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13 janvier 2017 à 13 h 16 min #22024nydor01Participant
Je voudrais ici évoquer la possibilité d’atteindre l’orgasme prostatique sans recourir à la pénétration, au massage manuel, ou encore à l’intromission d’un Aneros ou d’un objet quelconque.
Pour apprendre à identifier sa prostate et à développer sa sensibilité prostatique, ces différents moyens sont sans doute indispensables, ils représentent autant d’étapes sur le chemin de l’orgasme prostatique. C’est particulièrement vrai pour l’Aneros qui me semble être le meilleur moyen pour apprendre à atteindre l’orgasme de la prostate. Mais après le développement de sa sensibilité prostatique ces méthodes ne sont plus indispensables ; une autre voie est alors possible.
Avant de poursuivre, je ferai quelques remarques sur la question du plaisir prostatique.
Si le sujet me semble assez bien connu chez les homosexuels, il est souvent méconnu ou volontairement écarté chez la majorité, représentée par les hétérosexuels. Sans doute parce que l’accès interne à la prostate se faisant par l’anus, le lien avec homosexualité se fait très vite (et je ne parle pas de la question de l’hygiène… ). Pourtant, tous les hommes, quelle que soit leur orientation sexuelle, ont une prostate ! Le plaisir que l’on peut en retirer n’est donc absolument pas relié à ses préférences en matière de genre. Alors d’ou vient que la capacité orgasmique de la prostate soit autant ignorée ou méconnue ? C’est un peu un mystère, car même dans le milieu médical le sujet est assez peu maîtrisé. Dans les grands médias, le sujet est très rarement traité, et quand il l’est, c’est toujours par le biais du massage ou de la pénétration. Sur Internet (y compris les blogs), le sujet prend un peu plus d’ampleur depuis quelques années. Mais là aussi, le plus souvent en évoquant des moyens externes, notamment l’Aneros.
Quasiment rien n’est dit sur la façon d’atteindre l’orgasme prostatique sans autre méthode que par la maîtrise et l’association des contractions anales et périnéales, donc de manière tout à fait autonome et naturelle (évidemment, et peut-être y a-t-il un lien, sans recourir à une aide extérieure qui passe largement par un biais commercial !).
Ence qui me concerne, le développement de ma sensibilité prostatique s’est fait sur plusieurs années, il associait respiration profonde, hypnose, relaxation, et dans son ultime phase, utilisation de l’Aneros. Mais depuis, j’ai appris à reconnaître les signes du plaisir prostatique et les moyens de parvenir à l’orgasme par les contractions musculaires du plancher pelvien. Dès lors, je n’ai plus la nécessité, et ne ressens plus le besoin d’utiliser l’Aneros. J’ai aussi développé la sensibilité de mes mamelons, dont les sensations sous les caresses se transmettent à ma prostate. Si celle-ci s’éveille beaucoup plus vite par ce moyen, je précise tout de suite que ce n’est absolument pas un prérequis pour atteindre l’orgasme prostatique, mais une source de plaisir supplémentaire.
Alors faut-il comprendre qu’il y a encore un problème avec le plaisir sexuel en général, et, en particulier, quand il n’est pas relié directement à la procréation/copulation ? Quand bien même, où seraient la déviance ou la perversité alors que la prostate est un organe de la sphère sexuelle ?
On a aussi beaucoup parlé de plaisir féminin depuis quelques décennies, et des implications que ce plaisir vécu en dehors de la procréation avait sur notre société ; il est fort possible que l’orgasme prostatique implique une remise en cause de l’image de la sexualité masculine dans notre société, et dans l’esprit des femmes, qui à leur tour seraient confrontées à la manifestation d’un plaisir (et d’un orgasme) qui les dépasserait !
Voilà, je termine pour dire encore mon étonnement devant la méconnaissance qui entoure ce sujet, alors qu’une information sur les moyens de parvenir à l’orgasme prostatique aurait toute sa place sur le sujet du plaisir sexuel (si ce n’est en éducation sexuelle).
14 janvier 2017 à 7 h 14 min #22033diaboloParticipantAh… Merci pour votre témoignage, je me sens moins seul…
Je confirme tout à fait qu’il est possible d’arriver à l’orgasme prostatique juste par des contractions du périnée conjuguées avec une certaine respiration et sans aucun accessoire.
J’ai découvert cela il y a quelques années et j’en ai parlé autour de moi mais depuis j’ai l’impression d’être un extraterrestre… pourtant je suis sûr que c’est à la portée de tous.
L’Aneros, j’ai testé plus tard pensant que ça devait décupler les sensations mais c’est moins bien, moins subtil. Il est effectivement peut-être utile pour localiser la prostate.
Merci encore et si je peux aider d’autres à découvrir ce plaisir c’est bien volontiers.14 janvier 2017 à 10 h 20 min #22035aneveilParticipantBonjour à tous,
C’est avec un énorme plaisir que je découvre ce fil qui m’intéresse au plus haut point car même si je suis beaucoup moins expérimenté que vous deux, (cela fait seulement 3 mois et demi que j’ai découvert le plaisir anal et prostatique) pour moi aussi les orgasmes Aneros-Less se sont récemment imposés d’eux mêmes.
@Diabolo :Ah… Merci pour votre témoignage, je me sens moins seul…
Idem, je me sens moins seul aussi 😉
@Diabolo :j’en ai parlé autour de moi mais depuis j’ai l’impression d’être un extraterrestre… pourtant je suis sûr que c’est à la portée de tous.L’Aneros, j’ai testé plus tard pensant que ça devait décupler les sensations mais c’est moins bien, moins subtil. Il est effectivement peut-être utile pour localiser la prostate.
Je trouve aussi cela beaucoup plus subtil “sans”, même si la présence de l’Anéros (surtout le MGX) m’apporte un plaisir physique de pénétration en plus.
Loque ma prostate est réveillé avec spasmes, vagues de plaisir et orgasmes plus ou moins puissants, l’introduction d’un Aneros ou un d’un plug entre deux vagues d’orgasmes a pour effet de stopper le processus.
Pour moi (et pour l’instant) l’Aneros comme les exercices de Kegel me servent de déclencheur pour localiser et éveiller la prostate, puis les orgasmes spontanés surviennent généralement ensuite 1, 2 ou 3 jours après, surtout la nuit et le matin…@mydor01
J’ai beaucoup de choses à dire en réponse à vos réflexions que je partage en grande partie mais j’ai peu de temps, je ne manquerai donc pas de poursuivre cet échange qui me passionne.A bientôt !
15 janvier 2017 à 19 h 12 min #22060AndranerosParticipantBienvenue sur notre forum @diabolo.
Vous avez donc découvert les orgasmes prostatiques sans passer par l’utilisation d’un masseur ni d’aucune forme de pénétration anale. C’est très intéressant et je pense que vous captiverez l’attention de nos lecteurs en nous présentant comment vous avez découvert cette voie de plaisir, comment vous avez fait votre cheminement, comment vous avez réveillé votre prostate.
J’espère que vous ouvrirez vite un nouveau sujet pour répondre à ces questions et à bien d’autres que vous adresseront nos lecteurs. Votre expertise enrichira encore plus notre forum. Merci d’avance et bon cheminement @diabolo.
16 janvier 2017 à 10 h 31 min #22064diaboloParticipantC’est avec plaisir que je vais essayer de vous décrire mon expérience.
Ça a commencé fin octobre 2011 à un moment où j’essayais d’exercer mon périnée pour bloquer l’éjaculation au moment critique (j’avais lu cette technique dans je ne sais plus quel bouquin) dans le but de devenir multi-orgasmique mais je n’y suis jamais arrivé. Cependant j’ai ressenti une drôle de sensation lors de ces contractions et j’ai cherché à approfondir la chose ; en association avec une respiration rythmée (j’y reviendrai) je sentais un plaisir nouveau qui montait et qui m’a conduit à un orgasme tout aussi nouveau, très différent de celui “classique”.
C’est dommage de n’avoir découvert cela qu’à la cinquantaine… mais personne n’en parle, personne ne sait… même des médecins. Alors si je peux aider à faire connaître ce plaisir c’est avec joie.
La première des choses c’est d’identifier le (ou les, je ne sais pas…) bon muscle à travailler. C’est celui qui permet de bloquer le flux d’urine ou d’éjecter les dernières gouttes d’urine aux toilettes ou encore (la meilleure méthode à mon sens) celui qui en attrapant par le gland votre pénis et en le tirant vers l’avant s’oppose à la traction et fait rétracter celui-ci. C’est aussi celui qui se contracte lors de l’éjaculation. Je ne pense pas qu’il faille le muscler à outrance, juste en prendre conscience.
Il faut alors respirer normalement mais à la fin de l’expiration, tout en poussant le diaphragme vers le bas contracter le périnée, même légèrement, puis relâcher à l’inspiration. La respiration doit être normale, il faut juste synchroniser la poussée du diaphragme vers le bas et la contraction en la maintenant 2 ou 3 secondes. Il me semble qu’il faut que la prostate soit comprimée en rythme entre le périnée et les abdominaux inférieurs. Des contractions du périnée seules ne suffisent pas.
Au bout de quelques respirations/contractions, on « sent » qu’il se passe quelque chose, c’est l’orgasme qui commence. Cet orgasme n’est pas soudain et brutal mais très progressif et on peut l’arrêter au palier que l’on veut (sauf si on est allé trop loin). Il m’arrive très souvent de me faire des mini-orgasmes discrets n’importe où, en réunion, dans le bus, dans la queue au supermarché… et même pendant que j’écris ce texte car j’ai fait les exercices en même temps pour essayer de mieux les décrire. Si on choisi de franchir les paliers, ça devient de plus en plus fort jusqu’à envahir tout le corps qui est alors pris de tremblements / contractions incontrôlables.
La première fois que j’ai montré cela à ma femme elle a eu peur et a failli appeler les pompiers, elle croyait que je faisais une crise d’épilepsie. Depuis j’ai arrêté de le faire avec elle car elle n’a pas l’air à l’aise avec ça, là aussi j’ai l’impression d’être un extra-terrestre.
Je pense qu’il doit y avoir une relation avec le Tantra, le Chakra racine, voire l’éveil de la Kundalini. Il y a comme une circulation d’énergie dans tout le corps qui vient de là en bas.
Encore un truc, mes orgasmes les plus intenses sont ceux que je déclenche quand je suis couché sur le côté gauche (à droite c’est moins bien) et en chien de fusil.
Voilà… N’hésitez pas si vous avez des questions.
16 janvier 2017 à 14 h 22 min #22066nydor01Participant@diabolo
Merci pour votre témoignage, très instructif, et qui tranche avec le flou ou l’imprécision que l’on rencontre souvent sur ce thème. Je vais essayer de rebondir dessus en apportant mon propre témoignage.Caractéristique des contractions musculaires associées à la respiration : le fait d’expirer en poussant le diaphragme vers le bas fait remonter mécaniquement le plancher pelvien vers le haut. C’est une chose que j’ai apprise en faisant de la respiration profonde, entre le gonflement de l’abdomen à l’inspiration et la poussée vers le bas des muscles abdominaux à l’expiration, j’avais constaté une sorte de poussée inversée des sphincters vers le haut qui générait une sensation agréable sur la paroi antérieure, sans que j’établisse un lien certain avec la prostate.
Pour moi, concernant les contractions, toute la difficulté a été de reconnaître et de comprendre l’action des muscles du plancher pelvien :
• Longtemps, je n’ai pas réussi à distinguer le muscle anal et le muscle périnéal, ce qui fait que je contractais toujours l’anus avec le périnée, et non pas l’un indépendamment de l’autre.
• Aujourd’hui, grâce notamment à la respiration profonde, c’est chose faite, et c’est, pour moi, un passage obligé pour l’accès et la maîtrise de l’orgasme prostatique sans moyens externes.
• Aujourd’hui, quand je contracte le périnée, je sens très bien le plancher pelvien qui remonte et exerce une poussée (aspiration) des sphincters vers le haut, une poussée qui se conjugue à une contraction des parois anale et rectale qui entrent alors en contact par pression conjointe.
• Je sens alors très nettement les effets de cette action musculaire sur ma prostate et dans toute la zone : pulsations, vibrations, chaleurs, picotements, etc.Personnellement, la durée de contraction est fonction de mes sensations, je peux maintenir l’effort musculaire au-delà de 3 secondes ; par contre dans la phase initiale, mes contractions sont plutôt courtes, ceci afin de ne pas écraser mes sensations et fatiguer mes muscles.
Quand les petites contractions involontaires dues à l’action périnéale entraînent un battement rythmé de mon pénis, je sais que le déclenchement de l’orgasme est tout proche. Cette phase est déjà jouissive en soi. J’essaye de trouver un équilibre entre contractions involontaires et relâchement pour la faire durer le plus longtemps possible ce qui augmente la force des spasmes de l’orgasme proprement dit. J’ai des spasmes du sphincter qui déclenche des contraction abdominales très fortes, qui peuvent soulever mon bassin de façon rythmique, cela pendant 10 à 30 secondes (je me suis filmé…).
Je peux atteindre l’orgasme couché les jambes allongées, sur le côté en chien de fusil, les jambes repliées, mais si je veux aller plus vite et plus fort, deux positions ont ma préférence : sur le dos les jambes repliés vers la poitrine et sur les genoux, le buste touchant mes jambes repliées sous moi. Dans ces deux positions, les contractions sont plus sensibles et faciles, le contact entre les muqueuses est quasi automatique.
Pour l’instant (cela fait quelques mois seulement que je connais l’orgasme selon cette méthode), le plaisir se concentre d’abord au niveau du bassin et de la partie basse de l’abdomen, ce qui me fait dire que je ne suis pas encore parvenu au Super 0, même s’il m’arrive parfois de me sentir partir, avec une impression de décorporation (les yeux révulsés). Ainsi, je ne connais pas cette remontée de sensations vers le haut, par la colonne vertébrale, évoquée parfois.
Le sujet sur le Super 0 mérite, je pense, un développement particulier. Il dépasse l’approche technique et touche, me semble-t-il, à l’intime de nos convictions, nos croyances, nos peurs, etc.
Pour ce qui est de parler ou de partager ce plaisir avec autrui, je confirme que c’est compliqué. J’en ai parlé avec ma femme qui est dubitative ou désorientée. Je dois dire que je ne sais pas trop comment m’y prendre pour lui montrer, car, d’une part, les effets de l’orgasme étant spectaculaires, ils peuvent impressionner, d’autre part, c’est une pratique qui peut lui faire sentir qu’elle est inutile !
Voilà…
16 janvier 2017 à 22 h 19 min #22068logansanParticipantBonjour à toute la communauté, et meilleurs vœux pour cette année du renouveau des sensations corporelles !
Un long silence, mais une lecture assidue des articles et forum.
J’interviens car je me sens concerné par ce sujet.Je me permet de résumer mes différentes interventions sur d’autres sujets, pour introduire ce qui va suivre.
Hétéro, moyennement actif sexuellement, j’ai toujours su qu’il y avait autre chose que l’orgasme éjaculatoire, mais quoi… Vers la 40aine, à la recherche du point G, je tombe sur le point P… Je finis par me décider d’explorer cela aussi. Cela fait 3 ans maintenant. Ayant déjà appris à respirer, méditer, essayer de connecter mes chakras… L’hélix m’a permis d’évoluer rapidement et de connaitre des P-Wave, petits super O’s ; bref, de bonnes séances prostatiques, et même anales, il y a de bonnes choses à prendre !
J’ai entrepris régulièrement de faire des exercices de Kegel ou qui y ressemblent, et des sensations A-less sont apparues. Je sais que je ne suis pas au sommet, j’ai encore du chemin à parcourir, mais courage à tous ceux qui sont en dessous de mes sensations. L’abandon de soi et désapprendre les acquis sexuels masculins font partie du processus.
Concernant ce plaisir et mon mariage, moi aussi ma femme n’est pas à l’aise avec cela. Elle le sait, me laisse faire, mais je reste sur ma faim de ce côté là, pourtant je ne désespère pas.
Revenons sur le sujet présent.
Couché sur le dos, respirations profondes par le ventre, bien détendu, je ressens la chaleur d’un petit soleil au niveau de ma prostate. Mon cœur ne bat plus dans ma poitrine mais sous mon sexe.
Le phénomène est encore plus flagrant au petit matin, si j’ai bien dormi, et cela me réveille même parfois quand instinctivement mon périnée est contracté avec la petite envie d’uriner du matin. Et en terme de détente, rien de mieux, je n’ai pas à faire le vide dans ma tête, la nuit s’en est chargée.Alors je peux commencer les contractions musculaires : alternativement, de façon courte (2-5 secondes) je contracte périnée puis sphincter, je relâche l’un pendant que je contracte l’autre, comme si je roulais de l’un au suivant. Même sans pensée sexuelle, le plaisir monte ; P-Wave, relâchement, contractions… et cela monte doucement pour s’amplifier à chaque vague. Avec l’habitude, l’arrivée du plaisir est très “mécanique” mais la montée en puissance nécessite une concentration méditative avec pensées excitantes.
En général je passe en chien de fusil, je “roule” mes contractions, je rajoute des pensées excitantes, les vagues progressent encore. Le plaisir que je ressens me contracte comme un étirement du corps le matin, les abdos bien durs, voire avec des pets qui en rajoutent en massant ma prostate avant de sortir (désolé mais … ) cela dure parfois 1 minute je pense. Les jambes décalées, bougeant pendant l’orgasme, me permettent de ressentir encore plus de plaisir. Les muscles doivent jouer sur la pression prostatique.
Je passe sur le ventre, le frottement de mon sexe en érection sur le matelas rajoute à mon plaisir. Et je laisse passer encore 1 ou 2 vagues. Ma tension sexuelle est à son comble en général à ce niveau. Je sais que je peux aller plus loin sans toucher à mon sexe, mais… il est parfois difficile de résister à un final éjaculatoire. Je ne vais pas passer ma journée là dessus quand-même !
Je me suis permis récemment, lors d’un câlin matinal avec mon épouse, de me laisser aller à un orgasme A-less. Je ne l’ai pas sentie dérangée outre mesure, surprise oui, mais j’ai trouvé cela engageant. Je crois même l’avoir rassurée, elle a du croire à une éjaculation précoce, Hahaha !
Voilà, c’est assez, pour le moment.
Bon cheminement.Pour ma part, je vais suivre les conseils de lectures qui traitent de l’être “homme-femme”. (Barry Long, tantrisme…)
19 janvier 2017 à 16 h 11 min #22108ane et rosseParticipantBonjour,
Je vous présente mes meilleurs voeux, que cette nouvelle année vous apporte à tous ce que vous désirez le plus.Cela peut paraître curieux que j’intervienne sur le sujet, moi qui suis un débutant dans l’utilisation de l’Aneros Helix (acquis en septembre 2016), qui avant cela n’avait aucune notion de ce que pouvait être le plaisir prostatique et qui ne l’ai pas ressenti, malgré l’utilisation de l’Aneros, jusqu’en décembre 2016. J’ai d’ailleurs fait état de mes doutes quant à mes capacités en la matière dans un autre forum.
Début décembre 2016, en essayant de télécharger des mp3 de relaxation, j’ai trouvé plusieurs mp3 de séances d’hypnose menant à un orgasme. J’ai utilisé ces mp3 avec succès et j’ai obtenu sans Anéros des orgasmes très exactement au moment T compté par la voix de l’hypnotiseur, d’abord des tremblements et des spasmes surtout puis, après plusieurs utilisations, un réel plaisir allant croissant. Eh oui sur moi ça a marché ; je sais que ce n’est pas toujours le cas.
J’ai décidé d’utiliser une telle séance “branché” à mon Aneros, en amorce à une musique de relaxation. J’ai alors connu mes premières contractions anales involontaires avec l’Aneros et mes premiers mini O’s.
J’avais remarqué que les orgasmes “hypnotiques”, avaient fortement éveillé ma prostate qui me titillait en permanence, phénomène qui s’était amplifié avec les premiers mini O’s. Entre les séances, ma prostate “me parlait très intimement” à moi qui ne l’avais connue que de nom pendant tant de décennies. Le soir, allongé dans le lit, dans le calme absolu de la nuit, ces titillements se transformaient en plaisir puis en un orgasme lorsque j’évoquais mentalement mes expériences avec l’Aneros ou des pensées sensuelles.
La lecture dans un autre forum d’une expérience identique connue par l’un des membres de la communauté dont je n’ai malheureusement par retenu le pseudo et qui était en attente de recevoir l’Aneros pour pouvoir développer ce “don” retenait mon attention. Il se pinçait les tétons pour provoquer un orgasme qu’il définissait comme anal et rectal si je me souviens bien. Je décidais donc d’essayer de développer cette faculté toute nouvelle pour moi et j’y réussissais en ce début d’année en obtenant des orgasmes dont la qualité et la durée n’avaient rien à envier aux mini orgasmes obtenus avec l’Aneros, simplement en me relaxant et sans aucune autre aide, même musicale, uniquement des pensées positives quelquefois sensuelles et un travail sur la respiration. Le pincement des tétons faisait également des merveilles, je n’avais pourtant rien ressenti à travers eux avant. Aucun plaisir aux seins eux mêmes mais un plaisir spasmodique anal et rectal. Plaisir prostatique, anal, rectal, je ne sais pas, mais sacré plaisir avec de bonnes contractions anales et abdominales.
Cheminant depuis d’un plaisir à l’autre, j’ai ressenti aujourd’hui en matinée, alors que rien ne me le laissait présager, ce que je crois être mon premier Super O’. On va dire un petit super O’ car je n’ai pas ressenti cette boule de chaleur dont parlent les initiés ainsi que cet orgasme total de tout le corps. Durant une heure de relaxation musicale sur le dos jambes allongées, c’est la position qui me relaxe le plus, j’ai tenté de contenir le plaisir qui montait sans contractions volontaires, uniquement en travaillant sur ma respiration. Après une heure, je me suis positionné en chien de fusil et quelques contractions volontaires du”bout des lèvres” aidant, tout s’est déclenché, mon corps est parti en spasmes sans retenue, j’ai enchaîné pendant dix minutes des séries de contractions involontaires en continu sans interruption avec des paliers de plaisir allant crescendo avec elles. Je laissais aller mon corps complètement pour essayer de limiter les spasmes et les secousses et là au contraire ça allait de plus belle.
Enfin au bout d’un long moment les séries de contractions se sont espacées mais sans cesser. Je me suis mis sur le dos et les séries de contractions ont continué de plus en plus espacées mais sans cesser. Par contre, le plaisir n’était plus là, la prostate étant sans doute saturée. J’ai alors cessé tant bien que mal car après m’être levé pour aller à la salle de bain, j’étais toujours secoué par les contractions anales involontaires.
Je sais que le plaisir intense mais localisé que j’ai ressenti n’est pas le bout du chemin mais quel progrès pour moi qui ne ressentais quasiment rien il y a un mois. Ces progrès ont été obtenus grâce aux conseils dispensés dans les forums et particulièrement ceux du sage @Andraneros que je salue.
J’espère ne pas avoir été trop long et trop hors sujet. Je voulais simplement confirmer que ces orgasmes sans pénétration et sans massage étaient accessibles mêmes aux débutants dès lors que leur prostate était bien éveillée et qu’ils parvenaient à un niveau de relaxation convenable. Pour moi les éléments déclencheurs avaient été ces mp3 d’orgasmes hypnotiques pourtant mis en doute par d’autres.
Salutations à tous et encore tous mes vœux de bonne année.
19 janvier 2017 à 20 h 18 min #22109AndranerosParticipantC’est magnifique @ane-et-rosse. C’est un vrai bonheur de lire la description de l’expérience orgasmique que vous venez tout juste de vivre. Vous nous montrez à quel point chaque cheminement vers le super O’ est unique. Vous nous montrez aussi à quel point la découverte du super O’ peut être imprévue et survenir en dehors de toute progression soigneusement planifiée.
Vous avez su vous mettre à l’écoute de vos sensations et apprendre à lâcher prise avec l’aide de vos MP3 d’hypnose orgasmique. Ce faisant vous avez créé les conditions qui vous ont ouvert les portes de l’orgasme prostatique et vous avez reçu la récompense que vous méritiez. Merci de nous apporter ce témoignage réjouissant.
Je suis sûr que votre exemple va encourager nos amis qui progressent moins vite que vous à poursuivre leur cheminement avec confiance et pousser ceux qui nous lisent mais qui pensent que ce n’est pas pour eux à se commencer leur propre cheminement vers la jouissance prostatique.
L’efficacité des enregistrements que vous avez utilisés pour atteindre l’orgasme va conduire nos amis à vous demander les liens des fichiers pour en faire l’essai à leur tour.
Le récit de votre expérience est parfaitement à sa place dans ce fil de discussion. Vous étiez un débutant en septembre 2016. Vous faites désormais partie du club. Comme vous le dites
Je sais que le plaisir intense mais localisé que j’ai ressenti n’est pas le bout du chemin mais quel progrès pour moi qui ne ressentais quasiment rien il y a un mois.
Vous découvrirez dans les semaines et les mois qui viennent que votre cheminement ne fait que commencer et que vos futures plongées dans la jouissance prostatique vous emmèneront bien plus loin que ce que vous imaginez même après cette très belle expérience.
Bonne année orgasmique et bon cheminement @ane-et-rosse.
22 janvier 2017 à 17 h 22 min #22124luckyParticipantBonjour,
Je me rappelle, il y a un an au moins, un homosexuel était venu nous détromper sur ce que nous croyions ici. A savoir que dans ce milieu, ils avaient de meilleure connaissance sur l’orgasme prostatique que dans le milieu hétéro.
Et je suis resté pour ma part persuadé qu’il avait raison. Ce n’est vraiment pas en rapport avec le choix amoureux. C’est une expérience qui est interne, intime à soi. Et puis, il faut arriver à mettre à distance l’orgasme éjaculatoire. Bon nombre de personnes n’y arrivent pas parce que n’imaginent pas que l’on puisse obtenir des orgasmes différents.J’ai des orgasmes prostatiques qui se passent d’objets.
C’était au début de mon expérience, il y a deux ans, je voulais prendre du plaisir sans déranger, sans avoir besoin de sortir l’aneros, et puis le gel, et puis…. Alors je me suis imaginé que mes le trajet de mes yeux étaient le va et vient que je ressentais au niveau de mon anus. Alors je faisais des allers retours de regard, à droite, à gauche… Et ben, ça a fini par déclencher des orgasmes.
Ensuite, j’ai trouvé que si je projetais mon “anus” (c’est pas tout à fait ça. Ce serait plutôt l’organe qui bat) sur un endroit quelconque, et si je le caressais avec mon doigt, alors je finissais par avoir des orgasmes.
Après, j’ai travaillé mes tétons en voulant juste les rendre sensibles et plus gros, ça a marché, mais en même temps, mon corps est devenu hyper sensible et mes tétons, de véritables clitoris.
J’arrive lâcher prise vraiment et me laisser porter complètement, du coup désormais le moindre souffle sur mon corps la moindre décontraction de celui-ci, est en mesure de me provoquer des orgasmes.
J’ai des orgasmes tous les jours, plusieurs fois par jour sans rien faire. Si je me caresse en plus, alorslà… ça n’en finit plus.Savez-vous que le pérynée est un point d’acupressure ? Et quand je me caresse les tétons, il me suffit d’appuyer assez fort sur le pérynée pour me faire décoller encore plus.
A bientôt
Lucky24 janvier 2017 à 16 h 36 min #22131nydor01Participant@Lucky
Bonjour,
Je réagis sur votre commentaire à propos des seins.
J’ai moi-même développé ces derniers mois une très grande sensibilité au niveau des mamelons, si bien que je peux parvenir à un orgasme des seins autonome.
Je peux également connecter mes sensations avec ma sphère génitale et plus particulièrement ma prostate. Comme vous, j’imagine que mes deux tétons sont deux clitoris, mais aussi, que mon anus et mon rectum représentent un vagin, et ma prostate, un point G. Cela m’est venu naturellement comme si le fait de caresser mes seins et de contracter mon périnée, en dehors de toute action et pensée en relation avec mon pénis, me faisait basculer dans une dimension féminine. L’association entre tétons et clitoris se fait maintenant quasi automatiquement, dès que je ferme les yeux. Si je lubrifie mes mamelons, l’identification est encore plus forte. J’ai l’impression que la distance entre mes tétons et ma prostate se réduit, et que tous les trois font partie d’un même espace, un même sexe. Il me semble que mon anus et mon rectum se dilatent et s’échauffe comme un vagin. Ma prostate réagit quasi simultanément avec mes tétons, et l’orgasme vient beaucoup plus vite.
Je pense qu’il ne faut pas occulter et même tirer profit de cette part féminine qui est en chacun de nous. L’accès au plaisir prostatique en est rendu plus facile.
À suivre…24 janvier 2017 à 17 h 21 min #22132fidelioParticipantjuste un petit mot pour dire merci et bravo à @ane-et-rosse, @lucky et @nydor01.
Leurs 3 dernières interventions sont très complémentaires, très motivantes, et donnent très envie de mettre en pratique leurs “trucs”.2 février 2017 à 0 h 28 min #22154nydor01ParticipantBonsoir,
je relance le sujet sur la ou les méthodes adoptées par ceux qui ont des orgasmes hors Aneros.
Notamment, quelles contractions ? Anales, périnéales ? À quel rythme ? Avec quelle force ? Associées à la respiration ? Quelle position est la plus efficace ? Combien de temps pour obtenir l’orgasme ou les sensations de plaisirs ? Nature des sensations ? Sont-elles différentes de celles ressenties avec l’Aneros ?Me concernant :
— Contractions anales et périnéales, mais davantage périnéales, associées à des contractions de la partie basse de l’abdomen.
— Des contractions plutôt courtes (entre 3 à 5 secondes) de force moyenne, 1 contraction pour 3 à 5 inspirations/expirations. Parfois 3 contractions à la suite. Mais je m’adapte aussi à mes sensations. Quand je commence à avoir des contractions involontaires, j’essaye de trouver un équilibre entre contraction/relâchement, ce qui en générale amplifie et accélère les contractions involontaires de l’anus et du rectum. J’ai alors mon périnée qui “tremble” et mon sexe qui “tressaute”.
— La position la plus efficace : sur le dos, les jambes repliés vers la poitrine, ou bien assis, le dos incliné et les jambes pliées (c’est une position que j’ai initié dans mon bain !), dans ce cas, les sphincters sont déjà “comprimés” et l’action musculaire est rendue plus facile.
— En général, 10 minutes pour arriver à l’orgasme.
— Les sensations sont plus douces qu’avec l’Aneros, plus subtiles aussi, même si les spasmes sont quasi équivalents ; ces sensations sont de plus en plus clairement localisées sur l’ensemble de la partie antérieure du rectum, j’ai une impression d’embrasement, ou encore d’un durcissement de l’ensemble de mon rectum.
J’espère que ces précisions vous seront utiles.
À bientôt.2 février 2017 à 13 h 36 min #22155aneveilParticipantMerci pour toutes ces infos qui confirment en partie mes observations, mais vont m’inciter aussi à développer une sensibilité des tétons que je commence à pressentir.
Alors faut-il comprendre qu’il y a encore un problème avec le plaisir sexuel en général, et, en particulier, quand il n’est pas relié directement à la procréation/copulation ? Quand bien même, où seraient la déviance ou la perversité alors que la prostate est un organe de la sphère sexuelle ?
Je ne m’attarderai pas sur la terrible régression sexuelle qui se répands actuellement, surtout chez de nombreux jeunes : Obligation culturo-religieuse de rester « vierge » pour certaines filles, avec passage obligé par la sodomie comme première sexualité ou reconstruction d’hymen, etc… De l’autre côté « Éducation sexuelle » par la pornographie pour des ados et enfants de plus en plus jeunes qui n’ont pas la distance pour comprendre qu’il s’agit de spectacle et pas de réalité, avec la croyance que l’éjaculation faciale, la performance et la brutalité font forcément partie d’une relation sexuelle normale…
Donc je pense qu’il y a toujours un très gros problème avec la sexualité en général dans notre société comme dans la plupart des pays du monde (ou la situation est parfois bien pire) et la fameuse « révolution sexuelle » des années 70 (qui a finalement abouti à un consumérisme sexuel, une marchandisation des corps et la pornographie) n’a finalement pas changé grand chose.
Tous les auteurs traitant de sexualité sacrée (et moi avec eux) sont d’accord là dessus : La libération de la femme (et « la libération sexuelle en général) n’a pas réellement aboutie en matière de sexualité dans la mesure ou c’est toujours une sexualité masculine basée sur la performance, l’orgasme et surtout une forme de prédation et d’égoïsme qui domine très largement. Idem dans la sphère sociale, les femmes qui ont « réussies » en politique ou dans les grandes entreprises, ne font finalement que singer les hommes dans ce qu’ils ont de pire, (les valeurs de profit, de croissance infinie et globalement de « réussite » par l’argent étant des « valeurs » essentiellement masculines, dans le versant le plus sombre du masculin)
Ces auteur(e)s constatent aussi que les femmes qui se sont « libérées » n’ont fait le plus souvent (dans une logique d’égalité) que reprendre à leur compte une sexualité masculine consommatrice, plus ou moins dominatrice et prédatrice où l’autre n’est finalement qu’un moyen d’assouvir des pulsions et où la qualité de la relation, l’amour d’être à être compte de moins en moins.
Avant on avait l’homme qui se masturbait dans le vagin de la femme pour se soulager et à présent nous avons aussi la femme qui se sert de l’homme, ou de l’autre comme d’un gode ou un sex-toy, dans les deux cas le partenaire se trouve chosifié et le plaisir aussi intense qu’il soit ne nourit pas pour autant l’être de manière satisfaisante.il est fort possible que l’orgasme prostatique implique une remise en cause de l’image de la sexualité masculine dans notre société, et dans l’esprit des femmes, qui à leur tour seraient confrontées à la manifestation d’un plaisir (et d’un orgasme) qui les dépasserait !
Je vois l’absence d’informations et de recherches autour du plaisir prostatique comme une évidente volonté (consciente et inconsciente) de ne surtout pas changer un modèle de sexualité mondialement hégémonique, ce modèle masculin se trouvant à la base des rapport de pouvoir, de domination, sociale, financière et politique.
Cela dépasse très largement pour moi la simple remise en cause de la sexualité masculine au sein des rapports de couple, donc je crois encore comme la plupart des auteurs qui se sont intéressés aux formes de sexualité sacrée (Tantrique, chamanique ou Taoïste) qu’une place centrale faite à une véritable féminité (dans tout ce que cela comprends d’amour, d’empathie et d’élévation spirituelle) au sein du couple, comme une reconnaissance de cette part féminine en chaque homme (idem, pour une part masculine en la femme) constituerai la plus grande révolution que nos civilisations pourraient connaître.Désolé pour l’aspect philosophico-politique de la question qui me tient à cœur, mais je reviendrais sur les aspects plus pratiques, les méthodes et les conditions mentales menant aux orgasmes prostatiques « en mode licence libre » 🙂
4 février 2017 à 15 h 16 min #221681913Participantbonjour diabolo, j’ai 54 ans, hétéro et débutant pour la découverte du plaisir prostatique depuis 15 jours environ, j’ai d’abord commencer les exercices du muscle PC, au début aucune sensations mais depuis quelques jours, rien que les contractions me donne du plaisir qui augmente de jours en jours, et sans faire les exercices de respiration ect… dans le traiter d’anéros.
je ressens un plaisir interne,de la chaleur dans le ventre,mes cuisses et mes jambes tremble quand je contracte.
n’ayant pas atteint l’orgasme pour l’instant, je pense d’après votre témoignage qu’il est possible d’atteindre l’orgasme sans aucun objet.
j’ai quand mêmel’intention d’acheter l’anéros helix par curiosité.
ma question: est ce que mes exercices du muscle PC on sensibilisé ma prostate ?
merci d’avance et bonne année 20174 février 2017 à 17 h 13 min #22169AndranerosParticipantBienvenue su notre forum @1913.
Vous êtes effectivement un débutant tout frais. Vous avez très bien fait de commencer par faire des exercices du muscle PC avant tout. Ils vous ont permis d’éveiller votre zone périnéale et prostatique à une nouvelle forme de plaisir. Votre sensibilité si rapidement apparue est très encourageante pour la suite de votre cheminement.
au début aucune sensations mais depuis quelques jours, rien que les contractions me donne du plaisir qui augmente de jours en jours,
Vos progrès quotidiens sont formidables et nourrissent certainement votre excitation. Mais soyez patient et n’oubliez pas que les arbres ne montent pas jusqu’au ciel.
Comme vous avez pu éventuellement le lire ici ou sur le site du fabricant, le masseur joue le rôle d’une aide pour atteindre le plaisir que procure la prostate. Je vous encourage à vous procurer un masseur qui viendra compléter et à mon avis renforcer vos progrès vers l’orgasme prostatique. Je vous encourage aussi à commencer à associer la relaxation et la respiration abdominale à vos contractions. Laz combinaison de ces exercices vous préparera au mieux à amplifier votre plaisir jusqu’aux fantastiques super Os’.
Bon cheminement @1913.
5 février 2017 à 23 h 48 min #221941913Participantbonjour diabolo, merci pour votre réponse
sa m’encourage à continuer et suivre vos conseils
je vous tiens au courant pour la suite…salutations
191326 février 2018 à 15 h 53 min #26325nydor01ParticipantBonjour,
Je reviens pour vous faire part de l’évolution de mon expérience prostatique. L’année dernière, je pensais avoir atteint un sommet dans le plaisir prostatique, je pensais également avoir atteint un stade où je maîtrisais dorénavant ce plaisir, mais je me trompais ! ! !J’ai abandonné l’usage de l’aneros, et je pratique exclusivement le plaisir prostatique par contractions musculaires. Mes rares expériences avec Aneros se sont révélées décevantes, j’ai l’impression d’avoir quelque chose en trop – un intrus si l’on peut dire – qui écrase ma prostate et mes sensations, alors que sans Aneros, les sensations sont plus fines et bien plus satisfaisantes. Ma satisfaction tient aussi certainement au fait que mon plaisir est exclusivement autonome et naturel – au sens propre du terme.
Toutefois, ce plaisir est loin d’être linéaire. Sans doute parce qu’il repose sur une technique spécifique, et un état psychique particulier qui se rapproche à mon sens de celui d’une femme qui connaît des orgasmes vaginaux. De fait, il est inégal au niveau de l’intensité des sensations. Il est parfois ordinaire, décevant ou frustrant, parfois sidérant, d’une intensité folle, et pleinement épanouissant.
Je suis passé par plusieurs phases depuis un an.
• Après la découverte du plaisir prostatique sans moyens externes, j’ai connu une période d’euphorie, qui m’a conduit à une addiction négative. Je pratiquais tous les jours, dans une recherche permanente de plaisir continu et sans limites : je voulais toujours plus et toujours plus fort. Résultat, une fatigue musculaire, une sorte de saturation des sensations (au niveau des sphincters) et une atténuation progressive de mon plaisir.
• Pendant quelques mois (de juillet à septembre), j’ai vécu une période de régression, mon plaisir était rare et insatisfaisant. Je n’arrivais plus à atteindre les sensations que je connaissais au début, et je forçais en vain sur les contractions.
• Alors, de septembre à décembre j’ai quasiment cessé ma pratique, pensant que j’avais connu une période de plaisir révolue, une expérience unique et terminée.Et puis, j’ai changé d’approche tant psychologique que technique.
D’abord, je ne pratique plus tous les jours, je me laisse guidé par mes désirs. Je peux pratiquer deux à trois fois par semaine – quelquefois à la suite –, ou bien, une seule fois. Je me fie en quelque sorte à l’appel de mon corps.Ensuite, j’ai évolué au niveau purement technique. J’ai affiné et modifié mes contractions. Initialement, mon plaisir est revenu avec les caresses sur mes seins. J’ai renforcé la connexion entre mes mamelons et ma prostate, et je me suis rendu compte que je pouvais avoir des sensations prostatiques sans passer par un cycle de contractions annales par exemple. En fait, quand je me caresse mes mamelons, je sens comme un tiraillement interne au niveau prostatique, tiraillement que je renforce par une contraction de la zone périnéale, une contraction que je qualifierai d’interne et qui se propage à l’ensemble des sphincters ; j’ai alors la sensation que mon rectum se tend et se durcit. Je peux ressentir des pulsations sur la face interne du rectum (la prostate).
Cette approche n’est pas exclusive, ce qui signifie que je ne suis pas obligé de caresser mes mamelons pour parvenir à l’orgasme prostatique ; simplement, elle m’a permis de changer ma technique de contraction.
Je travaille beaucoup plus en souplesse et en finesse. J’alterne les contractions périnéales et anales, et celles-ci sont plus modérées et moins systématiques qu’initialement. Au niveau du périnée, j’ai une sensibilité musculaire qui s’est développée, mes contractions internes sont plus subtiles, tandis qu’elles me procurent un plaisir accru.
Je distingue nettement plaisir anal et plaisir prostatique. Je parviens à la jouissance prostatique sans nécessairement passer par le plaisir anal. Ainsi, il m’arrive de ne ressentir que des contractions internes. Parfois, aussi, je ressens comme un durcissement ou une forte tension interne qui déclenche une onde continue de plaisir, laquelle se propage dans mon bassin, et au-delà.
Globalement, mon plaisir se manifeste moins sous forme de pics que sous forme de plateaux toujours plus élevés. Mes spasmes sont plus longs, et mes phases de tremblements frénétiques moins nombreuses.
Au niveau des positions, il y a eu également une évolution, alors que j’avais davantage de facilité à atteindre l’orgasme à genoux, replié sur moi, ou sur les dos, les jambes vers la poitrine, j’obtiens des orgasmes plus facilement couché sur le ventre (avec parfois une jambe repliée), ou couché sur le côté, en chien de fusil.27 février 2018 à 11 h 10 min #26343nydor01ParticipantJe pense que le plaisir prostatique nous conduit vers des territoires de sensations et d’états psychologiques toujours renouvelés. L’orgasme pénien engendre des sensations bien identifiées et finalement sans surprises, même si elles sont puissantes. Alors que le plaisir prostatique, notamment sans aides externes, produit des sensations surprenantes, sans doute en raison de leur répétition, et de l’état de voyages sensoriels dans lesquels elles nous entraînent. Il semble que l’on n’atteigne jamais tout à fait le point ultime, et que ce point ultime recule à mesure que le plaisir se développe. Il n’y a pas de frustration, parce que le plaisir est bien présent, mais une envie joyeuse de s’engager toujours plus dans ce chemin des délices.
27 février 2018 à 18 h 44 min #26349jean74ParticipantBonjour
je viens juste de m inscrire et de me présenter sur le Forum.
Cela fait 1,5 an que j’ai découvert le site et que je pratique le massage prostatique.
D abord avec un masseur mais au vu de la difficulté à gerer les sessions, j’ai doucement glissé vers la pratique libre comme nydor01.
Je reviendrai plus longuement sur mon expérience,
Merci encore pour vos témoignages et à bientôt28 février 2018 à 13 h 56 min #26376jean74ParticipantBonjour
Je reviens donc sur mon expérience de l orgasme prostatique.
J’ai débuté il y a environ un an et demi, le début a été assez facile, apparemment j’ai une bonne sensibilité prostatique.
La principale gêne était la mise en œuvre des sessions avec le lubrifiant et le masseur, je sentais que j avais besoin de plus d autonomie.Du coup j ai commencé à m exercer hors session, en voiture à l arrêt, pendant mes pauses, bref dès que les conditions étaient favorables pour une pause plaisir.
Pendant 2 à 3 mois les résultats de mes exercices musculaires étaient assez décevants avec des périodes de régression et de doute. Et puis finalement à force de persévérance, ma musculature interne autour de ma prostate me permet de ne plus fatiguer et de tenir des sessions longues avec une intensité exceptionnelle. Effectivement les pics de plaisir sont moins intenses par rapport a mes sessions avec l aneros mais beaucoup plus longs et diffus.
Le facteur psychologique est également extrêmement important, pendant mes sessions je m imagine posséder un vagin et accepte la diffusion du plaisir comme une femme lors d un orgasme vaginal.
J insiste vraiment sur cet aspect car il conditionne toutes les sensations qui sont complètement à l opposé d un orgasme masculin classique.
Concernant les positions, je crée avec mes jambes une sorte d effet ciseaux qui permet d appuyer sur la prostate sans trop d efforts musculaires.
Le mieux est soit à moitié allongé, sur un canapé ou fauteuil soit allongé une jambe légèrement repliée.
Je pense que le fait de ne pas chercher à trop faire forcer les muscles est également une des clés pour accéder au plaisir car cela permet de tenir dans la durée et de se relâcher en même temps.
Enfin, je pense que pour arriver à avoir ce plaisir il faut effectivement ne pas le chercher à tout prix mais laisser venir et accepter d avoir des jours avec et des jours sans.
L orgasme penien est effectivement tellement prévisible qu une fois de plus il faut accepter que ce plaisir prostatique ne le soit pas !
à bientôt28 février 2018 à 16 h 18 min #26380nydor01Participant@jean74
Bonjour,
je me retrouve dans votre témoignage – notamment concernant l’Aneros. Toutefois, je tiens à préciser que je n’ai rien contre son usage, qui est certainement excellent pour découvrir le plaisir prostatique ; simplement, je suis arrivé à un stade où je ne sens plus la nécessité et l’envie de l’utiliser.
J’utilise aussi des images mentales, comme celle du vagin, ou même de la pénétration, mais c’est plus un jeu qu’un impératif. Par contre, je pense qu’il est essentiel de développer une image mentale, ou une connexion mentale, avec sa prostate, en particulier parce que c’est organe interne et invisible. Je crois que certaines femmes font de même avec leur vagin pour obtenir des orgasmes vaginaux. De la même façon, j’ai développé une connexion sensitive entre mes mamelons et ma prostate, tandis qu’avant c’était mon sexe qui réagissait exclusivement aux caresses sur mes seins.
Je ne sais pas comment vous procédez au niveau des contractions, utilisez-vous l’anus et le muscle PC, ou simplement le PC ?
Personnellement, je me sers de moins en moins du muscle anal, le plus souvent pour éveiller la zone, générer de la chaleur, mais une fois fait, je me concentre sur le périnée. Mes contractions sont devenues beaucoup plus subtiles qu’au début, car je parviens à faire jouer les muscles autour de ma prostate au niveau interne. J’ai la sensation parfois de faire rouler ma prostate, donc à générer un effet de massage. Mon approche est devenue la même qu’avec mes mamelons, que je caresse sans aucune violence. Une fois que les sensations sont installées, la prostate fonctionne presque toute seule. Une simple contraction, comme un effleurement, suffit à relancer l’orgasme. Comme vous le dites, le plaisir est long et diffus. La plupart de mes séances durent entre 30 et 60 minutes (mais le temps s’efface alors…).
Pour les positions, je pratique aussi cet effet ciseaux parce qu’il crée un effet de pression, alors que la position allongée avec une jambe repliée, par effet d’ouverture anale, sollicite davantage l’effort de contraction musculaire.
À bientôt.28 février 2018 à 20 h 53 min #26384jean74ParticipantBonsoir
Effectivement j ai également développé une hypersensibilité au niveau des mamelons qui me fait décoller dès que je suis suffisamment excité.
Mon sexe est complètement laissé de côté, il s agit à mon avis d une condition indispensable pour ressentir pleinement le plaisir prostatique.
J utilise uniquement les muscles PC, tout en douceur, avec également ce sentiment de massage et curieusement je n arrive pas à l expliquer, j’arrive à stimuler la partie avant de ma prostate.
C est assez particulier car c est l opposé de la pression induite par l Aneros mais vraiment exceptionnel au niveau des sensations.
Ensuite effectivement une fois la pompe amorcée, de très faibles stimulations suffisent à atteindre un plateau et y rester ! C est vraiment exceptionnel comme sensations !
Mes sessions peuvent durer jusqu’à 1 heure facilement.
C est vraiment tellement bon !
Je suis étonné de ne pas lire plus d expériences sans masseur, je pense que cette pratique peut s envisager en parallèle et permet d aller plus loin dans la connaissance de soi.
À bientôt28 février 2018 à 23 h 17 min #26385nydor01ParticipantC’est la première fois que je lis un témoignage qui se rapproche autant de ce que je vis !
Concernant les seins, je me pose la question suivante : n’est-ce pas l’éveil de la prostate qui engendre une augmentation de la sensibilité des mamelons ? Personnellement, avant mon expérience prostatique, la sensibilité de mes mamelons était moindre, de même que leur taille, qui a augmenté. Mon intérêt pour les caresses mammaires a subitement augmenté avec le plaisir prostatique. J’ai l’impression d’avoir des mamelons féminins (toutes proportions gardées en terme de taille quand même !). Il est vrai aussi que je suis beaucoup moins centré sur mon sexe, et je n’en ressens aucun manque. J’ai toujours de fortes érections, et mes relations sexuelles traditionnelles n’en sont pas affectées. Mais le plaisir prostatique m’apporte quelque chose d’inégalé et, à mon avis, d’inégalable.
Par quels signes se manifestent le plaisir et l’orgasme ? Avez-vous des spasmes, des tremblements, des gémissements… ?
Comme vous, je suis étonné du peu de témoignages sur le sujet ? Je dirais presque du peu d’intérêts, même sur ce blog. Pourtant, il me semble que c’est une voie unique et naturelle vers la découverte d’un plaisir incomparable, un trésor caché, ou occulté, là, depuis toujours, en chaque homme. Pour moi ce plaisir porte en soi une révolution dans la sexualité masculine, et le regard que l’homme peut porter sur sa sexualité et celle de la femme.1 mars 2018 à 0 h 32 min #26390bzoParticipantComme vous, je suis étonné du peu de témoignages sur le sujet ? Je dirais presque du peu d’intérêts
ben, une grande majorité de gens, ils officient avec un masseur,
donc il est normal qu’ils se sentent moins concernés, moins habilités sans doute aussi à intervenirpersonnellement je suis intéressé
et il ne se passe pas un jour où je ne fasse pas 5mn par-ci, 5 mn par-là
de contractions sans masseur
et ma foi, j’arrive à éprouver de belles sensations,
j’entrevois aussi toute la puissance et toutes les possibilités,
je les devine, elles sont immenses
et je rêve d’un jour où je pourrai passer même durant la même séance
à des moments sans masseur et à d’autres, avec,
où alors si j’en ai un peu assez de l’une des manières,
de continuer uniquement pour un temps avec l’autrele problème étant est que je suis tellement avancé dans la pratique avec masseur,
il m’est devenu si facile d’obtenir des orgasmes, d’avoir un plaisir intense à tout instant,
de changer même complètement d’identité sexuelle durant ma séance,
que je n’arrive pas malgré que je sache que le jeu en vaut la chandelle
à accepter une période d’apprentissage sans orgasme, sans plaisir en continu,
le temps d’acquérir la technique et les automatismes nécessaires pour obtenir des résultats similaires1 mars 2018 à 15 h 46 min #26393jean74ParticipantBonjour
Pour répondre à bzo, j’ai également été très loin avec l aneros, j en possède 3.Mais à un moment j’ai trouvé plus satisfaisant et simple de ne plus les utiliser.J ai très peu de temps disponible seul chez moi alors je profite de moments dans la journée ou le soir lorsque toute ma famille est endormie.
Je peux comprendre que lorsqu’on est satisfait de l utilisation d un masseur on ne cherche pas à s en passer mais c est autre chose.
Pour répondre à nydor01, je peux comparer mes orgasmes à un verre d eau versé sur un buvard, le plaisir prends naissance autour de ma prostate et se diffuse d abord par ondes puis les ondes deviennent tellement fortes que je suis tétanisé et je profite !
Les ondes se transforment en sorte de transe mais je n’ai jamais eu de spasmes ou de tremblements, juste des orgasmes très intériorisés et remontant dans le dos et descendant dans les cuisses.
Avec le temps j arrive à éprouver des orgasmes un petit peu moins forts qu avec l aneros mais très agréable et extrêmement longs.
Je stimule également mes mamelons de manière très douce, ils sont devenu tellement sensibles que lorsque je suis hyper excité je peux presque déjà avoir une diffusion des ondes de plaisir sans même commencer à stimuler ma prostate.
Lorsque je stimule alors ma prostate j’ai comme un effet booster incroyable, là c’est parti !
Et vous, comment se présente votre orgasme ?
Lorsque je lis votre expérience j’ai effectivement l impression d avoir une expérience similaire à la vôtre, c’est d autant plus intéressant!
À bientôt1 mars 2018 à 16 h 55 min #26394nydor01ParticipantBonjour Jean74,
Je vais essayer de répondre le plus précisément possible.
Je vais développer le cas où je suis sur le ventre pour expliquer mes sensations et leurs effets. En fonction, des positions, elles ne sont pas exactement les mêmes, disons que mon cerveau ne les perçoit pas d’une façon identique. Par exemple, si je suis sur les genoux, plus ou moins repliés sur moi, je sens les parois de mon rectum qui se contractent et compriment ma prostate, et j’ai des projections du bassin d’avant en arrière très puissantes.Sur le ventre, la première sensation est très localisée, au niveau de la face antérieure du rectum, c’est comme un léger tiraillement voluptueux (ou de légers pics de plaisir, ou des chatouillements) qui s’accompagne d’une sensation de chaleur. À ce stade, j’ai de brefs et brusques spasmes du bassin, parfois un ou deux seulement, suivis d’une sensation de pulsation. Progressivement, les sensations s’amplifient, de même que la fréquence et la durée des spasmes (une succession d’orgasmes en palier), ma respiration s’accélère, devient bruyante.
Ensuite, les tiraillements, ou vibrations, s’étendent et gagnent en intensité, la chaleur gagne tout mon bassin, je ressens une forte tension qui crée des vagues de plaisirs intenses, lesquelles vagues déclenchent de fortes convulsions. C’est comme si j’avais une pile en moi qui diffuse son énergie rayonnante. Également, parfois, tous les muscles de mon bassin sont comme tétanisés par l’amplification des sensations. Alors, mon bassin se soulève tout seul, et se fige dans un long spasme, ma respiration est coupée (je ne m’entends plus), je pars dans un espèce de bourdonnement général, avec des sons internes, des couleurs… Puis, je suis pris de convulsions de durée variable, et il m’arrive de m’entendre râler. Je rebondis littéralement sur mon lit. Tout mon corps participe, mes jambes, mes bras, sont agités de mouvements désordonnés (je me suis filmé) : c’est assez spectaculaire ! Et je comprends qu’un observateur (femme, compagnon…) puisse être impressionné et dérouté.
Pour prendre une image, les spasmes seraient comme l’éjaculation (en plus long !) qui suit le plus haut du moment orgasmique. C’est difficile de dire ce qui se passe au niveau rectale ou anal. Disons qu’en fin de convulsion, je sens un relâchement à ce niveau là.
Dans ces moments-là, mes mamelons sont en érection et ultra sensibles, il suffit que je les effleure et je suis pris de spasmes. Mon plaisir est instantanément relancé.
À bientôt.
1 mars 2018 à 17 h 23 min #26395nydor01ParticipantPour reprendre un autre image, la sensation orgasmique seraient comme une corde qui vibre et raisonne.
2 mars 2018 à 11 h 24 min #26406nydor01Participant@Jean74
En vous relisant, je me rends compte que moi aussi je ressens des sensations sur l’avant de la prostate, ou la face externe du périnée, sous le scrotum, ce qui est aussi étonnant qu’excitant…
Je me demande toujours s’il y a un plaisir plus fort à venir, car depuis 1 mois, je connais une progression accélérée dans ce domaine. Tout est plus subtil et plus puissant à la fois.2 mars 2018 à 11 h 56 min #26409jean74ParticipantBonjour
En effet, parfois quand j y pense je me demande quelles sont les limites ?
J arrive maintenant à faire des petites pauses de 10 à 15 minutes avec des orgasmes à volonté, c est juste incroyable !
Et ça sans préparation spécifique ni mise en condition particulière ni matériel, juste par la pensée et l effleurement de mes mamelons. -
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