle masculin dans ma chair
qu’ils s’ébattent , qu’ils me fassent vivre le plaisir androgyne
mais là uniquement en prostatique,
sans les ondes anales et surtout les ondes génitales en plus, dans le mixje m’y essaie donc des deux manières pour l’instant
des deux manières24 juillet 2020 à 23 h 38 min #38320bzoParticipantje suis donc occupé sur deux fronts pour l’instant,
d’une part, terminer de mettre en place la version 2.0 de ma pratique en mode yin, aneroless,
où je mixe avec égal bonheur désormais, ondes prostatiques, anales et génitales
et puis une pratique purement prostatique
que j’essaie de redécouvrir, de remettre sur les rails
après l’avoir mise en sommeil pendant plus d’un anrésumons-nous,
la version 2.0, cela commence vraiment à bien rouler,
les changements par rapport à la 1.0:
-injection à volonté d’ondes prostatiques
-parfaite cohabitation, parfait amalgame, des ondes prostatiques, anales et génitales
-une utilisation plus parcimonieuse des mains,
celles-ci gardant leur rôle de parcourir le corps tout en caresses, frottements et pressions diverses,
voir de temps à autre, pincements et torsions de chair
mais sont désormais plus utilisées comme des prolongations mobiles du corps
aidant à augmenter la perception d’unité de celui-ci
en s’immobilisant de-ci, de-là, posés sur la peau, attirant les ondes, redirigeant les ondes
parfaisant la sensation de bloc uni
mais retrouvant donc régulièrement leur mobilité
pour apporter constamment des variantes à la géographie intérieure perçue,
le corps semble comme un immense hangar résonnant dont la superficie change régulièrement
grâce aux bras et les mains se déplaçant pour aller se poser plus loin
mais aussi, bien sûr, le reste bougeant aussi, les jambes, le tronc, la tête,
les ondes s’y déplaçant comme des boules de billard folles, fiévreusement s’élançant,
ricochant quelques instants dans toutes les directions
-les cycles de vagues provoquées par les contractions, c’est-à-dire, des ondes prostatiques
sont laissés désormais se mener à leur terme,
j’ai un peu tâtonné avec cela mais maintenant que le corps a bien pris cela en main, gère cela tout seul,
ce sont bien uniquement les vagues générées par les contractions,
celles qui ont donc, une puissance toute particulière, dont on peut extraire les nuances jusqu’au bout
en les laissant aller jusqu’à leur terme
je les prolonge aussi avec un peu de calme silencieux qui semble venir tout naturellement dans leur sillage,
cela a une influence profonde sur le rythme de l’action,
sur la synchronisation aussi entre les différents acteurs de mon plaisir,
d’une façon générale, j’ai gagné énormément en précision, en finesse,
l’écoute semble se restaurer grâce à ces moments de calme entre deux tempêtes dans ma chair,
une fraction de seconde de mise en suspens où la chair extatique semble encore résonner d’un écho mystérieux
ce n’est pas que tout s’arrête, la vie semble encore comme vibrer dans les profondeurs de ma chair,
la tension sexuelle semble tranquillement prête à reprendre son élan,
la fête sauvage semble comme ponctuée de petits moments de recueillement païen,
on bouge plus juste, on perçoit avec plus de précision,
la synchronisation et le dialogue entre les différents acteurs aussi gagnent en fluidité,
tout s’enchaîne avec moins d’effort, comme sur des roulettes,
ces moments de suspension un instant de l’action qui suivent chaque puissante contraction,
c’est comme la ponctuation dans les phrases d’un livre,
cela dicte le rythme, cela fait ressortir le chant de motset puis il y a ma tentative donc de retrouver une pratique prostatique,
surtout aneroless pour l’instant,
c’est là que je me sens le mieux, il n’y a rien à faire,
cela va bien, très bien, je fais des grands progrès, je suis très contentje commence vraiment à bien gérer les contacts accidentels de mes cuisses et de mes parties,
étonnant à quel point le corps peut s’adapter à la demande,
autant le moindre effleurement, le moindre frottement,
continuent plus que jamais de créer des vagues de volupté dans ma pratique préférée,
autant ici, en pur prostatique, avec les cuisses écartées,
j’ai déjà réussi à habituer mon corps à ne plus faire attention à d’éventuels contacts non voulus,
ils sont désamorcés instantanément, pétards mouillés,
alors qu’avec mon autre pratique,
c’est à chaque fois une petite explosion tout en douceur
de soie voluptueuse s’élançant en ondulant dans ma chairça, ça m’a bien fait avancer, je bouge plus à l’aise avec mon bassin,
je peux bien me concentrer sur les contractions et leurs effets,
je me suis rendu compte que je retrouve en fait, ma pratique prostatique aneroless des débuts,
il y a une bonne année peut-être, quand j’ai décidé d’arrêter le masseur
et de me consacrer uniquement à essayer de développer une pratique sans,
j’avais quelques résultats très intéressants déjà
mais après quelques semaines, j’ai découvert l’intérêt immense des ondes génitales,
de mêler ces ondes de plus en plus abondamment à mes expérimentations,
jusqu’à abandonner complètement le pur prostatique
pour développer ce qui est devenu depuis ma pratique principale depuis
et qui est en train de passer à sa version 2.0eh bien, des tas de souvenirs remontent en moi maintenant
de cette période de mes débuts en aneroless
où j’avais quand même déjà eu pas mal d’orgasmes,
j’ai l’impression de reprendre là, d’avoir mis cela en pause,
même plus, ça a été enterré en fait
mais là désormais c’est exhumé et dépoussiéré,
cela redevient actif, je recommence à progresser,
de plus en plus de choses se passent dans mon bassin,
cela va devenir de plus en plus intéressant25 juillet 2020 à 2 h 41 min #38321bzoParticipanthé hé, cela commence à fonctionner du tonnerre,
c’est comme si depuis que je m’essaie en prostatique uniquement,
mes contractions étaient comme un instrument de musique désaccordé
mais là je commence à parvenir à les accordertout doucement, c’est encore fragile,
je sens la contraction monter en moi, la musique se génère
mais cela se désaccorde encore pour un oui ou pour un nonje gémis, mon bassin de plus en plus envahi d’ondes prostatiques
je sens aussi quelque part dans les profondeurs de ma viande
comme un orgasme couvé,
la coquille, par moments, semble prête à se fêler,
mais c’est sans doute encore trop tôtnon ce n’est pas trop tôt,
entre cette phrase et celle juste dans le paragraphe au-dessus, la dernière,
un quart d’heure s’est écoulé,
juste le temps d’avoir mon premier orgasme prostatique,
comme c’était bon,
c’est étonnant comme c’est différent,
enfin j’écris une bêtise là, non ce n’est pas étonnant du tout, bien sûr,
c’est même pour cela que j’ai relevé ce défi,
pour avoir une pratique alternative avec des sensations et des orgasmes tout à fait différents,
oh cela va être splendide, je sens cela!25 juillet 2020 à 11 h 02 min #38325bzoParticipantdors pas beaucoup, moi,
des choses tellement excitantes sont en train de m’arriver,
avec cette pratique purement prostatique qui semble sérieusement démarreril y a une sorte d’accord à trouver entre différents éléments en nous
pour que cela fonctionne
une fois qu’on y arrive, les sensations apparaissent
au plus on y arrive, au plus elles s’intensifient, s’enrichissent
je sens bien cela dans cette pratique qui redémarre en moi
où je dois en même temps, repartir de zéro mais pas tout fait quand même
puisque j’ai déjà une autre pratique très avancée, tellement consistante,
toutes ces façons d’aller chercher le plaisir en nous, ayant tout de même pas mal de points communs
et puis aussi, qu’il y a quelques années,
j’ai eu déjà une pratique prostatique très avancée, avec enchaînement d’orgasmes, super O, etcpour l’instant, avec mes lentes contractions en aneroless, cuisses écartées,
pour aller ne chercher que des ondes prostatiques,
maintenant la pression plus ou moins fortement, plus ou moins longuement,
faisant fluctuer légèrement et souvent celle-ci, jouant avec elle
comme on joue avec la peau tendue d’un tambour dans les profondeurs de son bassin,
tapotant dessus, pressant dessus,
l’effleurant, la faisant frémir, vibrer, de plus en pluspar moments, c’est comme si je touillais dans le noyau de la terre
tellement cela devient dense,
le feu semble naître là-dedans, en bouillonnant et en tournant lentement sans arrêt,
une sève enflammée ineffablement douce, semble de plus en plus remonter en moi,
je la sens gagner du terrain lentement,
irriguant tout mon être d’une sauvage splendeur,
d’une splendide sauvagerie de vivre dans l’instantma chair se dérègle si facilement, si follement, sous l’intensité du plaisir,
exaltants moments de vivre, d’être,
d’être là vibrant dans l’instant, splendidement vibrant26 juillet 2020 à 12 h 06 min #38364bzoParticipantrien de tel pour vous réveiller de bonne humeur,
qu’emplir votre chair de frissons et votre bouche de gémissements bien gras, bien indécents,
pendant un bon quart d’heurevous vous levez et vous vous sentez vivant, vibrant, le monde est à vous,
le monde a levé sa jupe un instant
et a partagé avec vous quelques uns de ses petits secrets intimes,
de ceux qu’il fait tellement bon vivre,
de ceux qui font qu’il fait tellement bon vivre ici-bas,
par moments en tout casj’utilise désormais des ondes prostatiques dans ma pratique principale aussi,
enfin je veux dire des moments prostatiques en aparté
dans cette pratique où l’usage normalement est de les mêler aux ondes génitales surtout
et aux ondes anales aussi régulièrementces moments deviennent des moments purement prostatiques,
pas seulement parce que j’injecte alors uniquement des ondes prostatiques
mais parce je fais les contractions différemment,
j’utilise celles que j’ai mis au point,
enfin plutôt que j’ai repérées, être les plus efficaces par rapport à ma prostate,
dans ma nouvelle pratique “exclusivement prostatique” que je suis en train d’élaborer,
ce sont des contractions qui partent plutôt du périnée,
n’utilisent que les muscles de cette zone,
moins de puissance mais plus de précision pour le travail sur la prostate
et qui occasionnent des angles de pression tout à fait délicieux dessus,
mes contractions régulières partent plutôt de la zone de l’anus la plupart du tempsc’est assez diabolique à quel point, ces contractions m’emplissent de vibrations le bassin,
je ne les réussis pas à chaque fois,
pour les faire j’ai l’impression parfois de devoir viser
et que parfois je rate mon tir, il ne touche pas la cible,
c’est surtout je crois une question de positionnement du bassin,
qui permet de bien mettre en route les muscles qu’il faut,
il doit un peu relevé, il me semble, par rapport au lit, les fesses un peu dégagées,
la contraction aussi doit être relativement rapide
pour maintenir une certaine synergie, ainsi garder sa précisionprêt à aller manger puis sortie chez un bouquiniste fameux de Bruxelles , Pêle-Mêle,
après retour
et puis alternance de moments d’orgie, de lecture et de films, de séries,
un programme comme je les aime26 juillet 2020 à 21 h 19 min #38377bzoParticipantback de ma promenade! à poil vite! je vais m’en mettre plein le baba,
m’envoyer en l’air dans mon coin sans modération pour terminer le week-end en beauté,
un mix à profusion de culture et de cul,
mes deux ingrédients préférés pour une bonne journée à la maisond’abord causons livres, si vous le voulez bien,
ce bouquiniste du centre de Bruxelles, Pêle-Mêle,
tout ce qui s’imprime, tout ce qui a été imprimé, est susceptible d’être déniché chez eux,
des éditions rares, des éditions de bibliophiles,
une kyrielle de magazines depuis le début du 20ème siècle à nos jours,
toute la moultitude océanique de livres divers et variés,
des livres d’art, sur les sports, la culture des plantes vertes exotiques en pots,
des bestsellers, des romans à l’eau de rose, des navets sans intérêts,
de la philosophie, des romans de gare,
jusqu’aux éditions à tout petit tirage de poésie à compte d’auteur,
etc, etcpour l’instant par exemple, ils ont une édition rare de Hamlet de Shakespeare,
l’édition Folio sortie pour le 400ième anniversaire de sa naissance,
une splendeur, je l’ai eu entre les mains, je l’ai feuilletée,
elle était à 120 euros, en parfait état, à peine le dixième de son prix neuf,
ils ont aussi l’Ulysse de Joyce dans une édition magnifique à tirage limité, de chez Folio aussi,
quelques autres Folio rares, des éditions pour bibliophiles
mais je n’ai pas d’argent pour cela pour l’instantcependant je me suis dégoté une magnifique édition des Ragionamenti d’Arétin,
un des chefs d’oeuvre de la littérature érotique de la Renaissance italienne,
sur papier velin pur chiffon fait à la main,
un papier splendide, tellement doux, tellement sensuel, au toucher, comme une peau délicate sous les doigts
édition des années 50 mais encore en parfait état,
ce type de papier peut durer jusqu’à la fin des temps à condition qu’on en prenne un peu soin,
avec des illustrations couleur aussi, des aquarelles magnifiques aux couleurs chatoyantes,
je l’ai eu à 20 euros, sur Internet en si bon état, cela se négocie aux alentours de 200 à 300 eurosça, c’est le miracle Pêle-Mêle,
où il y a un tel flux de livres rentrant et sortant constamment,
qu’on peut y aller tous les jours, on trouvera toujours des nouveautés dans les rayons
souvent à des prix dérisoiresje vais essayer de décrire avec plus de précision les contractions
de ma nouvelle pratique aneroless, ondes prostatiques seulement,
essayer de rester au plus près de l’anatomie, essayer de décrire avec précision le jeu des muscles en mouvement,
comme certains par ici savent si bien le faire, je vais m’y essayer aussi un peula position du bassin, contrairement à ce que j’affirme juste au-dessus, n’a aucune importance,
tout est dans un mouvement précis initié depuis un point un peu plus haut que l’anus,
en engageant le moins possible celui-ci,
contrairement aux contractions qui démarrent avec mise en tension de l’anus
qui semblent engendrer chez moi un mouvement pénétrant, perpendiculairement vers l’intérieur donc,
ces contractions plus légères, plus fines
quand elles sont réussies, semblent courir un peu parallèlement à la surface de la zone du périnée,
partant d’un peu plus haut que l’anus donc, en se dirigeant vers le sexe,
plus en précision, en finesse, donc, moins de puissance,
exigeant comme je l’ai écris déjà une certaine vitesse, un certain élan, pour garder la synergie
pour pouvoir être exécutée correctementje parviens quand elle est réussie,
à garder sous tension le périnée de longues secondes, si l’envie de le faire est là,
générant ainsi un maximum d’ondes prostatiques comme un faisceau puissant montant constamment
mais ne parvenant néanmoins pas à garder la pression aussi longtemps
qu’avec les contractions anales qui ont bien plus de puissance,
on a aussi avec comme une meilleure prise, un meilleur appuialors qu’avec la contraction qui se focalise surtout sur le périnée
la pression est moins facilement maintenue, on semble avoir moins d’appui
elle sera plus fugitive, pas plus d’une bonne quinzaine de secondes à pleine puissance, disonsnéanmoins l’effet est très puissant, les nuances délicieuses
et je peux entamer une répétition à rythme régulier,
pas question de précipiter, ces contractions sont plus délicates à effectuer
en accélérant, on finit par s’emmêler les pinceaux inéluctablement27 juillet 2020 à 23 h 33 min #38388bzoParticipantpratiquer, pratiquer et encore pratiquer
est la chose la plus efficace que vous pouvez faire pour accomplir des progrès,
oh bien sûr, il peut y avoir des blocages rédhibitoires
qui font que vous faites du sur-place des semaines, des mois, voire des années durant
mais je n’évoque pas ici ces cas extrêmes,
plutôt la grande majorité des plus ou moins novices
qui s’escriment au fil des jours, au fil des nuits
pour essayer de goûter au Graal prostatique,
une première fois et après, toujours plus et toujours plus souventpratiquer donc est la chose la plus efficace que vous pouvez faire pour accomplir des progrès,
le reste est foncièrement indépendant de votre volonté, de votre intelligence, de votre puissance sexuelle,
vous tout ce que vous pouvez essayer de faire,
c’est de laisser votre corps exprimer toujours plus le savoir enfoui au fond de lui,
c’est de vous mettre tout entièrement à son service pour celail y a donc les progrès que vous faites et les progrès que votre corps va faire sans vous,
les deux se confondent, bien sûr, jusqu’à un certain point
mais il est important à partir d’un certain stade de bien saisir la différence,
de comprendre que votre part du job, c’est désormais de le laisser faire autant que possible,
de dégager, dégager la piste, autant que possibleil y a un mécanisme de mûrissement intime dans votre chair
foncièrement indépendant de votre intelligence
qui ne s’enclenche que si vous acceptez cela,
que si vous acquérez cette humilité de vous effacer totalement,
que si vous apprenez à être toujours plus juste là dans l’instant sans rien attendre,
accueillant avec gratitude, avec ferveur,
tout ce qui daignera franchir quelque part le seuil invisible en vous
pour se répandre dans votre chair28 juillet 2020 à 11 h 16 min #38389AndranerosParticipantTu écris @bzo :
pratiquer, pratiquer et encore pratiquer est la chose la plus efficace que vous pouvez faire pour accomplir des progrès,
J’approuve.
Je pense, en effet, que si un homme fait l’effort de respecter une telle discipline, le seul obstacle qu’il doit vaincre pour vivre « les meilleurs orgasmes de sa vie », comme le dit @Caktil, est le manque de confiance en son potentiel orgasmique.Nous en avons de beaux exemples sur ce forum.
Bon cheminement à tous.
28 juillet 2020 à 23 h 02 min #38395bzoParticipantma pratique prostatique en aneroless est à présent bien sur les rails,
je suis en passe de gagner mon défi, ça a été moins difficile que prévule plaisir n’est pas encore aussi intense que de l’autre côté, avec ma pratique bien établie
mais il est déjà tellement intense et puis surtout tellement différent,
rien que des ondes prostatiques,
des ondes prostatiques, en veux-tu, en voilà,
des ondes prostatiques à gogobon, honnêtement, ça n’a pas grand chose à voir avec le plaisir prostatique de mes souvenirs
mais je le savais en fait bien à l’avance quelque part,
le mode yin s’est tellement emparé de moi depuis,
c’est par son prisme que j’éprouve tout,
c’est ainsi que je vis mon plaisir dans ce corps,
sur son autre versant, au-delà des limites de mon identité sexuellenéanmoins, je ne suis pas déçu un instant,
ce ne sont pas tant les orgasmes prostatiques et les super O qui me manquaient , je crois,
juste d’être traversé, habité, rien que par des ondes prostatiques,
enfin pour l’instant, je suis totalement ravi ainsila complicité avec mon corps est devenue telle,
c’est absolument extraordinaire,
je bouge langoureusement, c’est comme si je lui envoyais un message,
“transforme-moi cela en sensation voluptueuse”on a établi un dialogue tout en gestes, en mouvements,
en mise en tension des muscles, en relâchements, en lâcher prise, en détente,
si je fais un geste d’une certaine manière,
mon corps sait immédiatement ce que je veux dire par là, quelle genre de choses je veux ressentir
et aussitôt il me renvoie sa réponse sous forme de sensations,
j’ai élaboré peu à peu un langage pour dialoguer avec lui,
lui faire comprendre en détails ce que je voulais à chaque instant,
reconstituer toutes les sensations d’un acte sexuel, vécu des deux côtés à la foison peut tout transformer en plaisir,
modeler celui-ci à l’image qu’on veut, de toutes ses forces au fond de soi,
à partir du moment où l’on a la complicité totale de son corps,
on doit apprendre à lui parler,
à se faire comprendre de lui,
une fois que ce dialogue est établie, que la conversation devient fluide,
alors tout est permis dans notre chair,
toutes les limites peuvent être franchies aisément29 juillet 2020 à 9 h 33 min #38397bzoParticipanttechniquement, pas grande différence
entre ma pratique nouvelle en mode yin aneroless , uniquement ondes prostatiques
et puis l’autre, ma pratique principale, celle qui est la mienne depuis des mois
sinon, bien sûr que j’ai les cuisses constamment écartéesce qui s’est passé, comme je l’avais prévu, c’est une période de rewiring
mais ça a été plus rapide que je l’espérais,
tout était là dès le premier moment
mais je n’y réagissais pas comme sensations de plaisir
puis ça s’est connecté, ça a démarré peu à peu en quelques jours,
le processus est en route, cela s’intensifie à chaque séance un peu plus
mais c’est déjà tellement délicieuxla seule véritable nouveauté, on pourrait dire
et cela aussi, c’est passé en un temps record
et témoigne de l’admirable adaptabilité du corps,
c’est que je lui ai appris à ne pas réagir aux multiples petits contacts
qui peuvent arriver entre mes cuisses et mes couilles, mon sexealors que dans mon autre pratique, ces con tacts sont recherchés, voulus
et provoquent de délicieuses vagues de volupté constamment,
m’emplissent d’un ineffable nectar, chaud, frémissant, soyeux,
dans ma nouvelle pratique, ils ne me font plus rien,
une sensation juste de pétards mouillés,
je sens le contact et directement quelque chose se désamorcec’est grâce à la complicité tellement puissante avec mon corps
qu’on a pu régler cela en si peu de temps, si aisémentme voilà lancé donc, en prostatique pure aussi donc,
cela reste en mode yin,
j’ai écrit il y a quelque temps que je tenterai aussi le challenge de repasser en mode yang,
je vais peut-être m’y mettre un de ces jours
mais pour l’instant, j’ai encore du pain sur la planche pour faire progresser ma nouvelle pratique,
la pousser un peu dans ses retranchements pour voir ce que cela donne,
s’il y a des super O en réserve en moi, en mode yin aussi,
des périodes d’orgasmes qui s’enchaînent à la queue leu leu, comme en mode yang1 août 2020 à 10 h 01 min #38410bzoParticipanthier soir,
mon plaisir est resté un fleuve tranquille jusqu’au bout de la séanceje veux dire qu’avant,
sauf quelques périodes exceptionnelles où je ralentissais expressément,
j’ai relaté par ici ces expériences, encore il y a pas longtemps,
cela s’accélérait progressivement,
cela s’accélérait progressivement au fur et à mesure que la tension sexuelle augmentait,
jusqu’à devenir frénétique, un élan frénétique quand j’étais dans des moments de jouissance,
et comme chez moi, ils s’installent en fait assez rapidement, ne me quittent plus,
je reste ainsi à jouir pendant des pans entiers de la séance
comme un cheval lancé au galopdonc dans ces moments jusqu’ici,
j’avais toujours un rythme de plus en plus vif, porté par mon désir en roue libre
mais hier soir, je suis resté bien à l’écoute, bien à l’écoute de la vastitude,
de toutes les nuances, de toutes les vagues de plus en plus fortes,
je me suis forcé à bien tout suivre, plus de cavalcades, plus de rush,
juste un fleuve tranquille qui semblait monter en puissance
tout en restant à la même vitesse, au même rythme tranquille mais de plus en plus puissantce fut une splendide expérience
car les nuances étaient tellement de plus en plus perceptibles,
de plus en plus variées, de plus en plus fines, de plus en plus riches,
ce fut comme un carrousel dans ma chair qui semblait augmenter de taille,
gonfler divinement, prendre de plus en plus d’ampleur, un océan de plus en plus en érection liquide
splendide maelstrom m’imbibant de plus en plus irrésistiblement
mais je résistais donc à la tentation d’accélérer,
on devient de plus en plus perceptif ainsi, entraîné ainsi,
comme un buvard qui s’agrandit et qui est de plus en plus ivre d’être imbibéma perception d’un océan donc, d’une immensité liquide de plus en plus,
percevoir de plus en plus son eau, le grain de son eau,
ses qualité d’humidité dans ma chair, ses qualité d’éblouir dans ma chair,
ses qualités de frottement, d’effleurement, dans ma chair,
ses qualité de soie ondulante dans ma chairde plus en plus immergé dedans donc, fondu dedans, de plus en plus emporté
mais toujours ce rythme lent, ineffablement sensuel, tellement précis, tellement nuancé,
chaque détail semblait ressortir de façon tellement confondante,
le moindre micro-mouvement, le moindre geste, de ma part,
la musique et la danse se relançaient de plus belle,
avec des notes différentes, des pas différents, un élan différentbref, expérience très concluante,
la tentation de l’accélération pour répondre à une forte augmentation de la tension sexuelle
n’existe plus pour l’instant,
je suis comme rivé vers l’intérieur, concentré sur l’ensemble de ma chair,
ce tissu en moi pour l’instant vivant dans l’invisible son autre vie,
vivant sa belle vie, sa belle vie d’énergie dansante,
vivant sa vie de flamme incandescente carburant aux énergies des abyssesje laisse mon écoute s’agrandir, la surface de l’océan augmenter et encore augmenter,
tout mon être bouge rythmiquement les vagues montent, descendent, de toutes parts
quelle danse suave partout en moi, comme mon âme est frottée divinement,
tout mon être danse, cela bouge partout, cela effleure partout,
chaque cellule semble imbibée massivement,
perçue séparément mais toutes ensemble, dans le même rythme,
sensation d’unité, sensation de cohésion en même temps que sensation de fragmentation totale
d’anarchie sublime, d’harmonie sauvage,
perception d’une infinité de détails, de détails infinitésimaux,
formant comme une toile tissée, unie,
sensation d’une infinité de petites unités autonomes mais liées, reliées,
chacune comme une cellule indépendante
avec un mouvement ineffable de caresse de soie ondulante,
porteuse d’une nuance différente qui va s’unir aux autres5 août 2020 à 12 h 51 min #38523bzoParticipantà chaque instant,
il faudrait pouvoir se mettre dans un état de réceptivité optimale,
tant que vous réfléchirez en même temps que vous pratiquez (principal obstacle),
tant que vous vous n’ouvrez pas en vous, ne vous relâchez pas en vous,
ne faites pas sauter tous vos mécanismes de défense, ne laissez pas vos instincts prendre le dessus,
quelque que soit votre manière de faire,
vous vous coupez plus ou moins de ce qui peut monter, de ce qui peut être perçuc’est un mécanisme intérieur, qui fait intervenir bien plus que les muscles, le physique,
c’est tout notre être dans son ensemble qui est sollicité ici
pour s’ouvrir, se relâcher, se laisser entraîner,
laisser les énergies dans nos profondeurs monter et nous envahiressayer du moins, essayer de faire ce premier pas, il est tellement vital,
beaucoup le font sans doute sans même s’en rendre compte,
mais même si on ne sait pas comment, il faut au moins tenter même gauchement,
tenter de se lâcher, tenter de se laisser entraîner, tenter de libérer les forces obscures en nous,
certains ont cela en eux d’instinct, mais pour la plupart, c’est en tâtonnant qu’on y parvient,
qu’on fait ce pas fondamental grâce auquel
le plaisir autrement que par les voies pré-tracées, s’éveille en nous,
finit par se ruer de toutes parts en nousj’insiste sur le fait que dans sa tête, tenter cela, même très maladroitement,
est un premier pas absolument à faire, notre volonté doit intervenir là avec insistance,
il est question ici de faire preuve d’humilité,
d’accepter qu’avec notre intelligence,
on ne peut pas tout dans certaines domaines, qu’on ne peut pas parvenir à certains états,
le miracle ne se déclenchera dans notre chair que si l’on y met du sien, beaucoup de sien,
il faut s’investir corps et âme dans ce que l’ont fait dans ces moments,
pas rester juste détaché et attendre une intervention deus ex machinareconnaître, accepter que notre corps est un territoire inconnu,
qu’on ne peut explorer qu’avec sa intime collaboration, sa totale complicité,
qu’en acceptant de laisser les commandes de l’action à des forces en nous
qui dépendent pas de notre intelligence, de notre direction directe des opérationscela n’arrivera pas soudainement tout cuit dans notre assiette comme par magie
parce qu’on aura attendu suffisamment longtemps dans la cellule des minutes,
le temps en soi ne résout pas l’équation sauvage du plaisir dans notre chair
certains en ne faisant jamais ce pas
et insistant malgré la balourdise éventuelle des premières tentatives,
en n’en prenant pas la peine se disant, “à quoi bon”,
resteront ainsi des années sans vraiment progresserc’est en fait souvent, juste de l’orgueil mal placé, très mal placé,
pendant au moins le temps de la séance, ne pas accepter de quitter le siège du pilotage,
on voudrait en même temps rester maître à bord
et connaître tous les déferlements ultimes de l’ivresse en roue libre9 août 2020 à 12 h 20 min #38527bzoParticipantmatinée de plaisir pour moi ce dimanche,
après la journée et la nuit caniculaires d’hier,
la météo nous avait prévu plus ou moins la même programme pour aujourd’hui,
cependant un orage a éclaté
et après toute une période d’éclairs menaçants se rapprochant de plus en plus,
cela a commencé à tomber, d’abord de grosses gouttes bien lourdes, espacées
puis cela s’est accéléré
et enfin maintenant cela tombe dru depuis une bonne demie heure,
un petit vent aussi s’en est mêlé, les températures se sont bien rafraîchies momentanémentdonc fenêtres grandes ouvertes pour bénéficier au maximum
de cette période de clémence météorologique au sein de la canicule de plusieurs jours prédite,
je pratique beaucoup, je m’enivre à volonté, c’est open bar sexuel ce matin,
comme c’est bon cette chair qui semble insatiable,
qui en veut toujours plus, qui en a jamais assez,
elle me ressemble, forcément, hé hé,
moi aussi dans ma tête, je passerai bien une bonne partie de mes journées et de mes nuits à celavivement le retraite, mon temps sera divisé entre mes livres, mes séries, la musique
aller au théatre, des expositions, me gambader, flâner
et puis pratiquer, pratiquer,
profiter de cette chair et de ces mannes cachées tant que je suis encore ici-basle plaisir en mode yin, enfin ce que j’appelle mode yin,
c’est-à-dire vivre un plaisir au féminin dans un corps d’homme,
enfin plutôt une sorte de plaisir androgyne, même si essentiellement féminin
car finalement les sensations du porteur du pénis,
dans l’absolu, sont peu de choses face à l’océan de la volupté et de la jouissance féminine
mais pour que l’expérience qu’on vit, soit complète,
qu’on soit capable de bien décoller, de bien s’envoler,
le masculin doit être éveillé, doit participer, doit être perçu constammentvécu dans un seul corps, tout cela entremêlé joyeusement,
les sensations au masculin, elles existent donc bien à chaque instant dans l’action chez moi
mais sont plutôt comme une sorte de détonateur, d’étincelle de bougie, pour être plus précis
nécessaire constamment pour que le moteur à explosion continue de tourner,
continue de me faire vivre la griserie d’avancer sur ce chemin si particulier sur lequel je me suis engagéje vis donc entremêlé dans ma chair, le plaisir masculin et le plaisir féminin,
pour reprendre une image que j’ai utilisée un peu au-dessus,
il y a l’océan de la volupté et de la jouissance féminine en moi
et là dessus flotte une colonne en bois,
elle revient toujours, elle dérive un peu, s’éloigne, revient, repart,
cette colonne en bois, c’est le plaisir au masculin,
flottant sur cette immensité liquide tellement emplie d’une harmonie sauvage, mystérieuse
dont aucune vague n’est pareille, a ces propres nuances, ces propres colorations de sensationcette colonne donc pour l’instant, elle a été désenclavée de son socle,
cependant je perçois qu’elle est là en moi, flottant quelque part à la dérive,
elle revient, elle repart, je sens malgré tout constamment sa présence en moi,
même si elle n’est plus figée, fixe, érigée en un endroit précis, pointant9 août 2020 à 14 h 01 min #38528bzoParticipantc’est injuste
mais au plus votre pratique est de qualité, au plus elle est avancée,
au plus vous êtes susceptible de faire des progrès,
au plus ils paraissent couler de sourcec’est parce qu’arriver à un certain niveau,
plus de choses se passent à chaque instant
et donc au plus il y a de choses qui se passent à chaque instant,
au plus vous êtes susceptible de vous améliorer, de découvrir des nouveautés intéressantesalors que si vous êtes débutant,
eh bien il faut être réaliste, pas grand chose ne se passe,
vous restez parfois des heures et puis vous avez juste une petite vague de plaisir de temps en temps,
vous en êtes très content et à raison, vous considérez votre séance réussie
parce que quelque chose s’est éveillé dans votre chair,
quelque chose s’éveille de plus en plus dans votre chair,
quelque chose, qu’il y a encore pas longtemps,
vous ne croyiez pas possible malgré tout ce que vous avez lu,
c’est un début, un jalon important,
vous savez désormais que cela existe bien parce que vous l’avez vécu aussi,
cela est arrivé aussi dans votre corps à vous,
ce n’est pas juste un vaste canular monté par internet depuis les quatre coins du monde
par une bande de facétieux qui se sont donnés le motà ce titre donc, c’est important,
cependant il faut avoir conscience qu’au début, sauf exceptions,
on est plutôt du genre tortue pour ce qui est des progrès
mais il faut bien se dire que cela va s’accélérer,
le dicton populaire dit qu’on ne prête qu’aux riches,
idem, les progrès dans nos pratiques,
viennent plus facilement à ceux qui en ont déjà beaucoup derrière euxcependant on peut remplacer la qualité par la quantité,
je veux dire que vous n’êtes pas encore capable de la qualité,
vous n’êtes pas constant, vous n’êtes pas encore capable de l’intensité à chaque instant,
eh bien vous pouvez faire appel à votre chance en la remplaçant par la quantité,
pratiquer, pratiquer, pratiquer pendant des heures,
si vous êtes capable de rester bien motivé, bien patient,
ainsi vous allez aller au-devant des progrès, vous allez les forcer,
vous allez les forcer à vous prendre en compte11 août 2020 à 0 h 12 min #38530bzoParticipantma pratique 2.0 à présent a tellement splendidement décollé,
comment rendre compte encore avec des mots,
de la qualité et de la richesse de ce que je vis à chaque instant?c’est sexuel bien sûr, charnel, animal, torride, bien sûr
mais c’est en même temps, c’est tellement autre chose aussi, tellement beaucoup d’autres choses aussi,
un tel degré de complicité avec mon corps, un tel degré de libération des énergies en moi,
un tel degré d’abolissement de mon identité sexuelle et d’acquisition le temps de l’action d’une autre
composée en même temps de féminin et de masculin,
une telle sensation de communion avec moi-même à chaque instant,
une telle sensation par moments de vertige et d’inconnu, de dialogue avec mes abysses,
une telle sensation de bien-être, d’épanouissement, d’accomplissement, dans ma chairil était important pour moi,
de ne pas juste d’avoir un plaisir avec de multiples orgasmes, aussi puissant soit-il
mais une manière de pratiquer qui engage tout l’être, qui le remette de fond en comble en question,
où les sensations semblent “naturelles”,
je veux dire par là que vous vous caressez une certaine partie du corps
et c’est de là que le plaisir va s’éveiller, que le plaisir va se répandre,
que cela peut venir de tous les côtés car tout le corps participe constamment,
pas juste des génitaux ou de la prostate
et puis qu’après cela va se répandre au fur et à mesure que vous êtes de plus en plus excitécomme quand deux personnes commencent à se caresser, à se presser l’un contre l’autre,
commencent à faire dialoguer leur corps,
j’ai voulu m’inventer une langue sexuelle pour dialoguer avec moi-même,
pour que mon corps tout seul, puisse aussi pleinement, totalement, s’exprimer,
une manière de pratiquer en solitaire où j’ai fait tomber tous les tabous ,
où la partie masculine de mon être dialogue avec la partie féminine
et qu’à chaque instant, j’ai la sensation irrésistible de me faire l’amour,
une manière totalement intuitive, plus besoin de réfléchir la plupart du temps,
juste laisser le désir s’exprimer, juste laisser le corps s’emporter,
juste laisser les sens s’enflammer11 août 2020 à 20 h 28 min #38542bzoParticipantde temps à autre, des pensées viennent polluer notre plaisir,
durant l’action, elles sont comme des nuages qui nous coupent des rayons du soleil,
la place devrait être libre l’essentiel du temps, il ne faut pas les laisser s’installer,
s’arranger pour qu’elles passent leur chemin le plus vite possible
pour que nous puissions goûter d’une manière optimale
à tout ce qui s’éveille en nous, à tout ce qui rayonne en nouscar notre tête ne devrait servir que de relais au réseau d’ondes que forme le corps durant la séance,
bien sûr aussi de temps à autre, nos capacités intellectuelles peuvent être utiles,
tout n’est pas une action spontanée menée par le désir, par l’instinct
mais c’est une très mauvaise idée de laisser notre intellect reprendre les manettes,
le corps peut se servir de certaines de nos idées pour orienter l’action
mais c’est toujours de façon indirecte,
une pensée passe comme un éclair qui semble comme une suggestion à suivre
sur la façon dont les choses devraient se passer,
si cette suggestion est pertinente, le corps va s’en emparer au bout d’un moment
sans même qu’on s’en rende compte,
sinon la pensée s’évaporera sans conséquence aucuneles pensées devraient donc passer comme des éclairs dans le feu de l’action
et n’avoir jamais aucune conséquence immédiate sur les ébats,
toute pensée qui s’installe, qu’on laisse s’installer
va agir comme un voile de plus en plus épais par rapport à nos sensations,
nous les rendre opaques de plus en plus,
jusqu’à nous couper complètement de ce qui se passe en nous,
trancher plus ou moins longtemps ce lien par rapport à ce qui se passe dans notre chair
que constituent les sensations éveillées en nouslien ou élan,
elles constituent aussi un élan, un flux,
au plus on laisse ce flux tranquille, au plus il va monter en puissance,
au plus on va pouvoir se baigner dedans, s’en imbiber,
percevoir les ondes superbes des énergies qui sont montées en nous12 août 2020 à 8 h 34 min #38543bzoParticipantj’aime écrire,
je profite de mon intense sexuelle en solitaire, de ses progressions, de ses questionnements,
pour en faire un exercice d’écriture aussi,
l’excuse, c’est d’éventuellement aider d’autres dans leur cheminement
mais la véritable raison est juste que j’aime écrire,
j’aime construire des phrases, j’aime choisir des mots,
les faire jouer ensemble, les faire résonner ensemble dans ma têteon pourrait imaginer en me lisant que je ne fais que cela
mais ce n’est pas vrai,
en moyenne, à tout casser, je pratique 45 minutes maximum,
difficile à évaluer car je n’ai pas juste une pratique au lit,
à tout moment, en tout endroit, je suis susceptible de me donner du plaisir
tellement ma pratique est intégrée à mon quotidien,
tellement elle ne nécessite rien d’autre que juste ma chair et mon désir,
que juste ma chair et mon désir dedans, s’enflammant, m’enflammantla plupart des jours, c’est même juste maximum une trentaine de minutes,
en fractionné, quelques minutes, voire quelques secondes par-ci, par-là,
une petite séance au lit de 5 minutes, 10, 15, tout au plus
puis d’autres jours, si je suis en congé et que l’envie est là,
cela pourra monter à plusieurs heures sur une journée,
avec parfois des séances sans interruption aussi au long cours,
c’est variable, je me laisse guider par mon désir12 août 2020 à 8 h 47 min #38544bzoParticipantje vais beaucoup écrire aujourd’hui, je vous préviens,
vous, mes milliers de lecteurs, vous allez avoir du travail aussi aujourd’huique s’est-il passé?
à cause de la chaleur je me suis réveillé tôt,
jour de congé aujourd’hui, comme la plupart des mercredis
et au lit je me suis exercé, j’ai bien travaillé, bien mis des tas de choses au point,
merveilleusement progressé en faitoui, c’est vraiment injuste comme je l’écrivais, il y a quelques jours,
à quel point on peut progresser de plus en plus facilement
au fur et à mesure qu’on est de plus en plus avancé,
alors qu’on début, c’est tellement dur, d’obtenir le moindre petit progrès
mais c’est comme cela, je ne vais certainement pas m’en plaindre,
c’est une chose à accepter, c’est une des récompenses aussi quand vous arrivez à un certain niveau,
c’est que vous progressez bien plus vite, plus facilement, qu’à vos débuts,
pas forcément tous les jours, bien sûr
mais d’une manière générale, c’est beaucoup plus facile d’avancer,
on est plus patient aussi car on a sa dose quotidienne de plaisir assuréemais peut-être aussi,
cela demande de garder un certain état d’esprit d’ouverture, d’expérimentation et de curiosité,
il ne faudrait jamais l’abandonner,
on court vraiment le risque de l’usure, de l’acquisition d’habitudes, de routines
et par conséquent d’un vieillissement, en quelque sorte, de notre pratique,
les sensations s’émoussent, ne nous apportent plus les mêmes satisfactions,
les orgasmes aussi semblent perdre en puissance,
etc, vous voyez le tableau,
donc il faut toujours garder un état d’esprit d’explorateur émerveillé,
curieux de pousser toujours plus en avant,
excité comme un enfant, lâché tout seul dans un magasin de bonbons12 août 2020 à 9 h 12 min #38545bzoParticipantj’évoque régulièrement ma complicité avec mon corps,
sans doute certaines personnes qui me lisent
(mais en y’a-t-il seulement un autre à part @andraneros quand il n’est pas en vacances?)
sont-ils perplexe, se demandent-ils ce que je veux dire par làj’y ai réfléchi aussi un peu ce matin, entre deux moments de plaisir, d’emportement par le désir,
ce que je qualifie de complicité avec mon corps,
on pourrait dire que c’est le rewiring
mais le rewiring poussé à un stade très avancéau jour d’aujourd’hui, je peux effectuer n’importe quel geste, n’importe quel mouvement,
si je l’effectue avec une intention sexuelle,
qu’est-ce que c’est qu’une intention sexuelle?
un geste, un mouvement, donc effectué avec l’intention d’obtenir du plaisir,
qui met en route en nous des tas de mécanismes,
j’écrivais donc, si j’effectuais n’importe quel geste, n’importe quel mouvement
avec l’intention d’obtenir du plaisir avec,
eh bien je l’ai, il se déclencheça, j’appelle la complicité avec mon corps, je l’obtiens grâce à la complicité avec mon corps
mais on pourrait aussi qualifier ce phénomène de rewiring, je crois,
on s’habitue à interpréter des tensions et des relâchements musculaires,
le moindre effleurement, le moindre frottement, la moindre pression
comme sensations de plaisir riches et variées,
on obtient une palette infinie, en fait ainsi, les combinaisons n ‘ont aucune limite,
on bouge ceci, cela puis on bouge ceci ou cela en même temps aussi,
on obtient ainsi un kaléidoscope sans cesse changeant dans sa chairqu’habitue-t-on ainsi? son corps, son cerveau?
les deux, je crois, on habitue surtout son cerveau à être un relais du corps,
à ne plus fonctionner juste comme une machine à penser, à réfléchir,
comme un écureuil qui tourne dans sa cage
mais à s’ouvrir au reste du corps et recevoir des milliers de messages à chaque instant qui vont monter,
le cerveau et le corps vont collaborer intimement,
une complicité va s’établir
pour que nos séances se transforment en une fête sans pareillele rewiring, c’est donc le cerveau et le corps,
le cerveau apprend à faire partie du corps, ne faire plus qu’un avec lui,
apprend à ne plus être qu’une partie du corps parmi d’autres,
apprend à vivre avec lui, à se lâcher à l’unissons avec lui, à se laisser emporter avec lui,
le cerveau devient corps et le corps devient cerveau,
ils ne forment plus qu’un,
c’est cela le rewiring quand on le pousse bien loin, il me sembleil n’est jamais vraiment terminé, le rewiring,
c’est un work in progress, il est toujours à parfaire,
à être rendu plus fin, plus précis, plus puissant12 août 2020 à 9 h 21 min #38546bzoParticipantchiant ce bug quand on arrive en quelque sorte en bas d’un page,
elle ne s’affiche plus, c’est décalé,on retrouve son nouveau texte à la page précédente
alors que la pagination indique une nouvelle page
mais qui est vide,
il faut toujours deux, trois textes avant que le bug disparaisse
sinon on clique sur la dernière, page 18 par exemple
mais celle-ci est vide,
le texte se trouve en fait toujours à la page précédentej’écris d’ailleurs ce texte-ci pour essayer de faire disparaître le bug
12 août 2020 à 9 h 22 min #38547bzoParticipanttoujours pas, toujours là, je vais rajouter des nouveaux textes pour jusqu’à ce que le décalage disparaisse,
fait vraiment chier ce truc -
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