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26 mars 2020 à 20 h 19 min #36967bzoParticipant
ici en vrac toute une série de textes, au fil des jours,
avec l’idée à un moment donné, quand j’estimerai que tout le matériau brut est là,
avec suffisamment de détails, de clarté, de consistance,
suffisamment étayé, suffisamment didactique,
d’essayer d’en faire un manuel
qui décrirait le plaisir en mode yin, j’utilise cette expression
à défaut d’un nom plus spécifique pour l’instantquand je vois tout ce que je parviens à obtenir avec quotidiennement,
à quel point il est gratifiant,
à quel point ce plaisir est somptueux, total, englobant tout le corps et tout l’être,
est magnifiquement épanouissant, riche, diversifié,
permettant aisément une constante progression au fil des jours
à partir d’un certain degré d’avancementque l’on peut y faire appel aux ondes prostatiques, aux ondes génitales, aux ondes anales,
aux ondes de tout le reste du corps aussi,
vivre ainsi une synergie comme un fleuve majestueux en soi,
percevoir dans tout son être une harmonie subtile à l’oeuvreque tant de vibrations diverses donc peuvent être intégrés dans cette façon de vivre son plaisir,
je me dis que tous ces gens qui viennent par ici,
qui évoquent plus ou moins explicitement leur désir de vivre un plaisir au féminin,
je me dis qu’à tous ces gens,
un manuel,
enfin si j’arrive jusqu’à là,
qui essaie de leur expliquer comment débuter, comment progresser,
leur propose des jalons, des pistes, des repères,
dans ce périple
qui dans la mesure où il s’éloigne encore plus fortement des normes
qu’un plaisir prostatique plus traditionnel,
peut se révéler plus délicat et plus long, à mener à terme
pour arriver à des résultats satisfaisantsdans ce fil donc, je vais essayer de réunir des textes en ce sens,
en vrac et dans le désordre,
je vais même en reprendre certains de ces textes déjà dans le fil
pour les affiner, les changer, les faire évoluerau lieu de préparer tout cela dans mon coin,
je vais essayer de le pondre en ligne,
avec toutes les étapes, les brouillons, les ratures, les esquisses,
à la vue de tousavec l’accord bien sûr d’@andraneros,
si ce genre de fil est acceptable,
n’est pas en violation avec quelque règle du forumje vais reprendre ici comme premier texte, mon dernier message dans mon fil-journal,
si tu veux bien, @andraneros, le supprimer, là-bas,
comme cela ce sera plus propre,
merci d’avance26 mars 2020 à 20 h 24 min #36968bzoParticipantdégager des lignes de force, quels aspects travailler, où démarrer, où insister, où se détendre, où se tendre?
que dire à un débutant nu comme un ver sur son lit,
qui ne sait pas par où commencer,
qui voudrait s’engager dans une voie aneroless,
habité par le fantasme de vivre un plaisir au féminin?je me rends compte en analysant mon parcours
que ce lent et patient travail sur moi-même
qui aujourd’hui, a abouti, a fructifié au-delà de tous mes espoirs,
dans ma chair désormais, un nid comme un grand estuaire
où le soleil, la mer et le ciel, se sont donnés rendez-vous,
est complexe, difficile,
exige beaucoup de patiencecertes, à toute étape du cheminement, à tout moment de l’avancement,
il y a eu des récompenses
qui en leur temps, ravissaient, enchantaient, enthousiasmaient,
mais jetant un oeil insistant derrière,
je suis effaré de la sinuosité et de la longueur du chemin parcouru,
de tout ce qui a été construit peu à peu,
des territoires tellement éloignés des normes où je me suis installérectification,
c’est pas si difficile que cela en fait,
il faut juste pratiquer et encore pratiquer,
les choses viennent toutes seules, si on donne le temps au temps
et si on a quelques bons repères, quelques bonnes indicationsle musicien,
avant d’arriver au stade
où il ne cherche plus qu’à exprimer ce qu’il a en lui, sans réfléchir à ce qu’il fait,
de tout son être, de toute sa sensibilité, de toute sa puissance, de toute son imagination,
fait naître la musique, fait naître les notes,
le musicien,
il a d’abord acquis la technique, les automatismes,
dans les doigts, dans la tête, dans tout le corps,
dans tout l’être
une fois que tout cela est là,
il n’a plus qu’à,
il n’a plus qu’à,
il n’a plus qu’à laisser monter la musiqueainsi en est-il pour nous,
nous, en quête de plaisirs rares, de jouissances subtiles, infinies,
de volupté ineffable comme des baumes chauds, caressants,
comme de la soie frissonnante, la danse de lentes vagues lumineuses traversant notre corps,
à partir d’un moment, il n’y a plus qu’à laisser le désir s’exprimer, sans restrictions,
qu’à laisser les notes monter dans notre chair
sans penser à ce que l’on fait ou ne fait pasmais donc à ce débutant nu comme un ver sur son lit,
brûlant de désir,
brûlant du désir secret de vivre un plaisir au féminin dans son corps d’homme,
que lui conseiller, par où commencer?
que doit-il avoir en tête?
que ne doit-il pas avoir en tête?avant tout oser, oser bouger, oser se caresser,
oser remuer ses hanches,
éveiller le désir endormi dans notre chair,
oser fracasser les limites de sa masculinité,
ce corps est aussi le corps d’une femme, enfouie en nous,
et pour éveiller tout ce féminin dans nos soubassements,
il faut être prêt à se faire violence, à se bousculer,
à provoquer des réactions de nos abysses,
prêt à laisser évoluer notre gestuelle, nos mouvements, durant l’action
laisser du féminin s’injecter dedans, ne pas se retenir, ne pas avoir peur de se féminiser,
il y aura un moment où le désir nous prendra en main,
où tout semblera naturel et simple,
mais pour cela, il faut qu’on soit descellé, fracturé, béant,
prêt à se laisser entraîner dans toutes les directions,
cela se fera tout seul à partir d’un moment, on n’y pensera plus,
les gestes, les mouvements se feront tout seuls, reflétant notre nature androgyne
mais en attendant, il ne faut pas hésiter à provoquer dans notre chair,
à se faire violence, à oser s’encanailler, à se pervertir,
plus le purin est odorant, putride, riche de sucs et de minéraux des profondeurs,
plus la rose sera magnifique,
sera irriguée par la beauté, la pureté et la grâceliste non exhaustive de repères importants,
work in progress pour un futur manuel hypothétique:–extinction momentanément du moi pensant
élément tellement important pour que quelque chose comme un autre moi puisse peu à peu se mettre en place
–suppression momentanée des limites de notre identité sexuelle
cet autre moi par lequel nous cherchons à ressentir, à bouger, à nous émouvoir, à nous envoyer en l’air,
n’a pas de sexe, a les deux, est androgyne,
pour qu’il puisse s’exprimer, pour que son désir soit notre moteur,
nous ne devons plus être restreint par les limites sexuelles de notre corps d’homme
–acquérir la gestuelle, les mouvements, de l’acte sexuel avec un seul corps
il s’agit là d’un nouveau vocabulaire, d’une nouvelle grammaire,
un nouvel langage avec lequel cet autre moi pourra exprimer son désir,
aller chercher son plaisir, vivre un acte sexuel bien particulier mais réel, en tout cas ressenti comme tel,
ces gestes et ces mouvements, évoqueront irrésistiblement
les gestes et les mouvements de l’amour avec partenaire,
ce sont bien les mêmes en fait, on s’en rendra compte mais adaptés aux spécificités de la situation,
un seul corps avec un pôle masculin et un pôle féminin, s’ébattant, tentant de s’ébattre
–acquérir une complicité totale avec son corps, apprendre à dialoguer avec lui, à l’écouter
ce point est tellement gratifiant, tellement épanouissant, tellement lumineux,
car ce dialogue est tellement riche, tellement confortant, tellement se renouvelant constamment,
on découvre que toute cette barbaque irriguée de nerfs, d’os et de sang, sous nous,
est un continent immense, un continent infini,
habité par toutes sortes de mystères, de magies, de puissance animale magnifique,
de puissance tellurique encore plus magnifique
et puis que peu à peu c’est tout notre quotidien, par la bande comme au billard,
qui s’en trouve modifié subtilement, façonné peu à peu autrement
car nous éveillons des forces inconnues, magnifiques, en nous
et que nous faisons pousser des racines
qui vont aller chercher les sucs nécessaires toujours plus lointainement dans nos profondeurs–éveiller totalement la prostate
éveiller totalement la prostate et la faire vibrer par l’intermédiaire des contractions.
Ce point sera développe plus en détail ultérieurement,
est peut-être plus facilement acquis si, parallèlement, on a recours dans un premier temps, aussi à un masseur
qui pour un débutant, permet plus facilement d’y arriver27 mars 2020 à 23 h 31 min #37007bzoParticipantle moi pensant éteint,
l’imagination est déliée, est libre de circuler dans tout le corps,
de s’associer à la chair pour chorégraphier le désir,
elle n’est plus images, rêveries, fantasmagories, dans notre tête
mais contribuant directement à l’action sexuelle, en étroite collaboration avec notre chair,
elle orchestre une rêverie érotique, concrétisée dans l’instant en nous28 mars 2020 à 22 h 24 min #37014bzoParticipantcommençons par le commencement,
je reprends mon exemple deux textes plus haut,
à un jeune homme nu comme un ver sur son lit,
aspirant à goûter à un plaisir en mode yin,
où commencer?qu’il commence peut-être comme moi, avec un masseur
mais en l’utilisant autrement,
il n’y a pas que la méthode du traité, du “do nothing”,
à la place je propose la méthode du “do plenty, do as much as possible”déjà pour ce type de massage prostatique, tel que je l’ai pratiqué,
on peut oublier les masseurs habituels cités pour ce genre d’exercice,
il nous faut deux butées bien développés,
je pense essentiellement ici au Device ou Vice ou Vice 2 (mais sans le moteur)
ou bien celui qui a été mon chouchou pendant longtemps, le Nexus G-Rider (toujours sans le moteur)il s’agit dans ma façon de pratiquer pour éveiller le Yin en vous
de se servir du masseur comme si c’était un sexe masculin qui pénètre, qui va et qui vient,
les deux butées fortement développés se révèlent ici indispensables
pour manipuler de cette façon le masseur, on le constatera rapidement,
avec il reste parfaitement maniable, précis,
on peut vraiment leur appliquer un mouvement avec un peu d’entraînement
et d’investissement personnel, ardeur, sensibilité, imagination
qui devient très très réalistele Yin en vous, ne demande qu’à être invité en surface,
ne demande qu’à s’inviter dans votre chair,
il suffit juste de lui faire des signes,
le plus dur, ce qui prendra le plus de temps,
ce sera de briser les barrières, les tabous et les frontières de votre identité sexuelle
qui feront de la résistance façon mur de Berlin, empêchant la réunion
du pôle masculin et du pôle féminin , en vous, cherchant à ébattrevous êtes et vous serez pendant tout un temps l’obstacle à vaincre
à tellement de points de vue,
fracasser vos tabous, les limites de votre identité sexuelle,
apprendre à éteindre son moi pensant,
une fois que tout cela est accompli,
le chemin est libre, le Yin se matérialisera en vous instantanément
à la moindre sollicitation de votre partmais il n’y a pas que le part,
j’ai écrit plus haut ” do plenty, do as much as possible”,
oui c’est une méthode ultra-active,
il s’agit ici de créer la sensation irrésistible qu’on fait l’amour,
qu’on caresse et qu’on est caressé,
c’est un sublime de jeu de miroirs qui va se créer peu à peu,
on sera en même temps celui qui caresse et celui qui est caressé,
celui qui pénètre et celui qui est pénétréil faut donc bouger, se caresser, danser du bassin,
sentir son corps s’enflammer,
se serrer avec ardeur comme si on serrait son partenaire,
réveiller l’ardeur, le désir,
y croire de tout son être qu’on peut devenir incandescent29 mars 2020 à 3 h 18 min #37015bzoParticipantalors notre jeune homme nu comme un ver sur son lit
qui a des fantasmes de plaisir au féminin,
s’est décidé à se lancer,
a acquis un Device, disons,
il lubrifie, comme il faut, là il faut,
le voilà qui enfourche sa monturealors quoi maintenant?
la page est vierge, enfin peut-être pas tout à fait s’il est un habitué des jeux anaux,
que faire maintenant? comment faire maintenant?
j’ai donné juste au-dessus une petite idée de ce qu’il faudrait obtenir et comment,
je vais essayer d’entrer dans le détailpersonnellement je recommande de pratiquer les cuisses serrées,
resserrées sur les parties génitales,
peut-être dans un premier temps, pas trop de caresses,
histoire de ne pas trop disperser l’attention,
il faut essayer de sentir
mais au moins que les mains soient sur le corps,
pas les bras juste le long du corps,
inertes mais sur la peau, c’est important, déjà comme cela,
des choses vont se passer, des ondes vont passer par là,
les changer de temps à autre de positions,
restons-en là pour les mains dans un premier tempsidem pour les cuisses, point n’est besoin dans un premier temps,
de les mettre en mouvement, de venir frotter, presser, plus activement , sur vos couilles, votre sexe,
juste qu’elles soient plus ou moins en contact avec,
on va se concentrer dans un premier temps sur la prostate
mais néanmoins, je suis désormais un fervent partisan d’une constante synergie
entre les ondes prostatiques et les ondes des génitaux
et pratiquer ainsi, prépare à cela, prépare le terrain, donne un avant-goûtmais avant tout concentrons-nous sur la prostate
car à moins que vous ayez un pratique prostatique établie,
il faut en priorité éveiller votre prostate
car elle est un des acteurs majeurs dans le bassin du plaisir en mode Yindonc voilà notre débutant sur son lit, nu comme un ver,
avec un masseur genre Device, enfoncé jusqu’à la garde en lui,
une main posée sur un sein, l’autre sur le ventre, disons,
les cuisses un peu serrées, touchant les génitaux
mais en route! que le piston se mette en mouvementun peu onduler du corps tout de même,
le mode liane lascive, rien de tel pour être émoustillé,
pour se retrouver en mode Yin en deux temps, trois mouvements,
donc on commence à bouger le masseur,
il ne faut pas avoir peur, ni avoir honte,
oui c’est un sexe en érection qu’il faut arriver à sentir de plus en plus,
il faut donc le bouger avec passion, avec ardeur, avec douceur, langoureusement,
cela demande un peu d’entraînement pour devenir habile,
on est plus habitué à bouger son propre sexe, à s’investir entièrement dedans, de tout son être
là on délègue tout à un morceau de silicone,
il peut paraître compliqué au début d’y aller avec la même passion
mais si tout va bien, vous allez assez rapidement commencer à ressentir des effets positifs,
quelque chose va s’éveillerse lâcher, se lâcher, n’y penser pas, moins vous y pensez, plus vous y parviendrez,
juste boulottez-vous méticuleusement,
comme si vous faisiez l’amour avec la femme ou l’homme, de votre vie,
essayez de vous investir de tout votre être,
allez-y sans rien retenir29 mars 2020 à 11 h 10 min #37018bzoParticipantvoilà donc les bases que je propose au débutant nu comme un ver sur son lit
fantasmant du plaisir au féminin en lui, fantasmant du plaisir en mode Yin,
débuter avec un masseur avec des butées fortement développées, genre Vice ou Device,
car elles sont le plus approprié pour ce type de mouvements
qui cherchent à reproduire ceux d’un sexe en érection,
elles permettent un mouvement droit, régulier, de pénétration,
elles confèrent la stabilité nécessaire sur toute la longueur du mouvement
pour offrir une sensation de plus en plus réaliste de pénétration
avec toute l’amplitude qu’on a envie d’obtenir,
permettant des changements de vitesse, d’intensité et de direction soudains
tout en gardant bien le contrôledonc, on débute avec les mains sur le corps plutôt que simplement posés sur le côté,
on ne les bouge pas trop dans un premier temps,
si on n’a pas de passé déjà de massage prostatique
pour pouvoir bien se concentrer sur ce qui se passe dans le bassin
et bien éveiller la prostate,
cependant si notre débutant a envie un peu de se caresser, qu’il ne se gêne pas, bien entendules mains même inertes sur le corps, c’est bien mieux que posées juste à côté
car il y a des ondes qui passent, qui passeront, ainsi,
même s’il ne s’en rend pas compte tout de suite,
cela crée toutes sortes de raccourcis énergétiques, de voies changeantes par où les vibrations passeront,
même si, encore une fois, ce n’est pas immédiatement ressenti,
cependant que notre débutant pense à les bouger de temps à autre,
à changer un peu aussi la pression que ces mains exercent à l’emplacement où elles se trouventet puis plus bas, comme je l’ai écrit, dans le bassin,
qu’il s’habitue à pratiquer plutôt avec les cuisses serrées,
que celles-ci exercent toujours une pression, plus ou moins forte, sur les génitaux,
même si elles restent immobiles pour l’instant aussi,
pour que notre débutant se concentre sur sa prostate dans un premier temps,
cependant le fait qu’il y ait contact entre les cuisses et les génitaux,
là aussi va créer déjà des vibrations des organes sexuels,
je suis un fervent partisan pour qu’il y ait une constante synergie
entre les ondes provenant de la prostate et celles des génitauxon peut privilégier tantôt les unes , tantôt les autres, assez simplement,
une fois qu’on a bien l’habitude,
on a comme deux potentiomètres permettant de contrôler la quantité d’ondes prostatiques
et la quantité d’ondes de nos génitaux,
qu’on veut injecter dans le bassinpour se faire, il faut comprendre comment cela marche:
les cuisses immobiles ou à peu près mais le masseur effectuant ses mouvements de pénétration,
c’est la même chose aussi en aneroless mais là c’est la contraction qui remplace le masseur
mais je parlerai plus tard de l’aneroless,
comme je l’ai écrit , je conseille dans un premier temps, de commencer plutôt avec masseur au débutant complet,
il obtiendra des résultats plus rapidement,
cependant dès que ce sera le cas, il faudra qu’il embraie le plus vite possible une pratique aneroless aussi
et fasse avance en parallèle les deuxen fait les possibilités et la richesse de l’aneroless, sont bien plus grandes,
il ne faudra pas très longtemps pour que notre débutant, une fois qu’il aura sérieusement progressé,
pour qu’il privilégie de plus en plus l’aneroless,
cependant le masseur a son charme et ses spécificités
et il est bon de garder par-devers soi cette façon de pratiquer aussidans le bassin donc, pour des ondes prostatiques,
les cuisses sont plus ou moins serrées, pour avoir toujours un contact avec les génitaux, même légers,
enfin il ne faut pas exagérer non plus, les cuisses peuvent se détacher quelque peu dans le feu de l’action
mais leur position naturelle dans ma façon de pratiquer,
c’est être en contact avec les couilles, le sexejamais avec les mains, c’est chez moi, un type de contact que j’évite,
enfin je n’ai pas besoin de me forcer, cela se fait tout à fait naturellement,
quand par hasard ma main entre en contact, effleure ou touche une couille ou le sexe,
il y a comme un petit choc électrique et elle s’écarte instinctivement,
le corps tout seul évite cette zone, je n’ai pas besoin d’y penser un seul instant,
c’est quand par le pass, j’effectuais des tentatives d’intégrer les contacts manuels,
que je devais à chaque fois forcer pour que ce type de contact se fassedonc je reprends après cette parenthèse consacrée au contact avec les mains des génitaux,
les cuisses toujours plus ou moins en contact mais immobiles,
là aussi c’est quelque chose de relatif car les mouvements du masseur ou la contraction en aneroless,
font bouger aussi quelque peu les cuisses
mais pas de mouvement volontaire, disons,
et puis le masseur à l’oeuvre, allant et venant, fouillant, farfouillant, asticotant,
en reproduisant avec celui-ci un sexe en érection en action,
on acquiert peu à peu une énorme variété possible, toute une panoplie de mouvements,
variant l’intensité, la vitesse, la direction, la régularité, etc,
il faut être imaginatif, passionné, délicat par moments, à d’autres,
plus bûcheron y allant de toute la puissance de sa cognéeainsi donc, on obtient des ondes prostatiques dans le bassin
le masseur s’immobilise plus ou moins et laisse les cuisses se mettre en mouvement,
danser un tango lascif avec le sexe, les couilles,
ainsi on obtient les ondes génitales,
et notre bassin est très rapidement empli d’une volupté ineffable
mais dans un premier temps, je conseille plutôt les cuisses immobiles
pour se concentrer sur la prostate mais rien n’interdit à notre débutant
de s’aventurer dans cet autre type de mouvement, privilégiant les ondes génitales,
je ne décrirai donc pour l’instant pas plus cet autre type de mouvement dans le bassin
qui une fois qu’on aura bien progressé dans l’éveil de sa prostate,
viendront offrir une variété d’ondes dans le bassin, une divine synergie
dont on contrôlera les ingrédients, en y injectant tantôt plus d’ondes prostatiques,
tantôt plus d’ondes de nos génitauxle masseur allant et venant en nous, au plus le mode yin s’éveillera en nous,
au plus on va ressentir que le masseur nous pénètre, qu’on nous fait l’amour,
on passe peu à peu de l’autre côté, c’est toujours nous qui bougeons le masseur
mais nous le ressentons de plus en plus différemment,
le pôle féminin et le pôle masculin en nous, se mettent en action ,
une sensation d’ébat va être ressenti de plus en plusle petit miracle du plaisir en mode yin,
c’est que peu à peu nous ressentons malgré que nos organes et notre corps d’homme, sont bien là,
que nous sentons qu’ils sont bien là
mais en même temps c’est un autre corps que l’on va ressentir,
le masseur va de plus en plus aller et venir dans un sexe féminin,
notre bassin va s’élargir, va devenir de plus en plus souple, de plus en plus résilient,
capable de danse enivrante,
ce que j’appelle le mode liane lascive, part du bassin
et comme il est bon de sentir celui-ci onduler, ondoyer, librement,
empli comme d’une houle tellement enivranteles mains aussi, une fois qu’elles entreront régulièrement en action,
vont caresser des seins gonflés, rondsla main derrière, je n’en ai pas parlé pour l’instant
mais quand les doigts s’égareront dans la petite crevasse derrière,
ah mes amis, comme vous allez les sentir remonter en vous,
je parle d’onde anale pour la clarté
mais là encore, c’est tout à fait autre chose que vous allez ressentir,
ces doigts qui vous fouillent, semblent farfouiller entre les plis et les replis
mais ce sera pour plus tard, pour l’instant, que le débutant
privilégie les ondes prostatiques, après les ondes génitales puis les analesvoilà, c’est tout pour le moment,
c’est ma petite contribution au confinement
pour que certains puissent passer aux travaux pratiques29 mars 2020 à 18 h 52 min #37024bzoParticipantje vais continuer mes explications tant que je suis dans une bonne dynamique,
j’espère au moins que tout cela servira au moins à une personne
à trouver du bonheur en soi tel qu’il rêvait d’en trouverpour ce qui concerne les mouvements des cuisses sur les génitaux,
il ne faut pas avoir peur d’y aller,
ne pas craindre l’érection et surtout ne pas l’éjaculation,
si elle doit venir, qu’elle vienne,
elle sera la bienvenue, au plus vous vivrez vos séances en mode yince qu’il faut bien comprendre, c’est qu’au plus vous êtes en mode yin,
au plus vous vivez vos organes au féminin,
ce n’est pas juste une image, ce que j’écris là, c’est la plus stricte vérité,
ce corps est fait de chair qui peut avoir les deux sexes
et à partir du moment où vous êtes totalement , de fond en comble, en mode yin
eh bien votre sexe en érection, vous ne le vivez plus comme si c’était votre érection
mais vous réagissez au féminin à une érection qui vous apporte du plaisir,
que vous sentez contre votre peau,
vous sentez en vous toutes les ondes masculines qu’elle génère
et puis l’éjaculation vient,
ce sera un orgasme XXL équivalent du super O du massage prostatique en intensitévos organes génitaux peuvent devenir un de vos meilleurs alliés en mode yin,
vous emplir d’une volupté ineffable avec la danse sensuelle des cuisses dessus,
n’ayez pas peur de presser , de frotter, fort par moments,
vous serez étonné à quel point , un peu de douleur-même, se transforme instantanément en plaisirmais donc frottements, pressions, tout est bon,
alternez cela avec les moments d’immobilité des cuisses
où c’est le masseur qui retrouve la priorité
et ainsi vous alternez, vous mixez, ondes prostatiques et ondes génitales, dans le bassinet encore une fois, ne vous retenez pas,
il ne faut avoir aucune crainte d’éjaculer,
vous n’aurez dans cette façon de pratiquer,
qu’une très courte période de perte d’énergie,
l’éjaculation est juste une cerise sur la gâteau,
si elle ne vient plus après pendant quelques jours,
aucune importance, vous avez toujours un merveilleux gâteau à déguster
et vos organes génitaux fourniront, même 30 mn après une éjaculation
toujours de délicieuses vagues de volupté
si vous y retournez avec les cuissesêtre confiné avec le plaisir en soi à fleur de peau,
c’est avoir à sa portée à tout moment une échappée belle1 avril 2020 à 11 h 15 min #37073bzoParticipantla tentation est là par moments
d’y mettre la main, de toucher avec les doigts,
ma chair devine le coup de turbo soudain que cela générerait,
les vagues qui se déplaceraient en rangs plus serrésmais je sais aussi le cul de sac dans lequel rapidement je me retrouverais,
uniformisation des sensations, plus de réelle accroissement de la tension sexuelle,
peut-être en insistant et encore en insistant, un orgasme ou deux
mais finalement peu intéressants, des fugaces explosions sans grand relief et colorationsla patience et une certaine discipline, font partie du jeu,
savoir résister à la tentation facile
parce qu’avec un corps d’homme, sa sexualité par défaut,
peut montrer durant l’action une issue rapide, un boulevard qui s’ouvrirait soudainement,
un accroissement soudain des sensations bien tentantemais personnellement en tout cas,
après quelques instants jubilatoire, ne le nions pas,
cela m’a toujours mené, j’écris bien, toujours,
dans un cul de sac et un appauvrissement drastique de la variété des sensations,
leurs nuances, leurs coloris
et puis plus vraiment d’augmentation réelle de la tension sexuelle,
plus de sensation d’un lent et irrésistible décollageoui parfois on voudrait que ce soit plus rapide,
que le décollage se fasse à la verticale,
avoir le beurre, l’argent du beurre
et le cul de la crémière pour y mettre le beurre et autre chose
mais notre pratique n’aboutit à des zones de stratosphères vraiment intéressantes,
enfin je parle de mon expérience et ma façon de pratiquer,
que si on peut faire preuve de patience, ne pas se laisser aller à certaines facilitésle plaisir, à certains stades de l’action, c’est savoir se retenir,
le plaisir se construit pierre par pierre, exige de la patience, de la retenue,
pour que la tension sexuelle continue sa progression, favorablement, durablement,
s’enrichisse, s’amplifie, se diversifie,
pour que les explosions viennent plus loin, de beaucoup plus loin,
mènent plus loin, beaucoup plus loin, beaucoup plus haut, beaucoup plus longtemps,
bénéficiant de toute cette tension sexuellement accumulée, emmagasinée,
pas immédiatement relâchée4 avril 2020 à 23 h 09 min #37104bzoParticipantune fois que vous avez la complicité de votre corps,
tout vous est permis,
il n’y a plus qu’à être imaginatif et audacieux
et tout devient réel,
c’est-à-dire, ressenti, vécu, dans la chaircomment obtient-on la complicité de son corps?
en la sollicitant jour après jour, semaine après semaine, mois après mois,
en y croyant de toute son âme, en s’investissant, en s’impliquant, de tout son être
une fois que votre corps sentira cela,
que vous êtes entièrement dedans, que c’est vous de fond en comble,
dans le moindre mouvement, dans le moindre geste, la moindre caresse,
que vous vous rendez sans conditions,
que vous êtes ouvert, béant, exposé, sans fard et sans défenses, avec vos tripes sur la table,
ayant remisé toutes vos certitudes, toutes vos idées reçues,
que vous êtes prêt à vous en remettre entièrement à lui,
il commencera à vous répondre5 avril 2020 à 10 h 31 min #37105bzoParticipantle moi pensant, j’en reviens encore à cette notion
bon, ce que j’entends par moi pensant, n’a sans doute aucune base scientifique, quoi que…
peut-être est-ce appelé autrement,
peut-être cela correspond réellement à quelque chose qui a une base scientifique,
quelque chose de bien précis, étiqueté, répertorié, etc
je ne sais paset je ne tiens pas trop à savoir,
je tiens à rester dans l’empirisme,
que tout ce “savoir” que je dégage, que j’essaie de décrire,
naisse dans le vécu, depuis l’éprouvé, depuis le ressentipourquoi?
parce que les résultats que j’ai atteints,
moi je le sais car je suis dans ma peau et je sais ce que j’ai vécu,
sont splendides, sont une réussite complète,
je peux éveiller totalement mes énergies et je peux en faire à peu près ce que je veux,
la complicité avec mon corps est entière,
dès lors c’est à partir de cette réussite totale que j’essaie de dégager des notions à transmettre,
des témoignages à rapporter
et je ne veux qu’en aucun façon cela puisse, cela risque, d’être faussé, d’être déformé,
par quelque texte scientifique que j’aurai cru comprendre
et dont je plaque les concepts, les mots, sur ce que j’ai vécuje cherche donc délibérément à rester dans l’aire et dans l’ère
de l’empirisme, des leçons tirées de mon vécu durant l’action,
avec le risque cependant, j’en ai conscience,
que cela arrive déformé dans le cerveau d’un lecteur qui cherche à se lancer dans cette voie,
théorisation basée entièrement sur le ressenti, sur le vécu,
court le risque d’être perçu sans doute tout autrement par quelqu’un d’autre,
comprise, intégrée, par rapport au vécu de cette personne
qui est complètement différent du mien, qui est le sien, son vécu, son action,
ses moments de corps à corps intime, ses tentatives de dialogue avec son corpsmais c’est sans doute le risque de tout dialogue avec quelqu’un d’autre,
que ce que l’autre comprend de ce qu’on dit ou de ce que l’on écrit,
soit totalement différent ou du moins en partie, de ce que l’on voulait transmettre,
toute la rigueur scientifique, toute une nomenclature, tout un vocabulaire,
tout un échafaudage, une technique de description, sont là justement pour éliminer au maximum
le risque de déformation du contenu dans les mots qu’on cherche à transmettrele moi pensant donc, c’est comme une cabine de pilotage dans ma tête,
isolée du reste du corps, une cellule qui a le contrôle, plus ou moins,
mais reliée à tout le reste par des câbles branchés par où passent les informations, en quelque sorte,
pas un contact direct, juste des flux d’informations qui montent,
que le moi pensant tente de décrypter et puis renvoient des directives, des instructionsc’est cette isolation , ces murs qu’il faut abattre,
qu’on peut abattre, j’en témoigne,
on peut arriver à une circulation fluide,
que la cabine du moi pensant, soit connectée à tout le reste du corps,
fasse partie du reste du corps, vive dans l’instant avec lui, palpite avec luiqu’est-ce que je ressens dans ces moments-là?
cela, qu’il n’y a plus aucune cloison, que toute ma tête fait partie intégrante du corps,
un autre moi pensant semble en place,
non plus situé juste dans ma tête, isolée de tout le reste
mais un autre moi pensant qui est en même temps partout dans mon corps,
comme dans ma tête aussi,
on se sent en même temps autant dans son genou, que dans sa hanche, que dans son petit doigt,
on ne transmet plus juste des commandes aux doigts depuis une cellule isolé dans la tête,
on est dans le petit doigt
et l’on imagine le mouvement , en même temps qu’il est en train de se fairesi durant l’action, le moi pensant revient,
c’est comme si un flux était interrompu, estompé, de plus en plus
les cloisons se reforment,
la cellule du moi pensant, se reforme,
la communication avec le corps, redevient lointaineje le ressens presque comme une douleur dans ces moments-là,
on est envahi de sensations ineffables,
partout leur flux, dans la tête comme ailleurs
et soudain, patatras, des cloisons cherchent à se reformer dans ma tête,
cherchent à nouveau à isoler,
cherchent à interrompre le flux, l’élan qui m’habitemais comme j’ai de l’entraînement, les cloisons tentent de monter
et quasi instantanément je les abats, le flux se reforme plus ou moins rapidement,
selon la taille et la solidité à laquelle elles étaient parvenues,
les gravats doivent être emportés, totalement par le courant,
avant que le flux retrouve toute sa limpidité, toute sa puissancecomment faire alors?
je reprends ma métaphore du débutant nu comme un ver sur son lit,
aspirant au plaisir en mode yin, désirant de toutes ses forces un plaisir en mode yin,
tout d’abord, il faut vraiment le désirer de toutes ses forces,
là est un des problèmes, pour l’instant,
c’est juste une idée, un fantasme, dans la tète du débutant,
il faut qu’il apprenne à le désirer de toutes ses forces dans sa chair
et qu’il soit prêt à casser toutes les barrières et à renverser tous les obstacles
qui se dressent en lui et ce plaisir
qui est là au fond de lui, qui dort au fond de lui
et qu’il faut parvenir à réveillermais pour cela donc il faut le désirer de toutes ses forces,
il faut donc réveiller toutes ces forces,
on croit désirer de toutes ses forces
mais en fait pour l’instant, toutes nos forces, sont juste à peine un petit pet
qui s’entend à peine en sortant, un petit pet comme un vague sifflement entre les fesses,
toutes nos forces, c’est une tornade dans notre coeur,
une tornade dans notre âme, une tornade dans notre corpslaissons là la notion de “de toutes ses forces”,
cela viendra avec le temps si ce n’est pas encore là pour vous,
il faut juste apprendre à se lâcher, à s’investir entièrement dans ce que l’on fait durant l’action,
pour en revenir au moi pensant,
apprendre à l’éteindre, lui apprendre à se faire tout petit dans un coin comme s’il n’existait plus,
c’est à cela qu’il faut arriver,
tout en sachant qu’il essaiera toujours de sortir de son coin,
de reprendre sa place et c’est bien ainsi,
on est ce que l’on est, un être pensant, c’est un miracle en soi, aux possibilités infinies
mais pas intéressantes ici pour nous durant l’action,
on cherche à retrouver l’unité avec le corps,
à faire un avec lui, on a pas besoin du moi pensant icicomment l’éteindre donc? à ce qu’il aille se faire tout petit dans un coin?
essayer de penser avec vos mains, essayer de penser avec vos hanches,
essayer de penser avec vos cuisses,
c’est sans doute plus facile à écrire qu’à faire, j’admets,
il faut essayer le plus possible de laisser parler son instinct, ses pulsionscela entre en collision frontale avec le fait que pour acquérir une technique,
il faut utiliser aussi sa tête, les fameuses séances d’entraînements de notre @andraneros national,
il faut donc des moments comme cela on l’on s’observe,
où le moi pensant, essaie, teste, évalué
mais aussi essayer d’avoir en contraste par rapport à ces moments,
d’autres où on se lâche, où l’on se laisser aller,
on l’on ne réfléchit plus ou en tout cas, le moins possible
et où l’on essaie de laisser parler son corpslaisser parler son corps, voilà,
je crois que ce type d’expression, peut parler à tout le monde, faire sens à tout un chacun,
il faut essayer de laisser parler son corps,
de parler avec lui, de parler avec ses mains, de parler avec ses hanches,
de parler avec son sexe, de parler avec sa prostate,
se laisser envahir par les sensations, ne plus penser, juste essayer de laisser le désir s’exprimer,
même si au début les sensations ne sont pas au rendez-vous,
que l’on fait n’importe quoi,
il faut d’abord libérer la place, que le corps se rende compte, qu’il y a une place à prendre tout en haut,
il n’en a pas l’habitude et vous non plus,
probablement des dizaines de fois il essaiera de monter prendre les commandes
et vous le repousserez par habitude
car vous êtes encore prisonnier des automatismes de votre moi pensant,
il est trop puissant encore dans ses prérogativesmais cela viendra peu à peu, c’est un travail de sape, un lent travail de sape,
pour qu’il accepte peu à peu de laisser la place,
au plus vous parviendrez à générer des sensations, au plus il acceptera de s’effacer11 avril 2020 à 22 h 03 min #37154bzoParticipantil faudra vraiment que je me filme un peu sérieusement,
je serais vraiment curieux de voir à quoi ressemblent dans la réalité
les mouvements que j’effectue,
je sais ce que je ressens dans ces moments
mais je serai curieux de voir si ce qui est effectué réellement,
comme gestes, comme mouvements, durant l’action ,
si cela correspond un tant soit peu à ce que je ressensmême si cela n’a pas grand importance au fond,
c’est là le petit miracle de cette pratique en mode yin qui est la mienne,
on ressent des choses qu’on n’est pas sensé ressentiron n’est pas sensé pouvoir se faire l’amour tout seul,
je n’enfonce pas mon sexe dans un autre sexe,
il n’est même pas dressé la plupart du temps,
je ne me frotte pas contre un autre corps
et qu’est-ce que c’est que ce plaisir au féminin, cette androgynie, dont je parle?
tout cela est-il réel ou juste les fruits de mon imagination, de mes fantasmes?là encore quelle importance,
l’important n’est-il pas que je les vive ces sensations, cette jouissance,
que je sois empli de cette volupté ineffable,
qu’elle soit là à ma disposition instantanément en deux temps, trois mouvements,
à la moindre sollicitation?ce fil, je l’ai voulu dédié à la technique, au cas où quelqu’un là-dehors
tout d’abord peut-être, le conseil de base pour démarrer,
c’est que vous ne devez pas avoir honte et vous ne devez pas vous retenir,
il faut vous lâcher et accueillir toutes les sensations, tous les fantasmes , comme ils viennent,
vous brûlez de vivre un plaisir au féminin,
vous brûlez d’être pénétré comme si vous étiez une femme à qui on fait l’amour
pourtant vous ne vous sentez pas homosexuel pour un sou,
il faut l’assumer maintenant, c’est l’occasion ou jamais,
se laisser emporter par son désir sans rien retenir dans cette directionsentir entre ses jambes, un sexe entrouvert, vivant, comme vibrant,
avoir une envie irrésistible d’y sentir un dard dur s’enfoncer,
y bouger, y frotter les parois, remuer
sentir ses hanches comme emplies de langueur à l’idée, avec une envie irrésistible de les onduler,
envie de bouger ses cuisses lascivement,
sentir le noeud bien gonflé d’un pénis turgescent s’y engouffrer lentement, écarter nos chairs,
enflammer nos entrailles à chaque millimètre de progression,
sentir tout cela en même temps,
en frémir jusqu’au fond de l’être, en être rempli de vagues de volupté,
tout cela avec quelques contractions et quelques mouvements des hanches et des cuissesvous pouvez y arriver, j’y suis arrivé,
les sensations font se former, si vous vous laissez emporter par le désir,
vous allez d’instinct peu à peu trouver ces mouvements, ces gestes
qui vous donneront la sensation de vivre un acte sexuel
en étant en même temps, l’homme et la femme, les deux en un,
les deux emmêlés, leurs gestes, leurs mouvements, emmêlés,
sensation de percevoir des deux côtés en même temps,
sensation d’enfoncer le dard turgescent et en même temps sensation de le sentir s’enfoncer dans nos chairs,
au plus intime de nouscomme il monte, comme il nous transforme instantanément en une fusée en train de décoller,
il n’y a qu’à vous laisser aller à votre désir et bouger,
laisser le désir vous bouger,
votre chair qui est androgyne, a les deux sexes, fera le reste11 avril 2020 à 22 h 53 min #37155bzoParticipantau fond, si ma pratique est devenue si puissante, si riche,
si effective à chaque instant,
c’est parce que j’associe dorénavant constamment
ondes prostatiques et ondes génitalesils forment un flux quasi indissociable
et ces derniers temps mes tentatives de refaire du pur prostatique,
me paraissaient fades,
j’abandonnais vite, mon bassin semblait tellement vide tout à coup,
alors que dès qu’il y a les deux types d’ondes associés,
tout mon bassin est directement empli
et en quelques instants tout mon corps aussi,
pas besoin d’attendredonc, pour résumer, dans ma façon de pratiquer,
on s’arrange toujours pour avoir les cuisses plus ou moins serrées
qui frotteront, presseront les génitaux,
rouleront les couilles comme de la bonne pâte,
aplatiront le petit tuyau comme si on voulait en faire un presse-papier
et puis en alternance ou simultanément, enfin engagés dans un dialogue intense et attentif,
d’autre part les contractions,
les contractions qui chez moi, apportent les ondes de la prostatemaintenant, c’est là peut-être que le bât blesse pour un débutant,
je ne suis pas sûr que pour quelqu’un qui n’a pas déjà une pratique prostatique bien établie,
ces contractions auront le même effet, en tout cas au début,
il faudra vous armer de patience,
cela peut arriver très vite, j’en suis convaincu,
je fais le chemin tous les jours, en un éclair,
passer du corps muet comme une tombe au corps chantant
mais cela a été un long cheminement pour en arriver là que ce soit désormais instantané,
cependant je le fais chaque jour ce chemin, même si en accéléré,
de briser la glace en moi et de faire jaillir la laveil vous faudra le faire ce chemin , ce sera peut-être très lent
mais encore une fois le seul véritable secret là-derrière,
c’est de laisser parler entièrement son désir et son corps,
donc si dans un éclair de génie personnel dans l’instant,
vous parvenez à vous lâcher comme il faut,
vous pouvez y être en quelques instants aussibon après, il faudra parvenir à reproduire jour après jour, acquérir de la consistance
mais donc même les contractions, si vous y allez simplement sans réfléchir,
juste essayer de bien les sentir,
de tenter de les manœuvrer pour ressentir un mouvement de pénétration
vous savez qu’elles peuvent devenir plus vraie que nature,
avec toute la richesse, la variété, les nuances d’un vrai dard en pleine action
avec un artiste de la chose à la manœuvre
mais il ne faut pas commencer à réfléchir,
“oh je dois bouger comme ceci et comme cela, maintenant j’accélère, là je dévie un peu”
non! juste laisser vous emporter, laisser le désir seul vous mener
et tout se mettra en place tout seul12 avril 2020 à 0 h 43 min #37156bzoParticipantjuste laisser vous emporter, laisser le désir seul vous mener
et tout se mettra en place tout seulhum, il faut cependant bien qu’une technique se mette en place,
une technique que le corps pourra assimiler
et à force automatismes, utiliser tout seulcela peut paraître contradictoire par rapport à des phrases de mon cru du genre
juste laisser vous emporter, laisser le désir seul vous mener
et tout se mettra en place tout seulmais pas tant que cela
il y a des moments de collaboration entre l’intellect et l’instinct, le désir, le corps
où comme si on avait ralenti l’action, les sensations,
pour pouvoir faire un peu d’analyse, d’observations,
on scrute, on se scrute en action,
une fois qu’on a l’habitude, on jongle très facilement avec cela,
après on remet les gaz et c’est reparti
mais quand on est débutant,
on se peut pas encore laisser parler son instinct, laisser parler son désir,
on est la plupart du temps, coincé dans son moi pensant,
bredouillant l’action, déployant beaucoup d’efforts pour peu de résultatsil y a une grande différence entre laisser parler son désir,
laisser parler son instinct,laisser parler son corps
et improviser n’importe quoi, bouger n’importe comment,
cette différence, c’est l’écoute,
on a appris à écouter son désir, appris à écouter son instinct, appris à écouter son corps
et dès lors on arrive à les laisser s’exprimer,
c’est tout sauf faire n’importe quoicependant pour le débutant, encore incapable de se laisser mener par son désir, son instinct et son corps,
faire juste n’importe quoi, peut être un excellent exercice en soi,
peut-être pas très productif en sensations au début
mais qui le fait évoluer sans qu’il s’en rende compte,
je recommande donc ce exercice de bouger, de se mouvoir, même très maladroitement mais sans réfléchir,
en se forçant à ne pas essayer de diriger l’action consciemment,
juste essayer de laisser son corps s’exprimer,
encore une fois, même si dans un premier temps,
on ne fait juste que gesticuler n’importe comment, sans grand résultat,
essayer néanmoins de le faire tranquillement, sans devenir frénétique, chaotique,
du grand n’importe quoi mais tranquillement, calmement,
en ayant à l’esprit toujours ces quelques lignes directives que j’ai esquissées,
c’est-à-dire la double action dans le bassin, décrite plus haut
pour obtenir un flux d’ondes prostatique et d’ondes génitales,s’emmêlantainsi notre débutant, nu comme un ver, sur son lit, gigotant piteusement au début,
va peu à peu prendre de l’assurance, va apprendre peu à peu à s’écouter,
tout cela en fait, est une invite de notre part, certes maladroite,
au corps, à l’instinct, au désir, de venir prendre la barre, de commander la manœuvre
et je peux certifier que ceux-ci, si suffisamment sollicités, même n’importe comment,
c’est-à-dire, avec suffisamment de cœur, d’ardeur , d’authenticité, à l’ouvrage,
pas juste faire comme ci mais être entièrement dans ce que l’on fait à chaque instant,
de toutes les forces de notre être, s’impliquer, dans chaque geste, chaque mouvement,
comme si notre vie en dépendaitet notre vie va en dépendre
car celle-ci peut être bouleversée de fond en comble
comme si on avait fait fortune sexuellement,
qu’on était devenu un multi-milliardaire des sensations voluptueuses
si vous vous impliquez comme il faut et que vous faites votre percée,
devenez de plus en plus complice et acolyte de votre corps
pour déboucher dans la caverne d’Ali Baba qui dort en vous comme dans tout un chacun12 avril 2020 à 9 h 38 min #37157bzoParticipantbon, si vous en êtes arrivé jusqu’ici dans votre lecture de ce fil,
c’est soit parce que vous vous appelez @andraneros
et que vous vous faites un devoir de tout lire,
de tout lire des phrases comme des plantes sauvages, de la mauvaise herbe
qui apparaissent entre les travées de ce forum
ou alors c’est que vous êtes vraiment très intéressé de vivre cela dans votre chair,
de vivre cette expérience si singulière dans votre corpspersonnellement, pour écrire ce fil technique, ce qui me motive avant tout,
c’est de me dire que si au moins une personne là-dehors,
grâce à tout ce que j’écris ici, y parvient,
parvient à vivre le même type de bonheur dans sa chair que moi,
les mêmes moments d’épanouissement, de communion charnelle, de volupté ineffable,
j’aurai accompli ma missionc’est peut-être pompeux, orgueilleux, d’écrire ce genre de choses,
que d’estimer que si on a à ce point réussi dans son coin,
un truc si spécial, tellement en-dehors des clous,
quelque chose qui semble tellement hors des limites de la masculinité, de ses normes, de ses règles,
qu’il faut que j’essaie de la transmettre,
de faire passer de ma chair à d’autres cette compétence intime acquise,
cet “artisanat sexuel” à la fois sophistiqué et animal,
de se donner du plaisir12 avril 2020 à 10 h 01 min #37158bzoParticipantj’écrivais donc plus haut que les cuisses ne doivent être jamais très éloignés de nos organes génitaux,
que dans le bassin, on doit avoir une synergie d’ondes de la prostate et d’ondes de nos génitaux,
la règle cependant qui est d’or dans le massage prostatique de rester éloigné de ses couilles, de son sexe,
est toujours d’application pour les contacts manuelsla main n’entre pas en contact avec le petit tuyau, les roubignolles, sauf accidentellement,
les cuisses sont les interlocuteurs naturels , de nos organes génitaux
et donc il ne faut en aucune façon hésiter de se lâcher,
si on commence à bander, pas un problème, si on finit par éjaculer, pas un problème non plusbon, idéalement, on ne bande pas trop, dans ma façon de pratiquer,
personnellement, quand tout ce passe comme il faut,
je bande vraiment comme un taureau qu’aux dernières secondes, juste le temps de l’éjaculation
mais avant , pas trop,
bien que le bâtonnet se durcisse parfois durant la séance
mais à chaque fois, cela débande aussi assez rapidement,
le fait est que la trique levée, rend la danse avec les cuisses moins aisée, plus malhabile
moins de nuances aussi dans les sensations,
cela gêne plus qu’autre chose, d’avoir ce bout de chair en érection, entre les jambes
mais on ne doit pas s’en formaliser plus que cela
et il ne faut pas s’en préoccuper, ce n’est en aucune façon interdit,
ni mauvais pour la suite des événements,
on ne doit rien faire consciemment pour que cela cessechez moi, cela part tout seul grâce aux contractions,
si on se concentre bien sur les contractions, c’est-à-dire la production d’ondes prostatiques,
le dégonflement de l’érection est quasi instantané chez moi,
par contre il y aura un moment, parfois après une demie heure, parfois après de longues heures,
parfois après plusieurs jours,
où soudain c’est comme si un troupeau d’innombrables mustangs au galop
débarquait dans votre bassin,
vous ne pourrez pas confondre ce momemt avec autre chose,
là c’est le signal qu’un orgasme XXL (l’équivalent du super O du massage prostatique)
va se passer dans votre corps,
là, restez bien détendu et bien tendu comme vous étiez, en d’autres mots,
essayez de continuer comme si de rien n’était,
cela ne va pas être facile au début,
tellement c’est quelque chose d’immense qui semble s’approcher, quelque chose de tellement puissant,
qu’il est vraiment difficile de ne pas commencer à s’observer,
essayez cependant de faire comme si de rien n’était,
une fois que la vague sera irrésistiblement sous vous,
que vous sentez irrésistiblement comme un fétu de paille soulevé,
alors là lâchez-vous, juste laissez-vous emporter, enjoy,
ne vous préoccuper pas des spasmes de votre corps, qu’il rue dans toutes les directions,
juste enjoy le moment de totale puissance orgasmique qui se joue comme une symphonie folle dans votre corps12 avril 2020 à 11 h 31 min #37161bzoParticipantil faudrait avoir vécu au moins une fois dans sa vie
une éjaculation en mode yin
pour découvrir l’extraordinaire puissance que cela peut prendre,
où tout notre être n’est plus que lave en fusion éjecté dans les airs
pendant trente secondes, 45,
que cela peut durer bien au de-là d’une minutec’est l’orgasme mâle accompagné de l’éjection du sperme
mais vécu en mode yin,
c’est quelque chose, vous pouvez me croire,
je viens d’en vivre un il y a quelques minutes,
c’est l’orgasme mâle à la puissance dix et vécu dans tout le corps
et qui dure, qui dure, qui dure,
qui semble arracher tout sur son passage et l’envoyer aux quatre coins de la galaxiele plus difficile étant, comme je le souligne au-dessus,
c’est de laisser l’éruption se dérouler sans interférer,
par “sans interférer”, je veux dire , pas seulement physiquement
mais dans la tête, c’est là que c’est le plus dur en fait,
nous autres hommes,
on n’est pas habitué à ce que l’éjaculation soit accompagné d’un pareil déferlement dans tout notre être
et c’est à chaque fois, encore pour moi pour l’instant,
un petit passage délicat à négocier quand je sens que cela commence à monter,
que cela commence à bouillonner de tous les côtés,
que les voyant partout se mettent à clignoter follement,
de continuer comme si de rien n’était,
juste parcourir les dernières mètres avant la ligne d’arrivée de l’explosion
en restant bien concentré sur la course, sur le corps au travail
et pas me laisser distraire par tout le stade autour qui entre en ébullition,
tout le stade plein à craquer qui est sur le point d’exploser12 avril 2020 à 11 h 39 min #37162AndranerosParticipantvous vous appelez @andraneros
Comment m’as-tu découvert ?
Merci de distribuer tes conseils comme les cloches de Pâques distribuent les œufs. Il faut absolument aller les chercher partout dans la maison et dans le jardin pour ceux qui en ont un !
12 avril 2020 à 13 h 01 min #37163bzoParticipanthello @andraneros, mon plus fidèle lecteur
c’est vrai que je suis sacrément cloche par moments,
pas seulement à Pâques…13 avril 2020 à 14 h 17 min #37167bzoParticipantpour le débutant complet qui veut se lancer dans la pratique en mode yin,
il est peut-être plus intéressant, comme je l’ai déjà signalé, de commencer avec un masseur,
en effet s’il n’a aucune expérience prostatique,
il lui sera peut-être plus difficile de bien éveiller sa prostate dans un premier temps
avec la technique telle que je la décris en aneroless jusqu’ici,
à savoir mêler, faire dialoguer, les ondes prostatiques et les ondes génitalesdonc je dirai dans un premier temps,
les contractions pourraient être remplacées avec profit par un masseur
mais pas n’importe quel type de masseur,
pour mon genre de pratique, je recommande fortement des modèles du genre Vice, Vice 2 (sans les moteurs)
ou Device ou bien encore mon chouchou de toujours, l’énorme G-Rider de NexusPourquoi?
tous ces modèles ont en commun d’avoir deux butées bien développées, larges, épaisses,
assez plates, avec une légère courbure (en tout cas pour le G-Rider)
qui permettent de bien diriger le masseur, le rendent bien stable, d’effectuer des mouvements bien droits,
et donc de reproduire de façon optimale les va et vient divers et variées de la pénétrationvous pouvez à la limite vous y essayer avec un Progasm
mais ce sera déjà nettement plus instable, de mon expérience et plus limité,
il faut pouvoir se lâcher et en même temps facilement diriger le masseur en vous,
parvenir à bien reproduire un pénis imaginatif qui cherche à varier les sensations,
qui s’excite parfois de plus en plus, bouge de plus en plus, jusqu’à devenir frénétique et désordonné,
tout cela n’est possible que si on garde bien le contrôle du mouvement,
de lui faire faire des mouvements bien droits,
qu’il ne commence pas à déraper dans toutes les directions,
ne répond plus bien à nos sollicitations,
nos tentatives de lui faire effectuer quelques figures de style un peu plus acrobatiquescependant je vous recommande tout de même de pratiquer les cuisses plus ou moins serrées
et d’essayer d’obtenir ce dialogue d’ondes prostatiques et d’ondes génitales, décrit au-dessus,
prenez votre temps, essayez de bien sentir ce qui se passe en vous,
soyez à l’écouteêtre à l’écoute, c’est être juste réceptif, ouvert, attentif, imaginatif, impliqué à 100%,
tourné vers soi-même
il ne faut pas spécialement se concentrer sur une partie du corps ou une autre,
ça, cela vient tout seul,
vous vous concentrez automatiquement vers l’endroit où cela se passe,
il ne faut pas en rajouter,
il faut juste essayer, comme décrit plus haut, d’arrêter son moi pensant, de le mettre en veilleuse,
votre corps veut dialoguer avec vous, il ne demande que cela,
il faut vous ouvrir, ne plus fonctionner par la pensée
mais avec son instinct, ses pulsions, ses fantasmescaressez-vous lentement, avec passion, votre peau ne demande aussi que cela,
tout votre corps est demandeur, il s’agit d’établir le contact,
il faut y croire aussi, croire en soi, croire en ses capacités, croire qu’on peut le faire
essayer d’allumer le feu comme dirait l’autresentez le masseur en vous, bougez-le, variez les mouvements
bâtissez en vous peu à peu les sensations de la pénétration, varier, diversifier,
c’est le moment de se laisser aller sans peur et sans honte,
de vivre à fond son fantasme de plaisir au féminin,
sentez comme il est dur en vous, ce masseur, comme il est dressé dans votre chair,
bougez-le le plus diaboliquement possible,
répondez à chaque va et vient du masseur, avec vos hanches,
enserrez avec vos cuisses vos parties comme si vous vouliez danser avec ,
sentez toutes ces rondeurs féminines prêtes à pousser instantanément en vous,
sentez ce sexe prêt à s’ouvrir entre vos jambes, comme il chaud, soyeux, prêt à vibrer,
laissez le masseur s’endiabler par moments, faire des petits galops dans vos entrailles,
laissez le féminin bouger votre corps,
devenez liane lascive corps et âmeet puis encore une fois, il faut alterner,
n’oubliez jamais le dialogue d’ondes prostatiques et d’ondes de vos génitaux
avec le mouvement des cuisses tout contre,
dansant un tango langoureux avec vos couilles, avec votre sexe,
n’hésitant pas à les brutaliser par moments,
à d’autres, les effleurant avec toute la délicatesse du mondeavec un peu d’entraînement, tout cela se fait très très facilement,
tout cela est dans la même zone, est très facile à cordonner en fait, à faire dialoguer,
une fois que ce sera bien en place, cela vous semblera totalement naturelil ne faut pas hésiter avec les contractions ou le masseur, à appuyer fortement, à presser longuement,
votre prostate n’est pas en porcelaine,
elle ne va pas éclater en mille morceaux au premier contact un peu vif,
on n’est pas dans le massage prostatique ici, dans le “do nothing”,
ici, c’est une pratique dynamique, avec de l’action, parfois en mode bûcheron,
et une fois que ce sera bien au point pour vous,
la seule chose à laquelle vous pourrez la comparer, votre pratique,
c’est à un acte sexuel avec partenaire, en aucun cas à de la masturbationsentez comme chaque mouvement semble un entrelacement entre le masculin et le féminin en vous,
comme des ébats semblent déclenchés en vous,
laissez-vous aller à toutes vos envies de courbes dansantes,
ne retenez pas vos hanches, qu’elles dansent, que vos cuisses s’ouvrent,
vous êtes aussi en même temps le maître du dard, celui qui le pousse
donc là encore, mettez-y toute votre ardeur, tout votre imagination, tout votre lascivité,
en un mot, tout votre désiroui vraiment, si je vous surprend raide comme un piquet sur votre lit,
avec juste un peu de mouvement dans le bassin,
vous n’avez rien compris à tout ce que je décris
et je vous colle une punition,
vous me copierez mille fois au tableau
“je dois y mettre de la passion, je dois y mettre de l’ardeur,
je dois être engagé de tout mon être, je dois faire comme je me me faisais l’amour
jusqu’à ce que je le fasse vraiment”allez, au boulot, en groupe par un,
une, deux, une deux!13 avril 2020 à 16 h 02 min #37168bzoParticipantje rajouterai encore
qu’il ne faut pas hésiter à y aller de manière virile,
je frotte, je presse, je pince parfois mes couilles avec une telle puissance
que je suis toujours étonné après , une fois cela s’est calmé,
que leur peau ne soit pas irritée, rougeâtre,
que je ne sente pas des douleurs dans mon sexe
tellement par moments je l’ai coincé et tordu entre mes cuisses fortement,
tellement pendant de longues secondes j’ai effectué des va et vient tout en puissance
qui occasionnaient toutes sortes de frottements, d’abrasions insistantesmais non, rien de bien sérieux, c’est beaucoup plus résistant qu’on ne croit,
le sexe, c’est de la douceur, de la sophistication, des nuances délicates
mais c’est aussi de solides va et vient en mode bûcheron par moments,
c’est beaucoup de pressions, de frottements, accentués, sans ménagement
car le désir tend souvent vers le volcaniquen’hésitez donc pas à vous exprimer
et n’ayez pas peur d’y aller, de la sueur, des muqueuses, des muscles, des froissements,
tout cela au nom de la tectonique des plaques intimes
tout cela au nom de la rose secrète dans votre sang15 avril 2020 à 8 h 32 min #37180bzoParticipantbien garder à l’esprit que l’acte sexuel,
l’acte sexuel avec la pénétration,
n’est pas quelque chose de mécanique,
que c’est une danse entre deux corps,
il en va de même dans la pratique en mode yin, tout seulau début, c’est sans doute trop que d’essayer de mettre cela en place
tant qu’on ne maîtrise pas encore bien
le dialogue des ondes prostatiques et des ondes génitales dans son bassin
mais une fois que cela commence à être un automatisme, qu’on commence à se sentir à l’aise avec cela,
que nos mains sont devenues indépendantes, vont par monts et par vaux, caresser, frotter, presser
et puis que le corps se sent bien en mode liane lascive, aime onduler,
alors il est temps de penser à la coordination de cet ensemble,
faire que ces différents acteurs de notre plaisir, de nos sensations,
agissent de manière optimale ensemblela danse est basée sur un rythme, toujours il doit y avoir un rythme,
c’est dans notre bassin qu’est donné le rythme , ce sont les mouvements de la pénétration,
c’est dans notre bassin que naît le beat langoureux, le beat suave de l’acte sexuel,
sentez-le, comme c’est un rythme caressant, sauvage par moments,
il doit toujours être là
ou du moins si on effectue quelques digressions, quelques figures de style,
après on doit toujours retomber dessus, sur le rythme de la danse,
voyez Ginger Rogers et Fred Astaire, dans leurs merveilleux numéros sur la piste,
ils effectuent parfaitement coordonnés quelques mouvements acrobatiques qui défient la gravitation
mais après ils retournent au rythme de base de la danse,
ils ne l’oublient jamais, ils le retrouvent toujours comme un chat retombe sur ses pattessentez la danse en vous, sentez le rythme dans votre bassin,
sentez la langueur ainsi s’exprimer merveilleusement,
sentez comme tout se chorégraphie comme par miracle dans la danse, comme tout se répond parfaitement ainsi,
les mains passent le relais au bassin, le bassin à la prostate, etc
tout est bien coordonné quand on suit le rythme, quand le désir est une danse suave, animale, en nous15 avril 2020 à 21 h 16 min #37184bzoParticipantune variante diantrement sympathique,
je m’y adonne régulièrement,
même si ma préférence va à rester nature, sans rien,
c’est de s’enduire les testicules et le sexe de beurre de karité
et ainsi en mode yin, avec les cuisses dansant leur slow langoureux avec les génitaux,
ça dérape, ça glisse, ça frotte feutré, plus que jamaispour compléter, un tout petit peu aussi derrière dans la petite ouverture,
vraiment qu’une petite noix, cela ne doit pas devenir une patinoire,
c’est nécessaire uniquement avec le masseur,
ainsi le doigt entre et glisse toujours plus profondément tellement facilementcomme c’est chaud et glissant là-dedans,
quel divin fourreau,
la contraction venant envelopper le(s) doigt(s)
forment directement un délicieux petit bélier affolant mes entrailles16 avril 2020 à 8 h 32 min #37186bzoParticipantentrer en contact avec ses génitaux avec la main, c’est une approche yang,
entrer en contact avec ceux-ci avec les cuisses, c’est la voie yindonc, toujours pour reprendre le même exemple,
notre débutant nu comme un ver sur son lit, se demandant comment éveiller le yin en lui,
je lui répondrai de commencer par frotter, par presser, le plus langoureusement possible,
ses génitaux avec ses cuissesaprès, il n’a plus qu’à y ajouter, ce que j’appelle, le mode liane lascive,
c’est-à-dire, des ondulations du corps, une danse des hanches
et puis des caresses avec les mains sur tout le corps, les seins ,
les hanches, la poitrine, les cuisses, partoutpas le tout en même temps bien sûr,
c’est la qu’intervient cette danse, ce rythme dont je parle un peu plus haut,
laisser parler le désir en mode yin en nous, c’est danser à son rythme,
c’est coordonner une danse entre tous les acteurs de notre plaisir,
mains , hanche, hanches, génitaux et tout le resteet voilà on y est déjà presque,
que manque-t-il encore?
la prostate bien sûr,
comment obtenir la collaboration de celle-ci?
avec un masseur ou avec des contractionsmais pas avec n’importe quel masseur, le type de modèle décrit plus haut pour les raisons que j’explique,
comment bouger ce masseur? comment effectuer les contractions?
rien de bien sorcier, on cherche à éveiller et à vivre le mode yin en nous,
donc on cherche à reproduire le plus possible les mouvements d’un sexe en érection en nous,
cela viendra, c’est tellement simple en faitvoilà donc en résumé
j’ajouterai encore, varier le plus possible, diversifier autant que vous pouvez
les mouvements, les gestes, les positions,
une fois que votre sensibilité, votre écoute, le rewiring et le mode yin, seront bien développés en vous,
le moindre petit geste, le moindre petit mouvement devient source de plaisir,
alors varier par petites touches, juste déplacer sa hanche d’un centimètre ou deux,
change déjà tout à fait la coloration d’une sensation,
n’hésitez pas à tester toutes sortes de mouvements, de gestes,
bougez vos jambes , vos bras, bouger tout, langoureusement, parfois frénétiquement,
écoutez-vous et enrichissez toujours plus le monde sensible de votre corps en mode yin16 avril 2020 à 23 h 37 min #37191bzoParticipantj’ai déjà relaté de temps à autre mes différentes expériences
de moments passés durant la pratique,
soit avec les yeux ouverts, soit avec les yeux fermésc’est pas très original de le dire
mais paupières ouvertes, le plaisir devient tout de suite fort extériorisé,
paupières fermées, totalement intérioriségoutter la même sensation, d’abord dans sa version extériorisée
puis un peu plus tard, dans sa version intériorisée,
est une expérience délicieuse, riche, excitantej’avais tenté d’incorporer ceci à ma pratique en forçant,
voulant à tout prix synchroniser la fermeture et l’ouverture des paupières
à une autre action de ma pratique
mais cela avait toujours échoué
car il fallait que plus ou moins systématiquement le moi pensant intervienne
pour actionner l’ouverture ou la fermeture des yeuxcependant ces derniers mois, je me suis rendu compte
que c’était intégré, sans même que je fasse quelque chose en ce sens,
que c’était désormais depuis quelque temps, totalement intégré à ma pratique,
que c’était-il passé? comment cela s’est fait?simplement en ayant pris conscience de cette différence
de qualité, de nuance, de coloration, d’élan, de fluctuation, des sensations
selon que mes yeux étaient ouverts ou fermés
et qu’il n’y avait pas directement à les refermer si par hasard ils s’ouvraient
ou vice et versa,
qu’il n’y avait qu’à laisser faire et rester, soit yeux ouverts, soit yeux ferméset donc ainsi je passe des moments, parfois très longs, parfois toute la séance
paupières ouvertes ou paupières fermées
parfois ils se rouvrent ou se referment après quelques minutes ou plus longtemps
et je l’accepte
et commence à goûter aux sensations changeant tout d’un coup,
avec des nuances caractéristiques de leur intériorisation ou de leur extériorisation17 avril 2020 à 19 h 34 min #37195bzoParticipantbon, je ne sais pas si j’aurai jamais la patience, ni même si j’ai les compétences,
de mettre tout cela sous forme pour en faire une sorte de manuel
à usage du candidat au plaisir en mode yin
mais en tout cas, j’essaie dans ce fil de mettre tout le matériau brut nécessaire17 avril 2020 à 21 h 40 min #37196bzoParticipantma pratique en mode yin a pris véritablement forme, semblant pouvoir livrer son plein potentiel,
il n’y a pas si longtemps finalement,
il y a quelques semaines à peine, j’ai éjaculé par accident,
catastrophé dans un premier temps,
dans la foulée, immédiatement je me suis rendu compte que cela ne diminuait nullement
ma capacité à générer des ondes génitales en mode yin,
dès lors je me suis complètement lâché, y suis allé sans me retenir plus un seul instant,
frottant, pressant, caressant, avec les cuisses,
malmenant, martyrisant même par moments, mes couilles, mon sexe,
n’ayant plus aucune peur, plus aucune retenuecette première éjaculation accidentelle, ne m’avait pas apporté vraiment de plaisir
car je l’ai vécu, affolé,
effectuant même au début, je me rappelle,
le geste ridicule d’essayer de boucher le méat avec un doigt pour tenter de refouler le sperme,
de stopper net l’éjaculation
mais après, une fois que j’ai compris qu’en mode yin,
ce n’était vraiment pas un problème, qu’on pouvait y aller autant qu’on voulait,
le lendemain déjà, je crois,
j’ai vécu ma première véritable éjaculation avec orgasme en mode yin,
et j’ai découvert avec stupéfaction l’extraordinaire puissance qu’il y avait là-dedans,
équivalente, comme je l’ai déjà plusieurs fois écrit,
à celle des super O que j’ai vécus par le passé avec le masseurmais ces orgasmes sont différents, pour l’instant, plus courts
puisque mes super O duraient parfois jusqu’à 5mn, rarement moins d’une minute,
cependant je sens qu’ils ont le potentiel pour durer bien plus longtemps,
leur puissance est telle que mentalement, je ne parviens pas encore tout à fait à les gérer,
c’est-à-dire à me lâcher à 100%,
à ne plus être surpris encore à chaque fois car ils s’annoncent tellement longtemps à l’avance,
semblent monter en moi de tellement loin, avançant en moi comme une marée,
de sentir ces vagues lancées au galop qui semblent venir de nulle part,
qui progressivement envahissent tout mon être,
à un moment donné, j’explose comme si j’avais été un château de sable,
balayé d’un seul coup par la brutalité des eaux
qui dispersent à présent des millions de grain de sable tournoyant au hasardpendant près d’une minute,
il ne reste plus de moi qu’une sorte de déflagration continue, m’éparpillant de tous les côtés
et mon corps ruant, comme possédé par des démons l’agitant convulsivementles premières semaines, ma pratique a été assez déséquilibrée,
beaucoup plus d’ondes des génitaux dans un premier temps, en défaveur des ondes prostatiques
mais depuis cela s’est rééquilibré,
j’ai progressé aussi avec les contractions, développé une nouvelle technique bien plus efficace
et depuis je contrôle bien ces deux flux,
comme déjà écrit, à présent c’est comme si j’avais deux potentiomètres,
un à ondes génitales, un à ondes prostatiques
et je joue avec, je fais dialoguer inlassablement,
enrichissant, diversifiant, les nuances des sensations, à l’infini,
avec une efficacité encore plus grande désormaisil y a encore beaucoup de progrès à faire avec ces orgasmes XXL,
gérer leur arrivée, leur très lente arrivée,
enfin plutôt une arrivée au galop mais comme sur une très longue distance,
comparée aux super O qui eux, ne s’annonçaient chez moi que très peu,
j’étais surpris tout d’un coup, emporté sans crier garde,
ici donc, c’est un moment que je dois apprendre encore à vivre pour ce qu’il est
et non plus du tout pour ce qu’ils annonceet puis apprendre à bien les prolonger, ces orgasmes,
bien au-delà de l’éjaculation qui est leur rampe de lancement initial,
je sens qu’il y a moyen,
sans doute en faisant intervenir la prostate massivement à partir d’un certain moment,
expérimentation en cours,
on est éjecté dans la stratosphère , à un moment donné le moteur n’a plus de carburant,
il s’agit d’apprendre à planer dans les hauteurs, à se laisser porter par les courants célestes
et non plus retomber comme une pierreapprendre aussi à accepter qu’une séance se termine sans un orgasme XXL,
ça, c’est en cours,
à un moment donné, je voulais absolument qu’il y en ait un à chaque fois,
je finissais devant mon écran, en regardant un peu de porno,
de la masturbation en mode yin en quelque sorte,
cela se déclenchait inéluctablement, avec toujours une belle puissance
mais je sentais qu’ainsi un déséquilibre se créait, une déplétion véritablement de mes réserves
non, l’orgasme XXL accompagné de l’éjaculation, doit venir en son temps
et ainsi aucune ressource énergétique n’est sur-sollicitée
et le lendemain tout est bien en place pour de nouveaux moments d’extase et de volupté
avec les batteries chargées à 100%18 avril 2020 à 11 h 42 min #37198bzoParticipantdonc le point d’entrée dans une pratique en mode yin à ma manière,
qui essaie de faire usage de toutes les énergies disponibles,
pourrait être le jeu de frotti-frotta des cuisses avec les génitauxainsi pour le débutant complet
comme pour quelqu’un qui vient du massage prostatique,
il n’a pas à se casser la tête, “voyons, comment pourrai-je éveiller le yin en moi?”,
non ainsi, c’est automatique, c’est un point d’entrée idéal en fait,
les mains restent bien libres
et peuvent entamer leur aventure, leur voyage, par monts et par vaux, sur notre corpscaressez ces seins, sentez comme ils semblent se gonfler sous les doigts,
descendez le long de vos flancs, sentez la courbure dansante de vos hanches,
pressez-moi le globe de ces fesses, égarez vos doigts dans la petite fente,
attardez-vous, explorez cette petite caverne des délices,
avec les farfouilleuses petites souris curieuses qui aiment mettre leur museau partout
que sont le bout de vos doigtsondulez maintenant, oh mettez-vous en mode liane lascive,
sentez comme votre corps, vos hanches, aiment bouger langoureusement,
c’est une invitation aux vagues intérieures,
une invitations aux arabesques intérieures, une invitation à la soie,
à la soie mouvante comme une mer à l’infinireste la prostate, notre chère prostate,
donc on l’invite soit avec un masseur, soit avec les contractions
mais le principe est le même, il est simple,
vous vous foutez de toute technique,
oubliez tout ce que vous avez appris si vous venez du massage prostatique,
la seule chose que vous devez avoir à l’esprit,
c’est que vous devez sentir les va et vient d’une pénétration en vous,
divers et varié, varié et divers
vous devez juste sentir, pas réfléchir à ce que vous devez sentir,
pas imaginer ce que vous devez sentir,
juste sentirbouger et sentez,
sentez et bouger,
laissez le désir courir en vous, libre comme l’air
et vous deviendrez vous aussi, libre comme l’air, libre de jouir sans restrictions en mode yin19 avril 2020 à 21 h 08 min #37204bzoParticipanten relisant un peu tout ce que j’ai mis dans ce fil,
qui se veut technique,
une tentative de décrire en détails le plus pratique possible
ma manière de pratiquer en mode yin
pour qu’un éventuel candidat qui cherche à se lancer là-dedans,
ait quelques pistes, quelques jalons, devant soi,
je trouve que cela commence assez bien à couvrir tout ce qui est nécessaire pour se lancer
et même au-delàdonc la balle n’est plus dans mon camp pour l’instant,
peut-être un jour elle atterrira du côté de quelqu’un d’autre24 avril 2020 à 23 h 36 min #37232bzoParticipantje reviens un peu dans ce fil technique
pour parler de la façon d’explorer les richesses de l’entremêlement, du dialogue, de la fusion,
des ondes prostatiques et des ondes génitales dans notre bassinc’est un monde tellement vaste de sensations qui s’ouvre ainsi,
on peut y injecter à tout moment plus de prostate ou plus de génital,
selon notre envie, notre inspiration du moment,
diversifier ainsi constamment, moduler, enrichir,
introduire toujours plus de nuances, de coloris, de détailspour développer cela,
il faut d’abord acquérir une sensibilité maximale de ses organes génitaux sollicités en mode yin,
donc frottés, effleurés, pressés, par les cuisses,
sans jamais être touché par les doigts,
chez moi, le moindre contact, le moindre effleurement de mes organes sexuels,
provoquent des délicieuses ondes qui emplissent mon bassin
et très rapidement se répandent dans tout le corps,
c’est quelque chose de constant mais avec un slip et occupé à tout autre chose
mais bien sûr, quand je me met nu et en état de réceptivité maximale,
que je m’ouvre, me laisse aller, me laisse emporter,
là cela devient très rapidement, des vagues de volupté m’envahissant tout le corpsil n’est pas dit que ce sera le cas tout de suite chez un débutant,
il faut s’habituer à solliciter ses organes sexuels en mode yin uniquement
pour que ceux-ci réagissent de plus en plus de la façon dont on espère qu’ils vont réagir
mais patience et ténacité, c’est à votre portée,
c’est juste une question de temps et de pratiquerd’autre part, il y a aussi la sensibilité de la prostate, l’éveil de celle-ci,
sa capacité à la moindre sollicitation de notre part à produire des vibrations,
en aneroless chez moi, la moindre contraction dans mon bassin,
fait monter directement comme un faisceau dense d’ondes prostatiques entre mes jambes,
je maintiens la contraction, le faisceau persiste aussi
et devient de plus en plus intensedonc ainsi avec une prostate et des organes génitaux, totalement éveillés, participant à l’action,
prêts à réagir et à vibrer à la moindre sollicitation,
il s’agit maintenant de commencer à les faire dialoguer, de faire varier les effets à l’infini,
bouger vos cuisses , bouger votre bassin, dans tous les sens,
tantôt doucement, tantôt déchaîné
frottez, pressez, effleurez, contractez, alternez les effetsles cuisses assez écartées, juste en effleurant votre sexe et vos couilles
grâce à un mouvement de bassin en même temps que la contraction,
vous aurez plus de prostatique,
jouez constamment de la force de contact entre vos cuisses et vos organes,
au moins ils se touchent , en même temps que vous sollicitez la prostate
grâce à des contractions conjugués à des mouvements du bassin plus ou moins forts,
au plus ou moins vous injectez du prostatiqueau contraire, au plus vous allez presser, frotter avec vos cuisses , vos organes sexuels,
au plus vous allez générer avec des ondes,
là aussi les effets qu’on peut obtenir, n’ont aucune limite,
tellement il est facile d’effectuer une sorte de danse lascive variée à l’infini
entre les cuisses et puis les couilles et le sexecombinez ces deux types de mouvements, de gestes,
les uns qui vont éveiller plus de prostatique,
les autres plus d’ondes génitales,
vous avez une synergie splendide dans votre bassin
tantôt avec plus d’ondes prostatiques, tantôt avec plus d’ondes génitalesil n’y a aucune limite à la possibilité de varier les effets,
cela ne dépend vraiment que de vous,
sans même parler du reste,
les mains caressant, allant par-ci, par-là,
les doigts de l’une, tantôt presque immobiles, pressant, câlinant un sein
et l’autre glissant un doigt lentement dans la raie, l’y enfonçant un peu, ressortant,
palpant maintenant avec langueur le globe d’une fesse,
remontant le long du flanc, tâtant tout, palpant tout,
votre peau aussi, ne demande qu’à s’éveiller, qu’à s’enflammer, comme tout le restele fait est que tout notre corps est en fait un organe sexuel
et si vous savez y faire, avec le temps,
il sera totalement en éveil, générant des vibrations de tous les côtés
et en même temps, vous serez là, plus seulement dans votre tête
mais emmêlé étroitement à votre corps, partout dedans comme vous ne l’avez jamais été,
ayant établi avec celui-ci une complicité divineà vos lits, partez!
jouissez et laissez-vous emporter sur une mer de volupté25 avril 2020 à 21 h 06 min #37235bzoParticipantj’ai déjà évoqué en long et en large les ondes prostatiques et les ondes génitales,
leur dialogue riche, constant, la base de ma pratique
je vais maintenant aborder comment vivre en mode yin des ondes anales,
pour que dans le bassin,
la synergie de vibrations soit explosive, débordante, en sursaturation plus ou moins longuementles ondes anales peuvent apporter énormément ponctuellement,
ceux qui me lisent, savent que quand je fais allusion en langage imagé, à l’orifice anal,
je l’appelle l’anus-pussy, ce n’est pas gratuit bien sûr dans mon esprit,
c’est assez évocateur en soi, il me semble, cela veut bien dire ce que cela veut dire,
de ce que l’on ressent en mode yin, quand les doigts s’y aventurent,
cependant il y a quelques règles de base à respecter,
oh pas grand chose, ce sera assimilé très facilement en son tempscar les actions dans lesquelles nous nous sommes engagés
lors de nos expérimentations, notre apprentissage,
si les sensations sont présentes au rendez-vous, riche, répétable à l’envi,
le corps n’a aucun problème à les adopter, à les assimiler,
dites-vous bien cela, si le corps l’accepte,
si le corps parvient finalement à le faire à votre place,
que vous ne devez plus y réfléchir, que cela fonctionne comme tout seul, en pilotage automatique,
c’est que c’est bon, c’est que c’est une bonne technique
mais si vous devez constamment intervenir avec votre intellect, votre moi pensant,
pour effectuer un quelconque enchaînement d’actions,
si vous devez à chaque fois vous couper de vos instincts,
de l’élan primaire du désir de plus en plus éveillé en vous,
alors vous devez drastiquement remettre en question cette ou ces action(s),
seul ce que le corps peut adopter, peut s’en servir tout seul, va dans la bonne voie,
la voie d’un acte sexuel avec soi-même
où tous nos instincts, notre ardeur et notre tendresse, sont libérés,
où notre désir est roi,
où le yin coule à flots comme un fleuve tantôt majestueux, tantôt turbulent et sauvage,
enfin, dans ma manière de pratiquer, cela va de soi,
je ne prétends pas à autre chose
que d’essayer de décrire avec autant de précision que possible, ma façon de pratiquerje disais donc, quelques règles de base à respecter dans l’exploration anale en mode yin
mais vraiment pas grand chose
on n’y va pas comme en mode yang avec des va et vient des doigts ou d’un godemiché
cherchant à reproduire un sexe en érection pénétrant,
pour cela en mode yin, nous avons les contractions imbibées des ondes prostatiques,
en ayant dit cela, tout peut quasiment se déduire de ce qu’il faut faire,
il faut que les doigts qui farfouillent, qui frottent, qui s’avancent en profondeur,
essaient toujours de faire la connexion avec les contractions,
qu’un dialogue intime s’établisse donc entre la prostate par l’intermédiaire de celles-ci
et l’anus par l’intermédiaire des doigts qui s’y aventurenten d’autres mots,
les doigts et les contractions cherchent à se rejoindre constamment,
cherchent constamment à coopérer, à s’unir,
pour former la sensation d’une entité unique,
un tout formé de chair et de nerfs contractés, baignant dans les vibrations de la prostate
et des mouvements des doigts frottant, pressant, la muqueuse du rectum, éveillant des ondes anales
s’enfonçant toujours plus en avant dans l’orifice sombre, de plus en plus labyrinthique et moelleux à souhaittout cela va finir par être ressenti comme un ensemble pénétrant,
un seul objet vivant, sublime corps étranger à la forme mouvante,
émettant un mix irrésistible d’ondes prostatiques et d’ondes anales, dans nos entrailles,
là encore le bassin danse, les cuisses dansent,
les ondes des génitaux sont le bienvenu aussi,
avec les frottements et les pressions habituelles sur les couilles, le sexe,
ce sont des moments très puissants, très riches
quand les trois types d’ondes possibles dans notre bassin, anales, prostatiques et génitales,
courent ensemble, se répandent ensemble, s’entremêlent ensemble, dans notre corpscependant vous le constaterez sans doute vous-même assez rapidement,
il ne faut pas en abuser, c’est presque trop riche, trop lourd à digérer quelque part
et puis il y a la main qui explore la cavité anale
qui se contorsionne pas mal pour aller derrière,
qui n’est plus libre de courir sur le reste de notre corps comme un oiseau de branche en branchepersonnellement je vis des moments très intenses ainsi ponctuellement
mais j’effectue en général des injections brèves, assez brèves disons,
cela peut s’attarder bien sûr, il faut le faire comme on le sent
mais le duo ondes prostatiques-ondes génitales, sans les ondes anales,
est quand même beaucoup plus fréquent dans ma pratique
que le trio ou même le duo ondes anales-ondes prostatiques qui sont comme de l’artillerie lourde
manque définitivement de légèreté et de finesse, tout de même,
cependant encore une fois, c’est sacrément bon par moments, l’artillerie lourde,
il ne faut surtout pas s’en priverles attentifs constateront que dans tout ce que je décris ici depuis le début,
c’est toujours un dialogue entre la prostate et les génitaux,
la prostate et l’anus
ou encore la prostate, l’anus et les génitaux,
la prostate étant donc plus ou moins présente constamment tout le long d’une séance,
celle avec qui le dialogue s’établit en priorité,
la raison est fort simple, une fois qu’elle est bien éveillée, généreuse en vibrations,
c’est avec elle que le contact s’établit le plus facilement,
c’est elle qui est invoquée le plus aisément,
qui s’accommode le plus de toutes les situations, prête à rester même comme au second plan,
laissant la vedette à d’autres,
même si dans les faits, c’est grâce à elle que tout cela est possible -
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